Nous

Lundi 13 janvier 1 13 /01 /Jan 23:15

C'est vrai que quand nous nous sommes décidé à passer enfin à une cage en métal, que je dirais de joueur adulte, nous avons eu que l'embarras du choix.

C'est fou aussi que pour un sujet aussi technique et qui devrait finalement être de diffusion assez confidentielle (ou alors mon blog serait millionaire, lol), le choix de contraintes est immense. Pensez le marché quand je l'ai recensé en début de l'année dernière, comptait 176 dispostifs de chasteté.

De toute façon, ma Maîtresse de Dame a joué la montre face à cette opulence, et m'a envoyé à la sueur de mon corps gagné l'argent de la cage en restreignant mes plaisirs, plus exactement le double des modèles qui me tapait dans l'oeil.

Et parmi ces modèles, il y avait ma préférée que nous avons choisi à la fin, la Looker 02 de Steelworxx.

Maintenant, je me suis vite aperçu qu'acheter une cage à ma taille était une quête difficile. Non que l'engin en lui même soit de taille imposante (il est petit et les lecteurs de ce blog le savent). Mais surtout il fonctionne comme un ballon de baudruche : 3.5 cm quand ça kaikaille et 12.5 dans sa plus belle forme, soit x3 en taille et x4 pour le volume.

Je savais aussi que j'ai des couilles très haut portées et surtout énormes (N. les appelle "ses couilles de taureau"). Comme je disais à l'époque de mes doutes, en mai, je suis l'éléphant man de la trompe et trouver chaussures à son zizi me semblait une quête sans grande chance de succés.

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Bien sûr il y a ce plug fascinant - je pense qu'il a beaucoup à voir avec mon envie - mais bizarrement cela ne me faisait par peur, surtout qu'il y avait l'option de pouvoir le démonter. Une assurance de ne pas mettre son argent dans un truc importable. Et une cage qui reste belle même sans. J'avais quand même besoin de vérifier que ce barreau de chair congénital qui me barrait l'urêtre et me faisait pisser de travers en deux jets, avait bel et bien disparu depuis l'opération subie quand j'avais 25 ans. C'était chose faîte en septembre avec succés.

Ne restait plus qu'à choisir les dimensions. Sur le site de SteelWorxx, la cage doit avoir la dimension du penis à l'état flacide. Mais à quelle température, car si je prend ma taille mini (3.5 cm), cela fait une cage de 1 cm après l'entretoise, impossible à fabriquer et sans doute à porter.

Pour la taille de l'anneau derrière les couilles, j'ai maintenu la plus grande taille - 50 mm - qui m'avait si bien réussie avec mes CBxxxx avec la crainte qu'il soit difficile à passer en ne s'ouvrant pas. Effectivement il l'est.

Pour le diamètre de la cage, j'ai aussi décidé de garder celui des CB smalls, 3.5cm, le diamètre de la base de mon zizi au repos pour que la cage m'aille comme un doigt au gant et que l'érection soit contrainte avec de toucher le bout.

Ne restait donc que la question de la longueur hors tout, comme il fallait l'indiquer dans la commande. Là disons que c'est mon intime conviction qui a décidé. 60mm en tout soit 20 mm de moins que la CB6000S. J'ai hésité avec 55 mm mais finalement je suis resté sur ce choix que N. a avalisé me faisant confiance.

La cage a été payée le 28 octobre et livrée le 24 décembre, soit 9 semaines d'attente au lieu des 4 semaines indiquées sur le site de Steelworxx qui me paraissaient plus que suspectes. Une info aussi pour ceux qui voudrait commander chez eux, aucun mail n'est envoyé quand la cage est expédiée - l'état change simplement dans le site - et il n'y aucun système de suivi du colis qui est livré comme un simple colis de la poste.

Quand nous avons ouvert le paquet avec N., nous avons été positivement impressionés. Pas de doute, c'est de la superbe qualité.

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Le plug d'urêtre est vissé dans le caps de la cage et verrouillé par un écrou que vous voyez sur la photo dessus. Il est facile à démonter et une fois monté est complétement rigide à la cage sans jeu. Encore un bon point. Je l'indique c'est je n'ai vu aucune description ce ce montage quand j'ai préparé notre commande. Il est facile à enfiler dans l'urêtre tout en refermant la cage (j'ai réussi du premier coup sans avoir mal).

