Mardi 7 octobre 2 07 /10 /Oct 22:56

Les enfants casés chez les grands parents pour les vacances, j’espérais que nous allions en profiter pour jouer à nos jeux de parents pas sages. L’humeur est au D/S en ce moment. Quand enfin seuls, Marie m’a demandé de poser mon vendredi, je me suis dit : bingo ! Et pour couronner le tout, elle m’a tout de suite remis sous clé, dans notre cage qui n’avait pas servi depuis des mois, avec évidemment la grenouillère pour les nuits et une grande nouveauté l’enchaînement aux montants du lit le soir avant qu’elle me libère le matin. Heureusement que la couche me permet de soulager la pression nocturne dans la cage…

J’ai quand même commencé à appréhender un peu le week-end à venir. J’ai essayé de me renseigner discrètement, de prôner le faux pour savoir une part du vrai. Echec total, Marie est restée mystérieuse.

Nous sommes vendredi. Ce matin quand je me réveille, je veux me lever avant de me rappeler que j’étais enchaîné au lit. J’entends Marie œuvrer en bas, je ne m’inquiète donc pas. J’attends avec impatience qu’elle vienne me libérer, me demandant à quelle sauce elle veut me manger ce week-end. Mais elle ne vient pas et quitte même la maison. J’entends sa voiture crisser sur le gravier puis plus rien. Cela doit être une ruse avant son retour. Mais au bout d’une heure lue sur le réveil, point de Marie. Je commence vraiment à m’inquiéter. Elle ne va quand même me laisser mariner dans mon lit toute la journée, dans ma couche et ma grenouillère ?

Le corps a ses raisons. Je finis par me rendormir. Une sonnerie inconnue me réveille. Il est neuf heures. Je trouve un de ces téléphones à carte sous l’oreiller de Marie. Je décroche pour entendre que l’on me raccroche au nez. 30 secondes plus tard, le téléphone bipe pour annoncer l’arrivée d’un sms. C’est le numéro de Marie. Juste un laconique : « appareil verrouillé  – tu ne peux que l’envoyer des sms et à mon numéro seul – sois sage et à toute à l’heure… ».

Tout est cela est très énigmatique mais m’excite indéniablement à mon grand décomfort dans la cage. L’attente est longue, même très longue, surtout que je m’aperçois que Marie a enlevé de ma portée tout ce qui pourrait distraire mon attente…

Finalement à 10 heures, le téléphone bipe de nouveau pour l’arrivée d’un sms. « La clé du cadenas est sous le lit. Tu te douches, tu prends ton déjeuner, tu t’habilles et tu charges tout notre matériel dans ta voiture. J’ai dit tout, y compris ta tenue de nuit et tes couches. S’il manque quelque chose, tu seras puni. Tu as aussi un colis à prendre sur le buffet. Interdiction de l’ouvrir ! Une fois cela fait, tu nourris le chat pour le week-end, tu fermes la maison et tu m’envoies une photo par sms de ta voiture remplie. Tu n’as qu’une demi-heure pour tout cela ! ».

C’est effectivement une course contre la montre. Le plus dur est de réfléchir en vitesse pour être sûr de rien oublié de nos jouets, tenues et plus gros accessoires. Cela a même du mal à rentrer dans le coffre. Je prends mon portefeuille mais n’arrive pas à mettre la main sur mon smartphone, sans doute à escient vu le téléphone verrouillé dont j’ai « hérité ». J’envoie enfin la photo avec 10 minutes de retard qui me vaut un nouveau sms. 

« Tu es retard : tu seras puni. Tu as pris des vêtements de rechange et tes affaires de toilettes ? »

Marie pense vraiment à tout comme d’habitude… Mais je lui tape que oui, j’y ai pensé.

« Alors tu les enlèves de ta voiture et tu les laisses à la maison. »

Message laconique qui me surprend totalement et m’excite violemment. Cela sent le week-end d’esclavage total, nu et offert. J’obéis.

« C’est fait,  Maîtresse»

« Tu prends l’autoroute et sors à la sortie La Malotrue. Tu m’enverras une photo de la barrière de péage quand tu l’auras passée ».

J’arrive trois quart d’heure plus tard à la dite barrière, pour me voir ordonner de reprendre l’autoroute en sens inverse et de finalement sortir à la sortie d’avant ! Le jeu du chat et de la souris ne fait que commencer, le jeu de piste aussi. A la sortie suivante (ou précédente), Marie me demande de prendre la direction de Ferrières et d’attendre un nouveau sms, qui arrive un quart d’heure plus tard. « Tu quittes la départementale et tu vas à Saint Pandelon. Tu t’arrêtes sur la place devant l’église et tu attends à côté de la fontaine ». A midi, je me gare enfin sur la place animée, en cette fin de matinée, par les gens du coin qui vaquent à leurs activités au bourg avant de rentrer manger chez eux. Je rejoins la fontaine.

