Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 11:54

 

Et pendant ce temps, le grainetier a rejoint notre chambre...

L'aménagement intérieur des parties sécrètes n'est pas complément fini (le côté droit n'est pas fini). Et je m'aperçois qu'au fil des années nous avons déciminé au grè de nos jeux des affaires dans toute la maison. Je suis en train finalement de rélaiser un grand rangement de printemps... à l'automne ! Il me manque d'ailleurs le plug noir à couille, adoré par Maîtresse N., que je n'ai pas encore retrouvé...

Maîtresse N.  a fait hier une première inspection et m'a dit être satisfaite. Elle aura ainsi ses objets favoris à portée de main comme demandé.

 

 blgrainetier2-copie-1Le grainetier coincé contre sa poutre. Seuls les côtés abritent nos secrets...

Les tiroirs devant ayant une destination plus montrable... sauf qu'un abrite dès à present mes culottes roses et mauves que Maîtresse N. ne manquera pas de me faire porter dès qu'elle aura décidé de me remettre sous clef.

Les panneaux des côtés sont en fait verrouillés par 2 serrures à clé. Celles que notre fils, qui m'a beaucoup aidé à rénover le meuble, a vu et a compris à quoi cela servait "cacher les seblgrainetier9.JPGcrets de papa et maman". Mais il aime beaucoup la technique et une fois qu'il a compris comment cela marchait, il ne s'est plus interessé - pour l'instant ? - à ce que papa et maman allait réellement y cacher !

 

 

 

 

Le côté gauche terminé d'aménager

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Le côté droit en cours d'aménagement...

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Par dyonisos - Publié dans : Les Objets
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Dimanche 20 novembre 7 20 /11 /Nov 11:15

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Je sais depuis plusieurs semaines que mon sort est plus ou moins scellé. Or bizarrement je reste libre week-end après week-end. Combien de fois je me suis résolu à retourner rapidement dans l'étroitesse... pour rester libre finalement.

En fait la cage manque au soumis, même d'opérette, que je suis... Je dois être maso mais j'aime bien cette prise de possession très particulière sur mon anatomie par ma Maîtresse de femme. Et là je dois dire que cela me manque de plus en plus cruellement.

Je sais que les couples D/S, la plupart de temps, vont et viennent, oscillent entre périodes vanilles et SM. Nous en sommes là actuellement, sans orientation bien précise de notre sexualité. Comme les lecteurs attentifs du blog, ont pu le noter, nous sommes calmes depuis de nombreux mois. Notre dernière tentative au 15 août dans une cabane sur un arbre s'est soldée dans une drôle d'atmosphère, écartelés entre les envies du moment de chacun, oscillant sans cesse entre les côtés clair et obscur du couple, moments certe mémorables mais bizarres.

Et puis lors d'un magnifique week-end, fin septembre, nous avons discuté au coeur de la nuit et là est venue l'idée de se mettre au régime (ce qui nous ferait le plus grand bien) mais à la mode D/S et sous contrat. L'idée nous a beaucoup plu et nous l'avons fêtée immédiatement sur l'oreiller.

Dans les semaines qui ont suivi, j'ai proposé à N. un projet de contrat de soumission visant cet effet. Et de son propre aveux, N. a mouillé terriblement sa culotte à sa lecture. Nous étions aux vacances de la Toussaint sans les enfants. Elle m'a dit alors que "plusieurs choses n'allaient pas dedans", que c'était "trop à mon avantage" et qu'elle allait modifier "des choses". Pendant nos vacances de parents, il ne s'est rien passé.

