Vendredi 14 novembre 5 14 /11 /Nov 06:57

La Reine a emmené son peuple dans un nouveau voyage en terre françoise.

Pour rendre visite Royale à une seigneurie (très) amie du Royaume. Les Seigneurs locaux y inauguraient leur nouveau château et fêtaient dignement l'arrivée de leur nouvelle Princesse, sur laquelle notre Reine s'est engagée à veiller avec tout son coeur. Voyage avec les Pages du Royaume, mais qui ont aussitôt étrangement disparu comme les Pages locaux.

Le nouveau château de cette seigneurie est charmant et bien agencé. Mais petit aussi, si bien que la Reine a emmené son peuple dormir dans le bourg voisin, dans une très respectable et bien tenue auberge.

Le dimanche matin, le bas peuple, condamné au fer à castrer, est réveillé tôt, comme il se doit, pas le rappel quotidien des bienfaits du fer : "Eh peuple : Arrête de fainéanter ! Au boulot !". La Reine dort encore d'une Royal et profond sommeil, et le peuple se fait le plus discret pour partir non travailler au champ (c'est dimanche quand même) mais pour humer l'air ensoileillé du bourg, vite enfumé du tabac auquel le peuple a la faiblesse de se livrer.

Quelque temps plus tard et les deux orphelines maintenant transformées en glaçons, ce qui contraint dans le fer, le peuple remonte dans les étages pour retrouver la chaleur du dessous de la couverture du lit. Quand il arrive enfin dans la chaleur, c'est pour constater que sa Majesté est nue, complétement découverte, lascivement en attente des bienfaits de la domination de son peuple : la Reine attend son Royal contentement et sans un mot, le peuple se met immédiatement au travail, la tête entre les Royales cuisses, de sa langue et de ses doigts.

La Reine, quand elle est Reine de son Royaume, a une idée très précise du comment et de la façon, dont elle veut avoir son contentement et gare au peuple s'il dévie d'un iota de ce Royal désir, de ressentir comme cela et non comme ceci. La Reine a d'ailleurs immédiatement pris la ferme assurance que son peuple, resterait un bon peuple, obéisssant et soumis au Royal désir jusqu'à ce que le Reine juge que cela soit suffisant. 

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Le bon peuple suçoit, aspiroit, pénétroit d'un doigt, de deux, sous les fermes directives de sa Majesté. Et chaque demande non immédiatement ou correctement effectuée, vaut rappel en brisures de couilles. Aie ! La Reine, tout à la montée de son contentement, ne fait plus aucune attention à son bas peuple, sauf à ce qu'Elle obtienne de ses doigts et de sa langue, le plaisir ordonné.

Il arrive enfin, comme un déferlement de lames de tempête qui se brise sur la rive, et brise en même temps de convulsions, doigts, main et bouche emportés par les vagues puissantes et obligés de suivre au près l'agitation sauf à perdre ses petites choses, bien broyées par une Royale fermeté, depuis que le vent s'est levé.

La Reine exulte, enfin presque... Le petit chouya qui manque et qui va bientôt coûter cher au bas peuple, qui regrette impuissant la non-complétude du Royal plaisir. Pour l'instant la Reine est encore dans le redescente à titiller avec vice les tétons dressés du peuple pour bien s'assurer que le peuple trouve son fer à castrer étroit pour un long et désagréable moment.

La Reine a faim maintenant, et un Royal ventre vide est sanguinaire. Il est temps de rejoindre les autres convives et déguster le buffet préparé pour les invités de l'auberge. C'est un buffet de voyageurs revenus de loin, rempli de bons mets trouvés de-ci et delà. La peuple s'est décidé de se jeter sur la bonne pitance des grands bretons, sur le principe du "tout ce qui est déjà pris, n'est plus à prendre" ou même "encore un que n'auront pas les Germains ".

Le ventre répu, il est temps pour la Reine de remonter dans ses Grands Appartements, suivi fidèlement par son peuple. Une servante est croisée. La Reine échange quelques mots cordiaux et lui souhaîte un bon dimanche (de travail). Elle rejoint la pièce d'à côté de nos appartements, pour aspiroie, rangeoie et lavoie, après le départ des invités. La Reine la regarde un instant s'éloigner avec un petit sourire avant d'emmener son propre peuple dans ses Appartements.

- Awalke mon peuple !

La voix sèche surprend le peuple et lui frigorifie immédiatement les os. Ce que Reine veut... Il se demande à quel point, il n'a plu à sa Majesté son laissez -ller à la boisson maltée au Château de la Seigneurie amie la vieille, à moins que ce soit l'incompltude frustrée du matin ou un laissez-aller familier avec la Reine de la Seigneurie amie qu'il sait, au fond de lui-même, devoir ne pas finir à payer.

La Reine sort les fers de poignets de sa malle de voyage qui sont proprement posés au peuple, les mains immobilisées dans le dos. Elle retire sa culotte pour l'enfourner d'autorité dans le gosier de son peuple rendu maintenant muet. Et le peuple est laissé en attente, le temps pour lui d'appréhender le Royal courroux à venir et à la Reine de vider sa vessie, pour "être plus confortable" dans le redressement des tords de son peuple...

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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