Samedi 22 août 2009
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/2009 23:47
Arrivé donc en haut de l’escalier, je n’étais vraiment pas serein. Tout allait trop vite…J'étais aussi inquiet car N. avait décidé d'utiliser la cravache comme instrument.
Notre chambre est occupée en son milieu d'une poutre juste à bonne hauteur pour attacher les mains d'un soumis. En un tour de main N. m'y attache solidement les mains.
Puis elle passe derrière et me caresse un temps les fesses, puis commence à frapper, 1, 2, 3... c'est fou comme compter vous donne un échappatoire. On est concentré pour ne par perdre le fil des
nombres et pendant ce temps les coups pleuvent. Les premiers sont toujours très faciles mais quand la série se prolonge on a qu'une hâte que cela s'arrête. A 30 une pause, N. vient m'embrasser
fougueusement la bouche en passant sa tête entre mes bras, elle caresse mon corps. Puis ça reprend des séries de 20,30, 10 parfois, accompagnées de caresses, de baisers, de princement des tétons
jusqu'à ce que je crie, de serrages de couilles, de forçages long et profond de mon cul par son doigt inquisiteur, me forçant à me jeter en avant dans mes liens. Un mélange de douleur et de
plaisir avec N. de plus en plus excitée. Comme une étreinte sexuelle entre 2 jeunes amants. Je glisse doucement dans le sous-espace. A 90, elle a pris le rythme : ses coups de cravaches
deviennent très précis et puissants. A un moment, je n'en peux plus, je m'échappe aussi loin que les cordes me permettent, N. me poursuit de ses coups puis s'arrête et attend que je reprenne la
position. Il me faut une bonne dose de volonté pour reprendre la place. 120 ! Elle s'arrête sur une série particulièrement violente. Me prend la tête pour me forcer à la regarder dans les yeux,
je crains le pire pour les 4 derniers mais ils sont plus doux presque une caresse. 124 c'est fini ! N. est fière que j'ai supporté.
Ces moments de pure complicité valent tout l'or du monde.
Après que dire, que le couple est revenu vers un monde plus tranquille et que Madame voulait sa satisfaction. Elle a libéré la bête.
D'abord par un long cunni donné en offrance à ma Maîtresse, puis par des étreintes engagées entre l'homme et la femme. Au final, N. m'a pris manuellement avec un gode jusqu'à j'éclate dans mon
préservatif.
Dyonisos petite bite
PS : Je dédie ce message à N. Ma Maîtresse et ma femme adorée que j'aaiimmmme de plus profond de mon être. MERCI à toi d'avoir accepté de se risquer sur ces chemins si périlleux.
Par dyonisos
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Publié dans : Saison 3
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Samedi 22 août 2009
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/2009 18:40
Voilà cet après-midi, au moment du café, Maitresse N. a jugé toutes les infractions en retard depuis 3 semaines. Elle n'étais pas très enthousiaste au début, mais elle sait vite laissé
convaincre quand elle a vu son chéri arriver entièrement nu avec la bite en cage et les mains attachées dans le dos par les menottes en cuir rouge.
J'ai attendu au pied de la table le début de l'audience de jugement. Il faisait très bon sur la terrasse et je suis toujours très troublé d'être dressé nu en extérieur. N. est venue s'assoir, a
mis son propre propre mot de passe et a commencé à changer la programmation des punitions dans le programme. Le ressenti du moment est génial : on ne sait pas ce qui va nous arriver...
Puis c'est le choc violent du verdict : premier jugement de l'infraction la plus grave (je m'étais emporté contre N. il y a 3 semaines). Quelques secondes et le verdic tombe : 134 coups de
cravache, avec une remise de peine de 10 coups contre l'obligation de servir d'urinoir à N. tout le week-end et 1 mois d'interdiction d'alcool. N. jubilait tandis que moi j'étais atteré (mais
j'ai ce je mérite). Et puis elle rajoute : servir d'urinoir ce n'est une punition, tu aimes trop ça.
Et le jugement des infractions de moindre importance a continué avec N. de plus en plus exictée et Dyonisos à ses pieds. Une fois tous les jugements prononcés, cela n'a pas suffit à N.
qui a rajouté une infraction pour pouvoir encore une fois lancer la machine diabolique.