Que contient le document ? La mise en place d'un régime draconien, avec objectifs et obligations de cuisiner light pour nous deux. Il s'attaque aussi à sa demande à mes mauvaises habitudes de fumeur ainsi que de façon générale au rangement de la maison dont je deviendrai complétement responsable. Que des perspectives que N. a aplaudies. Et mon intérêt dans tout cela ? Un intérêt masochiste de me retrouver sous sa coupe, d'être puni et récompensé et tenu en permanence bien sage dans ma cage. Sans doute le plus que nous pouvons faire pour jouer en complicité sans basculer complétement en couple uniquement D/S (la limite commune de notre pacte)

Un mois plus tard, je me retrouve toujours libre week-end après week-end. Cela passe de l'enthousiasme à la crainte (un régime cela peut être très long). Nous en reparlons de temps en temps, au lit, le soir. N. est tojours très excitée à l'idée, mais ne lance rien, pas encore. Et moi j'attends... C'est là que l'on se rappelle que c'est la Maîtresse qui décide en D/S. Et là la Maîtresse décide de ne pas décider. C'est une femme très occupée professionnellement et extra-professionnellement et c'est comme si je me retrouve très en dessous de la pile de dossier à traiter, considéré comme moins urgent. Je ne sais si N. le fait à dessein, mais je trouve cela très humiliant de me retrouver ainsi peu considéré. Un avant goût de soumission. Elle est beaucoup absente en ce moment, et je me retrouve dans la position de père à la maison s'occupant des enfants, pendant que Madame vit sa vie. Là aussi un avant goût de soumission domestique...

Mercredi dernier elle était en déplacement pour la journée à Paris. Départ tôt et retour tard. J'ai voulu en profiter pour me rappeler à son bon souvenir et animer son voyage en train. J'avais préparé une lettre avec le projet de contrat, où je faisais quelques commentaires, évoquais aussi mes désirs de soumis. Je l'ai laissé mardi soir sur la table du petit déjeuner. Elle était de sortie mais est finalement rentrée plus tôt que prévu. Bien sûr quand elle a vue la lettre, elle s'est dépéchée de l'ouvrir immédiatement (curiosité féminine), la parcourir rapidement avant de la ranger dans son sac à main.

A son retour le lendemain soir, N. est revenue tard de sa journée très enjouée. J'était déjà au lit en train de lire. N. me raconte ses rencontres de la journée à la conférence et de l'excellent degré d'échange entre les participants. Je suis heureux de la voir si contente ! Puis je lui demande à un moment : comment s'est passé son voyage ? Elle a compris et me répond qu'elle n'a été tranquille pour lire ma prose que pendant la dernière partie de son voyage au retour. N. place alors ma main dans sa chatte avant de reprendre. Elle me dit qu'elle a été de nouveau très excitée par sa lecture avant de sortir que cela ne lui va pas : c'est elle après tout la Maîtresse, et ce n'est pas normal que cela soit moi, son soumis, qui lui dicte sa conduite. (ah le concept de soumination). Aie ai-je tout de suite pensé ! Il s'en est suivi un délire sur les conférences qu'elle pourrait donner sur les relations homme/femme dans un cadre de couple D/S. Un vrai moment de fou-rires partagé. Elle m'a aussi parlé du désir féminin par rapport au besoin sexuelle masculin, appliqué aux contexte de domination/soumission. Et tout ce que j'ai compris, c'est que j'allais encore attendre : la perspective de penser 5 minutes à ce qu'elle pourrait me faire subir étant suffisante à l'exciter pleinement. Elle n'a pas clairement besoin de plus pour l'instant, ni vanille, ni domination !

D'ailleurs j'en ai eu une autre preuve le lendemain, en allant discrètement fouiller dans son sac pour regarder les pages que je lui avait laissées (note privée : oui ma chérie je sais que tu lis mes articles du blog, ce n'est pas correct d'aller fouiller dans ton sac et je sais qu'il en cuira pour mon cul... quand tu te seras décidée. lol). Bref mon courrier ne portait aucune autre annotation que le changement d'un unique mot du contrat sans grande conséquence. 

Ce week-end, elle est de sortie samedi et dimanche pour ses activités. Sauf qu'elle revient dormir à la maison. Me voilà de nouveau père à la maison avec les enfants, ce qui n'est pas désagréable. Au dernière nouvelle, le projet de contrat continue à dormir bien au fond de son sac. Moi j'attends tout simplement...

dyonisos


L'inspiration
(qui n'a rien à voir avec la polémique actuelle - j'avais commencé mon montage bien avant)

blzizibene.jpg

1993: double page de pub de la marque dans Libération
(seul journal qui a accepté de publier la pub)

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48h plus tard réponse d'un frabriquant français de slips dans le même quotidien.

