C'était le vendredi avant Noël...
Maîtresse N. me barre le passage du palier de l'étage. Je suis en train de finir de charger la voiture pour notre départ. Je suis étonné car Maîtresse est de mauvaise humeur depuis ce matin. Elle m'a rembarré plusieurs fois depuis ce matin quand j'ai voulu lui donner le chaste bisou rituel sur sa nuque. Là elle s'empare de ma bouche où sa langue vient exiger un fugueux baiser d'amour. Etonné je laisse faire... Le pourquoi arrive vite.
- Bon tout est prêt et il nous laisse une demi-heure avant d'aller chercher les enfants au poney. Le temps que ta Maîtresse s'occupe un peu de son soumis. Va dans la chambre installer le matériel !
Aie ! Coincé et pris par surprise. J'obéis. Dans la chambre, les housses des robes de fête de N. sont suspendues prêtes à être emmenées. J'ouvre les panneaux du grainetier qui s'avère définitivement si pratique, et j'installe les lanières de cuir autour de la poutre qui permet l'attache en hauteur des poignets.
Maîtresse arrive, me fait mettre torse nu avant de poser les bracelets de cuir aux poignets. Je suis rapidement fixé aux anneaux qui pendent sous la poutre, juste à côté des housses de voyage. Vulnérable. En un tour de main, Maîtresse déboutonne mon pantalon qui tombe sur les chevilles et baisse ma culotte à mi-cuisse. Maîtresse s"agace.
- Il n'y a pas de foulard dans le grainetier ?
- Je ne savais pas que tu en voulais...
- Pas grave, j'ai la solution.
Elle ouvre le tiroir de sa commode pour prendre deux oulards. Le premier arrive sur mes yeux. Il est blanchâtre et me laisse deviner les contours de la chambre. Je la préviens. Attend, ce n'est pas fini ! me répond-t-elle. Effectivement un deuxième bandeau, opaque, vient recouvrir le premier m'empêchant de voir quoi que ce soit. Je suis aveugle et vais vivre la suite dans l'obscurité. Elle admire l'harmonie des couleurs de son choix de foulards,le temps de prendre quelques photos. J'attends, inquiet.Peu de temps car déjà elle s'occupe de "libérer" les poils sur mon cul, en crevant un à un les boutons avec un instrument inconnu. Sa torture favorite que je crains parmi toutes. Je geins à chaque nouvelle "libération".
- Tu as de la chance aujourd'hui !
- Pourquoi, Maîtresse ?
- Parce que je ne détruirai pas trop le cul. Je n'ai pas envie de me taper toute la route. Mais sache que je suis particulièrement MECONTENTE de ton comportement. La cigarette c'est du pipi de chat et tu t'es énervé contre ta Maîtresse dimanche, et ça je ne l'accepte pas !
Elle a rythmé ses propos de coups de ce que je devine être son paddle de cuir favori sur mon cul. Un échauffement sans doute. Une pause. Je l'entends fouiller dans le ratelier du grainetier. Une nouvelle pause. Puis le coup arrive, puissant, frappe ma fesse droite, s'enroule autout de ma cuisse avant de venir exploser sous l'aine de l'autre côté. A quelques centimètres de la cage. Je hurle ! Le fouet !
- Ah ah ! Tu l'avais oublié celui-là ! Moi pas !
S'en suit une série de coups vicieux sur les fesses et la fragile peau du dos. Je crie. Je me débats dans mes liens. Je recherche à reprendre ma respiration pour contrôler la douleur face à la cinglade. Ma peau est brûlante alors que la douleur s'épanouie aux endroits où le fouet a marqué. La volée de coups a pénétré mon esprit de la façon la plus spectaculaire. Je crains un moment que cela ne soit qu'un prélude, mais Maîtresse s'arrête. Elle prend des photos témoignages tout en admirant les beaux sillons rouges que le fouet a laissé...
