Samedi 10 décembre 6 10 /12 /Déc 11:15

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  1 soumis - 105 jours - Survivra-t-il ?

 

 


Maîtresse N. sait par expérience que pour son soumis les temps de port de la cage - surtout les premières nuits - peuvent être délicats pour sa chose. Cela fait après tout 4 ans qu'elle encage régulièrement son soumis.

Pour chaque soumis le port de la cage est différent. Nous sommes passés, comme d'autres, par un nombre d'étapes de dressage : l'achat, le premier week-end enfermé, la semaine, le mois, la moitié de l'année en cage, le port au taf, dans les réunions familiales, au mariage, la chasteté , les tortures en cages (spécialité de N. le gobage de mes couilles entre ses dents), la prise du cul sadiquement encagé, le remplacement du petit zizi en cage par un vrai sexe d'homme monté juste au dessus, l'exposition devent des amis... jusqu'à la sortie à la piscine encagé cette semaine. Chacune une première fois avant de devenir souvent un habitude après selon le souhait de Maîtresse. Il n'y a rien de plus humiliant qu'un ami - non pratiquant - qui vous demande si vous être encagé pour le moment par votre femme.

Avec le temps, ma Maîtresse de femme a appris à bien connaître mes réactions avec la cage, et à en jouer selon son humeur. Aussi pour cette période de reprise en main, elle a décider de m'imposer chaque nuit l'épreuve du poteau.

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Car elle sait que pour moi les nuits sont mon point faible avec la cage, surtout en début de port (parce qu'après le corps finit toujours par s'habituer ou la fatigue par l'emporter). La nuit, pendant les premières semaines, la bête se réveille fatalement et le poteau s'érige. J'ai fini par me convaincre que les érections sont calées sur le cycle du sommeil qui lui se décale de jour en jour (avec la lune ?). En tout cas pour moi en ce moment, c'est tôt à 4h. Le poteau s'érige, prend de l'épaisseur et s'autobloque sur l'anneau à la base des testicules en tirant fortement les couilles vers le haut.  Une fois née, l'érection s'installe pour longtemps... 

Les remèdes de grand mère (pisser, eau froide) n'ont jamais vraiment eu de l'efficacité sur mon anatomie dans ce cas. Aussi cela donne à ma Maîtresse le pouvoir absolu de régler le niveau de déconfort pour son soumis. Je m'explique : sur les périodes longues de port, elle a pris l'habitude pour convenance personnelle de me laisser me libérer au coeur de la nuit pour ne pas être réveillée par un soumis se retournant sans cesse dans le lit. Je retourne en cage chaque matin.

Ne jugez pas. Ma Maîtresse est seule juge de ce qui est bon ou non. L'équilibre se fait ainsi entre la Maîtresse et son soumis, la vie de famille, le niveau de fatigue. Le port 24/24 est lui réservé aux périodes "loin des yeux loin du coeur" comme celle que je vais connaître la semaine. La plupart du temps d'ailleurs j'enlève et remets ma cage tout seul sans elle, la vie familiale ne permettant pas des moments de libération par la Maîtresse de son soumis. Elle se contente souvent au détour d'une porte de s'assurer que j'ai bien remis ma cage.

Je sais que j'en déçois quelques uns, surtout avec ce que l'on voit ailleurs sur le web, mais c'est après tout notre façon à nous de vivre le SM et si elle nous va... Nous sommes pareils à tout couple D/S avec certaines activités très avancées et d'autres qui nous vont de la façon dont nous les pratiquons à un niveau moindre. Et puis avec l'expérience, je sais que bien des lbogs qui relatent la vie soumise à une Maîtresse implacable, sont des faux.

En tout cas, pour cette remise en cage, j'ai été très vite fixé. Conditions beaucoup plus dures qu'à l'habitude avec une interdiction formelle de quitter ma cage avant mon lever (qui bizarrement est plus tôt qu'à l'acoutumé ce qui me permet à sa grande satisfaction de vider le lave-vaisselle, ranger la cuisine et préparer tout les petits déjeuners de la famille, choses que "j'oublie" d'habitude. lol). J'ai été étonné de cette dureté inhabituelle mais je m'y suis plié, ce qui me laisse 2-3 heures chaque nuit à ré-endurer l'épreuve du poteau que j'avais fini par oublier.

