Samedi 4 octobre 6 04 /10 /Oct 10:05

On dit qu'avec l'âge on se souvient beaucoup plus de ses rêves. Cela doit être vrai.

Celui que j'ai fait ce petit matin est mémorable et très long. Surtout je me souviens de quasiment de tout. Du moins je crois. Il se passait dans une vallée de montagne où il y avait une station de ski. Que j'ai passé une grande partie de mon rêve à essayer de convaince le directeur de la station de construire de nouvelles remontées (?) que je paierai (!), n'a pas d'importance ici sur ce blog Q SM. Mais la fin elle mérite d'être racontée...

Je suis parti découvrir la vallée avec ce que je crois être l'assistante du directeur. On visite plusieurs bâtiments et même un collège avec des collègiens indiens et péruviens (!). Puis je ne sais pas pourquoi, nous voilà à cheminer dans un souterrain encombré de vieux meubles qu'il faut dépasser pour progresser. Une dernière porte et nous voilà en Indiane Jones arriver dans une maison depuis longtemps déserte mais restée dans son jus.

C'est, je crois comprendre, la maison d'un couple d'américain qui a construit dans l'entre-deux-guerres un téléphérique qui partait de la vallée. Le téléphérique a depuis fait faillite et a été démonté. Il ne reste plus que la trouée de son tracé dans la forêt avec l'ancienne piste qui l'accompagnait et donc la maison. On dit que la femme américaine y est restée jusqu'à sa vieillesse et n'est jamais repartie. Peut-être était-elle veuve ? Je ne sais plus...

La maison a une ambiance étonnnante, très années 30 avec des tas de souvenirs d'Afrique accrochés sur les murs. Nous commençons à visiter. D'abord la chambre avec son lit sagement fait et sur une commode une cravache de cuir noir posée derrière un vase. L'assistante qui m'accompagne semble s'être dédoublée. Ma N. apparait à mes côtés et partage en complicité d'un air entendu la découverte de cette cravache inattendue.

Nous continuons à visiter la maison en prenant une autre porte qui mène au salon. Puis retour dans le couloir. Là je dis à ma N. que nous serions bien bête de ne pas en profiter. Elle me réponds : "Tu as raison. Mais on va aussi prendre ce bouyou sur le mur, qui tu vas voir est cuisant !".

Effectivement elle décroche du mur du couloir une sorte d'accessoire composé d'un faisceau de chaînes avec des sortes de tuyaux oranges à chaque extrémité de chaîne. Je commence à craindre le pire pour mes fesses...

Nous retournons dans la chambre. N. a saisi la cravache. Elle me demande de déplacer le lit au centre de la pièce. J'obéis et je découvre sous le lit un étrange journal daté de 1913 qui me laisse interrogatif. Je me déculotte, me couche de travers sur le lit pour présenter mes fesses. Je sens la présence de N. dans mon dos et j'appréhende le début de la cinglée...

Quand tout à coup la porte de la chambre s'ouvre et une incongrue petite fille apparait, vite rattrapée par l'assistante qui lui "Non, non laisse les ! Ils ont des choses importantes à faire...".

Et plus rien, car je me réveille à ce moment là.

Notre fille chantonne dans sa chambre et je vois la silhouette familière de ma N. venir dans la chambre. J'ai encore les yeux embués de sommeil. Je devine et confirme bientôt qu'elle est nue de sortie de la douche.

- Bonjour mon chéri

- Bonjour mon Amour

Je me réveille couché sur le ventre dans notre lit avec une importante trique matinale qui devait déjà exister dans mon dernier sommeil. Je me retourne d'un coup en montrant ma virilité. "abracadabra !" Plein d'envies...

- Humm très joli ! Mais pas le temps, je suis déjà en retard pour le travail...

Saloperie de vie !

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

blhumor.jpg

 

 

Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


Retour à la page d'accueil

Trafic

 1  visiteur(s) en ligne  

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés