vec l'arrivée de la douceur et le soleil qui réchauffe, l'esprit vagabonde et se dévergonde. Les envies montent et le bas-peuple d'ici tend peu à peu vers le côté noir de la force. Faut-dire aussi que les nouvelles de la Yanodie et de son exigeante Reine Flo 1ère, donne l'eau à la bouche à ce bas-peuple.
Alors comme à chaque fois le peuple se demande : ne faudrait-il pas rechercher la renaissance du royaume Dyonisien, voisin de la Yanodie ?
Bien sûr pour cela il faut remettre une Reine sur le trône du Royaume d'ici, qui n'en a plu connu depuis longtemps. Alors le peuple - toujours le dindon de l'Histoire - va chercher l'ancienne souveraine pour lui faire une offre de retour sur le trône.
La future Reine pressentie fait malicieusement traîner sa réponse ou en donne une normande (peut-être ben...). Puis finalement, elle accepte de se laisser couronner à nouveau par son bon peuple.
Tout est prêt. N'y a plus qu'à profiter d'un temps de pérégrination dans la contrée des Francois pour faire monter la pression avant de mettre les chères têtes blondes dans le Poudlard Express et permettre au peuple de servir la Reine en bon serf mais forcément martyrisé. Il est vrai qu'il n'est pas facile à chaque fois de passer d'une république parlementaire à une royauté absolue. Question de perte de repère ou d'habitude tout simplement. Le peuple renonce difficilement à sa liberté chérie. Il est difficile à ma Dame amoureuse et égalitaire de redevenir Reine injuste et perverse.
Cela nécessite un coup d'état pour changer le régime politique de la Dyonisie. A l'arrivée du moment, le peuple, une dernière fois, communie dans une dernière secousse de liberté avant de renoncer par écrit à ses droits consitutionnels de citoyen libre ouvrant le champ libre au changement de régime à un moment ou au autre. L'histoire de notre Royaume, nous a appris qu'il ne faut surtout pas perdre de temps au moment de la migration Grandparentesque des têtes blondes. Le peuple s'attend donc à ce que le coup d'état se réalise rapidement. Et pourquoi pas dès le départ du Poudlard Express : "enfants partis, toi tu mets IMMEDIATEMENT ta cage !". Un retour encagé au chateau serait très symbolique et annonciateur d'une servitude heureuse.
Mais nous en sommes pas encore à ce moment. Pour l'instant il est temps de pérégriner un peu pendant quelques jours dans la contrée des François. Et avant de s'occuper des activités des pages. Et c'est au retour de la dernière tournée de charrette, quelques heures après le renoncement écrit, que le peuple reçoit le premier édit de la future Reine.
Mise en cage ce soir. Avant obligation de rasage.
Aie ! Le problème avec les coups d'état est que c'est toujours le bon peuple qui trinque... Le peuple est envoyé directement se morfondre en prison, la souveraine taquine faisant fi des inconvénients d'être encagé pendant la période de promiscuité à venir.
A partir de ce moment, le peuple se sent d'une âme noire. D'autant qu'il entend que la cage se comprend cette fois complète avec le zizi empalé sur le plug. Mais le peuple est excité et a le zizi humide à la perspective de changement de régime. Pov' peuple idiot... qui se fait toujours avoir dans l'Histoire.
Le soir arrive vite, trop vite. La Reine surveille d'un coin de l'oeil les allées et venues du peuple qu'elle interroge :
- Tu vas où là ?
- Je vais me doucher...
- Comment cela, tu ne t'es pas douché ce matin ?
- Non, mais...
Il semble que le peuple rougit un peu là. La jeune patrouille est par là. Il mime rapidement un geste d'un rasoir dans l'entrejambe et s'éclipse. Il lui faut une bonne demi-heure pour abattre la forêt qui a poussé. Le peuple se sent dans l'âme d'un condamné qui fait sa dernière toilette avant de monter sur la Veuve. Mais finalement le peuple y arrive avant de terminer par les dessous de bras. Il se rhabille et revient auprès de la nouvelle Reine.
La future Reine est toujours assise sur son trône à s'occuper à règler les affaires de son Royaume. Faisant fi de la présence des Pages, elle vient porter son Auguste main sur l'entrejambe et lève les yeux d'un étonnement reprochant. Le peuple rougit sans doute de nouveau, balbutie que "non je n'ai pas encore..." et s'enfuit la queue basse mettre la cage.
Le peuple récupère en fond d'amoire la boîte fermée des fers à castrer et se dirige vers la salle d'eau, quand il tombe sur la jeune patrouille du Royaume.
- qu'est-ce que tu vas faire ?
Le peuple a envie de lui répondre : essayer de passer la foutue cage que ta maman à décider de mettre sur le zizi de ton papa... Mais il se retient et essaye vite de trouver une réponse crédible et apte à désarmorcer la curiosite de la patrouille. Cela sera : "je vais tailler les poils de dessous les bras, maman trouve que je pue trop" Cela marche ! Hourra ! (et en plus ce n'est qu'un demi-mensonge, le peuple vient de le faire)
Le Royaume aime les prisons aux barreaux solides, mais qu'est-ce que c'est compliqué à mettre pour un serf peu doué. Le peuple arrive avec quelques peines à passer une à une les couilles dans l'anneau clos et vient alors la phase délicate de l'empalement complet avant de faire basculer légèrement la cage pour finir de l'accoster, le système de fermeture étant solide mais exigeant. Le peuple souffle. Le peuple souffre. Le barillet est finalement introduit. Le peuple est prêt à son destin, la clé encore attachée à la cage. Il se présente donc en audience auprès de la Reine qui, occupée à gérer les affaires de son Royaume, le fait attendre, languir dirais-je même de sa disponibilité. Nous ne serions pas au Royaume dyonisien et le peuple aurait droit à la parole, que le peuple dirait qu'elle le fait exprès pour me taquiner. Au final, la Reine daigne enfin consentir à s'occuper de la petite affaire de son sujet avec le dédain monarchique qu'il se doit. Clic-Clac, l'oiseau est dans le sac. Et la clé, jetée au fond d'une poche, hors de la vue du sujet.
Une chose étonnante quand même pour finir. La Reine fait une confidence dans un mumure, celle de l'excitation qu'elle prend à l'enfermement de ses sujets. En bons sujets, le peuple fait celui qui n'a rien entendu. Il a des confidences des puissants qu'il faut mieux oublier sinon...
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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