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Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 23:52

Finalement j'ai trouvé ce qui clochait ce week-end. Une vilaine blessure en train de grandir à la base des orphelines. Comme il y a 5 ans et qui m'avait laissé une cicatrice de cage. Maîtresse N. a tranché : la santé avant tout. Nos jeux aprés. Libéré dimanche en fin d'aprés midi.

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Samedi 28 février 6 28 /02 /Fév 14:49

J+0

L'esprit est incrédule de s'être vu enfermé ainsi et n'en revient pas. Heureusement la cage est neutre. Maîtresse jubile du retour de son canari jaune favori avec sa couche. Je dois éteindre l'incendie entre ses cuisses. Orgasme de Maîtresse puissant et déstabilisant...

Elle est aussi déçue que la grenouillère d'hiver en éponge orange avec le petit chat et la petite souris ne m'aille pas. Mais le vêtement est mal taillé et ne laisse pas assez d'espace aux épaules. Ce n'est pas ma faute.

J+1

Aucun réveil contraint cette nuit. Etonnant mais je me méfie. Journée assez éprouvante avec la route et la cage qui ne veut pas se décontracter. surtout que je n'ai pas la liberté de me repositionner librement avec la présence des pages. Les poils qui repoussent sous le métal font un peu mal. Au coucher je traine à mettre la grenouillère et à perdre le contact de ma main.

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J+2

La vengeance du serpent déplumé à frapper à 4h24 exactement. Violent réveil dans la dureté matinale matée. Je finis par me lever pour ouvrir les vannes et remplir la couche. Moment humiliant à l'âge que j'ai. La bête s'est rendue et je peux repartir me coucher. Seconde vengeance à 7h25 : cette fois je me lève définitivement (l'encagé se lève tôt). C'est dimanche, je garde ma tenue de canari pour aller fêter plus tard le réveil de Maîtrese comme elle aime me voir, camouflée sous des vêtements en cas d'arrivée impromptue de pages.

Je monte. Je suis accueilli avec plaisir à m'occuper de ma Dame en ce matin ensoleillé. De mes seuls doigts qui constatent l'extrême humidité avant d'être exilé sous la couette pour un long hommage total que l'on attend de moi. Encore une fois, elle a raison : je suis meilleur suceur, suceur empêché. J'en prends plein les sens, d'odeurs et de goûts. Enivrant ! Post-orgasnum, elle me fait mettre nu. Nous discutons de sa domination et ma soumission actuelles, tandis qu'elle s'assure que je ressente bien les limites de mon petit monde entre les jambes, de caresses, des massages et même de mordillements sur mes tétons. A ce traitement, je suis vite frustré à point et elle me fait remarquer combien ma peau sort par toutes les ouvertures de la cage. Avant finalement me demander du rab, avec mes seules doigts qui massent le bouton et jouent de l'élasticité de l'entrée. "Aprés avoir joui une première fois, mes besoins ne sont pas les mêmes..." 

Le reste de la journée s'est passée en famille avec cependant ma découverte que jeudi prochain, c'est les 15 ans de notre rencontre. Je me demande si mon retour en cage n'y est pas quelques part lié, un peu comme nos dix ans qui avaient été fêté à la mode BDSM. Un moment d'anthologie. Ma Dame m'a parlé d'un restaurant rien que pour nous deux, mais l'organisation avec les pages semble difficile. J'ai finalement proposé que nous soyons en congé ce jeudi, idée qui a été trés bien accueillie. Mais pour le reste, j'ai annoncé que je ne m'occuperai de rien laissant à ma Maîtresse de Dame, et à sa sagesse ou sa perversité, les décisions qui s'imposent pour cet anniversaire. Dans la vie, il faut savoir vivre dangeureusement quand on aspire à la soumission domestique.

