Vendredi 9 avril
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/Avr
21:11
Arrivé en haut, je me dépêche d'obéir en enlevant tous mes vêtements. Je suis nu avec ma seule cage de bite. J'attend au pied du lit et au loin j'entend Maîtresse qui me rejoint. Elle arrive
telle une reine dans la chambre et referme derrière elle la porte à double-battants.
A ce moment, je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'avais envie d'aller pisser et je me dirige vers la porte que je vais réouvrir. Maîtresse me lance un regard dur :
- où comptes-tu aller comme cela ?
- aux WC
- je pense que tu ne M'as pas compris...
Et là sidéré et bientôt terrifié, je la vois avec détermination retirer la ceinture de cuir de mon pantalon et bientôt s'en servir pour me frapper les fesses. Et là par rapport au
paddle, je vous jure que cela fait vraiment très mal car avec la longueur le cuir claque intensément la peau. Je n'avais plus du tout envie de me révolter, juste obéïr au plus vite pour qu'elle
arrête de frapper. Et dire qu'avant cela je croyais naîvement que N. n'oserait jamais me frapper en chambre.
Elle arrête je me dépêche de prendre ma place
sur le lit. N. enlève la cage, vérifie l'état de sa propriété et décide de le prendre en bouche malgré mes avertissements que cela pourrait partir à tout moment (tu as intérêt à ce que cela
n'arrive pas ! Et occupe toi de ma rondelle).
Sa bouche est tellement merveilleuse que je crains de ne pouvoir tenir. Je me concentre pour ne pas me laisser allé à l'insu de mon plein gré. Ou je crois que la ceinture me tannera fortement le
cuir.
Au bout d'un moment qui me parut tellement dangeureusement interminable, Maîtresse se dégage et dit :
-Viens me prendre par le cul, j'ai envie de ta queue et te sentir jouir en moi.
- je met un préservatif ?
- bien sur que tu mets un préservatif pauvre idiot. On ne garde pas depuis 6 mois toutes tes traites pour que tu te laisses aller bêtement dans mon cul.
Je la pénètre par derrière en prenant bien
soin de ne pas lui faire mal, surtout pas. Puis en mettant tout mon énergie dans le pilonnage car Madame aime par dessous tout sentir mes couilles taper contre son clitoris. Et dans cette
situation, il serait malvenu de ne pas tenir le rythme ou de me laisser aller trop tot. Au bout de 10 minutes, je sens néanmoins mon membre ramollir peu à peu, et il me semble que N. commence à
s'en douter au début, puis d'en avoir la certitude ensuite. Bon, sors les godes et finis moi ! Je me presse d'obéïr.
Plus tard, après sa grosse jouissance, Maîtresse a sa tête sur mon épaule et joue avec mon sexe redevenu tout raide. Là j'ai vraiment envie d'éjaculer, de me libérer. Pourtant N. pense à voix
haute :
- tu n'as pas réussi à jouir dans les temps. Je ne sais pas si je ne vais pas te remettre en cage sans avoir éjaculé µ
- siii... si vous... voulez Maîtresse, craignant pas dessus tout qu'elle le fasse vraiment.
Je sens que mon sort ne tient qu'à un souffle alors je garde le silence. N. se semble pas se décider à mettre sa menace à exécution. Elle continue nonchalamant à me branler doucement, puis elle
se décide... à renoncer à son idée première. Ouf.
N. me fixe des pinces à linges sur les tétons et tout en les tordant dans tous les sens, m'intime l'ordre de me traire moi même dans le préservatif. A ce rythme, et après autant d'émotion, j'ai
rapidement répandu le sperme de 5 semaines dans le préservatif qui n'a pas tardé à rejoindre la boîte de récolte au congélateur.
J'étais passé à la casserole !
dyonisos