Mardi 17 juin 2 17 /06 /Juin 05:45

C'était la fête des pères au Royaume ce week-end comme dans beaucoup d'autres contrées. Quelque chose de définitivement Monsieur et Madame tout le monde, normallement sans d'autres risques que de recevoir un cure pipe en coton tige et un moulin en pot de yahourt. Je charrie là, car les pages ont passé l'âge et je ne vais pas m'en plaindre. D'ailleurs en ce dimanche ensoleillé, ils ne sont pas beaucoup rester à la maison...

Je savais néanmoins qu'il y avait un complot dans l'air, avec le page ne cessant de me distiller dans le creux de l'oreille qu'avec mon cadeau, cela serait aussi un peu le sien et qu'il pourrait récupérer ce que j'abandonnerais. Tout cela était bien mystérieux, mais comme il ne sait pas trop tenir sa langue j'ai commencé à soupçonner qu'une tablette était commandée et qu'il espérait récupérer mon ordinateur actuel (et ses merveilleuses photos et videos de maman en train de s"amuser avec papa). Là il pouvait toujours rêver... Effectivement vendredi soir, le voisin m'a remis un paquet de la poste arrivé dans la journée que je n'ai pas eu le temps d'examiner, puisque N. qui rentrait avec les pages au même moment me l'a d'autorité enlevé des mains.

Samedi, c'était l'heure de la tonte et donc du plug (règle 10), deux choses qui m'enthousiasmaient guère et j'ai mis longtemps avant de me décider à sortir la tondeuse et m'enfiler le rosebud dans le cul, qui était cette fois là tout sauf agréable. Passons...

Dimanche matin, je me suis levé tôt avec la cage. J'ai repassé entre 7 et 8 heures devant la télévision avant de m'atteler à la préparation de mon repas de fête des Pères (mon statut de Marguerite domestique oblige). Vers 11h, le cadeau me fut offert en famille et là j'ai cru que j'avais rêvé : un pèse personne XXXXL (200 kg !) avec le petit mot "si" gentil pour accompagner le présent :

- Tu sais : il y avait des modèles qui n'allaient que jusqu'à 150 kg, mais j'ai trouvé ce modèle beaucoup mieux...

J'avoue que j'étais plus que dubitatif devant ce cadeau, me demandant s'il s'agissait du lard ou du cochon. Je ne voyais pas le besoin de nous pourvoir en un pèse bétail à la maison qui me laisse tant de marge pour grossir. Finalement je me suis demandé si je ne préferais pas les pots de yahourt décorés d'antan... Et en plus je ne suis pas arrivé à savoir si l'humiliation était voulu ou fortuite. Passons là aussi... De toute façon comme c'est bizarre je ne l'ai pas encore essayé. Na !

Le repas de fête de leur Père a été zappé par les pages. L'un trop occupé à construire une cabane avec les copains et l'autre à la préparation de la fête de son club. Même Madame s'est absentée de la maison un long moment alors que je faisais chauffer le BBQ et préparais les brochettes maison.

Quand elle est revenue, N. a été plus que directe :

- On est seul : enfants partis. J'ai envie de ta queue : allez ouste à l'étage ! Je te décage, je t'utilise puis je te rencage.

Ce que femme excitée veut... Je me suis retrouvé rapidement nu sous la douche, décagé avec une belle érection. Direction la chambre avec un petit capuchon (de traite ?).

blfp14_8.jpg

Madame s'est mise en levrette, prête à jouir de "sa" queue. Un vrai bonheur quand même le porteur de la dite queue de s'enfoncer dans le conduit humide et accueillant au bout de 5 semaines de période nada. N. apprécie follement et bruyamment le rythme des coups de butoir. J'essaye de me détendre (l'esprit pas la bite) car je suis toujours sous la menace de la règle qui m'oblige à quémander en petit garçon mes autorisation d'éjaculations. La boule monte doucement au creux du ventre alors que N. a plusieurs kilomètres d'avance et est déjà dans les folles contrée du plaisir. Une vraie jouisseuse précoce ce jour là !  Jusqu'à son long et intense orgasme qui éclate là sous mes yeux. Je ne bouge plus... attendant sa décision...

- Ouah c'était trop bon ! Je devrais faire cela plus souvent...

blfp14_1.jpg

Puis se rappellant de la queue qu'elle venait de s'embrocher et qui se tenait encore profondément enfichée dans la matrice si mouillée.

- Tu n'es pas parti, toi ?

- Non.

- Alors tu t'enlèves et tu remets ta cage.

Là j'ai chouiné pour essayer de l'attendrir, négocier du rab, voire même obtenir le droit à me laisser aller. Trop envie. Et bizarrement cela a marché. Après des nons de façade ("trop de risques que tu partes"), j'obtiens le Saint-Graal ; sa bouche doucereuse descend sur mon gland et le long de ma hampe dans un passioné baiser que les femmes donnent à leurs hommes. Délicieux de douceur humide ! Je mets la tête en arrière appelant ma nature de mâle à enfin s'exprimer, là dans cette chaude bouche et tout de suite.

blfp14_7.jpg

jusqu'en vilaine petite fille qui se réjouit de son mauvais coup, N. redevenue d'un cop Maîtresse cruelle m'en prive et me laisse la queue en plan et en feu. Aussitôt sans y penser, je porte ma main pour me finir mais Maîtresse m'en empêche et me met en garde.

- tss, tss, tss. INTERDIT !

Déçu et frustré le dyonisos.

- Mais comme c'est la fête des papas, je te permets de te balader sans cage un moment avant de t'y remettre ce soir. Allez passe une culotte.

J'ai du bataîller un moment pour que N. abandonne l'idée de me voir porter "mes" petites culottes bateaux roses, mauves, en coton sans tenue où ma bite que ne voulait pas se détendre, aurait fait mat de chapîteau (nous devions sortir), pour finalement "récupérer" un string qui me pénétrait loin dans les fesses, mais plaquait toute fierté mal placé.

blfp14_6.jpg

Cela plaisait évidemment énormément à ma Reine de m'habiller ainsi.

Il était temps de manger en "amoureux" sous un arbre. Le temps d'apprendre qu'il n'était pas du tout acquis que je sorte de ma cage pour nos vacances (!). Le temps aussi d'aider la Reine à mettre au point son tarif de punitions/récompenses (le paradoxe du pendu qui fabrique sa corde).

Le reste de la journée a été plus calme, avec la soirée devant le match. J'ai même eu le droit à un verre d'un divin whisky japonais pour ma fête avant que la bouteille soit mise sous clé.

blfd14_4.jpg blfp14_5.jpg

Puis vint l'heure du coucher. D'abord l'ordre de remettre ma cage et me grenouillère, que j'ai fait semblant de ne pas avoir entendu pendant que N. terminait une commande. Moi je jouais au solitaire sur mon téléphone. Puis la Maîtresse s'est réveillée, m'a fait sortir le kit à sondes d'urêtre. Et me voilà à sa grande joie transpercé...

blfp14_3.jpg

- J'ai vraiment l'impression de te violer ! J'adore cela !

C'est à mi chemin entre le plaisir et la douleur. Je sens la tige me pénétrer accompagnée des doigts de N. qui surveille sa progression.

- Tu as vu cela rentre tout seul...

Je lève la tête pour ne plus voir que l'extrémité de la tige (25 cm !) qui dépasse de mon gland. C'est terrifiant d'imaginer que cela puisse aller si profond. Je ne préfère ne pas voir.

blfp14_2.jpg

Au plus profond justement, la tige est un peu douloureuse. N. est enjouée et manifestement très excitée. Elle change de diamètre. Il m'est plus difficile. Elle s'amuse à suivre la boule sous la peau jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans les entrailles. N. commente à voix haute. Je sers les dents.

Puis N. décide de me branler autour de la tige, tout en continuant à la faire circuler dans les profondeurs. La tension de la libération monte en moi. Je suis complètement offert entre ses mains. Elle accélère le mouvement tout en enfonçant la boule. Je me sens prêt à déferler dans quelques instants. Un dernier mouvement de sa main et puis... plus rien ! Non qu'elle est enlevée sa main. Mais mon orgasme vient d'être volé et a disparu au dernier moment.

- Je ne suis pas parti là ?

- Et si : il y en a partout !

Partout ? Sans aucune sensation d'orgasme ? Je commence à me demander si la boule n'a pas tout freiné et m'a privé de de tout plaisir de la délivrance... En terme technique : un magnifique orgasme ruiné qui me laisse incrédule et frustré.

Pas le temps de ressasser, déjà la Reine me demande l'extinction au plus vite de l'incendie qui a pris naissance entre ses jambes...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

blhumor.jpg

 

 

Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


Retour à la page d'accueil

Trafic

 1  visiteur(s) en ligne  

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés