" Tu fais une bien belle vache a lait et as-tu été trait comme il faut ? "

Cher lecteur,

Votre question est très a-propos sur le fondement de l'affaire : comment trait-on un dyonisos transformé en vache ?

Il y avait bien évidemment la trayeuse - elle aurait parfaite pour cela - mais elle est toujours dans l'attente que j'ai du temps pour la finir dans le garage bien que maintenant j'ai résolu le problème de la génération du vide.

Donc il ne restait sur la papier que les méthodes très ancestrales, autrement du à la rude main de la fermière. C'est pour cela que le costume de vache avait été transformé pour rajouter des pis, pour l'aspect symbolique de la chose, avec un trou masqué pour laisser passer le désormais fameux 5ème pis.

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Ce n'est d'ailleurs pas la seule transformation : une longue glissière a aussi été ajoutée derrière pour permettre la saillie, achetée sous l'oeil soupçonneux de nos Pages qui se demandait bien qu'est-ce qui pouvait bien nous prendre...Elle a été montée en un temps record et très correctement après que N. se soit moqué de moi et de mon ambition à coudre une fermeture éclair ("une des choses les plus difficiles en couture").

Couture théorique pour Madame qui ne coud pas parce qu'elle n'a pas voulu apprendre, si on ne l'apprenait pas aussi à son petit frère en même temps (déjà les revendications féministes, lol). Si bien que N. ne coud pas, mais moi si, et en plus à la machine, grace à une vieille tante du pays qui me l'a appris dans mon adolescence. Aucun regret : c'est bien pratique pour préparer ce genre de bétises...

Le tout a été complèté par l'achat de rideaux noirs de fond, de dégottage de paille. Le pot à lait lui nous l'avions déjà à la maison (achat sur une brocante un jour).

Nous étions donc prêt !

Bien je vous entends, cher lecteur, quand vous me disez maintenant que tout cela est très intéressant mais ne répond pas à votre question initiale. Certes, j'en conviens... Donc j'y arrive.

J'aurais pu couler là pendant la saillie... mais trop douloureux.

(la fermière graisse sa vache avant la saillie)

J'aurais pu partir là dans la bouche soyeuse de la belle fermière, mais elle s'est méfiée, et a rapidement arrêté avec une autre idée dans le cul...

J'aurais pu enfin me laisser aller dans le cul de la fermière, mais là c'est moi qui est arrêté après son orgasme de peur lui casser le dos avant son voyage...

Non rien de tout cela... Et là à l'instant de déculer j'en avais une terrible envie de partir une dernière fois avant la cage qui venait de m'être annoncée.

Car cher lecteur, il vous manque un élément de contexte pour tout comprendre...

Madame regardait la vie d'Adèle et s'excitait la chatoune sur les scènes "entre filles" avec en plus son Chéri en vache. C'était chaud, très chaud même dans le salon...

Alors j'ai été finalement trait non en vache mais d'une autre manière très spéciale que Maîtresse N. a décidé en se collant dans mon dos, sa tête contre mon épaule, deux doigts à me travailler rudement le cul pendant que son autre main obtenait à me faire cracher le poireau avec infini délice....

Voilà, j'espère, que cela a comblé votre curiosité, cher Yann Aude de Sainte Paire de Houilles.

Merci de votre question.

dyonisos

- Te voilà ben tamponnée, la vache. J'espère que tu vas nous engrosser des tendres petits veaux... Bon mais c'est pas tout mais c'est l'heure de la traite. Allez suis sympa, je commence par toi...

Non être une vache ce n'était vraiment pas sympa... pensait Marguerite. Cela faisait très mal au troufion et en plus elle allait devoir laisser cette pimbêche de fermière lui toucher les mamelons.

- Mais tu es une drôle de vache toi ! Voilà maintenant que tu as un cinquième pis qui grossit ! Tu dois être une vache transgenre, ce qui ne m'étonne pas si tu viens de la ferme du voisin Yanode... Je les ai toujours trouvé un peu bizarre les deux, la Flo et le Yanode... 

Marguerite qui ne commençait qu'à découvrir son nouveau corps, était elle-aussi très surprise de ce 5ème pis, qui en plus lui faisait un de ces effets quand la fermière le palpait.Cette dernière d'ailleurs semblait s'exciter follement de ce 5ème pis, qui lui rappelait quelques chose, au point qu'elle décida de goûter le lait qu'il produisait à la source.

Celui-ci qui coulait en abandonce directement en gorge de la fermière, devait contenir quelques sorcelliques substances, car immédiatement la fermière se sentit toute chose et surtout avec une envie d'entre les jambes, malgrè qu'elle fut dans le sang.

La voilà qui cherchait à amadouer Marguerite du bout de ses mamelles !

- Tu vois la vache, moi aussi, j'ai des grosses mamelles. Dis, tu ne viendrais pas me les sucer ?

Marguerite se disait que ce conte était vraiment n'importe quoi mais pourquoi pas, après tout ? Et la nature est ainsi faite que des mamelles au troufion, il n'y a que peu de distance à parcourir, chez les vaches excitées.

Et c'est donc maintenant la fermière qui se présenta sur le banc de monte pour se faire rectifier par le trouffion, qui fut embrochée et cuite à point, avant d'être arrosée du lait de cuisson, par le pouvoir du cinquième pis.

(à suivre)

dyonisos