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Dimanche 26 octobre 7 26 /10 /Oct 05:55

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ans le Royaume de Dyonisie, la Reine ne fait pas les basses besognes. Il en est ainsi des fers à main que sa Majesté a prévu pour rendre son peuple totalement à la merci de ses Royales actions. La Reine entend que le peuple s'enchaîne lui même. Elle trouve que cela a un côté édifiant pour son peuple de participer activement à sa punition. Et sa Majesté n'est pas attaché aux symboles. Elle est très pragmatique. Qu'importe qui fait, le principal est d'obtenir le résultat désiré, c'est à dire, en l'espèce un peuple nu et sans défense, "offert" à son Royal courroux.

Le peuple donc n'a pas d'autre choix que de se passer les fers aux poignets. D'abord une seule main avant de se diriger vers la branche désignée pour finir de s'immobiliser lui-même pour le compte de sa Majesté. Il s'apprête donc à s'immobiliser la seconde main en position requise. Quand la Reine l'arrête :

- Attends elle est où la clé des menottes ?

- C'est vous qui l'avez, Majesté...

- Justement non. Je pensais que c'est toi qui l'avait...

La mine déconfite du peuple doit être plaisante à voir mains en fait navrante, les dites menottes attachées à son poignet gauche. Il croit à une mauvaise blague de sa Reine, mais que nenni : il apparait que la clé est bien disparue. Un drôle de sanglier humain se met à remuer les feuilles sur le trajet fait à la recherche de la foutue clé : en vain ! Autant retrouver une aiguille dans une meule de foin... Le peuple maintenant très embêté regarde s'il peut détacher d'une manière ou d'une autre la menotte verrouillée, mais il n'obtient que de la serrer encore plus. Là il panique vraiment. Il s'intèresse à un moment à l'autre menotte encore libre (heureusement !) essayant de comprendre son mécanisme, mais le stress l'empêche d'y voir clair. La Reine propose divers objets pour déverrouiller le cliquet, mais rien ne marche : il faut cette foutue clé perdue ! Là le peuple ne rit plus du tout, ne sachant que faire. Ni la Reine d'ailleurs. Ils décident finalement de revenir vers le carosse en désespoir de cause et le peuple craint que le retour soit long très ,long même. Et il n'a aucune idée de où peut-être l'autre clé, ni la Reine d'ailleurs.

C'est cela le problème dans les Royautés, qu'à jouer à des jeux dangereux, on finit pas se faire prendre et échouer lamentablement au fond d'une forêt en idiots. L'air est glacial, les bruits menaçants : il est temps de revenir à la civilisation et d'effacer ce cauchemard. Moroses, la Reine et son peuple se décident à bouger...

La Reine trouve miraculeusment la clé, brillante sous le soleil couchant, ayant sauté à 1 mètre de là !

 

GLOIRE A LA REINE !


Le soulagement fait immédiatement place à l'inquiétude, quand le peuple comprends que les péripéties n'ont en rien changer à la Royale volonté qui en revient à son intention première.

- Allez en place, peuple, attaché à l'arbre !

Là la Reine agit elle-même pour être sûre de garder sous surveillance la précieuse clé (quand sa Majesté veut...). Le peuple est de nouveau baîllonné et laissé face à l'appréhension de la suite. C'est fou comme l'humeur du peuple peut changer en quelques instants.

Le crime est annoncé. Il est reproché au peuple "de bander mou" depuis quelques temps et de ne "point satisfaire convenablement sa Reine". Il est rajouté la responsabilité de la perte de la clé. Tout cela vaut une "raclée" applicable sur le champ.

La Reine, qui est maintenant une Reine très expérimentée et qui connait son sujet, laisse un moment à son peuple pour réfléchir à son inconséquence et donc à la justesse de la justice Royale. C'est un de ces moments où la limite entre jeu du Royaume et réalité devient très floue...

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Jeudi 23 octobre 4 23 /10 /Oct 07:40

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e carosse de la Reine avance maintenant de bonne allure sur les routes de la contrée Françoise, aidé par l'allègement des pages resté au Comté de Grande Parentie. Sa Majesté est enjouée en cette chaude journée d'arrière saison. Elle vient d'imposer à son peuple la visite d'un chateau plein de diaboliques merveilles : tipi de strass pour un été indien, ambigüe image de drag queen vénérant le pied d'un homme, machine à cri primal. Et tant d'autres choses encore. La Reine y était si bien à échanger avec les servants de cet énigmatique château, pendant que son bas peuple errait de salle en salle, que les heures ont défilé.

Le soleil décline déjà. Les ombres des arbres de la forêt que traverse le carosse s'allongent indéfiniment au devant. Cela sera bientôt l'heure entre chiens et loups...

- Prends le chemin à droite, peuple.

Le peuple sort de ses rêveries de peuple pour se dépêcher d'obéir à la Royale volonté. Le chemin est étroit et s'enfonce en serpentant entre les arbres. D'intersection en intersection, l'attelage arrive finalement dans un cul de sac au bout d'un chemin tout juste carrosable. La Reine rabroue son peuple qui ne fait pas assez attention à la préservation de l'état de son carrosse avec les pierres du chemin, puis encore parce qu'il n'a pas " penser à camoufler " l'attelage derrière un gros buisson de houx. La Reine y tient particulièrement poir avoir la paix d'agir. L'ambiance est aussi sombre que les bois qui encerclent le bas peuple. La Reine a l'oeil pétillant de noire excitation quand elle jauge l'alentour.

- Humm, Parfait. Nous sommes bien. 