Nouveau sms avec une photo cette fois, une vue de webcam où l’on me voit nettement attendre à côté de la fontaine. Je suis surveillé ! Il faut quand mettre être fou pour mettre des caméras de surveillance dans un si paisible village.

«  Tu enlèves ton slip ici et tu le jettes dans la poubelle à côté de toi »

Grosse boule d’angoisse qui monte immédiatement. Marie ne veut quand même pas que… Je jette des regards affolés de toutes parts. Personne ne semble me remarquer mais quand même… J’ai le rouge aux joues et la peur au ventre. Je déchausse mes chaussures lentement mais je n’arrive pas à me décider à aller plus loin. Je me sens si con et si faible.

Sms de rappel à l’ordre : «  Tu te décides à m’obéir ! Schnell ! On ne va pas y passer la journée… »

Je suis coincé et bien coincé. Même à distance, je sens l’autorité et l’impatience de ma Marie. Je respire en dernier coup, faisant fi du monde extérieur. Je baisse aussi vite que je peux le pantalon avant de retirer le slip et de me rhabiller. Je jette des coups d’œil inquiets. Personne ne semble avoir remarqué mon manège.  Ouf ! Sans doute un des plus gros moments de solitude de ma vie. Je tiens mon slip du bout des doigts comme un trophée me calmant un peu. Il est temps de jeter dans la poubelle, ce que je fais.

«  Brave toutou obéissant. Allez va te boire une bière à la terrasse du café pour te remettre de tes émotions… » 

Cette mousse est plus que la bienvenue. Sans slip maintenant sous le pantalon, ma bite réagit et tente de se dresser. Je suis excité au point de sentir une humidité arriver au bout de ma queue enfermée. J’ai survécu, j’ai obéi et j’en suis fier. Je sens aussi ma soumission tomber comme un voile sur mon esprit.

«  Tu prends ton rosebud favori et tu vas te l’enfiler dans l’église. Je VEUX une photo sans équivoque de toi le cul bien embouché dans l’église ! »

Je blêmis à cette demande. J’ai reçu une éducation religieuse, et même si je ne vais plus, depuis mon adolescence, à l’église, il en reste quand même pas mal de choses. Et là ce que Marie me demande n’est pas convenable. Et pourtant je sais que je vais finir par obéir. Je récupère le rosebud dans les affaires du coffre et je me dirige en automate à l’intérieur de l’église. Aucun prêtre mais une vieille paroissienne en train de prier. Je fais semblant de m’intéresser à l’architecture et aux pauvres œuvres d’art du lieu, le temps qu’elle parte. Vite agir. Je suis finalement très excité par le sacrilège à commettre au point que je décide de rentrer dans le confessionnal pour me plugguer. Mon trou aspire avec avidité le rosebud. Je me sens maintenant totalement excité. Je cherche le cadre de la photo la plus symbolique. Oui l’autel ! Je me déculotte le temps de prendre la photo de mon cul bouché avec Jésus sur sa croix en toile de fond. Déjà la porte grince. J’ai juste le temps de me planquer au fond du transept pour me reculotter et me redonner une consistance de touriste innocent. Je sors finalement lentement de l’église et envoie la photo blasphématoire à ma Maîtresse de femme.

«  Pas mal ! Tu t’es dépassé. Bon maintenant tu vas aller manger. Direction Sainte Mathilde et tu t’arrêtes en chemin au relais des 4 routes »

Le Relais des 4 Routes est un relais routier. Une dizaine de camions sont garés sur le grand parking. Je rentre et demande une table. Je suis un trublion dans l’atmosphère du lieu. Tous les camionneurs me regardent m’installer seul à ma table. Je me dirige immédiatement vers le buffet d’entrées et commence à manger, sentant le rosebud bien travailler mon cul. La serveuse vient prendre la commande du plat principal. J’opte pour le ragout du jour.

«  Tu as vu Manuel ? »

Je suis surpris par ce sms.