Je suis surtout tombé depuis en admiration devant l'ingénieux système de fermeture, une merveille d'horlogerie allemande. La photo est pas très nette et j'en suis désolé. Mais impossibe d'en refaire une dans de bonnes conditions car la cage est depuis ce matin bien arrimée sur mon sexe par la volonté de ma Dame et je crains à cette heure l'inconfort de la nuit à venir. Alors je vais devoir essayer de tout expliquer per des mots. L'anneau de base des couilles comporte deux anneaux soudés ouvert sur un côté. La cage, elle même en possède un troisiéme. Quand la cage s'accoste sur l'anneau des couilles, le tout se transforme un cylindre parfaitement ajusté (un peu trop même car lors du démontage il faut légèrement basculer la cage pour libérer la pièce et la première fois avec le plug je me suis fait avoir et tout est parti d'un coup en m'arrachant douloureusement le plug de l'urêtre). Le cylindre a un vide à l'intérieur et une fente sur le côté, qui permet d'insérer dedans le barillet de laiton en manipulant la clé. Celui-ci assure la jonction mécanique de l'ensemble. Dernière étape, un huitème de tour de la clé et un petit loquet bascule simplement au bout du barillet (à gauche de la photo) empêchant tout retrait du barillet et libérant en même temps la clé. Très ingénieux et super confortable de ne plus avoir de cadenas.

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Pour terminer, me voici avec le zizi tout rikiki et empalé, pour montrer par l'image qu'elle était et est toujours mon problème de taille trop changeante.

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Vendredi 10 janvier 5 10 /01 /Jan 22:47

2014 a commencé sur les meilleurs hospices, en complète affinité entre amis. C'est vrai que cela change un peu la perspective et un peu de variété n'a jamais fait du mal... Bref nous avons une raison supplémentaire de vouloir se voir au délà de l'envie de partager ensemble et de la joie des enfants de se retrouver. 

Etrange situation que la notre en fait. Ils sont comme notre famille proche, les faux oncle, tante et cousine de nos chères têtes blondes. J'ai aussi une fausse soeur, mais là elle n'était pas là, sans doute trop occupée avec l'immense trompe de son mari que lui a présenté Monsieur le Curé (en quelque sorte une grenouille de bénitier dévergondée).

Donc ce que l'on dit, c'est que l'on choisit ses amis mais pas sa famille. Sauf que nous finalement, nous avons une version plus extensive de l'intimité de l'amitié. Cela reste finalement étonnant. On m'aurait dit il y a quelques années que cela finirait comme cela, j'aurais dit foutaises et encore balivernes. Mais force m'est de constater que ce qui paraissait inconcevable il y a quelques années, est réalité.

Maintenant quand on se demande quand est-ce que l'on se revoit, il y a forcément un sous-entendu épicé. Etonnantes surprises de la vie. Ma mère le saurait qu'elle en rougirait jusqu'aux oreilles. On ne se pose pas de question : on fait, une fois que nos alarmes de sécurité sont allés se coucher et se sont endormis.

C'est marrant, j'ai l'impression de retourner en adolescence. "touche pipi" disait l'ami yaya. Mais l'ami si tu savais comme c'est bon de toucher à l'interdit sans en être interdit.

Les rôles s'affinent. L'ami qui nous a tant bassiné de son fantasme pour ces pratiques transverses, se retrouve d'un coup si timide, presque dépassé par les événements et freine pour ne pas aller trop vite. Ma douce belle qui feule tellement sous ses doigts marteau-piqueur en veut plus maintenant. Et a encore sorti les capotes pour les ranger finalement non utilisées comme la fois d'avant. Elle s'imagine cul aligné avec SA copine pendant que nous les besognons à tour de rôle.

Et l'amie jouissante silencieuse et moi au milieu, nous amusant de l'écart entre nos moitiés extrêmes, tout en prenant soin de nous échanger les caresses et les jouissances. Etonnante évolution. Je sais que ce n'est pas tout le monde qui finit comme cela. Cela parait comme quand j'ai rencontré N. ou que notre amie a rencontré son amour, évident et sans prise de tête.

