Samedi 15 novembre 2014 6 15 /11 /Nov /2014 06:14

Nous avions laissé le bas peuple en facheuse posture face au courroux à suivre de la Reine. Sa Majesté prend vicieusement son temps et laisse l'angoisse populaire monter, car dans ces régimes autoritaires, le peuple en sort rarement sans égratignure. La Reine d'ailleurs qui s'était mise très à l'aise en ne gardant que le pigeonnant pour opérer.

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Le peuple qui est loin d'être un peuple inculte, se doutait des Royales intentions quand sa Majesté à faire rajouter dans ses malles, ce "prolongement naturel de son bras". Il tenait jusqu'à présent le paddle préféré de sa Majesté comme un accessoire peu cuisant d'échauffement. La Reine a montré que son peuple était dans le faux avec 3 terribles coups secs et cuisants sur les derrière populaire. "Putois, qu'est-que cela fait mal !" n'a que eu le temps de penser le peuple, alors que les coups suivantsarrivaient, encore plus fort que les précédents. Heureusement que le peuple était baîllonné ou il aurait alerté toute l'auberge, d'autant que le cuir fait un clac d'enfer arrivé sur la peau.

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La Reine apprécie de plus en plus les belles marques laissées par ses Royaux instruments sur la peau, mais n'était pas contente sur l'instant que le cul populaire soit trop grassouillet pour y laisser de belles marques. Elle s'intéressa donc à la fragile peau des épaules. D'abord une puis, mécontente, de toute ses forces l'autre, cruellement. Le peuple en eut le souffle coupé et l'application très désagréable.

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Petite pause pour peindre le tableau de la marque et la Reine était prête à administrer de nouveau son traitement, encore courroucée par son peuple en faute, quand elle s'arrêta aux bruits de matelas que les servantes battaient dans la chambre d'à côté. Le peuple cru que cela mettrait fin à la cinglée, mais oh que non, cela amusa tellement la Reine qui elle aussi se mit à répondre et battre en cadence et bruyamment son peuple, en des coups redoublés à la jointure des fesses et des cuisses, douloureusement cuisants. Le manège recommença plusieurs fois, avant que la Reine s'aperçut que son peuple respirait lourdement et mettait plus de temps à revenir en position. Le signe indéniable que le peuple commence à comprendre la Royale irritation et qu'il lui voudrait mieux maintenant de faire obligeance.

La Reine demanda donc si son peuple était à nouveau maté et avait compris la Royale exigence. Le peuple, fier comme Artaban, résista encore un peu mais se vit reprocher sa résistance de quelques coups supplémentaires et cuisants, qui finirent par mettre sa volonté à genoux.

Le bas peuple se vit donc remis à l'ouvrage de sa langue entre les Royales cuisses fortement inondées. Et croyez votre serviteur, la Reine obtint cette fois de sa poigne directrice, le panache dans son esprit qu'elle recherchait depuis son réveil ! Fusse-t-il en coûter des crampes à la langue du bas peuple et un goût sauvage pour la matinée.

La morale de cette histoire est double.

Il eut d'abord cette même servante qui croisa interrogative le regard de la Reine à sa sortie de la chambre, au grand amusement encore mouillé de sa Majesté. La Reine fait maintenant sans se soucier de l'environnement. S'en amuse même. Douloureuse perspective...

Il eut aussi cette Royale revendication, énoncée à table devant les Seigneurs locaux, que la Reine avait du sévir sévérement le matin suite à la mauvaise volonté de son peuple, et que c'est pour cela qu'il se trémoussait le cul sur le banquette. Et là le peuple aurait voulu disparaitre sous terre. Si maintenant la Reine revendique sa Royauté absolue publiquement...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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