Je redescends de l'étage. N. m'attend dans sa Grande Tenue de Maîtresse, tout en noir, bottes et corset de cuir, très impressionnante et intimidante.
- Tu t'es bien lavé l'intérieur de ton cul ?
Elle parle du lavement qu'elle m'a envoyé faire, honteux évidemment et troublé par la perspective du milking et de la prise au gode ceinture qu'elle m'a promis vouloir hier.
- Oui... euh... Maîtresse
- Bon alors, à poil le dyonisos !
J'ai beau savoir que cette pratique ludique est consentante entre nous, je frissonne à cet ordre. Et je dois paraître à ma Maîtresse très gauche à enlever un à un mes vêtements et à les poser au mieux sur une chaise de la table à manger. J'ai sans doute un peu de rouge aux joues et l'excitation de la quéquette bizarrement molle. Et pourtant qu'est-ce que je le voulais ce moment de jeu, qu'est-ce que je l'ai attendu ces deux dernières semaines mais au moment de me donner en pâture, je ne suis pas aussi sûr de le vouloir encore. Je crains même un peu.
Je me présente devant Maîtresse en caleçon, croyant qu'elle voudra me le descendre elle-même. Mais à la place cela me vaut une réprimande.
- Mais t'es con comme soumis ! A poil j'ai dit !
Je fais tomber le caleçon, laissant apparaître mon zizi encagé depuis 9 semaines et quelques. Maîtresse à son petit sourire des grands jours. Elle se plante devant moi. Je crains la série de gifles de prise de contrôle, mais elle ne vient pas cette fois-là. A la place, elle m'a pris par les couilles et répète plusieurs fois que tout cela est à Elle. Ma Dame semble être dans ses pensées pendant que ses doigts traînent longuement sur les petites choses qui dépassent sous la cage.
- Allez on y va ! Il est où le collier...
N. me le pose autour du cou, inhabituellement serré. Elle jubile en exhibant la plaque de métal qui
l'identifie comme la Maîtresse du chien dyonisos. "Tu m'appartiens totalement !" De toute façon, chien je serai aujourd'hui. Elle l'a décidé cette semaine avec envie. Elle se questionne maintenant si elle me bâillonne ou pas, pesant le pour et le contre. Elle requiert même à un moment mon avis "technique". Je ne sais que répondre et balbutie une réponse mi-figue, mi-raisin. De toute façon, Maîtresse prend souverainement sa décision sans appel. Bâillonné, je suis. Un chien cela ne parle pas, mais cela jacte ! Le bâillon est recouvert de la cagoule de cuir prenant l'ensemble de ma tête de futur toutou, ne laissant que deux petites ouvertures plus ou moins ajustées en face de mes yeux qui restreignent dorénavant une première fois mon champ de vision. Le cuir atténue aussi les bruits depuis l'extérieur. Petite pause le temps de saisir avec une excitation montante chez la Maîtresse et le toutou le regard emprisonné dans la cagoule, et la véritable muselière à chien m'est attachée pour finaliser la transformation en chien. Elle dit que l'effet est saisissant.
- Allez ouste le clébard au salon !
Je m'y dirige immédiatement mais fait l'erreur involontaire d'y aller sur mes deux jambes. Maîtresse me reprend de volée.
- Non, tu n'as pas compris. A quatre pattes le chien !
Cela a été dit avec toute la sécheresse qu'une Maîtresse peut avoir quand elle parle à son chien soumis. N. me verrait sans doute rougir si je ne portais pas mon masque de cuir. Je suis submergé par une vague de profonde humiliation alors que je bascule mon corps à terre. Et pourtant je savais que cela serait ainsi, mais entre le savoir, voire même le vouloir quelque part et le vivre en live, comme toujours la différence est grande.
dyonisos
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
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Au cours d’une soirée organisée, je rencontre Jimmy, un copain kiné qui suit ma femme Alysée pour des problèmes lombaires, suite à un léger accident du travail, il a l’air bavard sans doute, l’alcool y est pour quelque chose, je
reconnais que j’ai moi-même abusé des apéros.
Comme il est disposé à parler, je l’invite à s’asseoir dans un coin discret, un verre à la main, j’ai envie de connaître l’envers de ce métier.
- Dis-moi Jimmy, ma femme fait des progrès ?
- Oui ça avance, encore une séance et elle n’aura plus besoin de mes services.
- Tu fais un boulot formidable toi ! Tu en as de la veine, voir des femmes nues et toucher les moindres parties de leurs anatomies sous le couvert d’acte médical !
- D’abord, elles ne sont pas nues … enfin certaines retirent tout sans que je ne leur demande.
- Et tu en profites ?
- Secret professionnel mon vieux !
- Oh tu peux bien me le dire à moi, je suis ton copain !
- Bon y’en a trois qui viennent régulièrement pour se faire « masser » mais en fait, c’est pour tout autre chose…
- Ma femme en fait partie ?
- Tu es fou ? Je respecte Alysée et toi aussi Marc !
- Elle est nue quand tu la travailles ?
- Non, elle garde sa culotte et reste sur le ventre, mais je reconnais qu’elle est bien faite, même côté pile !
- Ça te fait bander ?
- Joker !
- Et si je te demandais de la pousser dans ses retranchements pour voir si elle céderait à tes charmes ? Elle me dit que tu es bel homme et que tes mains lui font du bien.
- C’est non ! Je ne veux pas perdre ta confiance.
- Et si j’assistais en douce ? Ce ne serait pas tromper ?
- Tu regarderais en cachette ?
- Oui, tu lui demanderais d’ôter sa culotte sous un prétexte quelconque, tes mains dévieraient entre ses cuisses…… et qui sait, je te laisse carte blanche pour imaginer la suite …
- Tu me tentes Marc, j’avoue qu’Alysée me fait fantasmer …Ceci dit, la porte de mon bureau est à deux mètres en face de la table, Alysée ne peut pas te voir, ce serait faisable, mais fais gaffe à ne pas faire de bruit, et pas de scandale si je vais jusqu’au bout ?
- Sois rassuré ! Ça m’excite déjà !
- Ah vous voilà ! Qu’est-ce que vous complotez tous les deux ? Il n’y a pas que les femmes qui soient bavardes.
- Alysée ! Vous tombez bien je disais justement à votre mari que je suis désolé mais je suis obligé de décaler votre dernier rendez-vous de lundi à dix- huit heures ? Vous serez ma dernière cliente, ça ne vous pose pas de problème ?
- Pas du tout, au contraire ça m’arrange pour organiser un après-midi shopping ! Mais en tant que dernière cliente et pour ma dernière séance, vous me chouchouterez davantage !
- C’est promis !
Le lundi soir, j’arrive chez le kiné avant ma femme, Jimmy est en tenue de travail, pantalon bleu léger et veste à même la peau, je suis nerveux et l’assaille de questions
- Tu vas la mettre à poil de suite ? Tu portes un slip sous ton pantalon ?
- Oui pourquoi ?
- Enlève ça qu’elle puisse voir que tu bandes pour elle dès le début
- Cache toi, elle va arriver …
- J’ai déjà la trique !
- Bonsoir Alysée !
- Bonsoir Jimmy !
- Je vais vous faire une séance UV sur les reins pour commencer, alors en petite tenue !
- En slip comme d’habitude et allongée sur le ventre ?
- Euuuuhhh, oui …
Jimmy me jette un regard angoissé, je lui fais signe, un pouce levé, après dix minutes de rayons, le kiné entreprend un massage des lombaires sur le dos brillant d’huiles essentielles, les mains ont souvent tendance à glisser sur les flancs, effleurant la base des seins.
- Vous avez des mains de fée, Jimmy !
- Vous avez une peau douce Alysée ….
De ma cachette, je vois l’entrejambe de ma femme qui se sépare lentement comme un appel, le fond de son string incurvé par la vulve semble s’humidifier.
- Aujourd’hui, je vais vous montrer un exercice à faire à la maison pour vous remuscler le bas du dos.
- Que dois-je faire ?
Il me fait signe de me planquer
- Retournez-vous… Ah, ce serait mieux sans petite culotte parce qu’après, je vais vous faire un massage des muscles fessiers aux huiles essentielles, ce sera le cadeau de la maison !
Ma femme se retourne, les seins fièrement dressés sous le nez du kiné, elle semble regarder l’entrejambe plutôt enflé de l’homme.
- Pas de problème, je vous connais suffisamment pour vous faire confiance, je vais l’enlever … et merci pour le cadeau, je crois que je vais l’apprécier !!!
- Vous pliez les genoux avec vos deux mains croisées dessus comme pour les retenir et vous poussez vers le haut par à-coups.
- Comme ça ?
- Très bien, continuez plusieurs fois.
A deux mètres de moi, je vois la chatte de ma femme se gonfler à chaque poussée, la fente semble s’écarter comme si un corps étranger allait jaillir sous les yeux écarquillés du kiné qui ne peut plus cacher la bosse qui fait pointer son pantalon. La queue sortie, je me caresse lentement.
