Ce dimanche soir. Maîtresse N. vient de me dépouiller de mes vêtements, un par un. Elle a fini sa prise de contrôle en prenant en tenailles les couilles sous la cage et en serrant. Aie. Aie. Elle m'envoie aller chercher le parapheur noir avec le rapport de la semaine - 6 longues pages. Elle s'est installée en majesté sur le lit. Je m'agenouille au pied du lit pour lui tendre le dossier. De sa main ferme, elle force ma tête à fixer le sol et m'intime l'ordre de mettre mes mains dans le dos et surtout de garder la pose à genoux. Elle prend son temps pour faire son évaluation.

Drôle de moment ces mises en pénitence. Au début c'est facile, surtout que j'ai une vue magnifique sur les bas qu'elle a porté toute la journée, Plus haut je sais qu'il y a le porte-jaretelle et le string. Elle n'a pas arrêté de m'exciter avec cela dans ma cage pendant toute la journée. Et là je suis encore excité. La bête qui prend forme me démange. Je prends le risque d'enlèver une main de mon dos pour aller gratter autour de la cage. Elle s'en aperçoit et s'interrompt un instant, le temps de venir mettre son pied au contact de mon machin encagé tout en me grondant et en m'ordonnant de reprendre la position. Les 6 pages sont longues à analyser. La position si agréable au début, devient dure à tenir alors que cela tire dans le bas du dos. Et pourtant, je reste excité et trahi par le pré-sperme qui coule sans cesse en dehors de la cage. Maîtresse s'en aperçoit et jubile. Elle se moque de moi comme on se moquerait d'un enfant pris en faute et part à la recherche d'un mouchoir pour "boucher" le bout de la cage. Je me sens si honteux...

Son évaluation est terminée. Elle referme la parapheur.

- On verra cela ensemble tout à l'heure, mais avant tu vas faire quelque chose pour moi. Couché en haut du lit !

J'obéis un peu inquiet. Elle prend son portable et me montre un choix de vêtement et sous-vêtement. Ouf j'ai cru un moment qu'elle avait trouvé quelque gadget SM contraignant. Elle m'a coincé ! Je dois donner mon avis sur chacun de la quinzaine des items qu'elle a préchoisi. Je déteste habituellement le shopping mais pas de choix le dyonisos. A la fin il ne reste plus que 7 items sur la liste moitié culottes en dentelle moitié robe sexy.

- Va me chercher ta carte bleue !

- Mais ?!?...

- il n'y a pas de mais. C'est toi qui paye cela fait partie de tes punitions ! Allez va chercher !

Coincé je vous dis ! Elle finalise sa commande avant de revenir au parapheur. L'énoncé du jugement commençait...

Au fil de la lecture du jugement, j'ai découvert une exigence chez ma Maîtresse que j'ignorais. En voici le résumé.

Comportement général
Satisfaction Maîtresse :   à

Je me vois en particulier reproché le fait d'avoir refuser par 2 fois de cirer ses bottes cette semaine. En punition je devrais me lever cirer ces 2 paires de bottes avec rosebud dans le cul avant mon départ à Paris. Comme je pars le lendemain main, cela veut dire se réveiller plus tôt pour cette tâche, c'est la seule possibilité.

Poids

J'ai perdu cette semaine 1.8kg et je pensais m'en tirer avec une note honorable. Que nenni ! Je récolte un   que cela soit pour moi ou pour mes efforts pour aider ma Maîtresse. Instruction : apprendre à cuisine sans aucun gras + établir des menus variés pour toure la semaine à l'avance. Je dois aussi noter scrupuleusement tous les détails de repas pris à l'extérieur. Objectif de la semaine prochaine : -1.7kg supplémentaire.

Cigarettes

Je ne me suis pas volontairement restreint la semaine passée et puisque cela est une catastrophe mon   est amplement mérité. Maîtresse ne veut pas mettre en place un barême "cinglant" et elle me demande d'obtenir un RDV à l'hôpital pour une prescirption de patchs avant la fin de la semaine à venir ! Cet ordre me chooque au plus profond de mon être. D'abord je n'aime pas les médecins, deux je ne vois pas ce que je vais bien pouvoir lui raconter pour une volonté d'arrêt autre et trois j'aimerais bien avant - si je dois envisagé cela un jour - avoir nettement diminué. Je suis aussi déçu que ma Maîtresse de femme ne m'aide pas plus... Bref cela m'a pris la tête et en conséquence le cunni qui a suivi ne fut pas très concentré. Je ne sais pas si je vais obéïr ou bloquer.