«  Je ne comprends pas Maîtresse, c’est qui Manuel ? »  

«  Le camionneur à qui j’ai vendu la virginité de ton cul pour le dessert… une vraie queue de mâle, cela devrait te changer…Mais prends le temps de manger tranquillement mon Amour »

Me faire enculer par un routier ! Ma première idée est de fuir à grandes enjambées. Aussitôt contrariée par l’angoisse de désobéir à Marie et la trahison de la veule excitation qui monte dans mon corps. Je regarde furtivement chacun des camionneurs présents. La plupart sont moches, mal habillés et mal rasés. Sauf celui là au fond blond et musclé, que j’imagine très bien membré. Je suis affolé à ces pensées. Je ne suis quand même en train de mater les mecs et vouloir me faire perforer le cul… Je baisse le regard sur mon assiette de honte. La serveuse m’apporte mon ragout. La salle se dépeuple peu à peu. Je pars me servir au buffet de dessert. Il ne reste plus que mon camionneur blond et un sale homme. Ne vaudrait-il pas mieux que mon premier soit moche et me viole durement ? J’ai honte de mes pensées. Cette homme se lève et se rapproche de ma table. Aie ! Mais finalement ne s’arrête pas. Et le blond lui aussi ne tarde pas à quitter le restaurant. Je me sens perdu. Je finis et je paye, pour me retrouver seul sur le parking à errer.

«  Tu ne crois pas que je t’aurais vendu le cul à un mec ? Je te connais : tu aurais trop aimé cela, quitte même à me quitter pour un mec. Non ton cul ne connaitra jamais de bite d’homme : trop dangereux, mais mon gode oui sans problème. Allez trouve la chapelle, ta prochaine destination y est marquée… Tu m’envoie une photo quand tu y es arrivé..»

Je ne sais honnêtement pas si je suis soulagé. Mais bon c’est la vie… et je me re-concentre sur les demandes de Maîtresse Marie. La chapelle n’est pas loin. J’y rentre. Chapelle néo gothique XIXème, un pèlerinage au  15 août, rien de particulier. Sauf qu’il est indiqué sur un panneau que la chapelle dépend du monastère trappiste de Saint-Michel de la Forêt. Jamais entendu parler. Je reviens au restaurant routier pour me renseigner. Ce n’est pas loin, à une quinzaine de km. Arrivé devant le portail du monastère, je prends une photo et l’envoie à Marie.

« Bon t’es pas si bête que cela mon Amour. Je n’en attendais pas moins de toi. Tu peux retirer maintenant ton rosebud puis tu vas au bourg et tu prends la seule direction non sanctifiée. Tu me rappelles quand tu l’as trouvée. »

Arrivé au bourg, je parcoure en voiture toutes les rues du village pour voir les directions existantes. Au départ, je ne vois que des Saint Machin et des Saint Truc. Alors je recommence un second tour pour être sûr. Il n’y a que des Saints sauf une route qui a l’air de partir vers un hameau de campagne « La Bouricodais ». Je tente ma chance…

« La Bouricodais, Maîtresse ? »

« Yes. Tu prends la route et tu t’arrêtes à la menuiserie Delaplanche »

J’y suis bientôt. C’est un bâtiment au milieu de la campagne sans habitation autour. On y accède par une voie privée longue de 30 m, un peu à l’écart de la Route. Je renvoie un sms d’obéissance.

«  Je suis à la menuiserie, Maîtresse »

« Bon il temps d’ouvrir le paquet… »

Je le retrouve sur la planche arrière. Je l’ouvre : dedans un tas de cadenas ouvert, deux sacs à linge, ma paire d’espadrilles et une boîte de métal fermée par un cadenas.

«  C’est fait Maîtresse. Qu’est-ce que je dois faire ? »

« Tu enlèves tous tes vêtements et tu les mets dans un des sacs à linge, y compris tes chaussures et ton portefeuille. Awalpe le mari ! Tu me renvoie la photo dès que c’est fait »

Maîtresse Marie me veut nu. Non pas cela ! C’est le genre de décision que l’on doit prendre quand on commence ces jeux de D/S. Obéir jusqu’au bout ou pas ? Au risque de couper court à tout jeu ultérieur. Je prends ma décision et obéit à son ordre le frisson de peur de l’inconnu collé à la peau. Mes vêtements finissent dans le sac : je suis nu et vulnérable. J’envoie la photo et reçois la réponse après le temps de l’analyse.

«  C’est bien. Tu es un brave toutou obéissant. Bon tu fermes le sac maintenant avec un des cadenas. »

J’obéis et me coupe ainsi toute possibilité de retraite honorable. Je suis au milieu de la campagne, nu avec ma cage au zizi, sans possibilité de me couvrir, ni de payer quoi que ce soit. Je sens le vent encore assez chaud sur ma peau et je suis très fier de l’inventivité de ma Maîtresse Marie, même si là ce n’est vraiment pas facile à vivre sur le moment…

Nouveau message : « Tu mets le sac dans ta voiture, tu mets les espadrilles pour conduire et on repart sur la même route. Ce n’est plus très loin… »

Cela me fait une drôle d’impression de conduire complètement nu, la queue bien contrôlée par ma Maîtresse de femme.  Je croise quelques voitures sur la route, mais personne ne fait attention à moi, au-delà de mon torse nu. Cela fait très campagnard et personne ne semble comprendre que je suis complètement nu dans la voiture. Cela me rassure un peu. De toute façon, je suis parti dans un état de dépendance profonde envers ma Maîtresse de femme. Je me sens si soumis maintenant... C’est un rêve de soumis, ce qu’elle me fait subir. J’ai hâte de la retrouver.

Quelques instructions pour me guider dans les routes de campagne. Je m’enfonce dans le labyrinthe campagnard, excité de conduire nu. Une dernière instruction…

«  Tu prends le chemin de terre à droite et tu t’arrêtes arrivé à la bâtisse »

Je fais ce qu’il m’est ordonné. Je découvre bientôt une petite maison de pierre, au bord des bois, volets ouverts et si isolée. Le rêve d’un week-end de soumission réussi ! Devant la porte, sur la terrasse, le lourd porte-parasol a été déplacé à escient. Une courte chaîne y est accrochée avec un cadenas ouvert qui attend son esclave. Je gare ma voiture devant et j’en descends. J’attends un temps la prochaine instruction.

« Tu te souviens il y a 2 ans quand je t’avais transformé en mon esclave avec les chaînes cadenassées ? Tu fais pareil. Tu mets ton collier de soumis que tu verrouilles avec un des cadenas du paquet. Tu sors les chaînes et tu te transformes en esclave toujours avec les cadenas libres du paquet et quand tu es équipé tu m’envoies un message, esclave »

L’esclave final semble très prometteur. Je m’équipe de mes contraintes avec enthousiasme, follement excité aussi. Le lieu est désert. Je me fous de toute façon de rencontrer qui que ce soit tant ma situation est prometteuse… J’attends avec impatience les prochaines instructions de ma Maîtresse, la bite au vent aussi dure que le permet la cage. Elles tombent finalement…

« Allez au boulot esclave, tu as du travail. Tu décharges toutes les affaires de la voiture que tu déballes sur la table à manger. Je VEUX que tout soit impeccablement bien mis, à portée de main, prêt à servir ! Tu n’as qu’un quart d’heure, esclave ou gare à tes fesses ! Tu m’envoies un SMS quand tu as fini.»

Ce qui ne laisse que peu de temps. Je rentre immédiatement avec les premiers bagages. La maison est petite avec le salon et la cuisine au rez-de-chaussée, l’escalier qui monte sans doute à l’unique chambre à l’étage. Je déballe les fouets, cannes, les contraintes, les godes, les tenues et plein d’autres choses de nos caisses à malice que je dispose précautionneusement sur la lourde table de bois. Je vais aussi vite que mes chaînes me le permettent et je suis rapidement en sueur. Je finis finalement presque dans les temps et envoie le SMS de confirmation. Réponse immédiate.

« Tu n’as plus besoin de la clé de ta voiture et de ton téléphone là : tu mets le tout dans le second sac à linge que tu fermes avec un cadenas du colis. Et gare à toi, si je découvre que tu ne m’as pas obéis. Puis tu vas attendre au soleil enchaîné sur la terrasse. »

J’obéis immédiatement. Il n’est pas question pour moi une seule seconde de ne pas obéir, même si cela suppose que je sois maintenant totalement à sa merci. D’ailleurs je crois que celle cela que Maîtresse Marie recherche comme une excellente entrée en matière pour ce week-end qui semble promettre d’être très spécial. 

Dehors je retrouve la chaîne avec le cadenas ouvert qui m’attend. Cependant j’ai la surprise de découvrir une chaise y faisant face, qui n’était pas là tout à l’heure, avec une tablette numérique à l’écran noir. Le voyant rouge de la webcam en haut est allumé cependant : la scène est regardée. Je m’agenouille au pied du porte parasol et attache, obéissant, l’anneau de mon collier à la chaîne qui me force à rester en position de dévotion soumise.

L’écran s’allume enfin. Je découvre Marie, dans un plan large, assise sur le canapé du salon de notre maison à 200 kms ! C’est un choc ! J’espère à un moment à un enregistrement, qu’elle va arriver mais elle coupe vite toute ambiguïté.

- Dis un mot au hasard, esclave.

