Nous

Dimanche 3 août 7 03 /08 /Août 06:20

- J'ai envie d'un bon spa...

Ma douce rentre de son travail. Je viens d'arriver à la maison. Oui mais la spa est sale des semaines d'inactivité. Et de toute façon, N. a finalement plus faim qu'envie de se baigner pour l'instant. Je m'atelle au BBQ tout en, sans conviction, ordonnant à ma Popette personnelle d'aller nettoyer la baignoire.

Tu parles Charles, si je me suis occupé à bien faire braiser les braises, rôtir les pomme de terre dans leur cape d'alu et cuire à vif les travers, quand je rentre, le spa est toujours vide et sale, et N. s'est endormie sur la méridienne...

Le temps de manger, je m'occupe enfin d'aller nettoyer le spa et commencer à le remplir d'une bonne eau chaude, car moi maintenant j'ai envie de m'y détendre. Quand tout est prêt je me désappe complètement et annonce que je vais au spa. N. me répond : je ne sais pas si... maintenant... et puis l'émission à la télé est intéressante...

- Ben tant pis pour toi ! Tu en voulais un : il est prêt. Moi j'y vais, toi tu fais ce que tu veux...

Et je récupère mon livre du moment avant de m'enfoncer dans l'eau chaude délicieuse... Je lirai après un premier moment de bulles ai-je décidé. Mais je n'en n'aurai pas le temps. Car j'ai du piquer au vif Madame, car je la vois bientôt arriver nue pour m'y rejoindre.

Le spa que nous avons est idéal pour deux adultes qui ont la place de complètement s'allonger tête bêche. C'est un peu un boudoir de conversation aux couleurs changeantes apportées par le fibre du plafond. Il invite à l'échange verbal au moins, et plus si affinité...

Dans les bulles, N. se moque de moi.

- De toute façon, je suis sûre que tu ne bandes pas !

Je me cabre un peu pour faire surgir des eaux une magnifique colonne de chair fièrement dressée.

- Et, si... barbatruc !

Je rigole.

- Oui mais de de toute façon, les anglais sont là. J'ai mis un tampon neuf avant de venir dans l'eau et je ne peux pas...

Qu'est-ce que cela parle une femme... L'homme lui agit, trouve la ficelle et débouche ce qui doit être débouché. De toute façon, on s'en fout anglais ou pas : le spa va laver tout à grande eau... N. est surprise comme si un homme ne pouvait savoir faire cela. Des fois, elles nous prennent pour des idiots nés de la dernière pluie quand même... Le tampon tout humide et légèrement rosé est posé sur le rebord.

- Oh, on dirait un mulot mort !

Ce genre de mulot dont le chat de la maison adore nous faire cadeau et donc nous essayons de le persuader, que non, finalement non, nous n'aimons pas du tout qu'il nous fasse ce genre de cadeau. Il en a d'ailleurs chassé et tué un ce soir, heureusement maintenu loin dans le jardin, avec lequel il a joué un moment avant de laisser le chat des voisins plus "nature" tranquillement le manger...

En tout cas, nous rigolons de bon coeur de ce mulot mort du spa. Le temps de trouver ma prise dans l'entrejambe de ma belle et de faire monter d'un coup la température de plusieurs degrés. J'ai des doigts expérimentés et je sais bien comment faire ronronner ma chatte perso sous leurs actions. Les plaisirs inattendus sont sans doute les meilleurs. 

De son côté elle passe de doux massages des coucougnettes à un astiquage amoureux de tige. C'est l'occasion des comparaisons. Je dois descendre pour qu'elle atteigne le paquet.

- Oui j'ai le bras trop court...

- Heureusement notre amie, ELLE, l'a plus long... et elle râle moins.

- Et tu as un plus gros paquet de couilles que notre ami. Tu l'as sucée elle ?

