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Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 06:29

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Parmi les prérogatives dont disposent une Reine Absolue, il y a celui de l'injonction d'oubli. A savoir faire disparaître et condamner à l'oubli total le sujet enfermé, sur simple ordre Royal. Un droit que les Rois de France n'ont cessé d'user et d'abuser au cours des siècles.

Et le sujet ainsi soustrait à la vie du monde, n'est autre que le zizi du peuple mis dans son cachot un jour et oublié depuis. C'est vrai que les progrès de l'industrie des fers à castrer, ne donne aucun espoir. Si les cachots précédents nécessitaient une ouverture régulière pour lavage à grande eau pour éliminer la vermine, les cages du temps permettent de maintenir la salubrité à travers les barreaux, une disposition qu'a bien saisi sa Majesté et dont elle jouit.

Une fois enfermé, le peuple a donc été oublié complètement pendant un temps. Et ce au moment où votre serviteur écrit ce récit, depuis 14 jours. Des jours de maintien total dans le fer à castrer dans un 24/24 total sans espoir dans sortir à un moment ou l'autre, à se battre avec les démons nocturnes qui ont heureusement bien diminué ces derniers temps.

Etonnant tout cela. Au bout d'une semaine, le peuple s'est respectueusement enquis auprès de sa Majesté, si elle souvenait du sort d'infamie de son sujet...

- Ah oui, peuple, tu es effectivement resté en cage...

Tout est dans le effectivement, très Royal. Comment le peuple aurait pu me libérer, vu que la clé du cachot est soustrait de sa vue, depuis l'enfermement. Il y a une possibilité de secours, avec une seconde clé emmurée dans un coffre, mais le fait de devoir détruire le coffre pour y accéder rend tout forfait définitif et honteux. Et quelque part, cela change des années où la clé n'était jamais très loin.

Puis finalement un soir, la Reine a fait appelé son peuple et l'a emmené d'autorité dans la chambre Royale. Elle dit au peuple oh combien, elle est excitée... L'espoir du peuple renait violemment en cage, qui attend son heure de gloire, étendard dressé, dans l'alcôve.

Sa Majesté arrive et d'autorité, réclame le confort et le support de l'épaule du peuple. Elle se saisit de la chose enfermée ou plutot des orphelines qui en dépassent. Ceci attire toute l'attention du peuple et tend encore plus son désir. La Reine coupe court à tout espoir.

- Que nenni, peuple. La chose enfermée reste enfermée. J'adore bien enfermer ce qui m'appartient, et cela m'appartient de fait ! C'est pour cela que je la garde sous clé.

Forcément déçu, le peuple comprend que c'est l'heure des Royales confidences. D'ailleurs cela défile, inhabituellement chez sa Majesté...

- La partie que je prefère de mon peuple sont les fesses. 

Je me souviens de mon cul populaire saisi au coeur de la forêt, il y a quelques temps.

- Oui, je mouillais de te mater le cul ainsi, empêché à un arbre... D'ailleurs ce que j'adore c'est utiliser la roulette à pointes pour te scalper les boutons de ton cul et libérer les poils.

Activité que le peuple craint terriblement, lui arrache des cris de cochon et qui, à bien y réfléchir, a été dès le départ la première activité dominante de sa Majesté. Là heureusement le peuple est sous la couverture et la roue à pic est dans un endroit inconnu de la Reine. Le peuple n'est donc pas très exposé à devoir offrir ses boutons au sadisme Royal sur le champ.

La Reine poursuit ses pensées de derrière :

- Tu sais j'adore utiliser le paddle sur tes fesses. C'est un prolongement naturel de mon bras... Mais j'aime aussi utiliser la tige, dans je ne sais plus quel matériau. Le noisetier ?

- Non le rotin, votre Majesté

- Oui en rotin, je le savais évidemment. Ce que j'aime avec cette baguette, c'est sa flexibilité et les traces nettes qui marquent la peau. C'est adorable...

La Reine est très étonnante dans ses propos ce soir. J'en suis surpris...

- Et je commence à apprécier le fouet qui n'avait pas ma préférence. C'est agréable de le faire siffler dans l'air et de voir tes craintes du moment il va frapper...

Petit moment de silence, où la Reine ronronne sur l'épaule du peuple.

Puis elle reprend ses étonnantes confidences, sur Son Royal usage de Son bas peuple, sur Sa boîte d'échange. Mais là, le peuple doit tenir sa langue et de ne pas en parler, si le peuple ne veut pas se la faire arracher par le Royal courroux...

Bref, une fois les Royales confidences terminées, la Reine a mis son peuple au travail la tête entre ses cuisses à donner du plaisir infini à sa Royale personne, sur ses Royales et très précises instructions, que le peuple se devait de bien suivre pour son bien, la Reine ayant pris les orphelines populaires en main, pour être sûre d'être respectée et obéie sans discussion.

Au final, la Reine, apaisée de Sa tension, s'est endormie immédiatement après sa Royale jouissance, tandis que le peuple a mis quelque temps à calmer son ardeur contrainte pour trouver le sommeil...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Lundi 10 novembre 1 10 /11 /Nov 06:58

Je ne vais pas vous tenir un décompte précis de ce qui s'est passé pendant ces quelques jours. Car en l'absence de Maîtresse, il s'est rien passé sauf la sensation douce amère d'une longue et ennuyeuse épreuve qu'une Maîtresse de femme a imposé à son mari soumis. Le genre d'épreuve qui joue sur la durée, que l'on ne peut pas avoir l'occassion de faire souvent dans notre vie familiale, sauf la cage évidemment.

Je vais peut être commencer par vous dire, oh combien ce genre d'épreuve imposée par sa Maîtresse, qui nous sait évidemment consentant, porte à la longue sur l'esprit. Elle envoie dans un méandre de l'esprit où l'on sent de façon très nette la présence autoritaire de Madame et donc sa soumission personnelle, alors que vous vous sentez si contraint à être cloitré à la maison, en couche et en grenouillère. Aucune chance que cela ne vous fasse aucun profond effet.

Je me suis senti aussi abandonné par Maîtresse N. partie au loin, en famille n'ayant plus de moment de disponibilité pour son dyonisos, et lui répondant parfois de façon très sèche et déstabilisante. Et en même temps, j'ai senti à tout moment son ombre qui surveillait à ce que je sois bien obéissant... Paradoxe.

Ceci, étant dit, passons maintenant aux différents aspects de ma soumission ordonnée ces jours là.

La tenue

Il m'est particulièrement humiliant et cuisant de devoir se déshabiller, mettre sa couche et sa grenouillère, dès son retour à la maison. Aucune chance de se sentir un homme normal se faisant. On s'y sent vulnérable, mais au final j'aime bien me retrouver dans cette tenue, comme symbole de ma soumission.

Parfois les corvées me mettaient en une telle sueur marinant dans le grenouillère, que je n'avais d'autre possibilité que d'enlever la grenouillère pour la faire sécher. Je me baladais donc en couche et TShirt (ou non) complètement ridicule.

A la longue la couche vous fait marcher en canard et vous finissez par détester cela.

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La couche

La couche justement est un petit accessoire machiavélique qui prend peu à peu votre esprit. Au début, c'est toujours très sympa à se laisser aller à son petit pipi à tout moment dans sa couche. C'est chaud, et agréable de se laisser aller à tout endroit et toute position. Et si pratique...

Mais bientôt je me suis aperçu que je devenais incontinent, à pissoter en permanence et ne gardais jamais ma couche sèche très longtemps. Etonnante constatation d'autant que je n'aurais jamais cru qu'il pouvait y avoir autant d'eau dans mon corps.

