Nous vous raconterons un jour notre rencontre. Je me souviens que N. lors de cette fameuse soirée s'est plantée devant moi et m'a demandé si ma proposition était sérieuse. J'ai répondu que oui. Quelle propositon, me diriez vous ? Là il faudra attendre notre histoire... Nous nous sommes éclipsés chez moi peu après minuit et depuis nous nous sommes plus quittés. Ainsi va la vie...
Après ce très bon repas, nous sommes rentrés à la maison un peu grisé mais très bien. Au niveau relations sexuelles, la messe a été rapidement dite car les anglais été arrivés entretemps, au grand déplaisir de N. Alors par dépit, mon amour de Maîtresse m'a montré ses achats de l'après-midi, en particulier un adorable imper noire ras des cuisses, que j'ai imédiatement adoré et trouvé si sexy. Nous nous sommes amusés à faire une séance de photos rien que pour nous 2. Le moment était magique ! Allez je ne suis pas vache, en voici quelques unes pour profiter de la vue merveilleuse que N. m'a offerte.



Direction la chambre. Là N. par encore totalement Maîtresse a commencé par me prendre en bouche tout en me malaxant les couilles de sa main. C'était divin !

Rapidement on est passé aus choses sérieuses. Le lit, notre lit, était équipé depuis quelques jours de cordes d'immobilisation. N. m'a fait mettre les menottes en cuir rouge, celles que j'avais achetées il y a longtemps pour elle, et m'a attaché les bras et les jambes aux 4 coins du lit. Avec unde liberté minimale au niveau des mains. Par contre, les jambes pouvaient bouger dans tous les sens. Pour parfaire le tout, elle m'a enfoncé le rosebud dans le cul.
Elle a commencé par le paddle ; à me frapper les fesses. Je m'assume comme maso mais il y a un monde entre rêver d'être fouetté et l'être réellement ! Sur le moment, je vous jure, alors que les coups pleuvent, on ne veut qu'une chose que cela cesse ! Après coup, je vous rassure je suis fier d'avoir supporté les coups; ses coups. En matière de fouettée, il procède comme les douches dorées. Il ne vaut jamais se poser des questions, juste vivre l'instant présent comme un merveilleux acte d'amour et de complicité mutuelle. Ici il ne s'agit pas de dressage conjugual pour améliorer le comprtement du mari soumis, mais juste d'un jeu, paraissant extrême pour certains, entre 2 êtres qui s'adorent. J'ai appris à craindre les coups de N. puissants et précis. Je me rémoussais dans mes liens, cherchant à y échapper. Mais les frappes continuaient à arriver m'arrachant des cris à chaque fois. A un moment elle me dit :
- oh on voit que tu n'y ais plus habitué. Il va falloir reprendre les habitudes !


Et sur ce, elle a continué a me frapper les fesses. Je désirais cela, et je l'ai eu mais sur le moment je regrettais mes envies. N. claquait mon cul durement, je criais essayant de reprendre mon souffle entre 2 séries.
A un moment, j'étais complétement maté. J'aurais fait sans aucune révolte, tout ce qu'elle m'aurait demandé à ce moment là. Maîtresse a en a profité pour pousser ses avantages en prenant possession de mes couilles et en posant sa botte de cuir sur mon cul. Elle prenait son temps pour prendre les photos, moi je ne souhaitais qu'une chose : que surtout elle ne recommence pas à me battre !
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Elle m'a ensuite trait dans un préservatif qui a rejoint la boite dans le congélateur, puis m'a mis immédiatement en cage.

Le lendemain matin nous partions rechercher les enfants. C'était un sacré 10ème anniversaire correspondant à ce que est devenue notre sexualité pour notre plus grand plaisir.
Merci N. Je t'aime !
dyonisos
N. avait pris la précaution de me faire enfiler le
rosebud pendant la séance à la cire, pour bien m'assouplir la rondelle. Nous nous sommes aperçus que cela facilitait l'intromission ultérieure d'objets contendants. J'avais bricolé une potence de
perfusion avec le perroquet des enfants. J'ai sorti tout le matériel commandé chez Mxx : un boc de lavement ainsi qu'un système médical que je qualifierais d'étanchéïté pour éviter les
fuites composé de 2 ballons gonflables, qui bientôt prirent la direction de mon rectum.

Je me concentre d’abord à démarrer le feu. Je me
déplace à 4 pattes en faisant très attention à ne pas trop tirer sur mes pauvres couilles. Je sens aussi bien en place le rosebud dans mon cul. Ce n’est pas facile de démarrer un feu à 4 pattes
mais avec patience j’arrive peu à peu à mes fins. J’ai un peu froid et il me tarde de sentir la chaleur des flammes…
alors la nuit est un peu compliquée. Je n’avais aucune idée de
l’heure quand je me réveillais, seul le jour filtrant à travers le volet m’a indiqué que le temps avancait. Mais c’était un dimanche et Maîtresse a fait la grasse matinée. Donc je n’est pas arrêté
d’attendre. Super souvenir !
Les couilles commencent à faire mal. Le temps n’avance pas. J’ai
froid. Je finis pas me caler à faible distance de la cheminée, par rassembler mes membres autour de mon corps et pos
er mon front sur le sol en béton. Et là mon esprit à commencer à
divaguer dans des fantaisies SM. J’étais bien en état second de soumission. Je pensais à plein de choses sur nos expériences et sur mes envies… J’étais bien flottant dans un espace de
soumission, excité et troublé… je m’imaginais dans de tas de positions contraignantes...et excitantes.