- Non pas encore, mais la prochaine j'aimerais bien. Elle a le vagin moins profond que le tien et j'adore aller m'amuser avec son col...

- Oui, tu es légèrement plus court, mais définitivement plus large...

Et nous continuons dans les différences qui unissent. A un moment, j'ai comme une envie d'embrochage...

- Allez hop en selle, Madame !

La position du missionnaire n'est pas la plus facile dans cette baignoire. Mais N. prefère cela à l'amazone pour rester dans l'eau chaude. Nous avons aussi essayé la cuillère. Bref si je ne veux pas noyer ma partenaire (et je ne veux pas la noyer ! lol), la position de corps bloque la profondeur et faute d'embrochage profond, il est seulement question de farfouillage d'entrée de vulve, apprécié à sa juste valeur par Madame qui ronronne de nouveau. Je suis bien, mais pas au point de me répandre.

Nous arrêtons finalement d'un commun accord et je m'assoie d'autorité sur le bord de la baignoire, les pieds dans l'eau. Madame comprend le sens de mon invitation et vient s'agenouiller entre mes jambes. Il n'y a pas de plus puissants aphrodiasiaques pour un Mâle que d'avoir sa Femelle à ses pieds. Je me penche en arrière pour dégager mon bidon et ma Dame commence amoureusement ce que j'attends d'elle.

Oh que la sucette est bonne ! Tendre ! Amoureuse ! Divine ! Mais ma Dame, arrive toujours à discuter même quand sa bouche est prise. Forcément cela entraîne quelques pauses, que je laisse faire avant de lui indiquer qu'il est temps de terminer ce qu'elle a aussi bien commencé d'une main dans ses cheveux...

Quelques conversations plus tard, la voilà contre moi, dans le même sens cette fois. Elle se tourne sur le côté pour tout dégager, pas pour le goupillon au repos maintenant, mais mes doigts qui jouent leur mélodie sur son bouton, ses lèvres, sa vulve et son petit trou (ce qu'elle adore). Sans doute pas le meilleur orgasme de l'année mais suffisamment de quoi la faire se sentir bien et apaîsée.

- Tu veux que je m'occupe de ton petit trou, maintenant ?

- Oui, pourquoi pas...

Je lui donne mes fesses et elle investit de son doigt ma rondelle. Je soupire d'aise qu'elle s'occupe de cette faiblesse qui donne un plaisir tant différent aux Mâles... Ils devraient tous essayer... Elle me travaille, longuement, amoureusement. Je geins doucement sous l'effet de la caresse.

- Ah, si tu me prenais plus souvent au gode-ceinture...

- Tu sais bien que cela me donne mal au dos, avec les coups de rein à donner... Le gode à la main, c'et beaucoup mieux...

- Mais ce n'est pas la même chose pour moi, pas le même symbole. Il faudrait peut-être trouver des nouvelles positions mieux pour ton dos...

- Oui je sais, je m'allonge et tu t'empales sur le gode !

Je tire une grimace à la perspective. Et N. doit doucement rire sous cape à ce moment là. De nouveaux un bain de bulles pour terminer...

- Allez je sors, trop envie de pipi !

- Bah, t'as qu'à te laisser aller dans l'eau... y'a personne et cela ne me dérange pas.

- Mais non, c'est trop dégueulasse ! ... mais te le donner à boire c'est mieux ! Allez hop, en position !

Et c'est ainsi que j'ai bu à la source, le Saint Nectar doré, de ma Dame redevenue Maîtresse en un instant. Un elixir au goût prononcé mais si délicieux dans la tête de dyonisos....

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Jeudi 31 juillet 4 31 /07 /Juil 05:51

Une fois le film terminé, il est temps à Marguerite de reprendre son service domestique. Je pars à la recherche de la Maîtresse de maison qui dort du sommeil de la juste sur le lit d'amis. De moins je l'entends au loin et la réveille même un instant du bruit de la lourde quincaillerie d'esclave que je transporte. Je m'éloigne pour la laisser profiter de la fin de sa sieste et m'attelle à l'opération grand lavage d'après les vacances. J'aspirote, je lessivote les sols dans toute la maison, sous le regard intéressé de Madame qui a fini par se réveiller.

