Nous

Mardi 10 mars 2 10 /03 /Mars 05:33

Je fais confiance à N. pour le choix de nos restaurants, toujours d'excellentes découvertes pour moi qui me laisse lascivement emmené par mon amour. Mais là pour l'instant c'est le moment de resoupaudrage de Madame, donc l'attente pour moi. Je fais les cents pas devant la voiture. J'ai toujours du mal avec la patience qui sie au soumis de façon particulière et aux hommes face aux femmes de façon générale.

Nous sommes attendus. Le serveur, fort sympathique, nous installe à une table avec vue sur le bassin. Le restaurant est style année 70 avec baies d'aluminium et miroirs sur les poteaux, juste remis au goût du jour par le mobilier et les draperies. Nous n'allons pas être embêtés :il n'y a qu'une autre table avec une fille qui sort ses vieux parents et qui sont sur le point de terminer. C'est un peu triste pour la chef un restaurant vide, mais l'avantage c'est que là nous avons le luxe de ne l'avoir rien que pour nous.

A la petite surprise du serveur, nous optons pour la carte intégrale. Aprés tout nous n'avons qu'une fois 15 ans. C'est fort bon. Je me sens bien les couilles détendues avec un verre d'un bon vin à discuter de bons plats. Nous discutons de bien de sujets différents, parfois D/S, des fois non. A un moment, j'ai le verdict final de Maîtresse. Finalement, elle aurait pu me laisser avec ma cage... Cela sera pour la prochaine fois, je lui réponds. Et N. rie délicieusement. Je suis amoureux.

Nous avons le temps. Il ne resterait plus qu'une seule activité de prévue, pas loin. Mais pas d'horaire précis. Je suis intrigué. Mais Maîtresse N. ou N. reste une tombe. Je demande alors si c'est le SS. Le SS ? Oui le Sex Shop. Non mais pourquoi pas...

Le repas se termine sur deux magnifiques desserts et nous repartons enfin, guidé par le GPS. Je suis un peu déçu de me retrouver face à un nouveau magasin pour homme fort. C'est vrai, N. m'en avait parlé...

- Bon que cela soit clair, pas d'achat de pantalon !

Je fais bien de me méfier. On ne sait jamais. Mon compte en ressort quelque peu dépouillé.

Direction le SS. J'y suis allé une fois. Un de ces sex-shops pour couples modernes. Pas les boui-boui d'antan, celui où des hommes livideux jetait un coup d'oeil en rentrant sur le visiteur. J'y ai emmené une fois ma future, à Aix. Ou plutôt je l'ai mis au défi de le faire. On y arrivait par une ruelle sombre. 4 clients et le vendeur. 10  paires d'yeux à mater N. Trés glauque mais un bon souvenir de couple.

Là j'apprends que N. connait déjà l'emplacement. Il y a un immeuble du bureau où elle va à côté et elle se gare là... 

C'est le royamue de Sexe in the Chatte avec pleins de godes violet, roses, trés féminins. Une touche de 50 nuances de conneries qui nous fait plier de rire. Genre bobonne s'essaie au SM avec pépère. Aprés d'années en années, le rayon vidéo réduit et se cache derrière un paravent. La concurrence d'internet. A part les ex-toys, les articles ne sont pas de bonne qualité. Il est loin le temps où j'avais trouvé une superbe paire de menottes en cuir d'agneau rouge dans un SS de la rue de la Gaïté. Qualité inégalée et jamais retrouvée même dans des magasins SM spécialisés.

Là nous en ressortons avec 2 livres, une paire de bas olé-olé et un collier raz de cou. Dont osez le fist fucking pour elle et lui. Je suis étonné par le ras de cou. C'est parce que tu adores que j'en porte. Tu seras donc ma soumise ? Mais non j'aime les mélanges des genres en mode Maîtresse.

Comme la dernière fois...

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Finalement nous sommes rentrés. Maîtresse m'a fait mettre nu, m'a attaché au saule pleureur avant de sortir son fouet...

Mais non  rien de tout cela. Nous avons récupéré notre progéniture et point final de notre escapade, volée aux enfants.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Jeudi 5 mars 4 05 /03 /Mars 08:55

Je suis maintenant entièrement nu dans le vestiaire à attendre la volonté de ma Dame. Nu à part ma cage et je me trouve un peu con. Reste plus que le maillot de bain à passer. Maîtresse se prépare tranquillement... J'attends pas rassuré et inquiet de la suite.

