Mercredi 28 décembre
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08:30
C'était le vendredi avant Noël...
- Bisous !
Maîtresse N. me barre le passage du palier de l'étage. Je suis en train de finir de charger la voiture pour notre départ. Je suis étonné car Maîtresse est de mauvaise humeur depuis ce matin. Elle
m'a rembarré plusieurs fois depuis ce matin quand j'ai voulu lui donner le chaste bisou rituel sur sa nuque. Là elle s'empare de ma bouche où sa langue vient exiger un fugueux baiser d'amour.
Etonné je laisse faire... Le pourquoi arrive vite.
- Bon tout est prêt et il nous laisse une demi-heure avant d'aller chercher les enfants au poney. Le temps que ta Maîtresse s'occupe un peu de son soumis. Va dans la chambre installer le
matériel !
Aie ! Coincé et pris par surprise. J'obéis. Dans la chambre, les housses des robes de fête de N. sont suspendues prêtes à être emmenées. J'ouvre les panneaux du grainetier qui s'avère
définitivement si pratique, et j'installe les lanières de cuir autour de la poutre qui permet l'attache en hauteur des poignets.
Maîtresse arrive, me fait mettre torse nu avant de poser les bracelets de cuir aux poignets. Je suis rapidement fixé aux anneaux qui pendent sous la poutre, juste à côté des housses de voyage.
Vulnérable. En un tour de main, Maîtresse déboutonne mon pantalon qui tombe sur les chevilles et baisse ma culotte à mi-cuisse. Maîtresse s"agace.
- Il n'y a pas de foulard dans le grainetier ?
- Je ne savais pas que tu en voulais...
- Pas grave, j'ai la solution.
Elle ouvre le tiroir de sa commode pour prendre deux oulards. Le premier arrive sur mes yeux. Il est blanchâtre et me laisse deviner les contours de la chambre. Je la préviens. Attend, ce n'est pas
fini ! me répond-t-elle. Effectivement un deuxième bandeau, opaque, vient recouvrir le premier m'empêchant de voir quoi que ce soit. Je suis aveugle et vais vivre la suite dans l'obscurité.
Elle admire l'harmonie des couleurs de son choix de foulards,le temps de prendre quelques photos. J'attends, inquiet.Peu de temps car déjà elle s'occupe de "libérer" les poils sur mon cul, en
crevant un à un les boutons avec un instrument inconnu. Sa torture favorite que je crains parmi toutes. Je geins à chaque nouvelle "libération".
- Tu as de la chance aujourd'hui !
- Pourquoi, Maîtresse ?
- Parce que je ne détruirai pas trop le cul. Je n'ai pas envie de me taper toute la route. Mais sache que je suis particulièrement MECONTENTE de ton comportement. La cigarette c'est du pipi
de chat et tu t'es énervé contre ta Maîtresse dimanche, et ça je ne l'accepte pas !
Elle a rythmé ses propos de coups de ce que je devine être son paddle de cuir favori sur mon cul. Un échauffement sans doute. Une pause. Je l'entends fouiller dans le ratelier du grainetier. Une
nouvelle pause. Puis le coup arrive, puissant, frappe ma fesse droite, s'enroule autout de ma cuisse avant de venir exploser sous l'aine de l'autre côté. A quelques centimètres de la cage. Je
hurle ! Le fouet !
- Ah ah ! Tu l'avais oublié celui-là ! Moi pas !
S'en suit une série de coups vicieux sur les fesses et la fragile peau du dos. Je crie. Je me débats dans mes liens. Je recherche à reprendre ma respiration pour contrôler la douleur face à la
cinglade. Ma peau est brûlante alors que la douleur s'épanouie aux endroits où le fouet a marqué. La volée de coups a pénétré mon esprit de la façon la plus spectaculaire. Je crains un moment que
cela ne soit qu'un prélude, mais Maîtresse s'arrête. Elle prend des photos témoignages tout en admirant les beaux sillons rouges que le fouet a laissé...
Maîtresse a changé de position. Elle est manifestement devant moi face à son zizi en cage. Elle commence à taper les couilles qui dépassent de plus en plus fort jusqu'à je saute dans mes liens.
Elle est manifestement contente de son effet. La suite ressemble plus à des caresses, jusqu'à je sente une pointe me rentrer dans la peau. Je crie de peur. Je n'ai absolument aucune idée de
ce que s'est. Mais cela m'apporte des terribles sensations de crainte. C'est fou comme les hommes deviennent faibles dès que l'on s'attaque à leur intimité. Maîtresse joue manifestement de mes
peurs. Des caresses et hop la sensation aigüe d'une piqure ! Et elle me voit avec satisfaction à chaque fois, je n'en doute pas, sauter dans mes liens.
Elle finit par cesser ses attaques pour m'intimer l'ordre de me mettre à genoux immédiatement. Sa voix me dirige. J'avance difficilement encombré par le pantalon qui bloque les mouvements. Elle m'approche peu à
peu du lit, avant de finalement de me prendre ma tête entre ses mains pour la conduire contre son intimité. Son odeur de femme excitée ne me laisse aucun doute...
- Broute-moi mon petit soumis ! Je veux jouir maintenant !
dyonisos