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Jeudi 19 juin 4 19 /06 /Juin 05:35

Le lendemain de la fête des papas du Royaume, le bon peuple est mandé par la Reine avant de partir effectuer son labeur quotidien au domaine du Travhaille, pour un suivi populaire rapproché qui a l'air de se mettre en place chaque semaine.

Le peuple trouve la Reine en train de faire l'évaluation de l'obéissance de son peuple, et si le peuple a fait quelques progrés, il reste aussi un nombre important de choses qui lui sont reprochées. D'autant que le peuple apprend à ses dépends, que le jugement Royal est global et non limité à la stricte application des 10 règles instituées. Ainsi, par exemple, même si sa Majesté trouve que son Château est bien tenu, elle reproche au peuple son caractère "infect" des derniers jours. Et qu'il soit lié à la somme des manques qu'endurent le peuple, n'est pas une excuse valable dans le Royaume dyonisien (bien que le peuple soupçonne que cela puisse expliquer la bonté inhabituelle de la Reine lors de la fête des papas).

Une fois le peuple noté, la Reine est pressée de voir le résultat que cela donne dans le Barême Officiel du Royaume Dyonisien qu'elle a fait établir par son administration. Le peuple qualifierait ce barême de très exigeant.

Il a deux facettes.

D'un côté il détermine une somme de "points de punition" applicables sur le champ qui s'accumulent à la base pour toute obéissance du peuple inférieure à la note de 8/10 et d'autant plus que le peuple en est loin. A cela se rajoute une "majoration" pour régression des notes d'obéissance et particulièrement si cela concerne des points où la Reine avait exigé des progrès prioritaires.

La Reine a hâte de voir le résultat obtenu. Pour son peuple, c'est, cette fois-ci, 42 points, c'est à dire au Royal choix, 42 coups de fouets, 84 coups de cannes ou 168 coups de paddle. Le peuple se doutait que le barème obtenu serait très incitatif à rentrer rapidement dans le rang et que tout écart allait se payer durement. C'est le cas.

La Reine choisit le fouet pour cette première.

Le Barême Officiel du Royaume Dyonisien génère aussi des points de récompense pour les notes supérieures à 9/10, avec des points de bonus pour les progrès constatés. Cela donne 8 points de récompense cette fois-ci que le peuple est libre de thésauriser et dépenser de la façon qu'il veut (par exemple le verre de whisky est actuellement à 15 points mais le tarif peut changer à tout moment, a prévenu la Reine)

Oui la Reine est très satisfaite du travail de son administration

- Allez en place, les points de punition sont exécutables immédiatement !

La Reine vient de parler et le peuple part rejoindre, la tête basse et l'appréhension au ventre, son poste.

Que dire sur ce moment ? Le peuple se retrouve nu et vulnérable dans la position d'un petit garçon qui se fait punir. Térriblement humiliant sous les commentaires Royaux de remontrance. Le peuple découvre aussi que s'il a été une époque où la Reine avait réticence à punir physiquement son peuple, cette époque est révolue et bien révolue. La Reine applique ce qu'elle a décidé, faisant fi du peuple battu. Une fois menottée et baîlloné, elle donne de son fouet sans pause, à coups réguliers, faisant danser le peuple sous la douleur. Aucun adoucissement à attendre de sa part. Au moins pour les premieres 24 premières cinglées de fouet, livrées sèchement et méthodiquement. Le peuple souffre. Le peuple crie. Le peuple a le souffle coupé. Puis finalement elle s'arrête à la moitié de la punition (c'est bien connu 24 est la moitié de 42 ! La Reine adore abuser de son peuple), pour sermonner son peuple qui se demande si finalement il ne vaudrait pas mieux s'attacher dès à présent à complaire à toutes les demandes Royales. Le peuple attend la suite craintif. Mais le fouet lui est épargné et il est terminé à coup de paddles bien sentis... 48 ! La Ryale remontrance est finie et le peuple est envoyé au Domaine du Travhaille le mal au cul toute la journée.

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Le peuple doit comprendre qu'il est temps de changer son comportement !

dyonisos    

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 17 juin 2 17 /06 /Juin 05:45

C'était la fête des pères au Royaume ce week-end comme dans beaucoup d'autres contrées. Quelque chose de définitivement Monsieur et Madame tout le monde, normallement sans d'autres risques que de recevoir un cure pipe en coton tige et un moulin en pot de yahourt. Je charrie là, car les pages ont passé l'âge et je ne vais pas m'en plaindre. D'ailleurs en ce dimanche ensoleillé, ils ne sont pas beaucoup rester à la maison...