C'est un grand effort. J'ai bientôt le dos luisant et les couilles ramollies de l'homme au labeur. Maîtresse le note avec malice tout en matant son Mâle s'exhiber devant ses yeux. Il ne doit pas avoir que les sols qui sont humides à ce moment...

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Un remontage de sac à dos sur la plus haute étagère se transforme en quasi catastrophe, d'autant que ma Reine me le fait refaire deux fois "pour être sûr que tu as bien vidé TOUTES les poches". L'étagère est haute et je suis en équilibre précaire, chaque fois que je pose les sacs. Et la seconde fois je glisse sur le sol mouillé, en une magnifique figure carpée d'esclave enchaîné, me reprenant qu'au dernier moment dans la limite autorisée des chaînes de fer et la peur au ventre d'y laisser mon coccyx ! Madame en rigole après coup... Moi moins...

Je viens peu à peu au bout de mon labeur d'esclave. Pièce par pièce. Cm2 par cm2. Maîtresse trie ses papiers divertie par la vue de son esclave personnel, tout en demandant malicieusement de déplacer cette caisse ci ou celle-là pour le bonheur de mater mon cul s'abaissant sans doute.

Je suis en sueur et maintenant très fatigué de ma contrainte. Une fois mes tâches terminées, je m'octroie sous ma seule autorisation un apéritif de récompense sur la terrasse. C'esr interdit bien sûr. Aussi Madame douée d'un sixième sens, me débusque dans ma faute...

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- Et bien cela te fera 10 de plus !

Oui car je suis toujours sous surveillance... La fin de la journée arrive et la punition avec. Madame s'interroge sur l'opportunité de ma flageller en avant-repas ou de la faire après en soirée. J'en ai marre de mes chaînes. Je plaide ma cause pour être "battu' tout de suite et être libre après. Oui je sais c'est idiot comme choix, mais c'est le genre d'extrémité où me mène ce genre de jeu.

blcravache.jpg Me voilà menotté contre mon échelle de souffrance dans la chambre d'amis. Je suis baîllonné aussi et laissé dans l'attente par ma tourmenteuse le temps de craindre la suite. Cela ne sera pas le fouet cette fois-ci, mais cette cravache achetée il y a quelques temps par Madame. Elle frappe dur et dru, comptant à voix haute et faisant des pauses de Maîtresse pour vérifier sur mes fesses l'effet de son action. Je n'existe plus, je ne suis plus qu'un défouloir pour essayer SA nouvelle cravache. Maîtresse aime quand la marque apparait en entier...

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Allez pour SON plaisir quelques coups de cannes pour finir et me voilà mis en attente et en maturation de l'effet de sa punition...

- Est-ce différent qu'avec le zizi en cage ?

Il n'y a pas de question innocente chez une Maîtresse. J'ai le frisson de l'homme qui craint d'être encagé à l'instant. Sans doute mon cas est pesé en ce moment même... Et je suis finalement laissé libre de queue que Madame a manifestement envie d'utiliser de nouveau dans les jours à venir.

Soirée tranquille en amoureux après une bonne douche et l'heure du coucher arrive. Je suis dans mon roman, mais N. a une autre envie : "Allez au boulot de tes doigts !". Je préfèrerais continuer à lire mais il y a des demandes que l'on peut ignorer. Et puis, N. n'a pas obtenu son Saint Graal orgasmique et elle le VEUT maintenant. Et elle l'a enfin.

Allez l'heure de dormir. Calée contre son épaule favorite, c'est l'heure des confidences de ma Dame.

- Tu sais que tu m'as follement excitée toute la journée, à te balader nu sous mes yeux ?

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mercredi 30 juillet 3 30 /07 /Juil 05:34

Le repas terminé, j'ai - comment dire - un petit coup de fatigue et le cou endolori à porter les pas si légères chaînes. Et comme j'ai l'esprit un peu mutin en ce jour qui me vaut déjà une addition promises de 20 coups de fouets, je décide, après tout pourquoi pas ? Tout ce qui n'est expressement pas interdit, n'est pas interdit. Je décide donc d'aller me reposer de mon (dur) labeur du matin, affalé sur le canapé et devant une nième rediffusion de James Bond. Cela me repose les cervicales. Je pue de mon labeur et je sens tellement que, toute la journée, ma belle doutera que je me sois vraiment lavé le matin. Et bien si, sachez-le Madame !

blesclave2.jpg

Je suis au calme à moitié comateux en ce début d'après-midi, en train de me divertir devant le film, depuis quelques temps déjà quand N. arrive avec une glace qu'elle mange tranquillement appuyée contre l'épaule de son esclave d'amour favori. Aucun reproche sur mon comportement. N. prend son temps pour savourer avant de me quitter un moment. Je la regarde partir de l'oeil nonchalant du Mâle à l'heure de la sieste... tout en visionnant James fôlatrer avec la première blonde du film.

Quand N. revient, je reconnais la sacoche qu'elle ramène avec alcool et coton : celle des sondes d'urêtre au plaisir si particulier. Maîtresse décide un 7 mm ("pas la peine de perdre son temps avec de plus petits calibres"). Et m'embroche immédiatement le zob. Je commence à cerner le plaisir particulier de ce type d'accessoire. La boule au bout de la tige fait exactement le même effet que la boule de sperme qui remonte le conduit. Le cerveau du Mâle s'en souvient et lâche immediatement force de liquide venu des profondeurs. Au point même que N. pense que tout cela soit terminé...

- Mais non, ce n'est que du pré-sperme, je la rassure

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Me voilà travaillé de la tige dans la tige. C'est divin ! Je profite la tête relâchée en arrière. Le miracle de la vie se produit. Mes couleurs sont hissées haut maintenant.

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- Allez hop, au travail ! Baise-moi !

Ma belle se met en levrette sur le canapé. Avec avidité, je m'installe et pénètre, mes chaînes collées contre son cul. Baises de journée, les meilleures. Cela geint et crie sous moi. Cela m'excite tellement. Je sens ma sauce se préparer. Mais ai-je le droit en soumis ? Je pose avec humilité la question. Jouissance m'est accordée. Et jouissance dans un râle est consommé. Oh que c'est bon !

Je crois que N. n'a pas eu totalement son dû, surpris par ma rapide conclusion. C'est là aussi ce qui nous diffère d'un couple purement D/S. Elle est contente pour mon plaisir. Tout en voulant, femme qu'elle reste, encore pour elle. La nature ayant réduit les plus belles stèles érigées à des tailles plus modestes, il y a comme qui dirait latence, et donc impossibilité. Ah si j'avais 20 ans, je prendrais ce cul que j'ai farfouillé un temps d'un doigt inquisiteur !

Ma merveilleuse belle n'est pas à court d'idée. Voilà que faute de vaillance de son Mâle, elle veut essayer à son tour les sondes. Vu la béance, je choisis la plus grosse, 13 mm, et je regarde les capacités de la chose. Massage d'entrée de vulve. Titillage de point G. Débusquage de col. C'est froid, c'et bon, me dit-elle et je le constate de visu. Ma Dame apprécit beaucoup... Une découverte de la complicité de l'instrument en reverse.

A ce plaisir, elle finit par rendre grace et m'abandonner pour une sieste lancée par les hormones. Je continue mon James Bond, allongé nu, en chaînes sur la méridienne, tout en manquant de-ci et de-là quelques minutes dans les bras de Morphée...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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