Nous

Jeudi 19 janvier 4 19 /01 /Jan 06:00

Un peu plus tard, j'attends son retour à genoux au pied du lit les mains dans le dos. 

Inspection !

Aie. Je sais ma Maîtresse une croisée de la délivrance des pauvres petits poils coincés dans mes méchants boutons. Evidemment elle en a trouvé quelque uns quoique moins qu'elle aurait espéré. Et après le sempiternel reproche pour lui avoir perdu son scalpel, l'arme d'attaque improvisée du jour est... un capuchon de stylo bic. Sans doute pas très efficace, car je douille moins que d'habitude. Mais la chose en cage a quand même entamé une manifestation de protestation en allant se cacher bien au fond de sa coque. Maîtresse n'est pas contente, elle n'arrive pas à me piquer le méat par l'ouverture. Alors elle se venge, en me comparant à la taille du dit capuchon.

Comment-veux tu me faire jouir avec cela ? Heureusement que tu as tes mains et ta langue, car sinon...

Je constate navré qu'effectivement le capuchon et le zizi ont la même longueur. Honte et humiliation ! 

Passons... et ouvrons le grainetier !

Elle en sort rapidement la baguette d'osier. Pas d'attaches, libre de mes mouvements mais devant rester en position mains sur la nuque. Cela va être dur. Une douzaine de coups dont 4 puissants me frappent les reins pendant qu'elle me fait la morale.

Je t'ai autorisé à racheter une bouteille de whisky samedi SOUS RESERVE que tu sois raisonnable. Et quand je vois combien tu en as pris, je ne suis pas prêt de l'autoriser de nouveau ! C'est minable !

Je savais que j'allais m'en prendre une pour cela... alors là c'est l'addition. Elle a changé pour le fouet qui claque devant moi.

Ah, ah. J'adore ce bruit !

Et sans que j'ai le temps de d'appréhender, la lanière me cingle déjà le cul en coups rythmés. Je commence une gigue avec mes jambes qui la ravit et il me faut toute ma volonté pour revenir à portée de l'arme cinglante. Elle continue ses reproches.

Et tu me trouveras un système comme les cigarettes pour te brimer toute consommation de boisson alcoolisés jusqu'à nouvel ordre ! Je contrôlerai car je ne peux pas vraiment te faire confiance !

Il semble que la leçon soit terminée car elle repose le cuir. Maigre répit.

Penche-toi sur le lit et tend ton cul, mon amour.

Je pose les mains sur les couvertures pour sentir une nette pression froide sur ma rondelle. Le rosebud ! A sec ! Je m'inquiète d'avoir mal tout en me persuadant qu'il ne rentrera pas. Mais ce que Maîtresse veut... Les portes cèdent sous la poussée et l'antre noir finit par avaler goulûment l'intrus. Au bout d'année de jeux, c'est si bizarre de constater que ce qui paraissait impossible devient réel finalement. La cage en permanence, le fourrage à sec. Bien pris, l'ordre suivant m'arrive. Le temps de l'hommage entre ses jambes.

Drôle de minette d'ailleurs. Maîtresse d'abord très bavarde me parlant de la dernière bêtise du gamin, comme si nous étions dans la cuisine. Mais là j'ai la tête entre ses jambes ! Et évidemment je ne peux rien répondre. Tu écoutes et tu suces ! semble être le thème. Puis Maîtresse devient silencieuse. Je sens qu'il est temps de passer la seconde. Je sors les dents et va mordiller le petit chose aux grands soupirs de contentement de N. La voilà partie pour une nouvelle balade de plaisir...

Mon devoir fait, Maîtresse est détendue prête à s'endormir du sommeil du juste. 

Tu vas te nettoyer maintenant et tu retournes à ton travail. Et tu enlèves ta cage pour bien tout nettoyer, la clé est sur la commode.

dyonisos

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Mercredi 18 janvier 3 18 /01 /Jan 23:24

Moi aussi j'ai fait la mienne !

blmoiaussi.JPG

C'est là où l'on voit la différence entre un jeune encagé et un vieil encagé !

