Je mouilles !

C'est à la fois un constat et un ordre de Maîtresse N. assise dans le fauteuil du salon. D'ailleurs au cas où je n'aurais pas compris ce qu'elle attend de moi, elle joint le geste à la parole et découvre sa chatte à l'air. Et me voilà reparti pour un nouvel hommage, pas plus d'une heure après être rentré à la maison. D'ailleurs je pense qu'elle l'aurait exigé plus tôt s'il n'y avait pas eu le coucher des enfants...

Ce n'était qu'un apéritif avant le départ au lit. Maîtresse a saisi mon ordinateur pour valider le dernier chapître du domaine avant publication quand je reviens de la salle de bain. Elle est lascivement installée au dessus de la couette, les jambes largement ouvertes sur sa chatte qu'elle m'a fait épiler avant mon départ. Elle n'a pas besoin de me faire un dessin : j'ai compris ! Et je m'agenouille pour un nouvelle hommage de mes doigts qu'elle réclame. Maîtresse lit l'histoire et elle lui plait beaucoup vu l'humidité. Je joue une sérénade privée rien pour elle, deux doigts dans la moiteur et le troisième à masser le bouton. Elle monte peu à peu. Le muscle à l'entrée de sa vulve se contracte. Son plaisir éclate lentement et longuement.

Je n'ai pas osé enlever mes doigts de leur place de labeur et je continue le massage. Elle m'a pris la paire de couilles en main pour mieux obtenir mon attention.  Et elle est d'humeur enjouée en me faisant le bilan des cadeaux de Noël commandés ou achetés pendant mon absence avant de me questionner :

- Comment s'est passé ton séjour à Paris ?

A son ton, je sais qu'elle parle de quelque chose de très intime : la cage gardée en permanence pendant les 3 jours. Je répond honnêtement à ma Maîtresse.

- Etonnamment pas trop mal. Moins réveillé par le poteau pendant les nuits et j'ai réussi à éviter de m'abimer la peau.

- Et l'hygiène cela le fait ?

- Oui; Je suis arrivé à rincer convenablement l'oiseau dans sa cage chaque matin. Cela a l'air de ne pas avoir trop mal fonctionné.

- Bien j'en suis heureuse pour toi, car à partir de maintenant et jusqu'à nouvel ordre tu y resteras en permanence, sauf pour te nettoyer 2 / 3 par semaine. Ce sera plus simple à gérer pour moi et pour toi.

- Bien... Maîtresse

- Et je te rappelle que tu dois retourner à la piscine vendredi midi... L'autre chose que je voudrais voir avec toi, c'est la problème des séances du dimanche soir. Avec les enfants qui traînent à s'endormir, cela nous fait coucher trop tard le temps de tout faire !

- Pourquoi ne pas séparer la revue de la semaine et la séance de punitions que nous ferions un autre soir.

- Très bonne idée ! On fera donc comme cela.

Et sur ce, elle me demande d'arrêter et d'enlever doucement mes doigts de son sexe. Ils sont gluants des restes d'une longue mouille, mais je les suce avec la dévotion que m'inspire l'amour de ma Maîtresse. Il est temps de dormir.

dyonisos 

PS :

Retour à la piscine ce matin. Encagé. Toujours aussi humiliant : l'impression d'être pas normal, un handicapé de la bite. Beaucoup plus de monde aussi au point que l'eau est un refuge agréable (mais je n'ai pas fait de dos). A la fin quand j'ai pris ma douche dans une cabine, deux femmes occupaient celles d'à côté. Trouble. Mais toujours le même sentiment de soumission à ma Maîtresse.

Retour à pied ce soir du restaurant à l'hotel. Pas grande distraction à part marcher, surtout pendant la traversée de la Défense. 4 km en 55 minutes. Mais avant j'ai vu une affiche TamTam sur un abri bus, du style de celle-ci.

Ma Maîtresse qui est en train de compléter sa collection de dessous sexy (je le sais c'est ma carte qui paye), me faisait remarquer que les culottes hautes, que moi j'appellerais grand mère, sont devenues à la mode en ce moment. Mode ou pas, j'aime pas et je ne trouve pas que cela mette en avant la féminité. 

dyonisos