Nous

Lundi 9 janvier 1 09 /01 /Jan 09:07

Vendredi matin, Maîtresse m'avait annoncé que je serais - peut-être car avec une dominante rien n'est jamais sûr - convoqué lundi au café à la maison pour un moment de discipline libre des enfants. Et là j'ai commencé à craindre pour mon derrière, même si je dois avouer que l'idée était loin de masochistement me déplaire.

Mais là c'était avant...

Depuis se sont rajoutés :

- une ortophoniste (fort jolie d'ailleurs) qui s'est rappelée à notre bon souvenir

- le fiston qui s'est cassé la figure dans l'escalier hier et se plaint du pied

Et pour couronner le tout, un des Maîtres de nos enfants qui a la gastro et c'est tellement le bordel dans l'organisation de l'école qu'il vaut finalement mieux récupérer le gamin.

Dans ce cas la variable d'ajustement de Maîtresse c'est son soumis dyonisos, qui de part son statut est forcément délestable.

Déçu quand même, mais c'est la vie.

dyonisos

 

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 15 commentaires
Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 09:51

blfootgards.jpg Hier N. était absente pour ses activités extra-domicile. Je me suis occupé pendant ce temps-là, en bon petit mari soumis, à servir de chauffeur aux enfants, à ranger et à aller faire les courses. Quand je suis revenu de ces dernières, il était tard et N. était rentrée. Elle me saute dessus et m'embrasse fougeusement. Je suis étonné, mais bien souvent femme varie et bien fol qui s'y fie... Elle me dit que je lui ai manqué aujourd'hui, parce qu'elle ne m'a trop vu.

N. vérifie que je porte bien la cage à travers le jean. Et oui ! Elle est satisfaite... Nous sommes à la cuisine, les enfants jouent au loin. Elle se colle entre mes bras contre la cage. Je fond...

- Tu sais, je suis follement excitée !

Etonné, je me demande bien pourquoi. Elle m'explique qu'elle a assisté à une revue de troupe de pompiers pour la Ste Barbe. 

- Ah qu'ils étaient beaux en uniforme ! .... J'ai envie de me prendre quelque chose entre les cuisses !

Sont art de passer du coq à l'âne. Elle se détache de moi et me regarde avec une moue dubitative.

- Humm... pas ta queue, elle est enfermée et c'est très bien pour toi... mais... mais ton petit trou avec le double gode ce serait très bien !

Bien sûr je bande dans ma cage. Sauf qu'il y a les enfants tout de suite... Et que si on s'isole, c'est justement à ce moment là qu'ils ont besoin de nous. Satanés enfants ! Donc plus qu'à attendre ! Je pars déjà dans les limbes de l'attaque contre mon fondement.

En vain !

La fin de l'histoire est finalement la même à chaque fois. Vérité au diner n'existe plus au moment du coucher. Le voile de la fatigue est arrivée sur ma Maîtresse et elle a fini par s'endormir sur le canapé. Quand elle m'a rejoint dans le lit, il n'était plus question de prise de mon cul !

Bah je n'ai plus qu'à aller me consoler avec une autre revue de troupes...

blcrazyhorse.jpg

dyonisos

 

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 9 commentaires
Samedi 7 janvier 6 07 /01 /Jan 08:30

Hier soir je suis monté au lit avant N. C'est d'ailleurs assez habituel pendant mes périodes de soumission et à l'opposé des périodes vanilles. Comme si être soumis fatigue plus tandis que les endomorphines de dominante donnent un surcroit d'énergie à N. 

Quand elle me rejoint, je suis en train de lire tranquillement un blog D/S que j'ai déniché ces derniers jours, a man in my position, qui relate la vie, fondée sur la discipline conjugale du mari, d'un couple américain et de leur bonne. Inventé ou pas ? C'est toujours la question qui se pose à la lecture de tels blogs. Mais c'est rudement bien écrit. Sauf qu'il il y a dedans l'emploi de mots ou d'expressions typiquement américaines dont je dois vérifier le sens sur internet pour saisir exactement la subtilité du récit.

- Que fais-tu mon soumis ?

Je lui dis que je lis un blog américain et lui explique la situation en deux mots. Elle me regarde chercher la traduction de mes mots.

- Tu dois être le seul, mon chéri, qui entretient son anglais en allant lire des blogs SM !

El elle en rit.

- D'ailleurs tu n'as rien écrit de nouveau sur le blog depuis le début de la semaine. J'y suis allé hier.

Maîtresse est une personne étonnante. Jamais elle ne participe à la communauté des blogs : aucun article, aucun commentaire. Mais elle adore se lire en reflet dans mes propos. Je prends sa remarque comme un reproche.

- Tu as du y aller hier dans la journée. J'y ai mis depuis deux nouveaux articles.

- Ah ? Je ne savais pas. J'irai donc voir...

Maîtresse s'est lovée sous les draps. Et je sens sa main partir à la recherche de mon sexe comme elle a l'habitude chaque soir. Elle le trouve... libre.

- Comment cela tu n'as pas remis ta cage ?

- Non tu ne me l'as pas ordonné, alors j'ai attendu...

- Je croyais que tu allais la remettre dès ton retour à la maison, comme un soumis bien sage. Je l'aurais bien vérifié à mon retour, mais il y avait les enfants et ce n'était pas possible...

Je me tais en attendant la suite, qui ne vient pas. A la place, elle me caresse amoureusement la colonne qui apprécie et devient dure. Je me replonge dans la lecture du blog tout en savourant le massage.

- C'est fou que quand, tu es en période de cage, ta dureté laisse à désirer. 

Pourtant il me semble que mon érection an bas est très fière, mais manifestement elle juge que non.

- C'est un peu mou tout cela... tu m'as habitué à être plus dur.

Je lui fais remarquer qu'elle a l'habitude actuellement de la dureté des godes et que le contraste ne joue pas en ma faveur. Elle acquiesce presque à regret. L'image du gode doit lui avoir donné d'autres idées de comparaison, car elle reprend !

- Et c'est si petit ! Comment veux-tu me donner du plaisir avec cela ?

Maîtresse est taquine.

- Quoique que je reconnais qu'elle a la taille parfaite pour que tu me prennes le cul. Je ne vois comme je pourrais m'enfiler la taille de bite comme celle de Donatien sur les blogs.

Tout a fait ma Maîtresse là : m'humilier tout en adoucissant ses mots en même temps. Mais l'humiliation est bien là. A côté de la bite de Donatien, j'ai un zizi de garçonnet. J'ai beau savoir que Donatien est plutôt dans le haut de l'échelle, l'attaque porte ses fruits et je mange ma honte. Elle ne parle plus mais continue à me caresser. Je reprends la lecture du blog américain.

Tout d'un coup je sens une piqure. Elle vient de me rentrer son ongle effilé dans la fragile peau du gland décalotté. Je sursaute et gémis.

- Tu ne croyais pas que tu allais t'en tirer à si bon compte... Punition !

Punition qui commence immédiatement faite de griffures sur ma tige, d'enfoncement de ses ongles dans la chair et de broyage de couilles. J'ai laissé tomber l'ordinateur et je souffre en silence, les yeux plissés, la grimace à la bouche, le souffle court. Je sens son regard sur mon visage pendant qu'elle me punit.

- Tu sais que j'adore te voir pincer ta petite lèvre quand je te martyrise. Un vrai bonheur !

- Oui Maîtresse. Vous adorez contempler le résultat de vos actions !

J'ai dû mettre involontairement un petit ton ironique dans ma réponse, car elle me vaut en représailles une prise immédiate en tenaille de mon gland entre ses ongles pointus. Je laisse échapper un petit cri, qui manifestement la ravit. Elle continue sa punition tout en observant attentivement mes grimaces de douleurs. Cette idée m'excite indéniablement. Je sens au fond de mon corps, la mécanique de la jouissance masculine se mettre en place en une sorte de boule de pression bienveillante. Je sais que je rentre dans la zone interdite. Alors je demande...

- Bien sûr, je n'ai pas le droit de jouir...

- Non ! C'est notre période de chasteté. En vanille tu aurais sans tout une droit à un baisé de ma bouche sur ton sexe. Mais actuellement... la fée Lacion est en vacances !

Je mets deux secondes avant de comprendre l'énigmatique fin de se phrase. J'en éclate de rire suivi par ma Maîtresse qui continue sa métaphore.

- Non en ce moment elle est remplacée par la fée aux doigts crochus !

Et pour appuyer son image, elle me griffe fortement le sexe.

- D'ailleurs ce n'est pas la seule fée en vacances. Il y a aussi la fée du logis. Et là c'est mon soumis qui la remplace... Mais je t'assure la fée Minité est, elle, toujours là...

J'en rigole avec elle. Ma Maîtresse est vraiment en grande forme ce soir. Elle finit par lâcher sa propriété entre mes jambes et se relâche sur son oreiller.

- Allez fais-moi jouir de tes doigts mon petit soumis. Maintenant !

Ce que j'ai fait longuement, bite au vent... Jusqu'à qu'elle s'endorme bienheureuse sur mon épaule...

La morale de cette histoire est que je n'ai rien eu à part des douleurs et des reproches. Et que j'ai remis bien sagement mon zizi en cage ce matin. 

Je l'aime.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires

Présentation

blhumor.jpg

 

 

Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


Retour à la page d'accueil

Trafic

 1  visiteur(s) en ligne  

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés