Parmi les prérogatives dont disposent une Reine Absolue, il y a celui de l'injonction d'oubli. A savoir faire disparaître et condamner à l'oubli total le sujet enfermé, sur simple ordre Royal. Un droit que les Rois de France n'ont cessé d'user et d'abuser au cours des siècles.
Et le sujet ainsi soustrait à la vie du monde, n'est autre que le zizi du peuple mis dans son cachot un jour et oublié depuis. C'est vrai que les progrès de l'industrie des fers à castrer, ne donne aucun espoir. Si les cachots précédents nécessitaient une ouverture régulière pour lavage à grande eau pour éliminer la vermine, les cages du temps permettent de maintenir la salubrité à travers les barreaux, une disposition qu'a bien saisi sa Majesté et dont elle jouit.
Une fois enfermé, le peuple a donc été oublié complètement pendant un temps. Et ce au moment où votre serviteur écrit ce récit, depuis 14 jours. Des jours de maintien total dans le fer à castrer dans un 24/24 total sans espoir dans sortir à un moment ou l'autre, à se battre avec les démons nocturnes qui ont heureusement bien diminué ces derniers temps.
Etonnant tout cela. Au bout d'une semaine, le peuple s'est respectueusement enquis auprès de sa Majesté, si elle souvenait du sort d'infamie de son sujet...
- Ah oui, peuple, tu es effectivement resté en cage...
Tout est dans le effectivement, très Royal. Comment le peuple aurait pu me libérer, vu que la clé du cachot est soustrait de sa vue, depuis l'enfermement. Il y a une possibilité de secours, avec une seconde clé emmurée dans un coffre, mais le fait de devoir détruire le coffre pour y accéder rend tout forfait définitif et honteux. Et quelque part, cela change des années où la clé n'était jamais très loin.
Puis finalement un soir, la Reine a fait appelé son peuple et l'a emmené d'autorité dans la chambre Royale. Elle dit au peuple oh combien, elle est excitée... L'espoir du peuple renait violemment en cage, qui attend son heure de gloire, étendard dressé, dans l'alcôve.
Sa Majesté arrive et d'autorité, réclame le confort et le support de l'épaule du peuple. Elle se saisit de la chose enfermée ou plutot des orphelines qui en dépassent. Ceci attire toute l'attention du peuple et tend encore plus son désir. La Reine coupe court à tout espoir.
- Que nenni, peuple. La chose enfermée reste enfermée. J'adore bien enfermer ce qui m'appartient, et cela m'appartient de fait ! C'est pour cela que je la garde sous clé.
Forcément déçu, le peuple comprend que c'est l'heure des Royales confidences. D'ailleurs cela défile, inhabituellement chez sa Majesté...
- La partie que je prefère de mon peuple sont les fesses.
Je me souviens de mon cul populaire saisi au coeur de la forêt, il y a quelques temps.
- Oui, je mouillais de te mater le cul ainsi, empêché à un arbre... D'ailleurs ce que j'adore c'est utiliser la roulette à pointes pour te scalper les boutons de ton cul et libérer les poils.
Activité que le peuple craint terriblement, lui arrache des cris de cochon et qui, à bien y réfléchir, a été dès le départ la première activité dominante de sa Majesté. Là heureusement le peuple est sous la couverture et la roue à pic est dans un endroit inconnu de la Reine. Le peuple n'est donc pas très exposé à devoir offrir ses boutons au sadisme Royal sur le champ.
La Reine poursuit ses pensées de derrière :
- Tu sais j'adore utiliser le paddle sur tes fesses. C'est un prolongement naturel de mon bras... Mais j'aime aussi utiliser la tige, dans je ne sais plus quel matériau. Le noisetier ?
- Non le rotin, votre Majesté
- Oui en rotin, je le savais évidemment. Ce que j'aime avec cette baguette, c'est sa flexibilité et les traces nettes qui marquent la peau. C'est adorable...
La Reine est très étonnante dans ses propos ce soir. J'en suis surpris...
- Et je commence à apprécier le fouet qui n'avait pas ma préférence. C'est agréable de le faire siffler dans l'air et de voir tes craintes du moment il va frapper...
Petit moment de silence, où la Reine ronronne sur l'épaule du peuple.
Puis elle reprend ses étonnantes confidences, sur Son Royal usage de Son bas peuple, sur Sa boîte d'échange. Mais là, le peuple doit tenir sa langue et de ne pas en parler, si le peuple ne veut pas se la faire arracher par le Royal courroux...
Bref, une fois les Royales confidences terminées, la Reine a mis son peuple au travail la tête entre ses cuisses à donner du plaisir infini à sa Royale personne, sur ses Royales et très précises instructions, que le peuple se devait de bien suivre pour son bien, la Reine ayant pris les orphelines populaires en main, pour être sûre d'être respectée et obéie sans discussion.
Au final, la Reine, apaisée de Sa tension, s'est endormie immédiatement après sa Royale jouissance, tandis que le peuple a mis quelque temps à calmer son ardeur contrainte pour trouver le sommeil...
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
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Elle prend du plaisir rien qu'en parlant du plaisir qu'Elle a en jouant avec toi.
Et oui c'est une Reine qui aime son Action. Ce n'est pas ce que l'on attend d'une Sage Souveraine ?
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Ah mais c'est vrai, je n'ai pas de cave !!!
Oui mais tu as un grenier...
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En un seul mot : une fois la boîte de Pandore ouverte... J'en ai eu encore un exemple hier soir, où j'ai été réveillé (!) pour être rabroué par Maîtresse N. pour ne pas être retourné en cage après lundi. Il parait qu'Elle aurait été très Claire (avec jeu de mots) sur ce point...
Résultat : je me suis battu ce matin pour faire passer des couilles récalcitrantes.
Amitié, dyonisos
amitié Yanode
Techniquement je n'ai pas libéré ma chose sans autorisation, puiqu'elle a été libérée par Maîtresse N. pour un but précis. Par contre, je n'ai pas compris que je devais la renfermer après... (si jamais cela m'a été clairement dit)
amitié, dyonisos
Bienvenu à toi, Albin
Ce n'est pas ce que tu ferais si tu étais à leur place ?
dyonisos