- O…béissance

- Tu viens de dire, obéissance. Tu vois donc que je te parle en direct depuis la maison. Tu m’excites même follement à être nu comme cela courbé contre le sol, loin de moi. Un vrai chou à la crème, mon esclave. Mais la sucrerie n’est pas pour moi aujourd’hui, Quoique je le regrette vraiment à te voir si attendrissant ainsi. Tu te souviens du contrat de soumission que tu as voulu que je signe ? De la clause qui m’autorisait à te prêter à qui je voulais ? Et te donner même… Et bien j’en use et j’en abuse. Ce moment est arrivé pour toi. Je te prête à une autre. Elle est curieuse de notre sexualité épicée. Elle veut ressentir toute l’excitation que l’on peut tirer d’un homme soumis. Elle me l’a gentiment demandé. J’ai simplement accepté. Et crois-moi, elle est inexpérimentée mais déjà pleine d’idées vicieuse. Et puis notre jeu plafonne un peu. Je n’arrive pas à dépasser mon Amour pour toi pour être impitoyable et te dresser réellement et durement. Là pas d’Amour donc pas de limite, sauf celle de ta résistance. Il n’est qu’en même pas question de te blesser… Allez soit sage et un soumis bien obéissant ce week-end. Je te laisse dans des bonnes mains…

Et sur ce, l’écran s’éteint me laissant dans le plus profond désarroi. Des pas féminins se rapprochent bientôt dans mon dos… 

J’ai peur maintenant.

La femme apparait dans mon champ de vision. C’est un choc ! C’est Emilie !

Emilie et son mari Thomas sont un couple d’amis. Nous étions avec Thomas à l’université ensemble. Nos femmes ont tout de suite bien accroché ensemble. A ma connaissance, ils ignorent tout de notre sexualité et donc de notre penchant pour les jeux D/S. Emilie m’a toujours semblé assez désintéressée par le sexe. Je ne comprends donc rien à sa présence ici, qui semble si irréelle, d’autant que nous avons mangé ensemble mercredi soir. Déjà profondément humilié par l’abandon de Marie, je tente de regarder si Thomas ne va pas arriver. Emilie me parle enfin.

- Non ne t’inquiète pas David. Je suis venue seule. Thomas est resté à la maison avec les enfants. Il me croit partie pour un week-end « remember » avec les copines de la fac. Hi, hi. Ils croient vraiment à tout, nos hommes, les tendres naïfs.

Comme moi j’ai cru à fond au piège de Marie… pour me retrouver finalement profondément humilié en esclave devant Emilie.

- Pour le reste, il ne sait pas ce qui l’attend les prochaines semaines. Lui aussi : clic-clac le zizi. Vous aurez un nouveau sujet de conversation lors de votre prochaine rencontre. Pour le reste, je suis là pour expérimenter tout ce que l’on peut faire avec un homme soumis. Tu seras mon cobaye. Je nous ai préparé un programme chargé. J’ai hâte de découvrir le plaisir à dresser au fouet un homme, à être une petite peste, à l’humilier, à le sauter au gode ceinture comme une donzelle en chaleur… Je veux aussi vérifier de visu si les hommes encagés sont meilleurs suceurs. Marie dit que c’est divin. Je veux te voir en couche avec ta ridicule grenouillère. Rien que d’y penser cela m’affole la foufoune. Bref je veux faire le maximum avec mon esclave de prêt d’un week-end, pour voir, sentir et confirmer que cela me plait énormément.

Je la regarde hébété et effrayé, cette Emilie inconnue en Maîtresse totale !

- Mais non mon chou. Cela ne te gêne pas que je t’appelle mon chou, vu que l’on va devenir très intime ces deux prochains jours ? Oui je disais donc mon chou, que tu ne seras pas perdant. Je prévois de te remercier à ma manière de ta « patience ». J’ai évidemment pas mal discuté avec Marie de tes goûts et fantasmes. Allez, tu l’auras enfin ta promenade de toutou en laisse dans la forêt. Et si tu es bien sage, nous jouerons peut-être ensemble à pipi-caca... 

Je ne peux pas être plus crucifié. Marie lui a vraiment tout raconté ! L’humiliation absolue ! Mais je n’ai pas le temps de me morfondre dans mon humiliation totale car déjà Maîtresse Emilie – je ne peux plus dire autrement maintenant – détache le cadenas au pied du parasol et m’entraîne à l’intérieur du bout de la chaîne…

- Mais cela sera pour plus tard. Car là j’ai prévu immédiatement une première séance de travaux pratiques avec les fouets, cannes et autres paddles…



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Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
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