(désolé je n'ai pas pu récupérer toute la chanson)
Après un repas somme toute vanille, nous voilà repartis. En fait seulement moi à qui Maîtresse m'avait assigner de :
1. ranger la cuisine
2. laver les 80m² de sol
3. étendre les lessives.
J'étais de nouveau tout nu avec mon collier, mes bracelets de chevilles et de poignets, mon collier et ma cage de bite que N. m'avait remise avant le repas. Elle part ostensiblement s'allonger
sur le canapé pendant que je commence mon labeur.
D'abord faire le ménage c'est toujours creuvant. Et dans cette situation, dangereux. J'ai fermé quelques volets mais dans certains endroits les voisins peuvent me voir depuis leur étage. Je me
dépêche d'y passer mais je dois bien y laver le sol. Mais le pire est que N. a décidé du pire affront, elle regarde sur la télé les derniers épisodes de notre série préférée que nous
regardons toujours ENSEMBLE et ce sans SANS MOI. C'est un véritable attentat visant à me faire chier et effectivement cela m'a bien fait chier que ma Maîtresse se le permette.
C'était peu passionnant de laver les sols et comme je suis perfectionniste j'ai voulu passer la serpillière là où personne ne la passait jamais (bien que je vous assure que N.
depuis que je la connais n'a jamais lavé un sol : c'était moi ou les femmes de ménage). Mais j'aimais bien que N. me traite de cette façon là,très déséquilibrée, en esclave domestique.
A un moment je me suis fait rabroué car j'avais mal étendu la lessive. Et là aussi j'ai adoré.
Je suais. Mes fesses et mon petit zizi en cage me faisaient mal. Le venin des orties continuait à se diffuser entrainant des sortes de spasmes et picotements sous la peau (en fait l'effet n'a
disparu que le soir).
Bien quand j'ai eu enfin fini, j'ai remis ma laisse. En fait depuis quelques mois nous utilisons plus des laisses bien trop courtes et peu pratiques, j'ai acheté une fois une magnifique
longe de 3m de cheval verte et mauve, et cela convient parfaitement : elle peut me diriger à distance tout en matant (car je pense qu'elle le fait) mon dos et mes fesses se dandinant au grè
de mes mouvements à 4 pattes.
N. était au téléphone, je me suis positionné au sol devant elle tout nu, la laisse entre les dents. J'avais trop envie de me soulager. Maîtresse m'a regardé très interessée. Quand elle a
raccroché, elle a pris le bout de la laisse puis l'a fait claquer sur mon dos, pour dire d'avancer. C'était l'heure de la promenade....
dyonisos
Maîtresse utilise les orties comme un martinet en me fouettant à une bon rythme les fesses. Au début la caresse des feuilles est agréable, mais bien vite je ressens les piqures à chaque redescente,
suivies bientôt par la douloureuse sensation de progression du venin des orties sous ma peau. Je geins de plus en plus dans mon baillon et commence à me tortillonner dans tous les sens à la
grande joie de N. Elle adore tant me voir
physiquement enduré sous SON action, que souvent elle préfère que je n'ai pas de baillon pour entendre mes cris. Elle n'arrête pas de fouetter mes fesses et bientôt vise l'entrejambe. Derrière
tout s'échauffe et chaque nouvelle piqure crée un supplément de douleur.
Puis elle passe devant en s'attaquant à mon
service 3 pièces toujours dressé. Je crains de vraiment dérouillé et au final c'est pas pire que derrière. A un moment je regarde ma pauvre bite, elle est devenue toute rouge (Maîtresse me dira
après qu'elle a voulu épargner mes couilles).
Et on recommence derrière et devant, N. savourant mes cris étouffés et mes tentatives de lui échapper malgré les liens. Elle aime tellement cela de me tenir en son pouvoir. J'ai vraiment une
Maîtresse merveilleuse pour qui est enclin à se soumettre. Un vrai joyau qui conscencieusement fait son oeuvre sans se poser de questions tout en (je le sais) s'excitant fortement.
Elle s'arrête de temps en temps pour prendre des photos du résultat de son oeuvre, pour me montrer après coup comment elle m'a travaillé au corps.Puis reprend de plus belle, avide d'entendre la
symphonie et de voir la sarabande de son soumis auxquelles elle est devenue accro.
Cela finit par se terminer. Et là elle me demande tout de go, avec le culot de la Maîtresse, pourquoi on n'en planterait pas au fond du jardin ? Oups ! Danger ! Je lui oppose le risque
pour les enfants, qu'elle semble accepter. Et puis j'ai rajouté qu'il y en avait sur les chemins tout autour de nous.; Elle semble y avoir renoncé pour l'instant.
Plus tard, elle m'a dit qu'elle adorait son nouveau joujou !
Tellement que la séance c'est terminé par un hommage obligatoire à Ma Maîtresse qui avait posé son antre au desuus de la bouche en 69, le premier 69 de ma vie où j'ai rien eu ! Mais Maîtresse,
elle, a adoré ! Et m'en a redemandé 2 fois...
dyonisos
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
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