- Allez viens là mon dyonisos.

Elle a dit dyonisos comme elle dirait chéri. Mais le principal c'est qu'elle me donne la clé pour que je me libère. Cela pue : je file me rafraîchir rapidement au lavabo pour enlever le principal de l'odeur de la bête sortie de sa coquille. Avant de me retrouver, dans le dit salon de thé, en peignoir blanc et toujours aussi con. Je suis casanier. Madame non. En plus elle connait déjà l'endroit et a, semble-t-il, l'envie d'en jouer à fond avec son dyonisos.

Pour l'instant je suis remisé à l'attendre dans un couloir devant la salle d'aisance. Longuement, trés longuement. L'ensemble fait trés clinique et ne m'inspire pas. Quelques personnes vont et viennent. C'est un des moments où bizarrement même en étant libre je ressens sa patte.

Finalement nous rentrons dans la salle... de torture ? Non d'eau. Qoui que le torture à l'eau, cela existe aussi. Eau chaude, eau à bulles, eau à jets, hamman, sauna, salle de repos, etc... Deux couples sont déjà là, l'un dans la trentaine, l'autre dans la cinquantaine. Avec nous dans la quarantaine, cela complète. L'eau chaude est un délice : je m'y coule avec plaisir. Bon les bulles je connais à la maison, alors peut être que je suis un pleu blasé. Mais il y a un truc qui m'enthousiasme, c'est les bulles à masser les pieds. Génial !

J'oublie un peu N. à vaquer de bassin en bassin. Tout juste nous rencontrons nous de temps en temps pour un chaste baiser. Je préférerai la cubulter et l'embrocher, là séance tenante, mais je ne crois pas vraiment que cela soit l'endroit. L'eau me fait monter des envies. je suis un peu frustré de ne pas être nu. Aprés tout pourquoi pas ? Un petit coup d'oil discret et voilà mon service trois pièces qui baille en dehors du maillot de bain. De toute façon l'eau agitée masque tout. J'ai mes couilles endolories : cela ne pourra que me faire du bien... Au programme perso, un long massage de couille par un puissant jet de fond. C'est si agréable aprés le casse noisettes. Le jet fait remonter les testicules en haut du sac complètement détendu et je prends un plaisir certain à rester longtemps sous sa trajectoire...

Direction aprés les bulles du jacuzzi avec N. Là c'est divin. A l'insu de ma Maîtresse, ma bite libéré du maillot de bain bande et bande sous le massage des bulles. Je suis bien et j'aime beaucoup le décalage. Je m'oblige finalement à sortir pour éviter les empêchements et je propose un hamman à N.

J'aime beaucoup le hamman, plus que le sauna. Nous restons d'abord silencieux à suer et éliminer les toxines. Puis échangons entre nous. C'est comme une bulle hors du temps où nous nous ressourçons. A la sortie, Maîtresse N. est revenue. Il y a une sorte d'étrange machine qui pond régulièrement de glaçons dans une vasque. N. commence à me torturer sous le froid de glaçon, dans le cou, dans le dos, dans le sillon fessier. Avant d'avoir un appétit supplémentaire...

- Ouvre. Je te dis ouvre !

Maîtresse prends une grosse poignée de glacons qu'elle fait tomber dans le maillot de bain, devant. C'est froid : ouille, ouille, ouille aux couilles. Je me précipite dans l'eau chaude, grimace avec l'eau froide des glaçons qui fondent, quelques instants avant de retrouver le confort de l'eau chaude.

J'ai presque oublié l'épreuve du massage, mais N. me dit que l'heure s'approche. Nous partons en salle de repos nous sécher sur les banquettes de bois chauffant. Etonnantes ces banquettes... Mais avant c'est l'heure du thé !?!

N. me lâche pour repasser aux toilettes. Je suis seul dans le salon du thé. Une dame arrive, me propose du thé et un excellent cookie. Me voilà à le siroter dans une fauteuil, attendant le retour de ma belle qui arrive. Moment de complicité absolue devant un thé à l'ibiscus. Je passe aux aveux, que j'avais trouvé où on allait, que j'avais triché.