Ridicule le zizi du dyonisos !

dyonisos petite bite.

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Mardi 17 janvier 2 17 /01 /Jan 22:22

Au pied Médor !

L'énigmatique message vient de tomber sur mon téléphone aux heures paresseuses du début de l'après-midi au bureau. Il est signé de ma Maîtresse. Elle est à la maison aujourd'hui. Je ne suis pas totalement surpris car elle en avait évoqué la possibilité hier soir (il est temps que je te reprenne un peu, tu dérives actuellement). Mais cela réveille un peu l'oiseau dans sa cage, assoupi depuis si quelques temps. La soumission ce n'est pas ce que veut l'homme, mais ce que veut sa Maîtresse. Et depuis le début de l'année, elle ne désirait pas grand chose. Même plus de long hommage. Alors je me dis que les affaires reprennent.

Je m'apprête à partir quand débarque ma stagiaire. Elle a besoin de mon aide et elle est si charmante que je ne saurais pas la lui refuser. Elle est jolie aussi mais avec le zizi encagé, N. dort sur ses deux oreilles de femme rassurée. Bref tout cela me met un peu en retard, même si je n'avais pas d'ultimatum horaire dans l'ordre reçu.

J'arrive à la maison ouverte mais bien déserte. Sur le chemin j'ai commencé un peu à craindre la suite car je ne me sais pas exempts de comportement délictueux ces derniers temps. Quand le chat ne surveille plus, la souris se relâche. Je passe de pièce en pièce à la recherche de la domina. Pas ici. Pas là non plus. Je finis par la débusquer dans la chambre étendue lascivement sur le lit, nue avec pour seule couverture le petit déshabillé que je lui ai offert avant Noël et qui m'a valu un moment de solitude coincée dans le magasin de lingerie.

N. est magnifique avec, mieux encore que je l'aurais imaginé. La longueur est parfaite cachant juste les temples pour inviter à mieux les découvrir. Et les aplats de dentelles soulignent la naissance de ses magnifiques seins. Elle prend plaisir à se dévoiler ainsi captant la lueur d'excitation dans le reflet de mes yeux. Bien sûr en bas, c'est devenu une baudruche. Le ramisseau qui voulait devenir un taureau. 

bldeshabille.JPG

N. commence par me violer la bouche de sa langue. Je frémis de ce profond baisé d'une femme si amoureuse. Je ne veux plus m'arrêter de la goûter. Mais elle décide que cela suffit, m'enlève le pull et déboutonne la chemise. Sitôt découvert ses dents viennent cueillir le téton gauche pour le mordre. Je crains et doit faire preuve d'effort pour garder mes mains dans le dos. Le second subir aussi le même traitement. Nouvelle grimace.

Le pantalon est promptement déboutonné et le slip baissé. Maîtresse a mis la main sur sa propriété par les boules inutiles dessous qu'elle tiraille, soupèse et tapote pour le plaisir de me voir sursauter. Elle s'amuse un moment de ce joujou si inutile cherchant mes réactions, avant de se lasser et telle une déesse s'installer à quatre pattes sur le lit. Je vois nettement les lèvres entrebâillées sur les muqueuses luisantes. L'oeillet me sourit et m'invite. Mince pourquoi suis_je en cage ?

Tu aimerais me le prendre celui-là ? Je verrai tout à l'heure si tu es un bon petit soumis sage, mais pour l'instant c'est ta langue que je veux !

J'obéis mais je ne sais comment m'y prendre dans cette position. D'ailleurs elle semble s'apercevoir de l'impossibilité technique car elle m'autorise vite, toute chose, à utiliser mes doigts. Le calice, le bouton, l'oeillet. Le full-monty ! Et à ce rythme elle accroche vite et son plaisir grandit jusqu'à exploser bruyamment. Une fois puis encore...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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