Nous

Mercredi 7 mai 3 07 /05 /Mai 06:20

blenluC.jpg e matin là, je prépare la pérégrination en contrée Françoise en convoi de la Reine et des jeunes pages, le fer à castrer bien accroché, en craignant l'inconnue de l'érection de la bête, la nuit à venir, ainsi empalée. J'aurais voulu pouvoir tester l'appareil à vide, ou plutôt a plein, avant de m'y retrouver confiné, mais la Reine dans un souci de me faire abdiquer rapidement face au nouveau régime, a décidé - et en monarchie absolue c'est sans appel - de m'anneler au plus tôt et de me surprendre ainsi de la rapidité de cette ordonnance.

Je n'ai aucun refuge sauf à essayer d'inhiber toutes les réactions de mon corps à force de boissons maltées, aussi répandu en Dyonisie qu'elles le sont en Yanodie, chez le bas peuple, que je fais aussi discrétement que possible hors de la vue de la Reine. L'avantage est que cela fonctionne assez bien et que je n'aurai point de dureté trop exigeante cette première nuit dans le fer à castrer. L'inconvénient est que la Reine découvre finalement mon astuce ce qui me vaut une engueulade carabinée et une promesse de punition redresseuse de tort "dès que les conditions seront réunies". A cela se rajoute que le lendemain, c'est la tempête en Dyonisie, que je laisse la Reine dormir et m'occupe par ailleurs de mes affaires, sans m'occuper de celles du Chateau, ce qui me veut une seconde remontrance sèche et courroucée au réveil tardif de la Reine, qui me fait m'activer immédiatement la couenne honteuse.

Finalement nous prenons chemin en fin de journée. La Reine m'installe à la conduite de la carriole mécanique non sans me donner conseil de surtout bien m'installer et prendre mes aises vis à vis du fer qu'elle me fait porter. Sur le chemin je ressens dans l'entrejambe chaque ornière du terrain. La bête prise dans le pal bouge encore en coulissant lentement le long de la tige, avec l'étrange impression de la boule qui pénètre si profond à l'intérieur de mon corps au point que je n'ose y penser et l'agacement de la tige qui frotte sur le méat.

La communauté arrive finalement à une auberge où elle s'installe pour la nuit. Après un frugal repas, nous allons nous coucher. Nous occupons, la Reine, les pages et moi, une unique chambre de l'auberge, pas très grande. Je ne suis pas rassuré mais heureusement j'ai prévu un bas de culotte pour masquer ma jambe de fer de la vue des pages, ce que remarque malicieusement à voix haute la Reine. Il est temps à la communauté de s'endormir et moi le premier, physiquement fatigué du port du fer à castrer...

Les Démons Baiseurs viennent me rendre visite tôt dans la nuit. Je me demande si la Reine ne les a pas commandés à escient. Le fer à castrer devient instrument de torture et l'équivalent dans le royaume Dyonisien de ce qu'est la veuve de Nuremberg en Yanodie, celle d'un accessoire apte à briser toute vélléité de résistance chez l'homme qui se le voit imposé. Les Démons me baisent longuement la bite et la pénètrent durement, au moins à 4 reprises, et m'envoient le reste du temps dans des délires cauchemardesques. Je me sens désespérement coincé dans mon carcan de fer, à endurer les assauts des Démons Baiseurs, ramené à l'état d'une pauvre donzelle à 3 trous qui se fait violer le même trou en continu toute la nuit par une bande de Démons avides et dépravés. Je donnerais à ce moment mon âme pour qu'ils s'intéressent à un autre trou que celui qui transperce mon sexe.

La nuit est très longue et le matin arrive si lentement... Je me lève très tôt, bien avant la communauté et vais reprendre mes esprits à l'air froid du matin, l'entrejambe brulante qui met à longtemps à désenfler. Je sors exténué de la nuit. Quel présomptueux j'ai été de croire que je pouvais échapper à l'action retors du fer à castrer.