- Alors ta comédie de ce matin, c'était du pipeau ?

- Un peu...

- Tu m'en veux ?

- Non.

- Et tu sais où je t'emmène manger ? 

- J'ai deviné, je crois...

Effectivement j'avais deviné. D'ailleurs il y a une heure limite pour arriver et N. me complique l'esprit en m'expliquant que pour tenir les délais, je devrais passer en second pendant qu'elle passerait en premier.

Mais il y a une question qui me turlipine la pine.

- Tu m'as bien fait bisquer avec la cage. De toute façon, tu as toujours prévu de me libérer ?

- En fait non, j'envisageais plutôt de te laisser la cage, mais il y avait le problème du monde présent. Là tu aurais pu trés bien y rester. Et pour le massage, je n'ai jamais fait alors je ne sais si c'est risqué ou non. D'ailleurs j'aurais préféré un massage en duo mais ce n'était pas possible avant 15h. Là nous y irons l'un aprés l'autre...

Le massage, merde le massage. Pas le genre d'activités qui me font fantasmer. Bon oublier pour l'instant.

Nous nous souhaîtons chaleureusement 15 ans de plus finalement, avant de nous séparer. Ma belle pour nager dans la piscine de nage et moi pour fumer en peignoir sur la terrasse adjacente. Puis l'heure arrive où l'on vient chercher N. pour son soin. Moi je repique une tête dans l'eau chaude avant de me sécher sur les banquettes chauffantes.

La peur remonte un peu au ventre. Je n'ai aucune idée de ce qu'il va m'arriver, de ce que l'on va me faire. L'inconnu total. Et puis Maîtresse N. m'a tellement noyé d'infos que je ne sais plus ce qu'il pourrait en être.

Je suis surpris par le retour de N. bien plus tôt que je croyais, avec un large sourire.

- Allez à ton tour !

J'attends donc mon tour sur un sofa en peignoir, comme on attends de se faire fouetter dans une école anglaise. Une dame, jeune mais pas trés belle, vient me chercher... Si Monsieur veut bien me suivre... ben voyons, suivons la, le coeur léger...

La piéce est petite et complètement inondée. "Si vous voulez bien vous coucher sur le plan de travail..." Parce que vous allez me fouetter aprés ? C'est un piège ? Je couche méfiant mon ventre sur le plan en plastique aprés avoir enlevé mon peignoir.

- Vous avez demandé, Monsieur, un gommage sous douche à affusion...

Euh en fait moi non, rien, mais ma Maîtresse si. Mais je préfère nettement cela, même si je ne sais pas qu'est-ce que c'est, à une débouchage du petit trou aux huiles essentielles !

- Vous allez avoir un gommage aux sel de Guérande et fleurs de polynésie...

Le tout est dit avec un ton si pédant que je manque d'éclater de rire...

- N'hésitez pas à me dire si l'eau n'est pas trop chaude ?

Nous voilà chez le coiffeur alors qu'un pipi de chat me coule sur les jambes. La dame me "gomme" la peau en un mélange de sels abrasifs et de gestes appuyés qui me font bouger sur mon ventre. Dans un sens, dans un autre, en croisé, en alterné, depuis le bas du dos jusqu'au cou. A ce jeu, elle pourrait aussi faire mes fesses... je pense un instant, le zizi au plus bas.

Finalement, le grattage s'arrête et l'eau coule pour évacuer le sel. 

- Cela a plu à Monsieur ?

En fait non, car le forfait suçage n'était pas compris ! Voilà c'est fini : je remet mon peignoir et sort dans une inondation du sol.

Notre temps de spa est fini, et en plus j'ai faimn. Je prend le temps de bien nettoyer la cage avant de sagement la remettre, les couilles bene pendentes. Le spa est réussi : toute le tension dans mes couilles a disparu.

En route pour le restaurant, maintenant...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 3 mars 2 03 /03 /Mars 23:11

Je n'ai pas bien dormi avec la cage, mais l'aube arrive et c'est le grand jour. Je ne devais être disponible que jusqu'à 16 heures, mais finalement ma contrainte s'est annulée.

- Trop tard, a dit N., j'ai tout organisé.