Nous échangeons naturellement. Comme si nous étions destiné finalement à en finir par là. Oui ce n'est encore que des carresses d'adolescents. Mais qu'importe quand le plaisir est là. Dans notre bulle aux milieux des bulles, les corps et les esprits se libèrent et nous explorons les infinies possibilités d'un kamasoutra à 4. Me voilà roi d'un jour entre deux femmes. Voilà ma belle à jouer d'un scénario inédit entre des virils doigts et la douceur d'une chatte amie, avant que nous nous retrouvions sur l'oreiller, en couple habituel ou légitime, à finaliser l'excitation du moment au coeur de la nuit.

Et en plus aucune question, aucune inquiétude, aucune jalousie. Tout est si naturel...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 7 janvier 2 07 /01 /Jan 23:55

Je glisse mon corps dans l’eau. Un peu trop chaude à mon goût peut-être mais qui s’harmonise à la chaleur de mes sens. Ma belle d’un soir m’attend déjà. Il a suffi de quelques mots échangés pour qu’elle m’indique son désir complice et que je laisse libre champ au mien. Son corps est étendu à mes côtés, tête bêche avec le mien. Je prends quelques instants pour goûter aux caresses des bulles, qui finissent d’affoler ma fierté. Sans aucune hésitation, mes doigts prennent demeure non dans son cul mais son antre, déjà ouverte à l’envie du moment. En réponse, elle se saisit du phallus. Je pousse un soupir silencieux de contentement. Mes phalanges ré-explorent ce conduit mielleux trop vite parcouru la dernière fois. Je débusque rapidement le monticule du col, ample dont j’explore avec empressement les faces et surtout la base. Différent mais non moins charmant. La belle ne dit rien, de toutes façons elle ne dit jamais rien pendant les caresses, quoi  qu’il arrive de bien. Elle s’occupe à me rendre de ses habiles doigts le plaisir naissant que je lui donne. Elle masse les boules dans leur enveloppe détendue. Elle remonte la hampe qu’elle souligne du bout de la pulpe d’un index délicieux. Elle joue du petit frein. Je soupire d’aise.  A quoi peut-elle bien penser ? Peut-être à ce qui diffère de ce que l’on connait bien. Plus court mais plus épais, avec une cerise plus généreuse et des couilles plus taurines. J’ai failli rater la première tension. Au moment de la première déferlante,  si la damoiselle ne chante pas, elle joue d’un rythme particulier de sa matrice alors que sa matrice devient subitement plus visqueuse. Allons donc, amant d’un soir, je la conduirai sur le chemin du plaisir au toucher. Je me déplace légèrement pour que le pouce électrise le petit chose à l’extérieur. Elle apprécie silencieusement et me remercie de caresses plus appuyées. J’apprécie sa façon à elle de me masser. Mes doigts cherchent le G intérieur sans fulgurance en retour, mais tout cela participe à son plaisir. Les contractions entre ses jambes offertes se rapprochent, se redoublent, m’incitent à ne pas m’arrêter en chemin. Sa main devient plus ferme autant avide à nous faire chavirer et à emporter le tout. Mon petit doigt se pose en réponse sur l’anus plissé et s’enfonce juste ce qu’il faut pour faire sentir tout son bienfait additionnel, entrainant une nouvelle série de palpitations internes. Ma Dame dirait que je lui fais le coup du full monty. En fait pas totalement, puisque mon auriculaire se voit refuser une entrée complète. Pas grave.  La damoiselle achève de me faire perdre mes sens en attaquant à tout va des orphelines au sommet. Je sais que je suis déjà perdu à ce stade, si tendu dans le bas ventre. A mon tour je joue une symphonie endiablée de mes doigts ne voulant pas être dépassé. Sa main est devenue anneau et n’a pas plus d’autre dessein que d’extraire cette sève. Je sens la boule monter très doucement, presque au ralenti, dans un immense plaisir, pendant que tout son être vibre d’un rythme africain. Je geins pour deux, ferme les yeux et accueille notre déflagrante jouissance.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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