- Bon, ça va allez, vous faites ça plusieurs fois par semaine chez vous, maintenant retournez-vous à nouveau, je vais passer ce coussin sous votre ventre.
- Ce coussin en forme de triangle ? Je vais avoir le cul en l’air, j’ai un peu honte de me montrer ainsi à vos yeux …
- Ce sont des yeux de professionnel, Alysée !
- Je sais bien ! Je plaisante !!
Elle plaisante ? Sa voix est troublée …..Elle a nettement vu que son kiné bandait et moi, j’arrête de me manipuler sinon je vais tout balancer sur la moquette ! Un fruit qui ressemble à un abricot bien juteux, voilà ce que j’ai sous les yeux ! Jimmy fait couler de l’huile sur les deux lobes charnus et l’étend jusqu’au bas des cuisses avant de palper à pleines mains la chair musclée.
Alysée ne peut retenir un murmure plaintif, les pouces séparent la raie, glissent dans les aines, pressent les lèvres l’une sur l’autre, les genoux de ma femme s’ouvrent. S’il ne comprend pas ce que ça veut dire, c’est qu’il est aveugle !!
Ses mains remontent plus souvent la région vulvaire, il me fait un clin d’œil, je comprends que c’est pour mieux affoler les sens de ma femme et faire monter son degré d’excitation, elle pousse un petit cri de frustration.
- Je vous fais mal Alysée ?
- Oh non alors, au contraire, que c’est boooonnnn !
- Alors j’y reviens, vos fesses sont admirables.
- Merci Jimmy …….
Je remarque qu’il appuie sa queue sur le bras de ma femme, celle-ci ne bronche pas, je dirais même que son coude cherche à caresser maladroitement la verge, les doigts se font plus précis … cette fois, au lieu de presser la chatte, il tire sur les lèvres qui luisent et pas seulement du à l’huile, l’intérieur nacré est rougi par la pression sanguine qui afflue à cet endroit, son cul se tend à la rencontre des doigts. Jimmy finit par plonger deux doigts dans le volcan, ma femme pousse un cri de délivrance. Maintenant, les doigts vont et viennent aisément dans le vagin qui émet des bruits mouillés de plus en plus distincts, des goûtes jaillissent en tous sens, Alysée se déchaîne et tire le pantalon vers le bas, dégageant la queue raide du kiné qui pose sa bouche au centre des fesses, la langue pointue se vrille dans l’anus.
- Aaaaaaahhhhhh, vous me faite du bien Jimmy ! Tournez-vous un peu que j’avale votre queue, huuuummmm, elle est belle !!!
Leur position n’est pas évidente mais efficace ! Jimmy bouffe le cul de ma femme qui lui fait une pipe magistrale, je me retiens de sortir de ma planque, une grande envie de participer me taraude, il ne me reste que la masturbation …
Il se passe cinq minutes avant que le kiné ne se libère dans la gorge d’Alysée, moi il y a longtemps que j’ai joui dans un mouchoir ! J’ai juste le temps de faire un bond en arrière car le couple adultère change de position, vont-ils s’arrêter là, si bien partis ? Non, ma femme vire le coussin devenu inutile et encombrant, s’allonge sur le dos, j’ai vu au passage ses yeux révulsés par le désir, ses tétons sont prêt à exploser, elle glisse ses fesses au bord de la table, signifiant ainsi qu’elle a envie de se faire troncher, les talons près du cul, les cuisses et la moule ouvertes,
accueillantes.
- Viens me baiser !
Jimmy, l’air gêné, me cherche du regard pour avoir mon consentement ; un clin d’œil suffit à le décider, il vire pantalon et veste. Nu, il vient enfourcher ma femme, les jambes sur ses épaules, merde ! Je ne vois plus rien ! Je devine qu’il cherche l’entrée du vagin du bout de sa queue, un mouvement du bassin et le cri de surprise de
ma femme me confirme qu’il a trouvé le chemin du paradis.
- Oooohhh, ouuuuuuuiiiiii, tu es gros Jimmy, bien plus gros que mon mari cocu, je la sens bien ! Baise-moi à fond !
Quelle salope celle-ci ! Le kiné s’acharne. Les mouvements sont secs et précis, ma femme couine à chaque percussion au fond de sa gaine vaginale. A quatre pattes, je me glisse entre les jambes de Jimmy, ses testicules me bouchent encore la vue, je tends un bras et les soulève, il pousse un cri de stupéfaction mais continue à bourrer Alysée.
Enfin ! Je vois le gros piston bien huilé coulisser entre les lèvres poisseuses, l’anus de ma femme palpite à chaque poussée, les toisons pubiennes auxquelles s’est mêlé le sperme fusionnent, est-il excité par ma prestation ?