C'était mardi et ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un soumis sourd. Hier, c'était un colis vide sur la table. "C'est quoi ?". "Tu n'as pas à savoir...". Intriguant et inquiétant. C'est fou comme un carton vide peut faire paniquer un peu. Mais je remarque enfin que cela vient d'amazon : je me détends un peu.

Mais ce matin, je suis de nouveau inquiet. Je décide de faire une enquête sur l'ordinateur de N. Je sais c'est pas beau... mais je n'ai pas réssité. Rien dans la messagerie. Je regarde les onglets web ouverts : nada. Reste l'étude de l'historique. J'ai une date, mardi. Et je trouve des éléments. Un Q Resort & Spa dans la grande ville d'à coté. Plusieurs pages, mas pas trés flagrant. Et avec la cage ?  Et une recherche de restaurant dans le coin. Mais bon, N. aurait pu faire tout de son smartphone et cela pourrait être des faux indices laissés à mon intention.

Corvées du matin alors que N. dort toujours. Réveil des pages. Petit-déjeuner. L'un rate son bus et doit être emmené au collège. L'autre n'est pas bonne humeur mais arrive à finir par être livré à l'heure à l'école. Bon cela fait : c'est notre temps des parents maintenant...

Quand je reviens, N. est réveillée et s'est levée. Elle me retrouve en train de faire avancer un jeu de simulation sur la tablette.

- Tu m'arrêtes tout cela immédiatement !

- Euh, quoi ?

- Oui, tu m'as entendu. Tu arrêtes tout et tu vas te changer, mettre quelque chose de plus classe.

Ah non pas le costume. Pas envie. Je réchigne...

- C'est un ordre de ta Maîtresse ! Et dépêche-toi, nous devons être partir à 9h40 au plus tard...

Je prends cela comme une gifle de rappel. Le ton est donné. Je négocie pour un pantalon de toile mais pour la chemise, pas le choix : je suis envoyé la chercher au dressing. La cage est lourde en ce matin et je me traîne jusqu'au centre-ville.

A mon retour, N. finit par se préparer. Je me change.

- Attends, j'ai besoin de toi. Je vais être obligé de t'en dévoiler un peu : je n'ai pas trouvé ton maillot de bain. Il est où ?

Maillot de bain ? Ma piste se précise. Mais avec la cage ?  Cela me mets dans un drôle d'état, trés proche de la soumission prêt à être manger de la façon dont Maîtresse N. veut. Je suis résigné à mon sort.

Avant de partir :

-Il ne faut pas que j'oublie ta clé, pour te l'enlever, ou te la laisser : cela sera plus rigolo...

Je ne sais pas si c'est ce genre d'intention mi figue-mi raisin qui va me rassurer. Je n'ai aucune idée si c'est un jeu, une taquinerie ou si mon sort n'est pas encore pesé ou si Maîtresse N. a décidé que je resterais en cage quoi qu'il arrive.

En route en voiture. Je suis la direction demandée. N. programme le GPS mais je suis distrait par une voiture qui double et je rate le nom. Seule indice : le kilométrage restant qui m'indique que mon espionnage du petit matin n'était pas un si mauvais indice. Cela sera donc le Q. Resort & Spa. En cage ?

Je n'avoue pas et essaye de donner le change. Maîtresse N. parle beaucoup et m'embrouille beaucoup. Nous avons rendez-vous (!). Nous aurons droit à des séances particulières, mais pas ensemble, l'un après l'autre. Je devrais l'attendre une heure. Tout est peu clair pour moi et je crains de devoir passer une matinée très longue. Et cela ne répond pas à ma question : la cage. Je m'imagine couché sur une table de massage, je ne crois pas nu, mais le zizi bien enfermé en cage face à la masseuse. Un moment de solitude.

L'angoisse monte peu à peu. Nous arrivons, nous garons sur le parking un peu trop plein à mon goût. Et Maîtresse m'emmène à la réception. Effectivement, elle a réservé. Je dois payer m'attendant à la douloureuse, mais non. J'ai mal entendu et regarde le ticket de CB un peu incrédule.

Puis le cérémonial commence. On nous emmène via un couloir sombre dans un vestiaire nous donnant rendez-vous dans le salon de thé. Le dyonisos n'en mène pas du tout large... Avec mon équipement, le peignoir, les claquettes. Je me déshabille doucement à l'écoute de la sentence de Maîtresse qui n'arrive pas...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Présentation

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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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