Mercredi 16 septembre 2009
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C'était une question sur un commentaire de Flo ce week-end que je remercie...
Le port de la cage créé une frustation partagée par N. et moi. Pourtant paradoxalement, N. n'a jamais eu aussi envie de ma bite (je dis ma et pas de) que depuis qu'elle est
devenue détentrice des clés du sexe de son homme. Avec le temps, comme de nombreuses femmes ayant accouché, elle est devenue plus clitoridienne que vaginale. Mais puisque mon pénis est
devenu moins accessible, elle se met à le désirer ardamment ce qui rend mémorables toutes les sorties de cage.
Ces sorties de cage sont de toutes façons devenues rares. La dernière pour moi date du 22 août. De plus en plus N. préfère maintenant me garder en cage même pour les séances sm. Ma seule liberté
(surveillée) est les 5 minutes de la toilette tous les 2 jours.
Alors le sexe dans tout cela ?
Etant pour une fois couché tôt, j'ai posé la question à N. hier soir au lit alors qu'elle demandait (exigeait) que je m'occupe d'elle. La réponse a été aussi aiguisée qu'une lame de poignard
:
J'ai mis 9 ans de mariage pour découvrir que je n'avais pas besoin de ta queue... tes doigts et ta bouche me suffisent amplement pour prendre mon plaisir.
Puis elle
m'a positionné la tête au dessus de son entrejambe.
J'ai toujours utilisé habilement mes doigts depuis notre rencontre. N. les trouve très "doués" . Et c'est une des raisons, qui la fait s'attacher alors à celui qui est devenu son ours adoré.
Je m'occupais et continue de m'occuper d'elle au coucher avec mes doigts pour la détendre, la masser, parfois à sa demande jusqu'au climax, . Donc pour ça, le SM n'a pas changé grand
chose...
Par contre pour les cunnilingus, la D/S est une révélation.
Bien sûr, comme tout couple moderne, nous nous y étions essayés avec N. mais sans réelle efficacité. Je pense maintenant que cétait faute de patience, car le cunni est une lente construction
avec un début, un lent travail au corps, une élévation jusqu'au plateau d'orgasme. Mais tout restatit au stade du préliminaire avant de passer à la pénétration.
Maintenant plus d'espoir : je suis en cage et je le reste... Je n'espère même plus une libération dans ces moments. Pourtant hier, j'étais tendu à fond dans ma cage avec une réelle envie d'être
soulagé. En vain ! En conséquence, les cunnis sont devenus un acte sexuel complet. Oh un acte de pure soumission, où seul le plaisir de ma Maîtresse compte. Je reconnais qu'ils
n'ont jamais été si bien donnés que depuis je suis en cage. Au point que dans les périodes vanilles, ils sont médiocres selon N, car un homme, bite en liberté, est peu patient et plus
enclin à la satisfaction de son plaisir que de celui de sa partenaire.
Je suis en cage, donc je suce !
dyonisos
Par dyonisos
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Publié dans : Saison 3
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Dimanche 6 septembre 2009
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Hier c'était la fête annuelle du village ou plutôt du hameau. C'était la première fois que j'y assistais encagé. Cela n'a pas changé gand chose, je l'ai oublié une grande partie de la
journée sauf quand il a fallu soulager ma vessie.
Comment faire ? La fête a lieu au milieu d'un champ loin des maisons.La première solution est de s'accroupir derrière un buisson et de pisser en "fille". Mais le risque dans ce cas est que le jet
soit détourné par la cage et finisse à un endroit indésirable type le bas de pantalon. Classe devant les voisins. En fait techniquement la seule solution est de se déshabiller complètement sous
la ceinture pour éviter les mauvaises surprises. Mais avec toutes ces ribambelles d'enfants trainant partout, c'était une folie que je n'ai pas voulu tenter.
La deuxième solution est de pisser debout comme tous les hommes non encagés (normaux) mais là il faut la clé pour démonter la coque de la cage. Et la clé c'est N. qui l'a dans sa poche.
J'ai donc pris l'initiative de lui demander. Elle était en train de discuter au milieu d'un groupe de voisines. Et je lui ai très humblement chuchotté à l'oreille mon besoin de la clé pour aller
me soulager. J'avais l'impression d'être un petit garçon qui devait demander l'autorisation à sa maman. Très humiliant ! J'ai fais mon affaire, remis la cage et lui ai rendu la clé.
Un peu plus tard même besoin et donc je lance la même opération. N. m'a alors sidéré en répondant à ma demande par un très sonore " Encore ! " qui a fait cesser les conversations du groupe de
femmes autour. C'est fou comme N. est douée pour m'humilier en quelques mots devant un public non averti. De mois en mois, elle s'impose comme Maîtresse et me faire comprendre peu à peu qu'en
tant que soumis je dois apprendre à dépendre d'elle. Elle a attendu quelques instants, que les conversations reprennent et m'a donné ce que j'étais venu chercher. J'en tremble encore mais je dois
avouer que j'adore ces moments de pure complicité SM.
Plus tard, N. est partie coucher les enfants et je suis resté à la fête avec la clé en cas de besoin. Quand je suis rentré à la maison vers 23h, j'étais très fatigué et j'avais envie surtout de
passer une bonne nuit. Après un accord de N. dans son demi-sommeil, j'ai enlevé l'ensemble et suis allé me coucher.
Je n'ai d'ailleurs pas mieux dormi que si j'avais gardé la cage. Vers 5h, N. et moi nous étions réveillés tous les 2. N. alors glissé sa main vers mon entrecuisse. "Que fais-tu ?" lui ai-je
demandé. Elle m'a répondu : "Je vérifie l'état de Ma propriété". J'ai compris le message et ce matin en me levant je me suis dépêché de me remettre sous cage devant N. qui a repris
possession de la clé qu'elle a attachée à son poignet.
La morale de cette soirée est, qu'alors au départ ce n'était que des jeux, N. prend de plus en plus plaisir dans sa position de dominante et l'exprime de plus en plus clairement. Il est loin le
temps où la cage de chasteté n'était que ma fantaisie.
dyonisos
PS : pour cette fête j'ai eu le droit de boire du vin. N. ne s'y est pas opposée malgré l'interdiction de 5 semaines. J'ai d'ailleurs était beaucoup plus raisonnable que les années précédentes.
Je commence peu à peu à comprendre. N. n'aime pas les choses trop définitives. Le message qu'elle m'a fait passé est que, trouvant ma consommation d'alcool trop excessive, je devais apprendre à
me restreindre et me contrôler. Je pense l'avoir reçu maintenant 5 sur 5. Et je sais qu'elle veut un de ces prochains jours s'attaquer à ma consommation de cigarettes. Mais en n'aucun cas, elle
veut me transformer en larvette. Elle veut que l'homme qu'elle a choisi d'épouser reste un Mâle fort sur l'épaule duquel elle peut se reposer. Elle se contente de corriger aux limites les défauts
qu'elle ne supporte plus de son mari. C'est ainsi que le SM sort peu à peu du strict cadre des relations intimes et rentre dans la vie courante.
J'aime du plus profond de mon être cette femme et je me félicite qu'elle est accepté de vivre sa vie avec moi. Elle m'épate de plus en plus dans sa capacité à tirer partie de mes penchants SM
pour renforcer notre couple.
N. je t'aime, mon amour !
Par dyonisos
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Publié dans : Saison 3
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Samedi 29 août 2009
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Depuis que nous nous connaissons N. et moi, nous avons toujours eu une profonde entente intellectuelle. Elle est ma moitié, et je suis la sienne, celle qui me complète et que je complète,
c'est une évidence. Même si comme tous les couples nous avons nos moments de reproches et d'agacements, voir de colères ouvertes. Mais rien de définitif, et le couple reste solide comme jamais.
Je l'aime et elle m'aime. C'est tout et suffisant.
Avant le pacte SM, les relations sexuelles au sein du couple étaient loin d'être monotones. On ne passe pas du missionaire à la cravache ; c'est impossible. En quelques années, nous avons
expérimenté une grande partie de ce que des relations sexuelles "normales" au sein du couple peut offrir : les positions acrobatiques, le sexe en extérieur, dans la forêt,
dans la piscine, la baise par tous les "trous" y compris le mien, les gadgets, l'amour dans toutes les pièces, les apéros-sexes, le bondage soft, la fessée érotique, etc... Tout
cela a été génial, mais a fini par lasser. Les relations du couple se sont peu à peu espacées, remplacées dans un premier temps par mes doigts extrêmement doués aux dires de N. puis par rien du
tout. Entretemps les enfants sont apparus et nous ont absorbés une partie de notre énergie sexuelle et l'antre de N. s'est élargie jusqu'à ce que je "nage" une fois qu'elle était bien
excitée, à sa grande frustation. Avec les enfants, les envies ne correspondaient jamais aux périodes de disponibilité. Bref la vie sexuelle de notre couple s'étoliait à vue d'oeil. Nous
aurions pu rejaillir sur de nouvelles pratiques, la sodomie par exemple qui sauve de nombreux couples post-enfants, mais tout cela nous l'avions fait avant...
Cela a aboutit à un été sexuellement déprimant pour moi il y a 2 ans et à une prise de conscience. J'étais sur la route quand subitement j'ai décidé de devenir soumis à N. Depuis le temps de
l'éveil sexuel à mon adolescence, j'ai été toujours fasciné par le SM. J'aurais sans doute pu devenir un très bon mâitre inventif, mais avec N. ce n'était pas vraiment possible même si elle
adore être bondagée. Il y a donc 2 ans, je me suis arrêté dans un sex-shop pour acheter quelques accessoires SM. Je suis rentré et j'ai à N. que je voulais qu'elle me domine. Je ne dirais pas
qu'elle fût enthouisiasmée par ma proposition. Mais bon nous avions déjà un passé sexuel varié et elle a bien voulu essayé pour me "faire plaisir".
Le jour dit, je me suis mis nu avec un collier de chien autour du cou que je venais d'acheter. J'ai mis un tablier et fait la vaisselle. Quand N. est rentrée de son travail, en voyant mon
cul nu encadré par les pans du tablier sa première réaction fut d'éclater de rire. Elle trouvait la situation complétement ridicule. Par amour, elle a continué, m'a attaché les bras aux poutres
de la chambre et a commencé à s'occuper de mes couilles avec une tapette. Ce fut une révélation pour elle ; elle y a pris un immense plaisir à me voir geindre et sursauter dont elle ignorait
l'existence. Et une grande jouissance séche sans éjaculation pour moi. Ce fut le début de l'aventure SM entre nous.
Mais au départ cela restait pour elle une expérience passagère comme un jeu érotique de plus.Moi j'avais une envie plus profonde. J'ai acheté dans les semaines qui suivit une cage de
chasteté qui est au départ resté mon "truc" et je suis parti muni de la cage en mission à Paris pour la journée. Au retour, cela devait être une grande séance de D/S dans ma tête. Je suis rentré
mais il ne s'est rien passé : à ce moment là elle n'était pas en phase. J'ai enlevé la cage de colère et de frustation et j'ai découché la nuit dans la chambre d'ami. Le matin je me
suis réveillé à 5h, toujours en colère, et je suis parti immédiatement en voiture. A son réveil, N. a trouvé la maison vide et je lui ai sans doute fait la peur de sa vie. Le soir nous avons
durement discuté sur le fond. Et il en ait sorti le pacte SM entre nous : à savoir comme je ne trouvais pas satisfaction dans les relations sexuelles d'alord, elle "m'offrait" des
moments de jeux de D/S quand les enfants seraient en vacances chez les grands-parents. Il faut savoir qu'à l'époque la libido de N. était proche de zéro. Elle a fait ça par amour et très
probablement par peur de me perdre. Elle pensait que mon "caprice" finirait par passer.
Nous avons fait ainsi quelque temps mais cela était forcé comme une gêne entre nous. Des fois, je me sentais éconduit comme un amoureux platonique. Puis peu à peu, cela est devenu plus profond
aidé par le retour de la libido de N. avec l'arrêt médical de la pilule. Maintenant c'est naturel entre nous. N. a commencé a adoré certaines pratiques à mouiller grave sa culotte et nous
avons jamais aimé autant faire l'amour depuis que nous avons pris cette voie. N. a peu à peu trouvé des moments d'excitation intense dans la relation D/S. Les moments vanilles sont fabuleux tout
comme les moments de pur D/S. C'est le réveil du couple.
Tout cela n'a été possible que parce que j'ai une femme admirable que j'aime profondément et que j'admire même si je lui dit trop peu souvent. Je souhaite à tout homme en ma situation
d'avoir une femme aussi compréhensive et amoureuse.
La relation D/S déborde maintenant du cadre strict de relations "sexuelles" entre N. et moi. Et N. a commencé cet été à introduire la correction de mes défauts (l'alcool, la cigarette) dans les
punitions. Cela ne faisait pas partie du pacte mais cette évolution est tellement naturelle vu nos engagements.
Bientôt, dans une semaine ou un mois ou 6 mois, nous retournerons dans une relation plus conventionnelle, avant de retomber dans le monde SM. Pour l'instant nous découvrons ce que la persistence
du D/S peut nous apporter.
N. je t'aime. Et merci d'avoir eu le courage de me suivre.
dyonisos
Cette image est hypercélèbre dans le monde des blogs D/S. Mais je l'ai mise là car elle résume pour moi la beauté d'être soumis à sa Maîtresse. L'homme et la femme sont magnifiques et rarement
une image résume le D/S conjugual comme celle-ci.
Par dyonisos
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Publié dans : Saison 3
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