Oui je promets : je serai un soumis bien sage dans sa cage...

dyonisos
bldemonbaiseur.jpg
Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Lundi 5 mai 1 05 /05 /Mai 12:00

blenluA.jpg

 

 

 

 

 

vec l'arrivée de la douceur et le soleil qui réchauffe, l'esprit vagabonde et se dévergonde. Les envies montent et le bas-peuple d'ici tend peu à peu vers le côté noir de la force. Faut-dire aussi que les nouvelles de la Yanodie et de son exigeante Reine Flo 1ère, donne l'eau à la bouche à ce bas-peuple.

Alors comme à chaque fois le peuple se demande : ne faudrait-il pas rechercher la renaissance du royaume Dyonisien, voisin de la Yanodie ?

blasondyonisos2.jpg

Bien sûr pour cela il faut remettre une Reine sur le trône du Royaume d'ici, qui n'en a plu connu depuis longtemps. Alors le peuple - toujours le dindon de l'Histoire - va chercher l'ancienne souveraine pour lui faire une offre de retour sur le trône. 

La future Reine pressentie fait malicieusement traîner sa réponse ou en donne une normande (peut-être ben...). Puis finalement, elle accepte de se laisser couronner à nouveau par son bon peuple.

Tout est prêt. N'y a plus qu'à profiter d'un temps de pérégrination dans la contrée des Francois pour faire monter la pression avant de mettre les chères têtes blondes dans le Poudlard Express et permettre au peuple de servir la Reine en bon serf mais forcément martyrisé. Il est vrai qu'il n'est pas facile à chaque fois de passer d'une république parlementaire à une royauté absolue. Question de perte de repère ou d'habitude tout simplement. Le peuple renonce difficilement à sa liberté chérie. Il est difficile à ma Dame amoureuse et égalitaire de redevenir Reine injuste et perverse. 

Cela nécessite un coup d'état pour changer le régime politique de la Dyonisie. A l'arrivée du moment, le peuple, une dernière fois, communie dans une dernière secousse de liberté avant de renoncer par écrit à ses droits consitutionnels de citoyen libre ouvrant le champ libre au changement de régime à un moment ou au autre. L'histoire de notre Royaume, nous a appris qu'il ne faut surtout pas perdre de temps au moment de la migration Grandparentesque des têtes blondes. Le peuple s'attend donc à ce que le coup d'état se réalise rapidement. Et pourquoi pas dès le départ du Poudlard Express : "enfants partis, toi tu mets IMMEDIATEMENT ta cage !". Un retour encagé au chateau serait très symbolique et annonciateur d'une servitude heureuse. 

Mais nous en sommes pas encore à ce moment. Pour l'instant il est temps de pérégriner un peu pendant quelques jours dans la contrée des François. Et avant de s'occuper des activités des pages. Et c'est au retour de la dernière tournée de charrette, quelques heures après le renoncement écrit, que le peuple reçoit le premier édit de la future Reine.

Mise en cage ce soir. Avant obligation de rasage.

Aie ! Le problème avec les coups d'état est que c'est toujours le bon peuple qui trinque... Le peuple est envoyé directement se morfondre en prison, la souveraine taquine faisant fi des inconvénients d'être encagé pendant la période de promiscuité à venir. 

A partir de ce moment, le peuple se sent d'une âme noire. D'autant qu'il entend que la cage se comprend cette fois complète avec le zizi empalé sur le plug. Mais le peuple est excité et a le zizi humide à la perspective de changement de régime. Pov' peuple idiot... qui se fait toujours avoir dans l'Histoire.

Le soir arrive vite, trop vite. La Reine surveille d'un coin de l'oeil les allées et venues du peuple qu'elle interroge :

- Tu vas où là ?

- Je vais me doucher...

- Comment cela, tu ne t'es pas douché ce matin ?

- Non, mais...