Rasage

Je reçois des directives claires 2 fois par semaine : pubis, sexe, silllon fessier et dessous de bras. Merci Maîtresse.

Sport

1 séance de natation en cageà faire vendredi midi + 3/4 d'heure de marche tous les soirs à Paris (je crois qu'elle a du lire le commentaire de Maître K.)

Cage

Comme je m'y attendais, j'y reste sans en sortie pendant mon déplacement cette semaine, puis après retour au rythme actuel. Enlevée au levé pour la douche.

Tâches domestiques

Note : 

J'ai fais le rangement et nettoyage de l'extension ce dimanche. A venir : de nouveau la cuisine, le palier de l'étage et la salle à manger quand je serais revenu de la maison.

Services sexuels

 "mieux faire jouir sa Maîtresse"

  Maîtresse N.                        dyonisos
  5 ORGASMES                       1 TRAITE 

Liste des fautes

12 coups de paddle appliqués à la suite immédiate avec les pinces.

Hommage final à Maîtresse N. (cunnilingus / rabbit / doigts)

dyonisos

  1 soumis - 105 jours - Survivra-t-il ?

Maîtresse N. sait par expérience que pour son soumis les temps de port de la cage - surtout les premières nuits - peuvent être délicats pour sa chose. Cela fait après tout 4 ans qu'elle encage régulièrement son soumis.

Pour chaque soumis le port de la cage est différent. Nous sommes passés, comme d'autres, par un nombre d'étapes de dressage : l'achat, le premier week-end enfermé, la semaine, le mois, la moitié de l'année en cage, le port au taf, dans les réunions familiales, au mariage, la chasteté , les tortures en cages (spécialité de N. le gobage de mes couilles entre ses dents), la prise du cul sadiquement encagé, le remplacement du petit zizi en cage par un vrai sexe d'homme monté juste au dessus, l'exposition devent des amis... jusqu'à la sortie à la piscine encagé cette semaine. Chacune une première fois avant de devenir souvent un habitude après selon le souhait de Maîtresse. Il n'y a rien de plus humiliant qu'un ami - non pratiquant - qui vous demande si vous être encagé pour le moment par votre femme.

Avec le temps, ma Maîtresse de femme a appris à bien connaître mes réactions avec la cage, et à en jouer selon son humeur. Aussi pour cette période de reprise en main, elle a décider de m'imposer chaque nuit l'épreuve du poteau.

Car elle sait que pour moi les nuits sont mon point faible avec la cage, surtout en début de port (parce qu'après le corps finit toujours par s'habituer ou la fatigue par l'emporter). La nuit, pendant les premières semaines, la bête se réveille fatalement et le poteau s'érige. J'ai fini par me convaincre que les érections sont calées sur le cycle du sommeil qui lui se décale de jour en jour (avec la lune ?). En tout cas pour moi en ce moment, c'est tôt à 4h. Le poteau s'érige, prend de l'épaisseur et s'autobloque sur l'anneau à la base des testicules en tirant fortement les couilles vers le haut.  Une fois née, l'érection s'installe pour longtemps... 

Les remèdes de grand mère (pisser, eau froide) n'ont jamais vraiment eu de l'efficacité sur mon anatomie dans ce cas. Aussi cela donne à ma Maîtresse le pouvoir absolu de régler le niveau de déconfort pour son soumis. Je m'explique : sur les périodes longues de port, elle a pris l'habitude pour convenance personnelle de me laisser me libérer au coeur de la nuit pour ne pas être réveillée par un soumis se retournant sans cesse dans le lit. Je retourne en cage chaque matin.

Ne jugez pas. Ma Maîtresse est seule juge de ce qui est bon ou non. L'équilibre se fait ainsi entre la Maîtresse et son soumis, la vie de famille, le niveau de fatigue. Le port 24/24 est lui réservé aux périodes "loin des yeux loin du coeur" comme celle que je vais connaître la semaine. La plupart du temps d'ailleurs j'enlève et remets ma cage tout seul sans elle, la vie familiale ne permettant pas des moments de libération par la Maîtresse de son soumis. Elle se contente souvent au détour d'une porte de s'assurer que j'ai bien remis ma cage.

Je sais que j'en déçois quelques uns, surtout avec ce que l'on voit ailleurs sur le web, mais c'est après tout notre façon à nous de vivre le SM et si elle nous va... Nous sommes pareils à tout couple D/S avec certaines activités très avancées et d'autres qui nous vont de la façon dont nous les pratiquons à un niveau moindre. Et puis avec l'expérience, je sais que bien des lbogs qui relatent la vie soumise à une Maîtresse implacable, sont des faux.

En tout cas, pour cette remise en cage, j'ai été très vite fixé. Conditions beaucoup plus dures qu'à l'habitude avec une interdiction formelle de quitter ma cage avant mon lever (qui bizarrement est plus tôt qu'à l'acoutumé ce qui me permet à sa grande satisfaction de vider le lave-vaisselle, ranger la cuisine et préparer tout les petits déjeuners de la famille, choses que "j'oublie" d'habitude. lol). J'ai été étonné de cette dureté inhabituelle mais je m'y suis plié, ce qui me laisse 2-3 heures chaque nuit à ré-endurer l'épreuve du poteau que j'avais fini par oublier.

Photo prise à 4h06 cette nuit de l'arrivée du poteau.
On voit que mon zizi même tendu à fond, n'occupe
pas la totalité de la coque (j'y reviens...)

J'étais donc hier soir en train de commencer à écrire l'article quand je me suis arrêté, minuit passé, fatigué pour aller me coucher. Je reviens dans le salon, Maîtresse N. est en train de regarder une nouvelle émission.

- Assie-toi !

J'obéis docilement et dans le même mouvement, elle vient poser sa tête sur mon épaule er part chercher de sa main la cage sous la pantalon.

- Cela va, tu supportes bien ta cage ?

Elle commence à me déboutonner le pantalon, joue un moment avec mon anatomie sous le slip, pince les couilles, les écrase, glisse un doigt sous l'élastique. Avant de se décider à dévoiler le tout pour jouer de ce qu'elle appelle "sa propriété". Elle accueille l'état de gonflitude de mon pénis d'un Ah de satifaction.

Et c'est parti pour un (très) long moment de torture douce ou dure. D'écrasement de couilles, de tapes sur les boules qui me me font sursauter sur la canapé, d'ongles qui viennent m'écorcher la peau ou piquent la délicate peau de la hampe à travers les aérations de la coque. De ce qu'elle trouve sur la table basse, elle improvise un objet contendant pour venir me titiller le gland et le méat. Puis tout d'un coup une nouvelle tape ou un pincement vicieux.

Je suis un pantin entre ses mains qu'elle surprend sans cesse par une nouvelle attaque, une nouvelle idée. Je perçois à sa voix toute son excitation. Oh que oui cela lui plait de tenir ainsi littéralement par sa racine son homme. J'ai basculé ma tête sur le haut du dossier de canapé, offert et subissant, déjà parti en pure soumission. Je suis excité et je crains terriblement à la fois. Elle continue de jouer avec son joujou tout en regardant son émission (vous savez les femmes savent très bien faire 2 choses à la fois).

Elle n'est pas contente. Ce n'est jamais assez gros pour elle. Maîtresse veut que je remplisse toute ma cage. Mais ce n'est pas possible (voir la photo ci-dessus). 

Et finalement au bout d'une demi-heure peut être elle me libère et m'envoie me coucher. Je mets longtemps à descendre les couleurs avant de m'endormir.

Ce matin réveillé très tôt par l'épreuve du poteau. Mais la fatigue aidant, j'arrive à me rendormir sans trop de mal. A mon levé, j'enlève la cage. Globalement mon zizi a un peu souffert des épreuves de la veille. Tant pis, c'est ma Maîtresse et elle sait ce qui est bon pour moi. Je prend le temps d'un café tout en répondant aux commentaires du blog, puis part me doucher. Retour en cage donc. Ma seconde maison.

A ma sortie de la salle de bain, elle me siffle depuis la chambre comme on appelle son chien. J'arrive immédiatement.

- Au pied ! Baisse ton pantalon que je vois si tu as remis ta cage...

J'obéis. Elle est bien en place : Maîtresse est contente.

- Allez à genoux au pied du lit que tu t'occupes de moi... non pas la langue... tes doigts seulement.

Sa chatte me fait terriblement envie mais seuls mes doigts son autorisés à la pénétrer. J'aurais tellement voulu la goûter. Forbidden ! Pendant que le massage la détend en faisant monter son plaisir peu à peu. Je viens poser doucement ma tête sur son aine. Ses effluves me frôlent le nez et m'excitent terriblement. Son plaisir s'emballe. L'anneau du vagin palpite. Elle part longuement.

- Laisse-moi et va donc t'occuper des enfants !

Maîtresse est vraiment en grande forme !

Je l'aime !

dyonisos