En tout cas
J'aime bien tes récits, mais si tu pouvais faire attention que la fin ne soit pas sytématiquement bouffée...
L'autre récit je l'ai supprimé. Tu l'as déja mis le 2 décembre.
dyonisos
amitié Yanode
Effectivement j'ai constaté que l'appréhension a monté peu à peu toute la journée et sur le moment je n'avais pas vraiment envie d'y aller. Mais je crois que le jeu SM c'est cela aussi, parfois c'est un pur plaisir et d'autre fois c'est beaucoup plus épicé comme sensations et sentiments.
amitié, dyonisos
Ce jour-là plus que d'habitude.
En fait a posteriori j'y vois des moments d'échange sublime. Mais sur l'instant, c'est parfois bien dur. Toute l'ambiguité de ces jeux aigredoux.
Mes respects, Madame, dyonisos
bon week à vous deux
Sauf quand tu as les mains attachées à la poutre du plafond et qu'elle tient l'instrument... Et là je sais que tu me comprends.
bon week-end à vous aussi
Enfin ! Je vois le gros piston bien huilé coulisser entre les lèvres poisseuses, l’anus de ma femme palpite à chaque poussée, les toisons pubiennes auxquelles s’est mêlé le sperme fusionnent, est-il excité par ma prestation ?
En tout cas, il se crispe et stoppe tous mouvements, je vois son canal se contracter en expulsant sa semence dans le ventre de ma femme qui hurle à la mort, une crème blanche suinte et coule sur l’anus boursouflé. A ce moment, une idée me prend, j’attrape à pleine main la verge adultère et la sors pour la pointer sur la cible violette. De mon autre main, je pousse sur les fesses masculines.
- Non ! Pas ça, Jimmy !
- Je n’y suis pour rien !
- Comment ça ? C’est bien ta queue qui me sodomise ?
- Euuuuhhh, hé bien oui, bien sûr, c’est moi qui t’encule ! Excuse-moi, c’est trop tentant !.....
- Maintenant que tu es entré, continue mais quand même, tu aurais pu me demander mon avis ….
Je pouffe en douce ! La verge se met en mouvement, ma femme se cabre au début puis, peu à peu, se détend, elle donne même des coups de reins pour faire entrer le plus possible son amant en elle, un jus glauque continue de s’échapper du vagin encore entrouvert.
- C’est bon, je ne fais pas ça souvent avec mon mari, pourtant il me le demande continuellement !
- Tout va bien entre vous ?
- Oui pourquoi ?
- Tu l’as déjà trompé ?
- Non, c’est la première fois.
- Tu lui diras ?
- … Non, J’ai peur de sa réaction.
- Je crois qu’il ne serait pas fâché, tu devrais lui avouer et dire que c’est moi qui ai insisté.
- Tu crois ?
- Nous en avons parlé l’autre soir, il avait envie de te savoir prise au cours d’un massage.
- Il a dit ça ?????
- Oui, il m’a demandé d’essayer de te baiser, tu ne lui en veux pas ?
- Je ne sais plus quoi penser… mais pour l’instant, vas-y, fais-moi profiter de ta grosse queue !
L’accouplement reprend de plus belle, Alysée noue ses jambes autour de l’homme, la colonne de chair éclate l’anus ouvert. Bientôt de part et d’autre, des râles annonciateurs d’orgasme montent, Alysée arque son corps et Jimmy bloque sa queue enfoncée au maximum dans le derrière, je n’entends plus que les respirations essoufflées, les deux amants sont écroulés l’un sur l’autre.
Bouleversé et ému, mais sans jalousie, je me retire à pas de loup pour fuir à la maison par le bureau.
Depuis cette aventure de ma femme avec Jimmy, je suis devenu un époux cocu volontaire !
Parfaite cette fin.
Je m'en vais donc lire la suite. Suis très à la bourre, moi, ici...
Bisou !
Oui ON sait que tu adores te retrouver à quatre pattes surtout quand Cere s'est munie du gode ceinture. Là pour te donner la comparaison, Maîtresse N. s'apprêtait à me servir un plat aigre-douc et je ne savais pas s'il allait être plus aigre que doux. En fait si, il l'était. Je pense que les commentateurs que tu cites eux anticipent parfaitement la suite que tu n'imagines pas. Et vu que tu as maintenant lu la suite, je sais maintenant que tu as compris ce qu'ils anticipaient.
amitié, dyonisos
Bon y'a plus qu'à passer à l'acte ! Nous c'est déjà fait mais en mode vanille.
dyonisos