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Mardi 13 mai 2 13 /05 /Mai 06:10

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a Reine indique sur le chemin du retour une sainte excitation Royale à essayer sur le champ les emplettes faîtes à la Guilde des Dresseuses d'Hommes. Cependant elle est maintenant une Majestée affamée et femme affamée n'a plus de ventre. Direction donc vers une de ses tables favorites sur le chemin du royaume, l'auberge du Grand Mogul, où l'on déguste des mets raffinés de lointaines contrées par delà la mer. Elle y festoie jusqu'à plus faim avant de se diriger pour la nuit vers une auberge à proximité. Le peuple descend tout de la carriole mécanisée, pour rien en fait : la Reine repue s'endort déjà. Au réveil, il craint cependant que l'excitation de la veille revienne à la Reine à son détriment, mais elle semble avoir oublié son envie ou plutôt comme le peuple l'apprendra plus tard, elle est contrariée par une damoiselle de chambre vraiment trop proche à l'étage de l'auberge. Le peuple respire...

La communauté, maintenant réduit, repart donc en carriole en direction du royaume de province. La Reine est joyeuse et s'amuse d'un nouveau jeu à la mode à la capitale où il est question de friandises qui se mangent entre eux. Le peuple, forcémenent inculte, n'y comprend rien, mais tant que cela détourne la reine de son envie initiale. Au bout d'un moment, le peuple découvre la Reine en train de consulter des cartes des pays traversés sur Livre à Distance, autre cadeau du mage orange. Cela semble bizarre, alors que la route est droite et le chemin tracé. Le peuple s'en étonne :

- Eh bien, o ma Reine, que faîtes-vous ?

- Je recherche une forêt qui répondent à mes attentes.

- Et quelles sont-elles, respectée Reine ?

- Une forêt isolée apte à m'occuper de mon bas-peuple et à redresser ses tords. Mais je désespère de trouver cette perle rare sur notre chemin...

Le peuple tente de bander stupidement comme un serf dans son fer à castrer à cette perpective de se voir courbé sur un gros tronc tombé à terre pendant que la Reine y échine la peau du cul de son peuple du bout de son Auguste canne. Il en tremblerait presque...

- Non, rien à faire. Et si je te mettais à sécher nu sur la terrasse du château ?

- Vous... vous croyez, Majesté. Ne va-t-il pas pleuvoir à notre arrivée ?

- Bonne question, laisse moi voir.

Et la Reine interroge à distance le Grand Sorcier Met-Heo à distance. Cela fait effectivement sur le gris mais - "hé, hé" -  la pluie ne sera là que pour le soir. Le peuple craint alors non de sécher mais de cailler sur la terrasse du chateau. Il préfère finalement les bois tant que le soleil brille encore. Le peuple voyageur se retrouve bientôt à rechercher une forêt dignement isolée pour le compte de sa Reine et son propre mécompte, et finit par la trouver à quelques dizaines de lieux d'ici. La carriole quitte la route principale et s'y dirige. Mais le malin est passé par là, il s'agit de maint domaines cloturés et inacessible. La seule possibilité restante est libre d'accès mais une chasse à cours s'y déroule en ce moment ! Le peuple râle avec la Reine qu'il n'est point possible de notre temps de trouver une forêt libre de torturer dans la contrée françoise...

La conséquence est qu'une fois arrivé dans le château - sous le soleil heureusement - et la carriole vidée de son contenu, le blretour1.jpg peuple se retrouve mis d'office nu, encollieré, baîllonné et encagoulé pour être mis à sécher sur la terrasse du château une main attachée d'un coup de fer de menotte vicieux.  La Reine a de la suite dans les idées... Le peuple lui se fait petit, abandonné à la quasi vue des 2 Maures incongrus qu'il vient de d'apercevoir dans le jardin de la seigneurie voisine ! Il tente de signaler ce qu'il croit que la Reine n'a pas vu mais sa clameur meurt étouffé dans sa baîllon. De toute façon la Reine a décidé que le peuple serait là et nulle part ailleurs...