Le soleil déclinant qui éclaire encore la trouée, disparait vite sous le couvert des arbres. Les sons de la forêt sont plein d'inconnus et donc de menaces. Le peuple n'est pas du tout rassuré, d'autant moins quand la Reine manisfestement amusée de la situation, ordonne à son peuple de se dévêtir sur le champs d'un simple "Awalpe" aussi cinglant qu'un coup de canne.

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C'est donc un peuple qui se retrouve dans une mauvaise posture, nu et vulnérable dans la forêt, collier au cou et baîllon en bouche, dans un étrange état d'inquiètude et de veule excitation naissante. L'heure est à la Royauté absolue, absolument. La Reine pose une laisse pour guider son peuple et l'empêcher de se dérober à sa Royale oeuvre. Elle se dirige d'autorité vers le sous-bois tirant un peuple maintenant craintif.

Un Royal et urgent soulagement procure un dernier et bref répit au peuple mis en attente de la Royale disponibilité ...

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Il est temps maintenant de rentrer dans l'obscurité de la forêt et des esprits. La Reine plus Royale que jamais, y traîne, amusée, Son bas-peuple à Elle, d'arbre en arbre, de buisson en buisson, prenant un malin plaisir à lui faire franchir d'épineuses tortilles. Sa Royale Majesté prend le temps de choisir l'arbre, Son arbre. Elle le veut majestueux pour qu'il rende bien sur les tableaux. Elle le veut adapté aussi à l'usage qu'elle compte en faire, avec suffisament de place au-devant. Le peuple tiré derrière balise de plus en plus alors que sa Reine l'entrâine de plus en plus profondément dans l'obscurité des bois. Finalement un arbre sie au Royal désir. Il est parfait pour sa Majesté, après qu'elle en est retirée quelques branches mortes gênantes. Cela sera donc là où sa Royale justice s'accomplira, sans que le Peuple est encore conscience du crime qu'il doit payer...

 

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dyonisos

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Samedi 4 octobre 6 04 /10 /Oct 10:05

On dit qu'avec l'âge on se souvient beaucoup plus de ses rêves. Cela doit être vrai.

Celui que j'ai fait ce petit matin est mémorable et très long. Surtout je me souviens de quasiment de tout. Du moins je crois. Il se passait dans une vallée de montagne où il y avait une station de ski. Que j'ai passé une grande partie de mon rêve à essayer de convaince le directeur de la station de construire de nouvelles remontées (?) que je paierai (!), n'a pas d'importance ici sur ce blog Q SM. Mais la fin elle mérite d'être racontée...

Je suis parti découvrir la vallée avec ce que je crois être l'assistante du directeur. On visite plusieurs bâtiments et même un collège avec des collègiens indiens et péruviens (!). Puis je ne sais pas pourquoi, nous voilà à cheminer dans un souterrain encombré de vieux meubles qu'il faut dépasser pour progresser. Une dernière porte et nous voilà en Indiane Jones arriver dans une maison depuis longtemps déserte mais restée dans son jus.

C'est, je crois comprendre, la maison d'un couple d'américain qui a construit dans l'entre-deux-guerres un téléphérique qui partait de la vallée. Le téléphérique a depuis fait faillite et a été démonté. Il ne reste plus que la trouée de son tracé dans la forêt avec l'ancienne piste qui l'accompagnait et donc la maison. On dit que la femme américaine y est restée jusqu'à sa vieillesse et n'est jamais repartie. Peut-être était-elle veuve ? Je ne sais plus...

La maison a une ambiance étonnnante, très années 30 avec des tas de souvenirs d'Afrique accrochés sur les murs. Nous commençons à visiter. D'abord la chambre avec son lit sagement fait et sur une commode une cravache de cuir noir posée derrière un vase. L'assistante qui m'accompagne semble s'être dédoublée. Ma N. apparait à mes côtés et partage en complicité d'un air entendu la découverte de cette cravache inattendue.

Nous continuons à visiter la maison en prenant une autre porte qui mène au salon. Puis retour dans le couloir. Là je dis à ma N. que nous serions bien bête de ne pas en profiter. Elle me réponds : "Tu as raison. Mais on va aussi prendre ce bouyou sur le mur, qui tu vas voir est cuisant !".

Effectivement elle décroche du mur du couloir une sorte d'accessoire composé d'un faisceau de chaînes avec des sortes de tuyaux oranges à chaque extrémité de chaîne. Je commence à craindre le pire pour mes fesses...

Nous retournons dans la chambre. N. a saisi la cravache. Elle me demande de déplacer le lit au centre de la pièce. J'obéis et je découvre sous le lit un étrange journal daté de 1913 qui me laisse interrogatif. Je me déculotte, me couche de travers sur le lit pour présenter mes fesses. Je sens la présence de N. dans mon dos et j'appréhende le début de la cinglée...

Quand tout à coup la porte de la chambre s'ouvre et une incongrue petite fille apparait, vite rattrapée par l'assistante qui lui "Non, non laisse les ! Ils ont des choses importantes à faire...".

Et plus rien, car je me réveille à ce moment là.

Notre fille chantonne dans sa chambre et je vois la silhouette familière de ma N. venir dans la chambre. J'ai encore les yeux embués de sommeil. Je devine et confirme bientôt qu'elle est nue de sortie de la douche.

- Bonjour mon chéri

- Bonjour mon Amour

Je me réveille couché sur le ventre dans notre lit avec une importante trique matinale qui devait déjà exister dans mon dernier sommeil. Je me retourne d'un coup en montrant ma virilité. "abracadabra !" Plein d'envies...

- Humm très joli ! Mais pas le temps, je suis déjà en retard pour le travail...

Saloperie de vie !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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