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mercredi 9 novembre 3 09 /11 /Nov 22:43

            Cela fait longtemps que j'avais cet article en tête. C'est à l'origine un article de Collars'n Cuffs que j'ai récupéré il y a deux ans. Et que je voulais faire partager. Mais là je ne résiste pas à rajouter nos propres commentaires. Car il n'y a pas de doute : Maîtresse N. adore terriblement que son soumis suce. 

Oui je sais que cela pourrait être une activité purement vanille mais pour N. il n'y a pas meilleurs homme suceur, qu'un soumis encagé. On sort du préliminaire pour une relation sexuelle complète au seul profit de Madame. Et je pense qu'elle a totalement raison. Cela change complètement le point de vue de l'homme (et pas parce qu'il n'est pas dans un chalet en Suisse. lol).

Pour les hommes qui n'ont jamais eu leur sexe mis en cage, imaginez simplement. Vous êtes nus enfin pas totalement avec la présence très présente de la coque. La Maîtresse est devant vos yeux, complétement offerte, déjà très excitée. Son odeur intime vous flatte les narines enivrante. Vous rappelez-vous de la dernière fois où vous l'avez (re)senti comme cela de façon si primitive ? Oh jamais en vanille. Ce n'est pas la même logique. La langue échauffe bien mais la quête du plaisir prend rapidement un tour différent. En vanille l'homme a hâte de rentrer son machin bien au chaud de la matrice et la femme attend avec impatience la pénétration virile. 

Or avec la cage point d'échappatoire. Oh la cage peut être enlevé mais c'est long - il faut tout démonter - et donc cela casse le rythme. Donc elle préfère généralement vous y laisser ! La cage crée l'impossibilité qui va sublimer la rencontre de la bouche, de la langue avec l'autel divin de la femme. Madame s'abandonne à son seul plaisir sachant qu'il n'y aura pas d'autre forme de contact. Monsieur suce avec adoration divinement troublé au plus profond de son âme soumise jouissant de la sensation d'impuissnace de sentir son pénis coincé dans sa cage alors qu'il s'active. Car vous ne croyez quand même pas que l'on puisse rester de marbre devant la beauté sexuelle de la femme que l'on aime !

Le soumis attend la main de sa Maîtresse qui va forçer la tête à descendre au contact en rappel de son statut inférieur. Et là on découvre le goût si étonnant à chaque fois d'une variété infinie. Une surprise et une découverte un ravissement. Jamais le sexe d'une femme ne vous a paru si fascinant dans sa complexité. Dans votre adoration totale, vous travaillez, travaillez longtemps, votre phallus coincé à l'état de baudruche sous pression. Multitudes de sensations que vous procurez à votre amour, plus que jamais attentif à l'épanouissement de son plaisir, plaçant précisement vos respirations entre apnées pour ne pas casser le rythme de montée de SA jouissance. Elle est la Maîtresse et n'hésite pas à vous réprimander si le travail n'est pas assez soigné à son goût ! Vous n'êtes plus maître de rien et vous comprenez enfin ce que la capacité que la nature a donné aux femmes d'enchaîner les orgasmes a comme conséquence pour votre personne. Là ce n'est jamais une baise vite fait, mais un hommage long à sa féminité dominante. 

Cela se termine enfin à son initiative. Vous n'avez pas droit au châpitre. Vous êtes vanné, dans le corps et dans la tête. Mais fier du plaisir donné. Et vous vivrez les prochaines heures possédé par son odeur.


