Nous

Jeudi 5 mai 4 05 /05 /Mai 08:36

Hier soir, j'ai invité N dans le meilleur restaurant de la région. Elle en rêvait depuis des années et, amoureux indigne, je n'avais jamais pris le temps de l'organiser. C'est fait !

Avant de sortir, ma Maîtresse s'est faite belle.  Elle était très joyeuse. C'était SA soirée à elle. Elle a sorti le magnifique bracelet d'or que je lui ai offert pour son premier anniversaire ensemble, s'est maquillée avec grâce et a même mis son parfum favori (ce qu'elle évite habituellement pour moi par amour car je n'aime pas vraiment cette odeur). Tout en se préparant devant la glace de la salle de bain, elle a approuvé mon initiative d'avoir ressorti la box et m'a avoué qu'elle aurait grand plaisir à notre retour de me faire terminer mon repas par la note épicée de son nectar.

Puis elle a joué au ken avec son homme, lui a mis une magnifique chemise et lui a même fait ressortir son élégante veste de velours noir. Bien sûr j'ai gardé ma cage mais elle a eu l'envie de faire porter à son mâle le string en dentelle qu'elle lui a offert. C'était la première fois que je le mettais avec la coque plastique et cela crée une tension inhabituelle sur le paquet qui s'est retrouvé plaqué sur la peau avec deux testicules ridicules dépassant de la culotte. Cela l'a fait rire, et sans doute déjà émoustillée.

Nous voilà partis.

J'étais venu dans ce restaurant, il y a quelques années, pour des raisons professionnelle. Mais les lieux ont été agrandis depuis, et je n'ai pas reconnu grand chose. C'est le genre de restaurant avec une décoration très soignée, un personnel pléthorique et une ambiance très intime. Ils nous installent sur la terrasse dans des espèces de siège oeuf profonds qui ont le désagrément de m'obliger à serrer les cuisses pour y rentrer, et donc de presser mes pauvres orphelines emprisonnées. Le cocktail maison est d'une fraicheur bienvenue en cette belle soirée et les petits amuses bouche servis avec offrent déjà un contraste très intéressant de goûts et de saveurs. Derrière le chef que nous avons reconnus discute avec un ami et, sans être plus que cela étonnant, est très loin de l'image d'arpenteur éclairé des douceurs culinaires de la région et des petits producteurs qu'il se donne dans les médias. Là il parle uniquement avec son ami d'argent, et de la façon d'en retirer un maximum de son restaurant avant de prendre tôt sa retraite.

La ballet des serveurs, Maître d'Hôtel, somellier commence, et il est comme d'habitude très difficile à N. de se décider entre la multitude de ses envies. Elle finit par y arriver. Je commande un gouteux Gevrey Chambertin pour accompagner le repas. Le repas commence, avec la sarabande des plats tous plus étonnants les uns que les autres, sauf l'entrée de ma très vénérée Maîtresse, qui est en deçà de ses attentes. Elle le dit au Maître d'Hotel, sans doute homo, qui en tire la tête de ses mauvais jours et a de toutes façons toujours une explication d'avance sur les goûts différents de chacun.

Les plats arrivent très contrastés en goût et en saveur. Le somnelier remplit régulièrement nos verres. Nous sommes bien. J'ai au cas où, le rosebud dans la poche pour jouer à une envie, mais j'ai oublié d'en parler à N. avant et le ballet du personnel me décourage d'aller plus loin dans mon envie. Cela sera pour une autre fois.

Nous faisons une première pause dans le fumoir extérieur entouré de très belles vitres sérigraphiées avec des motifs animaux. La seule faute de goût est la présence de poutre de pin banales. On dirait la charpente de notre garage ! Inhabituellement, N. m'accompagne d'une cigarette. Elle m'a dit après sur le chemin du retour, qu'elle avait eu à ce moment la perception aiguisée de la présence du string sous mon pantalon, et cette vision masquée l'avait mis dans un grand état d'excitation dans son entrejambe.

Nous revenons. Les desserts arrivent... J'hérite d'une très graphique dame en rouge aux saveurs d'orange, de chocolat, de caramel et d'orange avec un zest de whisky iodé dont la vue me ravit, avant de l'allécher les papilles. C'est divin mais j'aurais préféré un chocolat plus amer. Comme tout le long du repas, nous parlons de tout et de rien profitant de ce moment en amoureux sans nos trop attachants chérubins. 

L'après repas se déroule dans le fumoir, avec un whisky de 18 ans obtenu de haute lutte après être allé au secours du jeune serveur manifestement inexpérimenté. N. savoure de son côté un thè dont les effluves me parviennent et se mélange à la saveur apaisante du vieux whisky. Rien de D/S dans tout cela, tout dans le bonheur de partager amoureusement un moment hors du temps. Au détour de la conversation, elle glisse sans avoir l'air d'y toucher que je ne dois pas oublier de lui rappeler de sortir le chien au retour à la maison. Nous n'avons pas de chien et le toutou chez nous c'est moi. Je comprend que trop bien et immédiatement mon sexe vient s'étendre au maximum dans sa cage dorée.

Nous quittons et rentrons calmement profitant de la nuit vers le maison. N. conduit comme à chaque fois. Je lui reparle du rosebud et du fait que je ne lui avais par parlé vu l'ambiance et qu'elle n'aurait certainement pas osé me le mettre. N. s'en tire d'une de ces magnifiques pirouette féminine au double sens caché.

- Tu as raison, je ne t'aurais certainement pas accompagné aux toilettes pour te le mettre...

Quel idiot j'ai été !

Nous arrivons dans la maison calme. Elle ne m'as laissé aller aux toilettes en partant du restaurant, mais dans la partie D/S de notre couple, il y a un ordre de préséance que je respecte. Je me mets au pied de la box prêt à récupérer son nectar divin. J'entend bientôt le bruit du liquide qui coule le long de la cuvette métallique avant d'être concentré dans le tube transparent à mon attention. Du coin de l'oeil, je vois la colonne d'une jaune profond profond progresser vers son adorateur. Et le - SON - nectar explose dans ma bouche, puissant, épicé, concentré et prend l'ascendant sur les saveurs du vieux whisky. La Maîtresse est de retour et elle marque son territoire.

L'heure de la sortie du chien est arrivée. Il a son collier fétiche où une plaque porte sa propriété à sa Maîtresse. Et sa longue queue fichée dans sa rosette balance au grè de ses mouvements. Je suis debout pour aider à fixer la laisse avant que d'une main ferme sur la nuque, ma Maîtresse m'incite à prendre la position proche du sol qui sie aux toutous comme moi. J'adore. La laisse se tend et m'ordonne de la suivre sur la terrasse. D'un geste, ma Maîtresse m'indique le bouquet de menthe qu'elle veut que je marque de mon urine. Il est contre un mur et je dois lèver la patte arrière pour m'exécuter. Je suis un jeune chiot encore trop mal éduqué. Au moment où j'ouvre la vanne, l'effort expulse le plug de la queue. J'essaye de le retenir en me contractant au dernier moment, mais il est trop tard : le point de non retour est franchi, je le sens hésité un instant et il tombe finalement sur les planches avec un bruit mat. Maitresse ne semble pas être contente. Moi je me libère longuement sans éviter de me salir avec les filets chauds que je sens le long de ma cuisse. Le chiot n'est vraiment pas doué. Quand j'ai fini, elle sort de sa rêverie et me tire vers l'intérieur. Elle m'envoie l'attendre en chambre.

Je suis comme elle m'a dressé à le faire, en attente, agenouillé le nez contre le mur blanc. Au loin, je l'entend se préparer pour la nuit. Maîtresse arrive, me frole. Je ne bouge pas, à l'écoute de l'ordre qui arrivera bien à un moment. Mais ce qui arrive, ceux sont des coups de fouets sonores et cinglants sur mes fesses. Les premiers me surprennent et m'obligent à prendre sur moi pour garder la position. Puis elle me fait sentir au plus profond de mon être chacun des suivants. Jusqu'à un dix qui sort de sa bouche silencieuse.

Je me remet, toujours dans l'attente. Mais elle a décidé qu'il y aurait une suite, comme si dorénavant le fouet ne pouvait exister sans la canne. Les cinglées reprennent, une à une, douloureuse. Jusqu'à douze !

Je la regarde avec étonnement, et elle me sort :

- tu sais bien que l'on dit toujours dix à la douzaine ! Allez, c'est l'heure de l'hommage au corps de ta Maîtresse.

Elle se couche sur le lit dans la position découverte l'autre week-end qui me met à genoux au pied du lit pour rendre grâce à son temple. Ses jambes montent sur mes épaules pour dégager l'antre et de sa main elle invite ma tête à venir communier. Elle est bien sûr complétement mouillée et fondante. De ma langue, de mes doigts, très amoureux, je lui rend tout ce qu'elle m'offre dans ma vie. Cela lui plait intensément mais la fatigue lui refuse l'orgasme appelé. Et même le rabbit n'y arrive pas. Il est temps de se coucher.

Je l'aime.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mercredi 4 mai 3 04 /05 /Mai 18:00

Maîtresse N. venait de se coucher sur le lit à côté de moi et déjà sa main partait à la recherche de ma bite sagement emprisonnée dans sa cage. Elle fut très déçue de tomber sur mon pantalon et m'ordonna de l'enlever au plus vite. Je m'exécuta. Elle descendit sur les cuisses ma culotte mauve du jour et elle vint prendre immédiatement mes couilles dans sa main ferme affirmant son droit de possession. Elle s'amusait à doucement m'exciter dans ma cage. Elle avait posé amoureusement sa tête sur mon épaule et roucoulait bien lotie contre moi. Se faisant, elle me dévoilait son dos et plus son magnifique cul. Je n'y résistais pas. Ma main cheminait de vertèbre en vertèbre jusqu'à se glisser sous l'élastique de la culotte et arriver dans le sillon. C'était un vrai bonheur, son anus s'ouvrait tout seul sous mes caresses, tout doux et tout tendre. Elle gémissait sous mon doigt me rappelant la première fois où je lui avais fait dans un hôtel à Angoulême et qui m'avait valu un mémorable "Pourquoi tu ne me l'as pas fait avant !". 

Elle aurait été mûre pour une sodomie profonde mais moi j'étais coincé et frustré, dans ma cage. Elle continuait à me masser les couilles, et commençait à m'exciter à me mordillant le téton droit pendant qu'elle écrasait le téton gauche entre ses ongles. Cela me fait toujours fondre. Mon doigt dans son derrière faisait ce qu'il voulait la branlant à un tel point qu'elle gémissait à ne plus en finir. J'était excité mais ne pouvais pas me libérer. Elle partit même à un moment d'un orgasme du cul.

- J'ai envie d'une queue, me dit-elle. Mais toi tu es en cage...

Elle réfléchissait en conflit entre son envie immédiate et le désir de me laisser frustré. Oh moi j'aurais bien sur le moment porter l'assaut contre ce cul si accueillant ce soir. Mais son verdict tomba :

- Non, je te laisse en cage. Cela sera plus juste. Mais tu vas me sortir le rabbit, j'ai envie de jouir !

J'éxécutais espérant secrétement qu'elle m'oublierait pour le bien de ma santé sexuelle. Mais non, je reçus l'ordre manipuler l'engin dans son antre en tant que son soumis. Et la mort dans l'âme, je le fis sans espoir d'en retirer autre chose que de la frustration. Elle partit une première fois, puis une seconde fois en m'ayant manisfestement oublié face aux vagues de plaisir déferlant de la machine.

Elle rejetta le rabbit et reprit son soufle.

- Maintenant à toi. Donne moi ton cul !

Je me mis à quatre patte la tête sur les bras. Mais ma position ne lui allait pas, elle trouvait mon orifice trop bas. " Tu t'effrondreras comme tu veux après, mais je VEUX que tu gardes la position pour te pénétrer". Et elle ponctua sa demande d'une claque sur mes fesses. Je craignais l'introduction. Un peu de gel et je fus embrocher d'un coup, expirant le trop d'air qui semblait devoir être évacué de mon conduit. Elle mit immédiatement la machine en route. La tête chercheuse jouait avec les parois du rectum pendant que les anneaux de billes me massaient l'anus. J'ai commencé immédiatement à mouiller de la bite de plaisir.

Cela dura un moment avant qu'elle coince le rabbit dans mon cul avec le fond de la culotte mauve sur mes cuisses et me laisse un instant à savourer le plaisir apporté par la machine. Puis elle revient et je sentis arriver une fine pluie de goutelettes sur mes fesses avant de ressentir le contact cuisant des feuilles des orties. L'orage de la nuit avait mis plein de saletés sur les orties et j'avais du les rincer sous un filet d'eau. D'une main elle me fouettait les fesses et le bas du dos, de l'autre elle essayait de m'enculer plus profond. Le plaisir et le feu. Un divin mélange de Maîtresse. J'adorais, bien que mon cul me cuisait maintenant.

Cela dura un long moment où je pris vraiment mon pied de soumis avant qu'elle me laisse rependre mes esprits. En me relevant, je m'aperçus que le lit avait gardé les marques de mon plaisir.

bljouissance

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 3 mai 2 03 /05 /Mai 19:25

Ce week-end a été assez bizarre entre ma Maîtresse et son soumis.

blattente4Samedi après m'avoir remis en cage de chasteté, Maîtresse N.  m'a demandée de monter la cage à toutou en version courte pour que je ne puisse pas m'y allonger. Cela ne m'a pas étonné parce elle m'avait parlé jeudi de la cage alors que nous étions dans le garage où elle est stockée. Elle sait aussi que c'est aussi une facination pour moi. Je n'ai pas pas pu ramener et monter la cage dans l'après-midi. Une pelleteuse en train de démolir une annexe chez mon voisin, avait en vision directe le parcours entre le garage et la maison.

Et en attendant dans l'après-midi, j'ai commencé à "baliser" à la perspective d'y passer la nuit. Une nuit c'est long surtout si on ne dort pas. Et l'expérience que j'ai eu une fois de passer une nuit attachée sans pouvoir se libérer, a été terrible pour moi qui aime toujours être libre de mes mouvements. Pourtant je crois que j'ai besoin de telles épreuves pour me sentir plus soumis à ma Maîtresse. Mais au moment de passer à la réalité, ce n'est plus aussi attirant. Alors j'ai craqué et de peur je suis allé "négocier" avec N. pour ne pas y passer la nuit, avec ce genre de frisson, où au fond de soi-même, on souhaiterait qu'elle dise non et qu'elle vous force à y aller.

Mais en fait l'apprentissage de la D/S est en fait double. Le soumis apprend à obéïr et à supporter la douleur. La Maîtresse apprend à frapper, ordonner et d'une façon générale devenir une petite sadique avec son soumis. J'ai aussi remarqué que l'avancement n'était pas le même suivant les matières. Il y a certains aspects où le couple D/S pratique d'une façon très avancée et d'autres où nous sommes encore balbutiants.

Bref, Maîtresse N. a facilement accepté de m'éviter la cage, même si elle a visiblement hésité/regretté. Elle me l'a échangé contre une nuit au pied du lit, mais avec une si faible conviction que je savais que je n'avais pas plus d'une chance sur cent de voir appliquer la nouvelle sentence. 

Le coucher arriva et je me suis mis dans le lit comme d'habitude sans prendre une remarque. Levé tôt à 6h, à cause de la cage. Vers 9h, je suis remonté voir N. dans la chambre. Elle était réveillée et lisait tranquillement dans le lit. Je me positionne devant son entrejambe pour un hommage qu'il m'est plus facile à faire quand je suis en cage. Au début, Maîtresse discutait avec moi et m'a demandé si j'avais entendu l'orage cette nuit. Mais moi la nuit je dors d'un lourd sommeil de plomb et je n'entends jamais rien ni les orages ni les enfants. J'ai appris que le déluge était tombé et que le téléphone n'avait pas arrêté de sonner vers 3h, qu'elle s'était levée pour le débrancher et qu'au retour ELLE AVAIT EU ENVIE DE ME REVEILLER POUR ALLER ME FAIRE DORMIR SUR LE PLANCHER !

J'avoue que tout en continuant de la sucer, cela m'a fait froid au dos car la connaissant (c'est aussi ma femme), je savais qu'elle en avait réellement eu l'intention. Elle m'a dit qu'elle y a finalement renoncé alors qu'elle me regardait dormir paisiblement. Mais je pense n'être jamais passé si prêt de la correctionnelle !

J'ai continué à m'activer entre ses jambes. Et là il n'était plus question de discuter. Maîtresse était partie dans le plaisir. J'ai eu droit aux plus beaux des compliments sur le fait que oh jamais aucun de ses amants ne lui avait donner autant de plaisir. J'alternais entre son bouton et l'entrée de sa corolle, ce qu'elle adore. Et elle gémissait à ne plus finir sans réussir à partir de l'orgasme espéré. Pas le jour sans doute. A un moment je lui proposais de changer de position, pour tester une des positions qu'un site D/S avait conseillé pour le cunni, ma Maîtresse au bord du lit, les jambes pendantes, offrant un accès totale à la zone ciblée. C'est vrai que c'est sans doute beaucoup mieux pour les deux.

Post-cunnilingus, nous discutions sur le lit ensemble.  Maîtresse N. a joué,avec les couilles dépassant de la cage avec sa main, ce qu'elle adore, et a commencé à me mordiller le téton. En fait j'aime cela et N. a découvert aussi un jour intriguée par l'effet que cela me faisait. C'est devenu un grand classique en mode vanille. Mais c'est la première fois qu'elle me faisait cela alors que j'étais en cage. Résultat, à sa grande satisfaction, je bandais autant que me l'autorisaient les limites de ma cage. Elle était satisfaite de me frustrer ainsi.

En ce premier mai, elle m'a envoyé chercher le pain, du muguet et un bouquet d'orties fraiches. Je suis rentré peu avant midi, pour préparer l'osso bucco.

Après le déjeuner, elle m'a dit qu'elle s'occuperait de moi vers 17h30. Nous avons vidé notre garde meuble la semaine dernière, et je me suis employé pour passer le temps à nettoyer les accessoires pour bébé que nous avions encore afin de les vendre. N. avait disparu et en fait était partie piquer un somme puis lire. Puis elle rapparut. Vers 18h, je lui ai proposé de commencer à nous amuser. Mais elle voulait publier les annonces de vente avant. 

Cela lui a pris 2 heures et au fur et à mesure que j'attendais, j'ai commencé à bouder de plus en plus. Bien sûr, je savais que cela prendrait du temps mais je ne comprenais pas pourquoi elle avait décidé de le faire à ce moment. Quelques coups de téléphones de la famille, il était déjà huit heures et N. avait faim, comme toutes les femmes que j'ai connues avant.

A 21h30, je me suis senti crevé, et comme l'ambiance n'était pas très bonne, je me suis décidé à aller me coucher tout seul. Elle ne m'a pas laissé faire. Nous nous sommes expliqués et j'ai appris qu'elle s'était mise la pression pour publier les annonces parce qu'elle m'avait vu nettoyer les affaires et qu'elle avait eu peur que je la dispute parce qu'elle ne s'était pas occupée des annonces (et oui en dehors des jeux SM, nous sommes un couple comme les autres, mais moi je m'étais occupé de nettoyer les affaires par dépit pour m'occuper en attendant 17h30). Elle m'a ordonné de l'attendre dans la chambre et elle m'a dit qu'elle monterait dans 5 minutes.

Chat échaudé craint l'eau froide. Arrivé dans la chambre, j'ai enlevé ma chemise mais j'ai gardé mon pantalon. Je me suis mis sous la couette pour finir le 7ème tome de l'Epée de Vérité. Bien m'en a prit car elle est arrivée qu'une demi-heure plus tard...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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