Dimanche 29 novembre 2009
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Vendredi après-midi, nous avons réussi à trouver un moment d'intimité pour jouer à 2 à notre jeu favori. C'est moi qui ai eu l'initiative. Cela n'est pas aller sans difficulté au début. Comme
souvent cela a donné à une réaction très mitigée de N. style Tu t'imposes, je n'avais pas prévu cela dans mon planning. Mais comme à chaque fois dans cette configuration, au fur et à
mesure que la date se rapproche, N. est de plus en plus excitée à l'idée. Le matin, c'était ; Tu vas voir cet après-midi, je vais te dresser ! Je ne regrette pas de forcer le destin.
Je suis rentré du travail en début d'après-midi. Il faisait beau et le soleil baignait la maison. N. était sortie et ne devait pas rentrer avant le milieu de l'aprés-midi. J'ai lancé un bon feu
dans la cheminée. Puis je suis monté me faire un rapide lavage des intestins au cas où N. voudrait me prendre au gode-ceinture. Une fois sorti de la salle de bain, j'ai commencé à rassembler
nos jouets SM. Ils sont gardés dans une caisse et 2 sacs dans le placard de la chambre. Il est loin le temps où cela ne tenait que dans un seule petite sacoche. Comme à chaque fois, j'ai fait
l'inventaire. Sacredieu, il me manque le rabbit de N. et surtout le porte gode ceinture en cuir. Ils ont sans doute étaient planqués rapidement après la dernière séance. C'est finalement N. qui
s'est souvenue qu'il avait été rangés dans une boite au dessus de l'armoire.
A 16h, N. est arrivée à la maison. A partir de ce moment, comme à chaque fois, la pression a commencé à monter, pendant que N. répondait à quelques coups de fils pour son travail. Une fois
le téléphone raccroché, je me retrouvé devant elle dans le salon. C'est parti !
- Commences par me masser le dos...
Je m'exécute du mieux que je peux en prenant mon temps, d'abord les épaules, puis le cou puis les seins, le bas du dos et la naissance des fesses.
N. semble apprécier.
- tu masses beaucoup mieux quand tu es en cage.
C'est vrai, la cage apprend la patience, clé d'un massage réussi.
Maintenant N. me place devant elle. Elle est assise sur un tabouret.
Elle m'ordonne d'enlever le haut de mes vêtements. Le bas elle s'en charge. D'abord la ceinture et le bouton du pantalon, puis le slip qui est baissé d'un coup. Je me retrouve nu devant ma
Maîtresse, ridicule avec le pantalon aux chevilles. J'adore ce moment où tout bascule. N. rigole, la cage a fait un quart de tour dans le pantalon et pointe vers la cuisse. Elle la remet en
place. Elle prend la roue à pic et commence à s'occuper des couilles qui dépassent. Je la regarde faire et me raidis à chaque attaque. Cela ne lui plait pas.
- regardes le plafond et ne le quittes pas des yeux !
J'obéis me trouvant très con de regarder ce foutu plafond.
Et elle reprend son affaire sur mes couilles. J'ai beau avoir confiance en elle, j'ai des sueurs froides en pensant aux pointes acérées de la roue à pic sur la frêle peau des couilles. Surtout
que N. prend bien soin de me les faire sentir.
Elle profite aussi des piquants pour pratiquer son sport favori : la libération des poils coincés dans un bouton. Elle utilise un objet tranchant pour 'décapsuler' le poil. Je déteste cela
au plus haut point. et N. le sait et prend un plaisir sadique à le faire. Mais ce vendredi, N. a eu peu de candidats. Elle était un peu déçue.
Puis, N. a préparé nos futures cartes de Noêl en improvisant un sapin argenté autour de la cage, de la façon la plus esthétique possible.
Cela ne faisait pas mal car N. a fixé les équipements sur la cage. Il y avait juste le poids qui la tirait vers le bas retenue par le seul anneau des couilles. J'avais juste
peur que la cage se détache. C'était joli mais finalement long et un peu ennuyeux pour moi. A un moment, un des poids a chu et a atterri dans le pantalon à mes chevilles. Je me suis gentiment
moqué de N. mais j'aurais mieux fait de me taire. En représailles, Maîtresse N. a immédiatement suspendu
les 2 poids de 200g à mes tétons. Et là je vous jure, j'ai dérouillé. Fini de rire ! C'était insupportable, les
poids tiraient fortement les tétons vers le bas. J'avais l'impression qu'on me les arrachait. Ils me font toujours souffrir aujourd'hui comme un souvenir de ma désobéisance. Très contente de
l'effet obtenu, N. m'a regardé me débattre dans la douleur. El c'est de plus en plus net depuis quelque temps : elle jubile à me voir souffrir. Je suis sur que sa culotte
mouille d'avantage encore dans cette situation. Elle boit ma souffrance. Moi de mon côté je tentais de ne pas paniquer, de reprendre mon souffle et d'accepter la douleur. Dans ce contexte, le temps
est dilaté. Je pense souffrir depuis trop longtemps alors que pas plus de 2 minutes se sont passées depuis leur pose. Je me retiens difficilement de retirer les pinces avec
mes mains libres. Elle reprend enfin la parole :
- je te les enlèves si tu me supplies !
Je n'hésite pas une seconde.
- pitié Maîtresse, je suis une larve mal dressé, un verrat trop lours, je suis désolée, pitié Maîtresse enlevez-les
Elle a attendu encore 10 secondes avant de faire cesser le
tourment.
- bon à la suite ! tu mets tes mains sur le dossier du fauteuil de cuir. Combien as-tu fumé de cigarettes en trop cette semaine ?
- 29
- alors 29 coups...
N. a utilisé son paddle favori. Sa technique est maintenant très efficace. Elle ne me laisse plus le temps de respirer entre 2 coups. 13 coups en une rafale suivie d'une 2ème rafale de 14
coups. Je comptais à voix haute. Les 2 derniers coups ont été donnés à pleine puissance. Terrible. Et je dois être content qu'elle n'applique pas de surplus comme certaines Maîtresses car cela
deviendrait encore plus dur. Mais je ne me fais pas d'illusion, elle finira par trouver le truc...
- bon maintenant à 4 pattes, et tu fais 4 tours en rond.
N. s'en va et me laisse seul. Au 4ème tour, elle n'est pas revenue. Je décide d'en faire un cinquième, puis un sixième. Toujours
pas de Maîtresse, je m'arrête et reste à 4 pattes en position d'attente sur le sol. Je trouve troublant d'attendre ainsi son bon vouloir de Maîtresse.
J'entends des pas qui se rapprochent. Je prends le risque de jeter un coup d'oeil furtif. N. tient dans sa main un espèce de bâton verdâtre....
dyonisos