Au coucher, j'ai été de nouveau longuement excité dans ma petite cage, surtout de par le massage de mes grosses couilles qu'adore Madame. Pas facile de trouver le sommeil aprés. Mais j'y ai gagné la possibilité de ne pas porter la grenouillère pour la nuit. Je ne l'avais pas mise à-escient pour avoir ce contact sur mon sexe emprisonné. Je ne sais pas si ma femme s'en est rendue compte, mais elle n'a rien dit.

Le mot du jour : "Ce n'est pas t'enfermer le zizi en lui-même que j'adore, mais la façon dont, une fois enfermé, tu deviens gentil et attentionné avec moi"

J+3

Nuit d'enfer : 4 réveils douloureux. La bête rechigne à s'être laissée enfermée. Je me suis lève exténué de ma nuit. C'est cela aussi la cage : une discipline nocturne et une gêne diurne.  Au point même quand l'heure du coucher arrive, on craint et rechigne un peu à rejoindre les bras de morphée et les parties de casse-noisettes qui s'y jouent. La cage sonne les heures nocturnes à sa manière : jamais à l'heure pile, à heures assez fixes cependant, sautant, je ne sais pourquoi, certaines périodes. Pour moi en ce moment, c'est 2h30 puis 4h30, 5h30, 6h30 où je préfère me lever. La cage réveil matin aussi. A cela se rajoute la grenouillère qui enchâsse et la couche qui humidifie la nuit. Je sors d'une telle nuit lessivé...

Le jour est différent plus en attente de baisse de tension. Je passe trop vite à mon goût des couilles détendues sous la couette au paquet reserré qui porte sur l'anneau et réveille les échauffements passés. Pas la période la plus confortable. L'aprés-midi est habituellement mieux, un vrai bonheur d'encagé. Mais en ce moment, sans savoir ce qui se passe, les machines sont pressées dans la cage et deviennent un peu douloureuse en fin de journée.

Allez tenir et attendre la détente au bout de 10 jours...

J+4

Hommage en chambre le soir exigé. Aucune négociation possible. Je me mets donc au travail pour "une détente de Maîtresse avant de dormir". Mais l'excitation montant chez Madame, la détente se transforme en une exigence de travail complet jusqu'à la jouissance. Maîtresse très directive pour son plaisir.

J+5

Maîtresse est venue me regarder sous la douche. J'étais en train de laver l'asticot dans sa boite de conserve, à force de jets d'eau et de savonnage de gland par le petit doigt entre les barreaux, avant de délicatement décalotter le gland dans la cage pour finir de bien nettoyer et rincer. Elle avait un petit sourire satisfait de me voir oeuvrer tout en restant sous clé.

C'est la modification qu'a apportée la nouvelle cage, l'enfermement total, avec la solidité à toute épreuve de zizi. Et quelques part cela change le ressenti de la chose. Complètement enfermé 24/24 et 7/7 soumis à la seule volonté de ma Maîtresse de femme. La clé a disparu hors de ma vue et ne réapparait que quand ma Dame décide. La clé de secours est scellée dans une boîte inattaquable sauf en cas d'urgence.

Finalement je préfère. Il n'y a plus la tentation d'en sortir le matin officiellement pour la douche et officieusement traîner avant de la remettre pour soulager la pression matinale. Ce n'est plus laissé à mon bon vouloir. La prise et l'appartenance est plus ferme.

Demain c'est notre quinzième anniversaire de vie commune. Aprés le premier baiser nous nous sommes plus quittés et je me souviens l'émotion que j'avais quand j'ai sonné le lendemain tard chez ma belle pour la rejoindre. Ce blog est aussi mon journal intime. J'ai retrouvé ces derniers jours, notre 10ème anniversaire. Un moment magique en complicité et émotions.

Demain devrait-être autre. J'ai laissé N. organiser tout sans savoir...

J+6

Journée merveilleuse. J'y reviendrai dans un article à part le temps de clarifier un peu mes ressentis...