Je savais néanmoins qu'il y avait un complot dans l'air, avec le page ne cessant de me distiller dans le creux de l'oreille qu'avec mon cadeau, cela serait aussi un peu le sien et qu'il pourrait récupérer ce que j'abandonnerais. Tout cela était bien mystérieux, mais comme il ne sait pas trop tenir sa langue j'ai commencé à soupçonner qu'une tablette était commandée et qu'il espérait récupérer mon ordinateur actuel (et ses merveilleuses photos et videos de maman en train de s"amuser avec papa). Là il pouvait toujours rêver... Effectivement vendredi soir, le voisin m'a remis un paquet de la poste arrivé dans la journée que je n'ai pas eu le temps d'examiner, puisque N. qui rentrait avec les pages au même moment me l'a d'autorité enlevé des mains.

Samedi, c'était l'heure de la tonte et donc du plug (règle 10), deux choses qui m'enthousiasmaient guère et j'ai mis longtemps avant de me décider à sortir la tondeuse et m'enfiler le rosebud dans le cul, qui était cette fois là tout sauf agréable. Passons...

Dimanche matin, je me suis levé tôt avec la cage. J'ai repassé entre 7 et 8 heures devant la télévision avant de m'atteler à la préparation de mon repas de fête des Pères (mon statut de Marguerite domestique oblige). Vers 11h, le cadeau me fut offert en famille et là j'ai cru que j'avais rêvé : un pèse personne XXXXL (200 kg !) avec le petit mot "si" gentil pour accompagner le présent :

- Tu sais : il y avait des modèles qui n'allaient que jusqu'à 150 kg, mais j'ai trouvé ce modèle beaucoup mieux...

J'avoue que j'étais plus que dubitatif devant ce cadeau, me demandant s'il s'agissait du lard ou du cochon. Je ne voyais pas le besoin de nous pourvoir en un pèse bétail à la maison qui me laisse tant de marge pour grossir. Finalement je me suis demandé si je ne préferais pas les pots de yahourt décorés d'antan... Et en plus je ne suis pas arrivé à savoir si l'humiliation était voulu ou fortuite. Passons là aussi... De toute façon comme c'est bizarre je ne l'ai pas encore essayé. Na !

Le repas de fête de leur Père a été zappé par les pages. L'un trop occupé à construire une cabane avec les copains et l'autre à la préparation de la fête de son club. Même Madame s'est absentée de la maison un long moment alors que je faisais chauffer le BBQ et préparais les brochettes maison.

Quand elle est revenue, N. a été plus que directe :

- On est seul : enfants partis. J'ai envie de ta queue : allez ouste à l'étage ! Je te décage, je t'utilise puis je te rencage.

Ce que femme excitée veut... Je me suis retrouvé rapidement nu sous la douche, décagé avec une belle érection. Direction la chambre avec un petit capuchon (de traite ?).

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Madame s'est mise en levrette, prête à jouir de "sa" queue. Un vrai bonheur quand même le porteur de la dite queue de s'enfoncer dans le conduit humide et accueillant au bout de 5 semaines de période nada. N. apprécie follement et bruyamment le rythme des coups de butoir. J'essaye de me détendre (l'esprit pas la bite) car je suis toujours sous la menace de la règle qui m'oblige à quémander en petit garçon mes autorisation d'éjaculations. La boule monte doucement au creux du ventre alors que N. a plusieurs kilomètres d'avance et est déjà dans les folles contrée du plaisir. Une vraie jouisseuse précoce ce jour là !  Jusqu'à son long et intense orgasme qui éclate là sous mes yeux. Je ne bouge plus... attendant sa décision...

- Ouah c'était trop bon ! Je devrais faire cela plus souvent...

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Puis se rappellant de la queue qu'elle venait de s'embrocher et qui se tenait encore profondément enfichée dans la matrice si mouillée.

- Tu n'es pas parti, toi ?

- Non.

- Alors tu t'enlèves et tu remets ta cage.

Là j'ai chouiné pour essayer de l'attendrir, négocier du rab, voire même obtenir le droit à me laisser aller. Trop envie. Et bizarrement cela a marché. Après des nons de façade ("trop de risques que tu partes"), j'obtiens le Saint-Graal ; sa bouche doucereuse descend sur mon gland et le long de ma hampe dans un passioné baiser que les femmes donnent à leurs hommes. Délicieux de douceur humide ! Je mets la tête en arrière appelant ma nature de mâle à enfin s'exprimer, là dans cette chaude bouche et tout de suite.

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jusqu'en vilaine petite fille qui se réjouit de son mauvais coup, N. redevenue d'un cop Maîtresse cruelle m'en prive et me laisse la queue en plan et en feu. Aussitôt sans y penser, je porte ma main pour me finir mais Maîtresse m'en empêche et me met en garde.

- tss, tss, tss. INTERDIT !

Déçu et frustré le dyonisos.

- Mais comme c'est la fête des papas, je te permets de te balader sans cage un moment avant de t'y remettre ce soir. Allez passe une culotte.

J'ai du bataîller un moment pour que N. abandonne l'idée de me voir porter "mes" petites culottes bateaux roses, mauves, en coton sans tenue où ma bite que ne voulait pas se détendre, aurait fait mat de chapîteau (nous devions sortir), pour finalement "récupérer" un string qui me pénétrait loin dans les fesses, mais plaquait toute fierté mal placé.

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Cela plaisait évidemment énormément à ma Reine de m'habiller ainsi.

Il était temps de manger en "amoureux" sous un arbre. Le temps d'apprendre qu'il n'était pas du tout acquis que je sorte de ma cage pour nos vacances (!). Le temps aussi d'aider la Reine à mettre au point son tarif de punitions/récompenses (le paradoxe du pendu qui fabrique sa corde).

Le reste de la journée a été plus calme, avec la soirée devant le match. J'ai même eu le droit à un verre d'un divin whisky japonais pour ma fête avant que la bouteille soit mise sous clé.

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Puis vint l'heure du coucher. D'abord l'ordre de remettre ma cage et me grenouillère, que j'ai fait semblant de ne pas avoir entendu pendant que N. terminait une commande. Moi je jouais au solitaire sur mon téléphone. Puis la Maîtresse s'est réveillée, m'a fait sortir le kit à sondes d'urêtre. Et me voilà à sa grande joie transpercé...

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- J'ai vraiment l'impression de te violer ! J'adore cela !

C'est à mi chemin entre le plaisir et la douleur. Je sens la tige me pénétrer accompagnée des doigts de N. qui surveille sa progression.

- Tu as vu cela rentre tout seul...

Je lève la tête pour ne plus voir que l'extrémité de la tige (25 cm !) qui dépasse de mon gland. C'est terrifiant d'imaginer que cela puisse aller si profond. Je ne préfère ne pas voir.

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Au plus profond justement, la tige est un peu douloureuse. N. est enjouée et manifestement très excitée. Elle change de diamètre. Il m'est plus difficile. Elle s'amuse à suivre la boule sous la peau jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans les entrailles. N. commente à voix haute. Je sers les dents.

Puis N. décide de me branler autour de la tige, tout en continuant à la faire circuler dans les profondeurs. La tension de la libération monte en moi. Je suis complètement offert entre ses mains. Elle accélère le mouvement tout en enfonçant la boule. Je me sens prêt à déferler dans quelques instants. Un dernier mouvement de sa main et puis... plus rien ! Non qu'elle est enlevée sa main. Mais mon orgasme vient d'être volé et a disparu au dernier moment.

- Je ne suis pas parti là ?

- Et si : il y en a partout !

Partout ? Sans aucune sensation d'orgasme ? Je commence à me demander si la boule n'a pas tout freiné et m'a privé de de tout plaisir de la délivrance... En terme technique : un magnifique orgasme ruiné qui me laisse incrédule et frustré.

Pas le temps de ressasser, déjà la Reine me demande l'extinction au plus vite de l'incendie qui a pris naissance entre ses jambes...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Jeudi 12 juin 4 12 /06 /Juin 06:25

Le peuple se réveille sous le coup d'une érection présente et d'un refroidissement de fin de nuit. La chambre Royale est vide de sa Reine. Il est très tôt, la nuit commence juste à laisser la place à la clarté du matin. Le peuple inquiet de la Royale absence part à la recherche de la Reine dans le Château.

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Le peuple trouve sa Majesté occupée à tenir sa correspondance sur la machine à scribes. Il salue avec enthousiasme sa Reine heureux de la retrouver. Elle lui répond d'une sèche malice :

- Tu tombes bien peuple ! Puisque tu es réveillé, je vais pouvoir m'occuper de ton cas...

Le peuple grimace immédiatement. Il a l'habitude d'une transition calme entre nuit et journée, et là la Reine lui en propose une qu'il devine violente. Il n'obtient rien de plus que de se réhumidifier le gosier sec de la nuit, avant de se retrouver à genoux aux pieds de sa Reine. Car sa Majesté levée depuis un temps a travaillé : un feuillet d'évaluation du comportement du peuple apparait, que la Reine remplit avec une impartialité que les vaines tentatives du peuple n'arrivent pas à infléchir. Il se trouve que la Reine veut qu'à terme la dizaine de règles qu'elle a édictées soient scrupuleusement respectées ("ou à quoi bon les énoncer si je m'assure pas que tu les suis ?"). L'écriture est rouge à escient pour rappeler la Maîtresse d'école qui corrige les fautes du mauvais élève.

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Le peuple se voit principalement reprocher sa consommation de bière au-delà du quota autorisé ("heureusement que tu n'as pas consommé du whisky en plus !") et, chose nouvelle, est rendu personnellement responsable du "laisser-aller" des pages. La sanction tombe : une fouettée immédiatement exécutable ! "Allez ouste dans la chambre d'amis !"

La Reine innove. Le peuple détroussé de sa grenouillère et couche baissée en haut des cuisses, est maintenant menotté autour de l'échelle de meunier. Cela oblige le peuple à prendre une position peu confortable courbée sur l'échelle. La clé est mise hors de portée, ce que ne comprend pas immédiatement le peuple. 

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Puis ce qui doit se passer, se passe sans attente. Le fouet frappe une fois, deux fois. Il s'enroule autour de la taille et vient éclater sur le devant. La Reine ne prend aucune précaution pour punir son peuple. Le peuple a immédiatement très mal et gémit de détresse dans son baîllon. La Reine n'a pas besoin de faire durer sa fouettée pour obtenir l'effet incisif qu'elle désire sur l'esprit populaire. En moins d'une dizaine de cinglées, elle force la contrition chez le peuple qui ne désire plus qu'une chose, que cette violence s'arrête ! Le peuple découvrira plus tard avec incrédulité que la pour la première fois de sa vie de peuple soumis, il a été battu jusqu'au premier sang.

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La Reine termine sa leçon avec des claques sur les fesses, mais constate mécontente que cela fait beaucoup moins crier son peuple que le fouet. Elle change de tactique et plante ses ongles dans les tétons sans défense, fixant la douleur montante dans les yeux de son peuple. Puis satisfaite de son action, elle laisse le peuple réfléchir à son comportement et à la façon dont il va l'améliorer en une sorte de mise au coin mais debout. C'est pour cela que la clé est hors d'atteinte ! Une demie-heure de maturation de l'esprit du peuple dans une situation délicate qui tire sur les muscles et avec la douleur laissée par le fouet, la vessie elle, se soulageant honteusement dans la couche laissée accrochés autour de la cage (il faut bien qu'elle serve à quelque chose...). Une demie-heure finalement beaucoup plus pénible que le fouet - le peuple déteste de ne plus être libre de ses mouvements - qui montre à quel point la Reine est sérieuse dans sa volonté d'obtenir ce qu'elle veut de son peuple.

Finalement le peuple accueille avec joie le retour de sa Reine venue le libérer. La Reine lui a gentiment préparé un café (de pardon ?) mais elle exige que son peuple déjeune avec elle. S'en suit une discussion sur le fond et la forme. La Reine annonce d'abord que le peuple sera mis au travail entre ses jambes dès le petit-déjeuner fini. Puis elle décrit ce que lui a apporté ce qui vient de se passer : beaucoup d'humidité dans l'entrejambe et un défoulement délicieux. Elle réfléchit à voit haute à l'avenir de ses punitions du peuple en faute, "deux-trois par semaines si besoin, pas plus" et "non tu ne seras jamais averti à l'avance, je tiens à garder l'effet pédagogique de la surprise..."

Il est temps au peuple de faire son travail d'apaisement Royal, la tête sous la couverture (la Reine veut être au chaud), de la langue et des doigts. Non pour un Royal orgasme mais pour une détente de l'organisme, jusqu'à sa Majesté se rendorme, heureuse de se rendormir comme Montaigne.

Le peuple lui, commence ses corvées de la journée...

Il y a donc changement dans le Royaume ces temps-ci et le peuple ne peut que constater comment la Reine travaille sérieusement à établir son Royaume de droit gynarchique (comme annoncé). Il ne sait pas encore comment il va accueillir ce changement fondamental dans la contrée. Mais quand même, être fouetté au coeur de la nuit, sans répit ! Ce Royaume de mai est si atypique...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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