Il semble que le peuple rougit un peu là. La jeune patrouille est par là. Il mime rapidement un geste d'un rasoir dans l'entrejambe et s'éclipse. Il lui faut une bonne demi-heure pour abattre la forêt qui a poussé. Le peuple se sent dans l'âme d'un condamné qui fait sa dernière toilette avant de monter sur la Veuve. Mais finalement le peuple y arrive avant de terminer par les dessous de bras. Il se rhabille et revient auprès de la nouvelle Reine.

blcoupetat1.jpg

La future Reine est toujours assise sur son trône à s'occuper à règler les affaires de son Royaume. Faisant fi de la présence des Pages, elle vient porter son Auguste main sur l'entrejambe  et lève les yeux d'un étonnement reprochant. Le peuple rougit sans doute de nouveau, balbutie que "non je n'ai pas encore..." et s'enfuit la queue basse mettre la cage.

Le peuple récupère en fond d'amoire la boîte fermée des fers à castrer et se dirige vers la salle d'eau, quand il tombe sur la jeune patrouille du Royaume.

- qu'est-ce que tu vas faire ?

Le peuple a envie de lui répondre : essayer de passer la foutue cage que ta maman à décider de mettre sur le zizi de ton papa... Mais il se retient et essaye vite de trouver une réponse crédible et apte à désarmorcer la curiosite de la patrouille. Cela sera : "je vais tailler les poils de dessous les bras, maman trouve que je pue trop" Cela marche ! Hourra ! (et en plus ce n'est qu'un demi-mensonge, le peuple vient de le faire)

Le Royaume aime les prisons aux barreaux solides, mais qu'est-ce que c'est compliqué à mettre pour un serf peu doué. Le peuple arrive avec quelques peines à passer une à une les couilles dans l'anneau clos et vient alors la phase délicate de l'empalement complet avant de faire basculer légèrement la cage pour finir de l'accoster, le système de fermeture étant solide mais exigeant. Le peuple souffle. Le peuple souffre. Le barillet est finalement introduit. Le peuple est prêt à son destin, la clé encore attachée à la cage. Il se présente donc en audience auprès de la Reine qui, occupée à gérer les affaires de son Royaume, le fait attendre, languir dirais-je même de sa disponibilité. Nous ne serions pas au Royaume dyonisien et le peuple aurait droit à la parole, que le peuple dirait qu'elle le fait exprès pour me taquiner. Au final, la Reine daigne enfin consentir à s'occuper de la petite affaire de son sujet avec le dédain monarchique qu'il se doit. Clic-Clac, l'oiseau est dans le sac. Et la clé, jetée au fond d'une poche, hors de la vue du sujet.

Une chose étonnante quand même pour finir. La Reine fait une confidence dans un mumure, celle de l'excitation qu'elle prend à l'enfermement de ses sujets. En bons sujets, le peuple fait celui qui n'a rien entendu. Il a des confidences des puissants qu'il faut mieux oublier sinon...

dyonisos

blcoupetat2.jpg

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Mardi 15 avril 2 15 /04 /Avr 18:32

La semaine dernière, N. voyageait en train et dans la gare où elle attendait, voilà qu'une personne habillée de cuir lui attire son oeil dominant...

- C'était une Maîtresse...

- Comment peux-tu savoir cela du premier coup d'oeil ?

- Elle était habillée fetish cuir.

- Cela ne prouve rien, de nos jours le SM est à la mode et l'habit ne fait pas le moine...

- Si c'était une Maîtresse j'en suis sûre ! Elle avait enfilée une cravache dans ses hautes bottes.

- La... cravache ? Attend pourquoi elle ne l'avait pas mise dans son bagage ?

- Tout simplement parce qu'il était trop petit pour la contenir...

Et sur ce elle me laisse à mes pensées, sûre de son effet. Bien sûr, c'est évident, la Maîtresse a mis la cravache dans sa botte parce qu'elle ne rentrait pas dans son bagage... Drôle de pensée excitante, mais il faut de tout pour dominer un monde.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
Ecrire un commentaire - Voir les 7 commentaires

Présentation

blhumor.jpg

 

 

Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


Retour à la page d'accueil

Trafic

 1  visiteur(s) en ligne  

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés