Dimanche matin, vers 7 heures, au lit, celle qui est redevenue Maîtresse N. me demande :

- Occupe-toi de moi !

Les anglais ont enfin repris leur bateau et elle est en grande forme. Et Madame exigea le massage de mes doigts "doués". Mais comme ceci et pas comme cela. Elle me guidait d'autorité la main où elle devait aller. Pas dans ses habitudes. J'étais devenu une sorte de rabbit humain pour son plaisir.

Je me rendors un peu, puis suis de nouveau réveillé.

- Je veux ta queue en levrette !

Et elle s'installe. La plus merveilleuse descente de dos à faire bander un mari. Je m'enfonce avec plaisir entre Charybde et Scylla. Un vrai délice. Elle me réclame en plus le pouce fouineur dans le petit trou. Et nous voilàpartispour une douce balade. Sauf que... interdit de jouir pour moi. Nada. Je vais et je viens, et je me retiens. Une puis une deuxième alerte. Je ralentis. Je survis. Long massage sur l'oreiller... Divin mais incomplet.

Et cela continue dans une remake de "A la recherche du point G !" (oui je sais il y avait une émission à la télé cette semaine). Je le débusque au fond de sa grotte... Et cela monte... explose et explose encore... très longs orgasmes... que je contemple...

Après elle m'a fichu hors du lit pour aller m'occuper du petit déjeuner des enfants. L'esclavage déjà. Mais avant, Maîtresse N. m'annonce que ce soir ce sera la cage pour moi :

- Soit bien sage en attendant. J'ai envie d'essayer notre nouveau gode sur ton cul ce soir. 

- En cage ?

- Non bite libre ! Cela devrait te donner un braquemart d'enfer que j'ai bien envie de me prendre après !

Je commence ma journée dans une douce excitation. Sans doute un peu maso le dyonisos. N. se lève plus tard. La tête tourne. A trop joui sans doute, aie ! Elle repart se coucher.

Arrive le soir, Maîtresse me rappelle que ce soir c'est ma fête et que la perspective lui fait très envie. Petit problème les enfants. Ils ne dorment pas encore. 10H cela bouge encore à l'étage (satanés gosses). 10H30 enfin au calme.. trop au calme peut être, N. est endormie sur le canapé.

L'épilogue de l'histoire est que ce matin, N. m'attendait au retour de l'école où j'avais déposé les enfants. Allez ouste en chambre... baisse ton pantalon... préservatif... non je ne m'occupa pas de toi... branle toi tout seul (pendant qu'elle me pinçait les tétons)... terminé ? Allez signe de ton sperme le contrat... elle signe... met ta cage... elle ferme avec la petite reine bien en vue... allez ouste va travailler maintenant !

Le premier article du contrat dit :

" Ce contrat est établi pour une durée initiale de quinze (15) semaines à compter du 28 novembre 2011. Cette durée pourra être augmentée unilatéralement par Maîtresse N. en guise de punition suite à des efforts insuffisants. A son issue, il est renouvelable par tacite reconduction pour une durée égale. "

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Autant l'avouer tout de suite... Comme de nombreux soumis, j'adore me faire prendre le cul par ma Maîtresse (du moins quand elle habite le corps de N.). Dès le départ de notre couple, la porte de derrière était au centre des jeux et enjeux. 

Je me souviens aussi qu'un d'un soir, je lui ai mis mon doigt dans ma rondelle qui m'a valu un mémorable "pourquoi tu ne me l'as pas fait avant ?".  Le couple se retrouve toujours autour du petit trou. D'abord, historiquement, le sien puis depuis quelques années le mien. Quelques souvenirs...  

Pour le côté vanille, je vous invite à relire notre texte des vacances 2010 écrit à quatre mains et double excitation, qui relate une de ces assauts de cul que nous adorons pratiquer (le meilleur souvenir sexuel de notre voyage de noce en ait d’ailleurs une disons mémorable).

Pour côté obscur, disons que cela a commencé tôt dans le couple, bien avant que je devienne son soumis. A bien me souvenir, j'ai acheté notre premier gode ceinture dans un sex-shop en face de la gare du Nord. Nous n'étions ensemble que depuis quelques mois... Je me souviens du vendeur vietnamien qui insistait pour que je prenne un gode plus gros et je résistais. La honte parce qu'un homme qui achète un gode ceinture n'est pas forcément à son avantage. 

Bizarrement nous l'avons essayé mais je n'ai pas réellement de souvenir précis des sensations ressenties. Je me rappelle juste le contexte de la chambre dans notre appartement d'alors et de moi courbé sur le bord du lit. Le gode était mince et il rentrait sans aucun problème. Ce premier ceinture nous ne l'avons finalement peu usé. Et nous avons fini par le jeter.

Eté 2007, notre couple a rencontré une crise, sept-ans (comme par hasard) après notre rencontre. Côté sexuel c'était devenu une morne plaine. Alors que j'emmenais mes gamins chez leurs grands-parents, j'ai eu une révélation et je me suis vu tout d'un coup soumis à ma femme. Cela a été à la fois une révélation et un besoin. Avant j'étais intéressé par le SM surtout depuis mes études (quoique que mon adolescence n'ait pas été classique de ce point de vue). Je n’ai pas pu me cacher longtemps car dès les premiers jours ma future femme avait trouvé sous mon lit les BD et romans SM que je possédais. Loin de l'effrayer cela l'avait tellement excitée qu'elle m'avait violé à mon retour. Qui se ressemblent, s'assemblent. Disons qu'elle a toujours reconnu que je suis un homme assez spécial au niveau sexe mais que l'on ne s'ennuie jamais avec moi...

Bref de la crise de 2007 est né notre pacte. Avec les limites dès le départ qu'elle avait épousé un homme fort et rassurant  pas un homme complétement soumis à la maison qu'elle finirait fatalement par mépriser. Cela a été notre pacte SM à nous ! Que je crois a sauvé et renforcé notre couple. C'est à ce moment-là que nous avons recommencé à jouer, d'abord pour voir, cette fois moi en soumis et elle en dominante, ce qui lui va tellement, finalement.

Je me souviens de notre première fois SM. On était comme deux adolescents qui allaient voir le loup avec toute l’appréhension qui va avec. J'étais rentré tôt et je l'attendais nu en tablier en train de faire la vaisselle, le collier de chien que je venais d’acheter autour du cou. Quand elle m'a vu dans mon absence de tenue, elle a éclaté de rire ! Mais je me suis vite retrouvé attaché à la poutre de la chambre, et elle a commencé à s'occuper à jouer avec mon service trois pièces en m'amenant à la fois au bord de la jouissance et des larmes. C'était une fantastique découverte pour tous les deux. J'adorais subir et elle adorait me tourmenter... Une fois fini, nous étions comme ivres, remplis de bonheur de la découverte des sensations que nos jeux d'adultes procuraient... 

A l'époque nous avions commandé quasi immédiatement nos premiers accessoires chez D**** et nous étions avides de connaître de nouvelles sensations. Parmi ceux-ci il y avait un gode ceinture "de luxe" en cuir. Je me souviens très intensément de la première fois où elle l'a utilisé à mon encontre. J'étais à 4 pattes sur notre lit, le cul offert. Maîtresse N. mit très longtemps pour s'équiper sans que je comprenne, sur le moment, pourquoi. Elle avait en fait mis un deuxième gode dans sa chatte. Qu'est-ce que j'ai vécu ? Une impression décervelante de dépucelage brusque de mon fondement. Elle m'a embroché d'un coup sans précaution au point que j'ai eu le cul cassé pendant plusieurs jours. Mon anus lui servait à se donner un plaisir sans fin. Elle se branlait dessus. A un moment, elle s'est penché vers moi pour me dire les mémorables mots : "Alors tu jouis petit PD ?" Oui mais je ne jouissais pas physiquement mais intellectuellement. J'étais parti dans le 36ème sous-espace du soumis endurant avec un plaisir immense dans ma tête ses assauts brutaux.

A l'opposé de cette expérience, il y a une fois où, peut-être un an plus tard, elle décida de me prendre au gode ceinture les yeux dans les yeux, cul soulevé sur nos oreillers, jambes par-dessus l'épaule, sexe en cage. Elle venait de me cingler avec le fouet de dressage et la peau de mes couilles étaient marquées de balafres douloureuses. Le moment passé le cul en l’air sur les oreillers était fabuleux. Mon trou avalait avidement tout ce qui se présentait à mon grand étonnement. Elle prenait son homme avec plein de tendresse et me limaient avec amour. Une espèce de déconnexion du ressenti du plaisir avec mon pénis dans sa cage à demi-éveillée mais un derrière avide de chienne soumise avec l'intense regard de ma Maîtresse de femme qui aspirait dans mes yeux mon plaisir évident. Je me surprenais à quémander des godes de plus en plus gros.

Bizarrement passée la première année, Maîtresse N. délaissa peu à peu le gode ceinture le jugeant peu adapté pour elle. Elle préférait me prendre directement le cul avec tout accessoire tenu par sa main. C’est ainsi qu’un jour je me suis retrouvé avec le rabbit en marche au fond de mon tréfonds.

Mais cela pourrait bien changer bientôt lorsque nous rejouerons enfin... enfin peut être un jour ou jamais.

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