C'est là où le port de la couche devient machiavélique, car à être toujours humide, elle macère et attaque la peau. Désagréable surtout pendant les longues nuits. Et puis il y a le poids qui a tendance à faire glisser de plus en plus la couche et rappelle oh combien vous êtes devenu un petit pissoteux.

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L'Hypo Popo Time

C'est là que l'on se sent le plus vulnérable. On sait que l'on devra passer par ce grand moment de solitude, inéluctablement et sans possibilité d'y échapper. Je me suis mis à craindre le moment où... C'est tout sauf excitant, complètement dégoutant même, avec l'odeur et le poids dans la couche. On ne sait pas dans quelle position se mettre pour... Cela n'est pas naturel. 

Je m'y suis senti complètement sous l'emprise de la décision de Maîtresse N. C'est parce qu'elle me l'a ordonné, que je n'ai pas d'autre choix que de m'y conformer. Très humiliant tout cela, mais c'est fait pour l'être ! bldiap7.jpg

Le nettoyage est un calvaire sans fin, dans les fesses, sur les cuisses. Et après un long moment de lutte, quand on a enfin une couche propre, on s'aperçoit avec inquiétude que la commission n'est pas terminée et que d'ici une heure, on va devoir y repasser, la honte au front...

Et puis il a fallu que je débarasse au fur et à mesure des couches souillées. Pas dans notre poubelle, car les sacs sont transparents pour que les ayatollahs tri vérifient que rien d'interdit n'est mis dans le sac. Alors j'ai cherché des poubelles disponibles sur le chemin du boulot. Nous vivons une période d''égoïsme où chaque entreprise garde sa poubelle sous clé pour ne payer un sous de plus à la levée. Finalement la solution a été les cimetières. C'est désert habituellement et il y a de grandes poubelles disponibles...

Les repas

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Et bien faut pas être pressé avec un biberon. J'ai du réapprendre le réflexe de suçage enfoui au fond de moi et oublié depuis des lustres. Prendre son café du matin dans un biberon, ça c'est une aventure ! Il faut faire bien attention à la température pour ne pas se brûler le fond de gorge et prendre son temps, prendre son temps... Fatalement avec son petit débit, le biberon d'eau, de café ou de coca a fini par me suivre partout le temps de quelques gorgées pour ne pas se déshydrater.

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Les repas assis sagement en couche sur l'ancienne chaise de nos enfants, ont été aussi un moment mémorable. Le tout pris avec une seule petite cuillère. J'ai du adapté forcément les plats.

Au menu :
- soupe de potiron 
- purée mousseline bolognaise
- haricots vert/jambon blanc amoureusement moulinés 
- coquillettes emmental
etc...

Pas vraiment de quoi contenter un ventre d'un épicurien de la vie. Et qu'est-ce que c'est putain long, de manger assis seul dans la cuisine à la petite cuillère ! 

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Les corvées

Là j'avais bien attaqué, mais faire le ménage et ranger cela est vite ennuyeux et chiant. Maîtresse N. le savait et n'a pas arrêté de m'houspiller à distance pour que j'avance et j'avance encore. Humiliant d'être traité en bête de somme. Mais finalement, sous sa baguette, j'ai réussi à remettre pas mal d'ordre dans la maison et à faire le ménage.

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Samedi 8 novembre 6 08 /11 /Nov 06:54

Il y a quelques jours maintenant, à la fin de l'épisode de la ferme qui s'est terminé par l'encagement du zizi du mari de main de Maîtresse, nous nous détendions autour d'une plateau après la folle excitation de l'après-midi.

Toujours seuls. Les Pages sont encore au Pays Grandparentesque et N. doit partir seule les rechercher le lendemain à ma place car bloqué exceptionnellement au boulot. Je resterai donc seul quelques jours à la maison. Maîtresse m'a fait mettre la tenue qu'elle préfère chez son dyonisos adoré, à savoir la grenouillère canarie et bien sûr l'éternelle couche dessous. La vue de son Amour empêché et empêtré, lui est, en effet, "très plaisante".

- Tu sais ce que l'on oublié d'acheter aux courses ? Du papier toilette, il y en presque plus... Mais bon tu n'en auras pas besoin... et la maison est vraiment en désordre.

J'avoue sur le moment que je n'ai pas porté trop attention à ses propos. Ils m'auraient du m'alerter pourtant. La soirée s'est terminée tôt pour moi, crevé, et  je suis allé me coucher sagement enchassé dans ma grenouillère. Première nuit de retour en cage, là ou commence le matage et le cassage de la bête, qui n'entend pas se rendre sans résister. De très nombreux réveils, douloureux et hébétés, où la seule issue est de se laisser honteusement aller à quelques pipis dans sa couche. Et des fois même, cela ne suffit pas à détendre l'érection coincée dans la cage inatteignable...

Finalement je finis par récupérer un peu de sommeil au petit matin et quand je me lève, Maîtresse N. est déjà debout depuis un bout de temps. Elle prépare activement son voyage et m'envoie immédiatement aller lui chercher du pain frais et du beurre pour son pique-nique, dans ma tenue actuelle, la grenouillère macérée et la couche lourde des pipis de la nuit et du lever, cachées sous un jean et une veste. Va pour l'ambiance dominante ! J'obéis et je sors un peu honteux...

Plus tard, Maîtresse N. est habillée et charge tranquillement sa voiture. Je regarde les nouvelles d'internet sur la terrasse, ayant encore et toujours la couche lourde de la nuit (il me semble dans mes souvenirs que Maîtresse a refusé que je la change avan sontdépart, mais je l'ai quand même descendu au WC pour laisser passer un popo du matin). Donc Maîtresse N. qui discute avec le voisin dans le chemin me hèle malicieusement pour "venir dire bonjour au  voisin". J'obéis en rechignant en mettant toute mon attention à marcher le plus normalement possible malgrè l'épaisseur et l'humidité entre mes jambes.

Si je crois que le voisin lui ne voit rien, son satané chien lui ne me rate pas et me renifle avec insistance le museau sur mon entrejambe. Je suis mal à l'aise et je trouve vite une excuse pour couper court à la conversation entre voisins sous l'oeil amusé de Maîtresse N. 

Plus tard encore, alors que le moment de décoller arrive pour Madame, Maîtresse N. vient me voir et me tends un papier, que dis-je un règlement.

J'y apprends que sur volonté Royale, et jusqu'à son retour :

1) qu'en dehors de mes horaires de travail à partir de lundi, je suis emprisonné en couche et grenouillère, jusqu'à son retour. J'ai quinze minutes le matin pour me doucher, me préparer et quitter la maison. Et le soir, je me dois de remettre immédiatement ma couche et grenouillère dès mon retour. Je n'ai pas d'autorisation de sortie autre que pour mon travail.

2) qu'en conséquence du 1), l'usage des toilettes m'est strictement interdit à la maison. "les couches sont là pour l'usage que l'on en attend - bon courage"

3) que mes repas et collations vont être sacrément compliqués. Pour la boisson, l'usage de tout verre, tasse, mug ou autre, m'est interdit et seule la prise au biberon qu'elle me tend est autorisé. Pour le repas, je n'ai droit qu'en tout et pour tout à une petite cuillère ("et tu ressortiras la chaise des enfants du garage, cela fera de jolies photos pour le blog...").

4) que pour m'occuper, elle me donne un tas de corvées à faire pour "écluser" le désordre dans la maison et faire le grand ménage.

Et qu'elle veut les photos qui montrent que je lui obéis parfaitement pendant son absence.

- Dernier point, je prends la clé de ta cage. Avec la nouvelle cage, tu n'as plus besoin d'en sortir pour te laver. En cas d'urgence tu as toujours la clé de secours mais il te faudra casser la boîte pour cela !

Et sur ce, elle part sans m'avoir fait un chaste baiser.

Nous sommes dimanche matin. Les jours à venir ne vont pas être faciles.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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