Mon séjour loin des yeux de Maîtresse, comportait un codicille, à savoir qu'il m'a été demandé de tout mettre en oeuvre pour revenir chaste à la maison, en l'absence de cage. J'ai proposé d'emporter un jeu de couche et ma grenouillère, excité de me retrouver ainsi dans le contexte de mon travail et d'un hôtel haut de gamme. Cela évitait aussi d'avoir un accès trop facile pour faire ce qui m'était interdit.
Mais Maîtresse N. a voulu un meilleure assurance... J'ai proposé de me badigeonner de STA HARD (crème de numbing), pour être incapable de partir, même si je cédais à la chair. Maîtresse N. approuve, même si nous avons jamais testé.. Et le soir me voilà à me badigeonner la bite de force de crème dite anesthésiante. Pas une seule sensation d'engourdissement (qui est le vrai sens de numbing). Je mets un préservatif pour ne rien tâcher et pauvre con de soumis curieux, je teste si cela marche, si vraiment je ne peux pas, un film porno sur le portable et... j'éclate en jouissance honteuse au bout de quelques minutes.
Bidon, cette crème, complètement bidon ! Mais que c'était bon.
C'est vrai que libéré de la cage, j'avais la libido en plein forme.
Pour terminer, Maîtresse N. m'a demandé de publier sur le blog, les circonstances et la date de mes "onanismes" depuis qu'elle m'a libéré lundi dernier ("pour savoir ce que tu fais dès que j'ai le dos tourné...").
Date | Lieu | Circonstances | Plaisir ressenti |
17 nov. minuit | Chambre Hôtel | STA HARD + préservatif | 7 |
18 nov. soir | Chambre Hôtel | STA HARD + préservatif | 2 |
19 nov minuit | Terrasse | Pendant que Maîtresse dort | 1 |
20 nov. 23h | Fauteuil salon | Pendant que Maîtresse est absente | 2 |
dyonisos