Au final, j'ai pris :
124 coups de cravache
1 mois + 1 semaine de privation d'alcool
1 week-end de service en tant qu'urinoir
le prochain repas sera mangé dans la gamelle au pied de N.
1 semaine supplémenaire en cage
les 2 prochaines nuit à dormir nu et enchaîner au pied du lit de ma Maitresse
el l'intégralité des lessives et repassages pendant 1 semaine
Malgré tout cela, à la fin de la séance, j'étais très excité et ma mouille de bite coulait à l'extrémité de la cage.
N. m'a alors ordonné de me dépêcher de monter dans la chambre pour l'éxécution immédiate de la sentence. Je peux vous dire qu'alors que je montais les marches avec les mains toujours attachés
dans le dos, je n'étais plus du tout serein...
Par dyonisos
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Publié dans : Saison 3
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Dimanche 16 août 2009
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/2009 23:40
Donc aujourd'hui après le bain de soleil de N, nous sommes passés à des choses beaucoup plus sérieuses dans la chambre d'ami. Il faisait vraiment trop chaud dans notre chambre sous les toits.
J'avais ressorti les draps de vynil noirs dans l'optique de faire un fond noir pour les photos. Dès que N. les a vus, elle a eu une idée que je n'ai pas comprise immédiatement. Elle m'a fait
installer à l'envers la tête au bord du pied du lit, puis m'a chevauché le visage nue. Je pensais qu'elle allait recommencer un queening en se frottant sur mon visage. Résigné j'ai commencé à
sucer son clitoris. Quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis des jets d'urine courir le long de mes lèvres puis sur mes joues. N. sans aucune pudeur pissait sur mon visage. J'ajustais ma
bouche pour récupérer le maximum de liquide. Cela se fit en 3 ou 4 giclées, puis N. est venu se frotter le clitoris et le vagin. Dans cet exercice, comme dans la musique, le principal est la
respiration. C'est fou comme une femme en train de jouir se fout de l'homme qu'elle étouffe peu à peu. C'est pour cela que je rangerais le queening dans les pratiques sado-masos. Pour finir sur
ce chapitre, je dirais à N. que je suis étonné du contraste entre la pudeur qu'elle a en public et ce qu'elle fait en privé. Une fois l'acte accompli, j'avais le goût de l'urine de N. dans la
bouche et sous le nez. De fait en maso accompli j'adore cela, cela me rappelle combien je peux être soumis. Elle m'a d'abord attaché les pieds et les bras aux 4 coins du lit avec des cordes.
Puis elle s'est intéressée à l'écrase couille tout en m'enlevant la CB. Tout d'abord elle n'a pas cru que vu la taille de l'anneau pour passer les couilles, mes boules allaient arriver à passer
par ce trou. Elle a eu cette réponse quasi définitive « tu vois Dyonisos c'est fait pour des hommes ayant des petites couilles. Si je passe ta bite, je n'ai plus la place de passer tes couilles
». Et autres phrases définitives. N'étant pas d'accord je lui ai demandé de me détacher temporairement les mains pour lui montrer comment procéder. Une couille plus l'autre, puis le pénis. Là
franchement je l'ai bluffé car elle n'y avait pas pensé. Un bâillon dans la bouche et hop elle serre en cadence les vis. Honnêtement ce n'est pas la douleur du siècle. Ne pouvant voir on sent les
couilles comprimées mais bon moins que lorsque N. me les serre dans une main. Au fil du temps, une vague de chaleur monte doucement des parties pour irradier du bas ventre. Je vous ai mis les
photos pour comparer mes ressentiments plutôt faibles et l'impression visuelle qui après coup me semble encore terrible. Je ne voyais que très mal à cause de mon (gros) ventre. Au final, c'est
une arme à effet psychologique terrible pour tout soumis qui ne l'a pas essayé, mais une fois essayé, on se dit quoi ce n'était que cela !
PS : à la fin de la séance N. m'a mis un préservatif pour me suçoter le gland. Puis elle
m'a branlé de plus en plus fort, je ne voulais pas partir mais Elle voulait que si. Les 31 jours d'absence de jouissance m'ont fait perdre le jeu, et je suis parti dans une super éjaculation. Le
pied quoi. Cela a changé le reste de la journée, mais cela je vous le raconterai dans un prochain billet. La quantité (énorme à mon goût) de sperme récupéré a été mise au congélateur pour une
utilisation future.
Par dyonisos
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Publié dans : Saison 3
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