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Photo prise à 4h06 cette nuit de l'arrivée du poteau.
On voit que mon zizi même tendu à fond, n'occupe
pas la totalité de la coque (j'y reviens...)

 


J'étais donc hier soir en train de commencer à écrire l'article quand je me suis arrêté, minuit passé, fatigué pour aller me coucher. Je reviens dans le salon, Maîtresse N. est en train de regarder une nouvelle émission.

- Assie-toi !

J'obéis docilement et dans le même mouvement, elle vient poser sa tête sur mon épaule er part chercher de sa main la cage sous la pantalon.

- Cela va, tu supportes bien ta cage ?

Elle commence à me déboutonner le pantalon, joue un moment avec mon anatomie sous le slip, pince les couilles, les écrase, glisse un doigt sous l'élastique. Avant de se décider à dévoiler le tout pour jouer de ce qu'elle appelle "sa propriété". Elle accueille l'état de gonflitude de mon pénis d'un Ah de satifaction.

Et c'est parti pour un (très) long moment de torture douce ou dure. D'écrasement de couilles, de tapes sur les boules qui me me font sursauter sur la canapé, d'ongles qui viennent m'écorcher la peau ou piquent la délicate peau de la hampe à travers les aérations de la coque. De ce qu'elle trouve sur la table basse, elle improvise un objet contendant pour venir me titiller le gland et le méat. Puis tout d'un coup une nouvelle tape ou un pincement vicieux.

Je suis un pantin entre ses mains qu'elle surprend sans cesse par une nouvelle attaque, une nouvelle idée. Je perçois à sa voix toute son excitation. Oh que oui cela lui plait de tenir ainsi littéralement par sa racine son homme. J'ai basculé ma tête sur le haut du dossier de canapé, offert et subissant, déjà parti en pure soumission. Je suis excité et je crains terriblement à la fois. Elle continue de jouer avec son joujou tout en regardant son émission (vous savez les femmes savent très bien faire 2 choses à la fois).

Elle n'est pas contente. Ce n'est jamais assez gros pour elle. Maîtresse veut que je remplisse toute ma cage. Mais ce n'est pas possible (voir la photo ci-dessus). 

Et finalement au bout d'une demi-heure peut être elle me libère et m'envoie me coucher. Je mets longtemps à descendre les couleurs avant de m'endormir.


Ce matin réveillé très tôt par l'épreuve du poteau. Mais la fatigue aidant, j'arrive à me rendormir sans trop de mal. A mon levé, j'enlève la cage. Globalement mon zizi a un peu souffert des épreuves de la veille. Tant pis, c'est ma Maîtresse et elle sait ce qui est bon pour moi. Je prend le temps d'un café tout en répondant aux commentaires du blog, puis part me doucher. Retour en cage donc. Ma seconde maison.

A ma sortie de la salle de bain, elle me siffle depuis la chambre comme on appelle son chien. J'arrive immédiatement.

- Au pied ! Baisse ton pantalon que je vois si tu as remis ta cage...

J'obéis. Elle est bien en place : Maîtresse est contente.

- Allez à genoux au pied du lit que tu t'occupes de moi... non pas la langue... tes doigts seulement.

Sa chatte me fait terriblement envie mais seuls mes doigts son autorisés à la pénétrer. J'aurais tellement voulu la goûter. Forbidden ! Pendant que le massage la détend en faisant monter son plaisir peu à peu. Je viens poser doucement ma tête sur son aine. Ses effluves me frôlent le nez et m'excitent terriblement. Son plaisir s'emballe. L'anneau du vagin palpite. Elle part longuement.

- Laisse-moi et va donc t'occuper des enfants !

Maîtresse est vraiment en grande forme !

Je l'aime !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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