J+7

Corvée d'achat de couches. Assez humiliant que de devoir faire cela. J'évite les magasins à proximité et vais dans la ville d'a côté pour l'anonymat. Je complète mon caddy de choses plus adultes pour éviter que la caissière ne soit intriguée. Cela pourrait pourrait passer pour être destiné à ma vieille grand-mère... Du moins, je l'espère. Je ne suis pas fier.

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dyonisos

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Samedi 21 février 6 21 /02 /Fév 06:49

Fin janvier, lors de mon anniversaire, j'ai eu un étrange cadeau sous la forme d'une carte KADO à la sauce de Maîtresse N.

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Comme vous pouvez le voir, l'invitation n'était pas complètement remplie. Je m'en suis étonné auprés de ma Maîtresse, qui m'a répondu en sphinx énigmatique...

Date inconnue -> Plannings à confronter pour date au retour du ski 
Principe de réalité avant tout sinon échec assuré
Je t'aime

Ce n'était donc pas pour tout de suite.

Les vacances au ski se sont passées, et je suis devenu plus inquiet en rentrant. Et si elle m'encageait dès que j'aurais mis un pied de retour à la maison ? J'aime bien l'idée d'être encagé mais je n'aime finalement pas trop l'instant où je perds ma liberté pour la cage.

J'ai eu un premier indice le lendemain. N. se plaignait d'avoir la maison en désordre : "Il me faudrait un soumis pour la ranger". J'ai fait mon chat endormi sur mon fauteuil club. Ne surtout pas remuer une oreille... ou sinon...

2 jours plus tard, Maîtresse N. se rappelle à moi alors que je encore suis au bureau...

Ce soir je vais au kiné
Tu prépares tout au salon
Petite séance avant mise sous cage
Rasage de propreté
Paddle, roue crantée, badine
Drap de soie sur la canapé
Et retour en grenouillère pour la nuit

C'est ce qu'on appelle un programme d'une Maîtresse déterminée. Je rentre tôt espérant la croiser parce que pour le drap de soie, je ne vois pas ce qu'elle veut dire. Je suis deçu de ne pas la trouver mais je reçois bientôt son appel pour s'assurer que j'ai bien reçu ses instructions. Le cas du drap de soie est clarifié. J'ai une heure avant son retour. Le temps de me raser intimement et de retrouver dans toutes les caisses les objets demandés.

Le rasage de son intimité face à la glace à la salle de bain est toujours un moment particulier, vaguement honteux. C'est à ce genre de chose que l'on sait que l'on n'est plus tout à fait un homme libre, même si je suis complice. Une demi-heure d'éradication de poils récalcitrants mais à la fin tout est bien lisse. J'en profite pour faire la raie entre les fesses et rafraîchir les dessous de bras. Ce n'est pas la peine de me prendre un carton rouge d'emblée, surtout avec une badine à proximité...

Je suis enfin prêt, un peu le vague à l'âme, à me retrouver de nouveau enfermé. N. revient et se joue de moi m'envoyant dans un étrange soulagement frustré : cela ne sera plus pour ce soir.

Le lendemain soir, j'ai baissé ma garde. Maîtresse N. me demande de me déshabiller et de passer l'anneau autour des couilles. Je reviens pour me voir offrir une langoureuse sucette débout devant ma Maîtresse. Puis un travail au gode d'urêtre qui s'enfonce avec délice profond, profond et que je n'ose regarder...

Je n'ai pas joui et je suis excité. Maîtresse N. s'en fiche et me condamne là sur le champ à l'enfermement. Elle doit un peu forcer pour faire rentrer le zizi récalcitrant dans sa coquille mais tout est enfermé et bien enfermé. Me voilà pris.

Le temps de me faire passer une couche et ma grenouillère et me voilà déjà aux hommages à rendre de ma langue pour éteindre l'incendie né. Au dire de ma Maîtresse, les hommages (très directifs) furent longs et bons à l'extrême, "comme à chaque fois que je tiens en cage..." A moins que cela soit ma Maîtresse qui est plus excitée par la situation.

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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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