Nous

Samedi 14 décembre 6 14 /12 /Déc 06:59

A l'entrée du salon, Maîtresse me fait arrêter le temps de mettre en place une des petites chaises de classe maternelle, abaissée mais très solide que nous avons hérité de la petite enfance de nos gamins. Elle vient de fixer le lieu. Elle me fait avancer encore devant ce mini trône puis me laisse le temps d'aller rechercher un accessoire sur la table de la salle à manger.

J'attends quelques instants à ras de terre. Ma vision est très limitée par les découpes dans le cuir et le bas de la muselière qui fait office d'œillères. De toute façon je ne distingue qu'un bout de mur bas. Je bave nettement dans mon bâillon. Les bruits extérieurs sont étouffés mais j'entends complètement le rythme de ma respiration intérieure. Un peu rapide. Je me sens complétement une bête prise dans un filet d'où elle ne peut s'échapper.

Maîtresse revient et me positionne par sa voix face à sa petite chaise. Attente. Maîtresse est silencieuse mais je perçois des bruits de bouchon que l'on ouvre et que l'on referme. Je suis un peu angoissé par ce temps d'expectative.

- Allez viens là, mon gros toutou...

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Maîtresse me fait reculer comme on ferait reculer un cheval devant l'attelage et quand elle juge que mon arrière train est dans la bonne position, elle presse fortement contre mon petit trou ce que je reconnais immédiatement comme un plug de métal cherchant à me perforer à tout prix. Je ne suis pas ouvert d'appréhension, cela fait mal, je beugle dans mon bâillon tout en cherchant à y échapper par une fuite en avant. Mais Maîtresse ne l'entend pas ainsi et sa main me saisit durement par les roubignolles qu'elle tire vers l'arrière pour me faire reprendre la position. Aussitôt le plug cherche à nouveau à me transpercer dans la douleur. Maîtresse écrase mes couilles dans sa main, rendant toute rébellion impossible. Le métal écarte de plus en plus mes chairs dans la souffrance d'un viol. Je doute même qu'elle ait mis tout lubrifiant. Je crie, je beugle, je gémis. Non je ne veux pas ! Mais Maîtresse elle le veut et ce que Maîtresse veut... elle l'obtient !

Au plus fort : "Allez calme toi, dyonisos, il est rentré. Mais dis donc qu'est-ce que tu es serré pour ta Maîtresse aujourd'hui. Tu devrais pourtant être content, c'est ce que tu désirais. Je crains que le gode tout à l'heure va t'être tout sauf une partie de plaisir..."

Evidemment un toutou bâillonné ne peut répondre. De toute façon, je n'en ai pas le temps ni l'occasion. Maîtresse me surprend totalement en me chevauchant. J'encaisse l'arrivée de son poids qu'elle accentue bientôt en décollant totalement ses pieds du sol. J'endure en grimaçant et cherchant ma respiration. Je baisse la tête. Je suis totalement pris au dépourvu par cette nouveauté et totalement sous son contrôle. Je me sens complètement soumis. Elle pourrait faire ce qu'elle veut de moi maintenant. 

Le temps comme suspendu, j'attends son ordre de la promener ainsi dans la pièce. Mais il ne vient pas. Le veut-elle ? Y pense-t-elle ? L'ose-t-elle ? Mystère. Pourtant j'aurais obéi.

Maîtresse se retire finalement de mon dos et me libère de sa contrainte.

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Vendredi 13 décembre 5 13 /12 /Déc 06:46

Je redescends de l'étage. N. m'attend dans sa Grande Tenue de Maîtresse, tout en noir, bottes et corset de cuir, très impressionnante et intimidante.

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- Tu t'es bien lavé l'intérieur de ton cul ?

Elle parle du lavement qu'elle m'a envoyé faire, honteux évidemment et troublé par la perspective du milking et de la prise au gode ceinture qu'elle m'a promis vouloir hier.

- Oui... euh... Maîtresse

- Bon alors, à poil le dyonisos !

J'ai beau savoir que cette pratique ludique est consentante entre nous, je frissonne à cet ordre. Et je dois paraître à ma Maîtresse très gauche à enlever un à un mes vêtements et à les poser au mieux sur une chaise de la table à manger. J'ai sans doute un peu de rouge aux joues et l'excitation de la quéquette bizarrement molle. Et pourtant qu'est-ce que je le voulais ce moment de jeu, qu'est-ce que je l'ai attendu ces deux dernières semaines mais au moment de me donner en pâture, je ne suis pas aussi sûr de le vouloir encore. Je crains même un peu.

Je me présente devant Maîtresse en caleçon, croyant qu'elle voudra me le descendre elle-même. Mais à la place cela me vaut une réprimande.

- Mais t'es con comme soumis ! A poil j'ai dit !

Je fais tomber le caleçon, laissant apparaître mon zizi encagé depuis 9 semaines et quelques. Maîtresse à son petit sourire des grands jours. Elle se plante devant moi. Je crains la série de gifles de prise de contrôle, mais elle ne vient pas cette fois-là. A la place, elle m'a pris par les couilles et répète plusieurs fois que tout cela est à Elle. Ma Dame semble être dans ses pensées pendant que ses doigts traînent longuement sur les petites choses qui dépassent sous la cage.

- Allez on y va ! Il est où le collier...

N. me le pose autour du cou, inhabituellement serré. Elle jubile en exhibant la plaque de métal qui

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 l'identifie comme la Maîtresse du chien dyonisos. "Tu m'appartiens totalement !" De toute façon, chien je serai aujourd'hui. Elle l'a décidé cette semaine avec envie. Elle se questionne maintenant si elle me bâillonne ou pas, pesant le pour et le contre. Elle requiert même à un moment mon avis "technique". Je ne sais que répondre et balbutie une réponse mi-figue, mi-raisin. De toute façon, Maîtresse prend souverainement sa décision sans appel. Bâillonné, je suis. Un chien cela ne parle pas, mais cela jacte ! Le bâillon est recouvert de la cagoule de cuir prenant l'ensemble de ma tête de futur toutou, ne laissant que deux petites ouvertures plus ou moins ajustées en face de mes yeux qui restreignent dorénavant une première fois mon champ de vision. Le cuir atténue aussi les bruits depuis l'extérieur. Petite pause le temps de saisir avec une excitation montante chez la Maîtresse et le toutou le regard emprisonné dans la cagoule, et la véritable muselière à chien m'est attachée pour finaliser la transformation en chien. Elle dit que l'effet est saisissant.

- Allez ouste le clébard au salon !

Je m'y dirige immédiatement mais fait l'erreur involontaire d'y aller sur mes deux jambes. Maîtresse me reprend de volée.

- Non, tu n'as pas compris. A quatre pattes le chien !

Cela a été dit avec toute la sécheresse qu'une Maîtresse peut avoir quand elle parle à son chien soumis. N. me verrait sans doute rougir si je ne portais pas mon masque de cuir. Je suis submergé par une vague de profonde humiliation alors que je bascule mon corps à terre. Et pourtant je savais que  cela serait ainsi, mais entre le savoir, voire même le vouloir quelque part et le vivre en live, comme toujours la différence est grande. 

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Lundi 9 décembre 1 09 /12 /Déc 06:33

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Présentation

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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


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