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        Sans doute notre position favorite, même si chez nous, Monsieur garde les jambes étendues dépassant du bord du lit et Madame ouvre les cuisses pour faciliter le travail. L’accès à la vulve est parfait pour offrir de larges possibilités d’action. Cela évite aussi la fatigue de la langue quand les amants sont tête-bêche comme dans le 69. Les mains sont libres pour venir décapuchonner le clitoris ou laisser trainer un ou deux doigts dans le vagin, qui accompagnent en rythme les coups de langues. Si vous avez du poil au menton comme moi, il est temps d’en faire bon usage, effet paillasson garanti sur les grandes lèvres ou le clitoris. N. adore ! Autre possibilité héritée d’un de ces anciens amants, le bout du nez pile sur le bouton et la langue active dans l’entrée du vagin. Elle aime aussi particulièrement sentir le souffle de l’homme qui vient frôler les muqueuses internes ou jouer du cor de chasse avec son vagin.
 blcunni1bw.jpg Une variante intéressante. Pas pour les possibilités qui sont finalement les mêmes que ci-dessous, mais parce que la position est finalement très D/S. Le soumis à genoux au pied. Quand nous la faisons, bien sûr pas question d'oreiller sous les genoux... Il ne faut pas trop attendrir le soumis !
 blcunni3bw-copie-1.jpg Cette position est parfaite pour libérer l'accès à la face cachée du monde. Ma Maîtresse adore la double sensation du doigt derrière et de la langue titillante devant... Mais chacun est libre de faire comme il lui plait !
 blcunni2bw.jpg Citée pour compléter le Kamasoutra du cunni. Mais finalement pas très D/S cette position et assez inconfortable pour les deux.
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Cette position est plus proche de la punition. Gare à la crampe de langue ! Je me souviens d'une fois où je me suis retrouvé longuement avant de partir pour une longue route. Plusieurs heures à sentir ma langue engourdie avant de retrouver un peu de confort.

Cette position offre aussi peu de possibilité sauf à se terminer en 69... ou en brisage de couilles si la cage est là ! (testé par soumis dyonisos)

 blcunni6bw.jpg Très (trop ?) acrobatique. Jamais essayé.
 blcunni7bw.jpg

Ce n'est pas techniquement un cunni, ou alors très épicé ! Cela porte un nom scientifique qui varie : anulingus, anilingus ou anilinctus. Moi de toute façon, je ne trouve pas ces termes jolis. Il en existe un beaucoup plus imagé : feuille ou fleur de rose. Très vieille france (ah les coquines de grand-mères !)

Soyons clairs, la plupart des couples bloquent ici. Pourtant la zone de l'anus est très érogène, et c'est en particulier elle qui va être entreprise dans la sodomie.

A ranger certainement dans les pratiques de soumission, même si nous c'est aussi en vanille (pourquoi ne me l'as tu pas fait avant ? ont été ses premiers mot lors de  notre découverte).

Je pense que pour y arriver en contexte D/S cela passe pas un double abandon. Celui du soumis suceur qui doit se résoudre à mettre sa langue sur la corolle (une vie de tabou à refouler). Celui de la Maîtresse qui accepte de prendre du plaisir d'un tel massage (je prend mon plaisir sans me poser trop de questions).

En tout cas, nous on adore !


 

centreresmini

Allez au centre de ressources BDSM

MAJ 06/11/11

 


Par dyonisos - Publié dans : Centre de ressources BDSM
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Samedi 5 novembre 6 05 /11 /Nov 10:45

blflodominai.jpgUne très bonne nouvelle ce matin rapportée par mon ami Yanode, décidemment très matinal. 

" Maîtresse Flo a voté chez toi pas la peine que je te dise ce qu'elle a voté : et en plus c'est fait.  .grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr "

blyayacachot.jpg D'abord un grand merci respectueux à vous Maîtresse Flo pour avoir pris le temps de passer par le blog. 

Après cela démontre à notre cher yanode que les sondages aux réponses courtes apportent des tendances très nettes. 94% pour qu'il reste en cage et comme par hasard il est sous clé ! 

D'ailleurs en voici un autre :

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Amis
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Présentation

blhumor.jpg

 

 

Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


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