Je finis rapidement de nettoyer tout le bordel y compris moi même, puis je descend rejoindre ma Maîtresse qui entre temps s'est mise sous la douche en bas. Elle finit par en sortir et s'habiller,
quand elle reprend la parole :
- bon mon petit dyonisos, on va aller chercher des orties. Tu as trouvé un coin tranquille comme je t'ai demandé ?
- oui Maîtresse.
- et où ça ?
Je lui explique. Cela semble lui convenir. Je suis toujours tout nu avec mon collier et mon bracelet. Elle semble hésiter en me jaugeant et garde le silence quelques secondes. Puis elle
reprend la parole :
- non finalement je te prends pas tout nu. C'est pas assez loin. Je n'ai pas envie de rencontrer ainsi des promeneurs que je connais. Allez dépêche toi d'aller mettre en pantalon et un
T-shirt long.
Je suis estomaqué par le finalement ! Elle avait vraiment envisagée de me prendre tout nu en laisse ? Je dois maintenant plus que me méfier car Ma Maîtresse prend vraiment très vite
beaucoup d'assurance.
Je me dépêche de passer un jean et un polo avec col montant pour masquer le collier et nous partons en voiture. Pas loin : le lieu est à 5 minutes de route.
Je suis heureux car cela fait vraiment un bail que N. m'a pas promené en soumis en dehors de la maison. Je lui en fait la remarque. Oui oui tu as raison, regardes la route ! Nous prenons
un chemin isolé et le champ d'orties m'attend devant. Aie ! Bon aller au travail dyonisos !
Je commence à couper les tiges d'orties après qu'elle m'ait indiquée qu'elle en voulait
une bonne brassée. C'est étrange de fabriquer son propre instrument de torture mais je me veux un petit soumis très obéïssant. Alors je coupe une dizaine de brins. Puis retour à la maison.
- tu m'en fais un bouquet avec une poignée et tu m'attends nu dans la chambre. Et elle repart à ses activités. J'enlève les feuilles du bas et rassemble les tiges en bouquet. Je créE la
poignée avec du scotch de bricolage. C'est prêt ! Je monte dans la chambre et m'attache les menottes de poignées aux liens de cuir de la poutre. Je prend même l'initiative de me baillonner ce qui
m'aide beaucoup dans les grosses séances douloureuses.
Je suis pris au piège : Maîtresse arrive !
- bon il est où ce bouquet ? humm ? très
bien. On va pouvoir commencer.
Elle m'enlève la cage (je te veux tout nu). Ma petite bite bande aussitôt et largue son filet de mouille, de veule excitation, inconsciente à ce qui va lui
arriver.
Maîtresse prend le bouquet dans le seau, passe derrière moi et commence à me fouetter aux orties à un bon rythme...
dyonisos