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Lundi 12 mai 1 12 /05 /Mai 06:05

blenluU-copie-1.jpgne fois, les pages mis dans le Poudlard Express pour le pays Grandparentesque, la Reine tient à visiter les merveilles de la Capitale. Il est vrai que par rapport à notre royaume de province, la Capitale recèle bien de curiosités que la Reine tient à contempler. Elle m'amène d'un pas décidé dans le musée de la Guilde des AlterEthnos, rassemblant pleins d'oeuvres de pays très lointains dont je n'ai jamais entendu parler. Certains me font froid dans le cul, comme cette étrange poteau dont je ne comprends pas la nature. La Reine, de bonne humeur, ajoute à ma destination de serf inculte.

- Oui tu as bien vu : cet homme est sodomisé et ceux-là sucent des queues. Cela doit être une réprésentation du seigneur de ce pays et de ses serfs. J'aime beaucoup. C'est plein d'inspiration...

Moi je me demande pour ma part quelle peuvent les choses - forcément à  mon détriment - que cela peut inspirer à la Reine.

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Plus loin, la Reine déniche des nouvelles curiosités exotiques. Elle m'explique qu'il s'agit d'amulettes sacrées avant de malicieusement rajouter.

- Tu vois même ces modèles réduits sont plus gros que la pauvre chose que tu continues de vouloir appeler "bite",

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Je préfère me taire et suivre la Reine dans la suite de sa visite.

Une fois la visite terminée, il est temps de rendre visite à l'échoppe de la fameuse Guilde des Dresseuses d'Hommes. La Reine me fait déplacer sa carriole privée car il n'est pas question qu'elle salisse ses pieds dans des chariots communs. La ville est grande et j'ai le temps de sentir la pression monter peu à peu alors que je me rapproche du quartier de la Guilde. Je me fais même rabrouer pour les manoeuvres pas assez maîtrisées de la carriole, au moment de la laisser dans une rue avoisinante.

J'ai un bref répit, le temps que la Reine se désaltère au soleil d'une terrasse d'une auberge locale, avant qu'il me soit rappelléblclub69.jpg que la Guilde des Dresseuses d'Hommes a une stricte étiquette et ne tolère aucun serf non ferré en son sein. La Reine m'envoie dans le fond de l'auberge passer mon fer. Je suis étonné au passage par ce que je trouve affiché sur le mur du fond de ce qui me semble sur le devant être une auberge somme toute familiale.

Dans les sous-sols, la boule au ventre je me bats et me rebats à essayer de faire rentrer mon petit-chose aux grosses couilles récalcitrantes dans le fer à castrer. Je sue, je souffle, je pense un moment revenir penaud quand, d'une dernière poussée ou tirée, tout finit par se mettre en place. Heureusement ou la Reine aurait été très mécontente à mon égard.

Le temps à la Reine de finir de sirotter son eau à bulles et à moi de bien sentir la pression du fer à castrer et nous voilà repartis pour atteindre, quelques rues plus loin, l'entrée de la fameuse Guilde.

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Je suis intimidé d'y être emmené par la Reine. Sa Majesté passe en premier comme le veut l'étiquette, ouvre le lourd rideau rouge et penètre au coeur du saint des saints. Je la suis, en serf soumis, un pas derrière. A l'intérieur, un Maure veille à ce que l'endroit reste digne. Je reconnais la grande Prétresse des lieux. Quelques autres seigneurs se baladent entre les structures, sans que je sache s'ils sont authentiquement des chevaliers noirs ou de simple curieux des rituels de la guilde. La Reine avance encore de quelques pas, quand elle est accueillie par une prétresse adjointe de la Guilde, sympathique et rassurante.

- Je peux vous aider ?

Je laisse la Reine répondre comme il se doit.

- Oui tout à fait. Je voudrais une tenue de cérémonie pour mon couronnement.

Je suis étonné car la Reine ne m'a pas fait de confidence avant sur ce désir. Mais les désirs de la Reine sont sacrés. Elle se laisse introduire par la Prétresse Adjointe qui lui montre, tout ce que le lieu peut réveler d'étoffes, vêtements et autres colifichets dignes de son statut de Majesté Royale. La Prétresse s'interroge un temps sur mon absence de participation et me jette un long regard inquisiteur. Finalement elle décide que je ne suis point de ces hommes qui ont droit à la parole et à à partir de là fait comme si je n'existais pas. La Reine est rentrée dans un espace fermé par un rideau, affiner son choix. Je suis planté devant le rideau attendant que sa Majesté est finie, laissé à l'écart de tout vision ou avis, la goutte au bout du petit chose dans le fer à castrer. Finalement quelques minutes plus tard, la Reine a fait son choix et ressort. Tout ce que je vois, c'est que c'est d'un noir brillant. Le Maure de l'entrée, très bien dressé, amène immédiatement un panier pour contenir les emplettes dans l'échoppe que je prends en charge, en bon serf soumis.

La Reine parfaitement à l'aise prend sont temps de visiter une à une les étagères bien fournies de l'échoppe, moi toujours un pas derrière. Elle me demande parfois mon avis mais uniquement pour affiner son choix. Le panier se voit rempli d'une paire de longs gants et d'un magnifique bandeau de cuir noir. La Reine passe rapidement devant les olisbos et autres godmichets - elle n'est pas venue pour cela - et s'intèresse maintenant à la partie des instruments de torture et de contention, second objet de sa visite (celui que je connaissais). Elle prend le temps de regarder un à un les meubles de salle de torture et elle semble regretter que notre Château ne puisse pas en abriter à demeure. Elle s'amuse d'un jeune couple à obédience "bobo" qu'elle suppose n'être que de phantasmeurs qui se donnent le frisson du comme-si ("loin des vraies et belles pratiques de nos provinces"). La Reine passe nonchalante devant les rayons de fers à castrer dont la faible robustesse n'incite pas à s'y attarder - de toute façon, son Royaume est déjà pourvu en solide fer à castrer - pour arriver finalement devant l'étagère des instruments à flageller et à punir, où elle passe un moment très attentif. Elle se décide pour un petit martinet à noeuds avant de chercher un instrument de "grande punition" qu'elle déniche dans un ratelier à moitié caché et qu'elle rajoute après m'avoir demandé discrètement mon avis: une épaisse canne de rotin au bout recourbé et je soupçonne étre très exigeante pour les serfs désobéissants. Sa Majesté m'ordonne de lui dénicher une paire de solide menottes de métal pendant qu'elle rajoute dans le panier un lot de bougie aptes à me travailler  au corps (envie d'y revenir que j'ignorais). 

Voilà le panier est plein, et la Reine nous dirige vers la zone de paiement où officie la grande Prétresse, qui , je suppose, sait en un clin de son oeil vif  à qui elle a affaire. Elle complimente d'ailleurs la Reine de son choix de bandeau de cuir ("très bon modèle, j'adore"), plie un à un les achats avant d'annoncer cette fois pour moi, le nombre d'écus que je dois céder. Je m'attends au pire mais finalement ce n'est pas si pire que cela. Je prends les emplettes et la Reine sort. Je lui emboite le pas.

Il est plus que temps de rentrer dans notre Royaume provincial maintenant. Je dirige la carriole mécanisée vers la sortie de la ville, quand la Voix à Distance interpelle la Reine. Il s'agit de Monsieur le Père de la Reine qui vient aux nouvelles de "ce que nous faisons ?". La Reine répond du tac au tac qu'elle sort d'un "sex-shop" qu'elle vient de visiter avec son serf, mais je ne pense pas qu'il la croit...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Dimanche 11 mai 7 11 /05 /Mai 06:39

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ous, la Reine, les pages et le bas peuple, toute la population réunie du Royaume Dyonisien, continuons notre périple en contrée Françoise. J’ai été autorisé pour ma part à voyager avec un fer à castrer allégé et moins vicieux, ce qui n’empêche nullement la Reine de me faire force de remontrances publiques, au grand bonheur des pages, qui me promettent fessée et fouettée. La plus cuisante m’est gagnée dans une auberge à gueuleton rapide près du pays Polais où je me vois reprocher de curer et dépoiler mon nez en public, qui me vaut la menace réelle et agacée d’une « baffe » publique si je continue. Et je sais qu’il ne faut jamais trop agacer une Reine.

Le matin suivant alors que nous nous approchons peu à peu du royaume de Far Far Away où résident les parents de Sa Majesté, je me réveille au petit matin le zizi brûlant sur le côté droit. Je découvre avec grimace que là où passe la cage, la peau trépasse. Pris dans l’entrain du voyage de la communauté et par manque de possibilité, je n’ai pas suivi les conseils des anciens de mettre force de crèmes et d’onguents pour survivre et me voilà à vif dans le fer, comme un chapon stupide. Je fais part, sans grand espoir, de « mon petit problème » à la Reine qui, cependant de très bonne humeur décidemment ce matin-là, m’autorise à vaquer à mes tâches un moment libre, le temps d’un début de guérison, bien sûr à la condition absolue et non négociable de rester chaste même sans cage.

J’ai la ferme intention de tenir mon engagement car je sais à quel point il est physiquement dangereux d’être un rebelle lors des changements des régimes dans nos pays. Sauf qu’une fois arrivé au royaume de Far Far Away, l’aura de la Reine s’éloigne un peu laissant le champ libre à des démons locaux de prendre possession de mon corps.  J’essaye de leur résister comme je peux mais je ne suis alors plus qu’un serf sans protection, abandonné par sa Reine. Les Démons se font pressants à tout moment et à tout endroit, faisant jaillir une érection de mon petit chose que je ne contrôle plus et une humidité persistante dans l’entrejambe. Ils me torturent, sûrs de s’emparer de mon âme en perdition.

Les travaux généreusement attribués par Monsieur et Madame me tiennent éloignés de la tentation pendant un temps, en particulier la rituelle plantation des plants de tomates dans le jardin Royal sous la pluie et les directives pressantes de la Reine-Mère. Me voilà à bêcher, retourner les mottes, brouetter, creuser, tout mouillé. Chaque année la Reine-Mère prend plaisir à augmenter le nombre de plants à mon grand déplaisir. Il faut aussi gérer la garde rapprochée des seigneurs voisins qui vont et viennent, tout en envoyant leurs propres pages s'amuser avec les pages de notre royaume lointain, qui ont une aura si exotique dans cette contrée. Tout cela m'occupe l'esprit mais j'y perds la connection avec ma propre Reine, sauf pour des remontrances publiques de trop me laisser aller au bon vin du pays...

Je redeviens par contre vulnérable quand je me retrouve seul, moment limité dans ce palais au passage dans la salle d'eau. Il existe pour son utilisation une étiquette et un ordre de privilège. Etant finalement qu'un serf d'un pays étranger, même dans la suite d'une ancienne Princesse de ce royaume, j'y ai le plus petit ordre de priorité. Il me faut attendre errant dans le palais et les jardins, l'esprit propice à y laisser rentrer les Démons. Ils me travaillent au corps et prennent le contrôle de mon membre libre peu à peu. Si bien que j'arrive, quand c'est mon tour, à la salle d'eau totalement sous leur contrôle. Je me glisse sous l'eau plus très chaude à ce moment là et ils me tourmentent.

- Vas-y ! Vas-y ! Laisse-toi aller, la Reine n'en saura rien...

J'ai la dureté tentatrice et cet état de faiblesse dans l'entrejambe. J'essaye de penser à la mort des petits africains, mais rien n'y fait. Ils me forcent à poser la main sur le bâton tendu et à commencer le geste immémorial des hommes en état de faiblesse excitée. En état de faiblesse je le suis. Je me laisse aller à la montée du plaisir démoniaque, astique de plus en plus vie jusqu'à faire jaillir l'honteux elixir dans un râle non étouffé sous l'eau. Que l'interdit est bon !

Les Démons se retirent me laissant seul alors que je reprends mes sens et découvre l'atrocité de la trahison que je viens d'effectuer. Je me sens honteux. J'envoie un Pigeon Voyageur Instatané pour me dénoncer. Aucune réponse ! Ni maintenant, ni après. La Reine est-elle trop courroucée pour me pardonner ?

Le lendemain, dans la même situation je leur résiste cette fois avec vaillance et m'abstient de me remettre en faute. Mais il est déjà temps de repartir.

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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