Maîtresse a changé de position. Elle est manifestement devant moi face à son zizi en cage. Elle commence à taper les couilles qui dépassent de plus en plus fort jusqu'à je saute dans mes liens. Elle est manifestement contente de son effet. La suite ressemble plus à des caresses, jusqu'à je sente une pointe me rentrer dans la peau. Je crie de peur. Je n'ai absolument aucune idée de ce que s'est. Mais cela m'apporte des terribles sensations de crainte. C'est fou comme les hommes deviennent faibles dès que l'on s'attaque à leur intimité. Maîtresse joue manifestement de mes peurs. Des caresses et hop la sensation aigüe d'une piqure ! Et elle me voit avec satisfaction à chaque fois, je n'en doute pas, sauter dans mes liens.
Elle finit par cesser ses attaques pour m'intimer l'ordre de me mettre à genoux immédiatement. Sa voix me dirige. J'avance difficilement encombré par le pantalon qui bloque les mouvements. Elle m'approche peu à peu du lit, avant de finalement de me prendre ma tête entre ses mains pour la conduire contre son intimité. Son odeur de femme excitée ne me laisse aucun doute...
- Broute-moi mon petit soumis ! Je veux jouir maintenant !
dyonisos
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
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une fois de plus l on est pas passé en meme temps sur le net grrrrrrrr
La dernière fouettée date du 15 aout. Elle était ratée. Mais effectivement cela fait un bail. Donc tu as raison. On finira bien par se trouver un jour...
amitié, dyonisos
Pourvou que ça doure !
C'est tout à fait cela, mon cher SP.
amitié, dyonisos
très bel article, ah l'effet du bandeau, soumis et soumises pourraient en débattre longtemps, mais une chose est sure, c'est qu'il décuple les sensations, qu'elles soient bonnes ou mauvaises, et je ne te dis pas lorsqu'en prime le Maître, ou la Maîtresse, décide de priver le sujet du sens de l'ouïe en prime. Très belles marques que tu dos porter avec fierté je suppose. pour ce qui est de la façon de m'appeler, je demanderai à Maître K si je suis autorisée à donner autre chose qu'un matricule; je te tiens au courant dès que j'ai Sa réponse
très bonne soirée
s831
La privation de l'ouie, je ne connais pas mais cela doit être intense en plus de la vue. Pour ton nom, j'attendrai la décision de ton Maître.
dyonisos
J'ai vu dans ton soft une punition psychique apparemment anodine, mais qui pourrait s'avérée terrible pour les séances de piscine: le vernis sur les ongles d'orteil. ;-)
Oh la piscine ce n'est pas le plus dangereux. Pense-juste qu'est-ce qui se passe quand nos enfants se sont aperçus que papa portait du rouge à ongles aux doigts de pied !
dyonisos
Maître K.
PS : Pour Ma soumise, ce sera "soumise a.", comme écrit précédemment.
Quel son ai-je fais ? Je ne sais, Il faudra que je demande à N. Mais sachez que je n'aime pas cela. Et que Maîtresse le sait et en abuse...
Pour tout vous dire j'ai créé l'index pour m'y retrouver moi-même... Et beaucoup de lecteurs utilisent ce facilitateur. Quant à dire que c'est le meilleur écrit ces temps-ci, je ne suis pas forcément de votre avis. Mais si c'est le votre, vous devez forcément avoir raison.
En fait je ne monte plus trop de video ces temps-ci, trop consommateur de temps avec à la clé un important travail de montage et éventuellement de floutage.
soumis dyonisos
- J ai trouvé certain commentaire très drole et minable a la fois
Minable ce n'est pas un peu trop fort ?
mdr
bonnes fêtes de fin d'année à vous deux
Tu trouves que c'est pas assez ? Transmis à N. ....
bonnes fêtes.
amitié yanode
La même chose que pour le rouge à ongle. Papa a perdu un pari avec Maman ! lol