Voilà pour la première fois depuis très longtemps je suis seul à la maison. Pas d'enfant, pas de femme, juste la présence d'une jeune chatte (j'ai fait exprès d'employer ce mot, lol). Et pas de cage ! Et ça cela ne m'est pas arrivé depuis au moins 3 ans lorque je suis loin de ses yeux...

En fait le SM dans le couple fait une pause en ce moment, et même si j'ai un peu rechigné au début, j'y trouve un certain nombre d'intérêt. Cela sera le premier été où il ne se sera presque rien passé ! Un petit week-end en amoureux la fin de la semaine dernière sous un temps très incertain et très mitigé comme notre sexualité aussi.

Un petit séjour dans la box pour mise en condition et nous voilà partis. Pas de collier, pas de rosebud, rien de tout cela. Nous avions loué une cabane sur un arbre perché pour essayer. Et une fois arrivé le lieu était vraiment parfait. Isolé au milieu d'un champ, sans aucun voisin à des centaines de mètres. Normalement le rêve pour un soumis et une Maîtresse... Le temps devait être au beau d'après la météo, mais aucun vent et toujours les si menaçants nuages gris.

Petit tour chez nos hôtes qui élève des chèvres et nous assistons à la traite de façon très attentive, bien sûr tout en pensant à la trayeuse qui attend au garage et en imaginant des soumis sagement alignés à la places des ovins. C'est tout comme la trayeuse mais en plus grand ! Et surtout là ils ont un vrai groupe de vide qui me fait cruellement défaut et que je n'achète pas vu le prix. Une heure et demi à voir la traite de 150 bètes, tout en pensant à d'autre type de bêtes.

C'était dimanche soir alors nous avons du faire pas mal de kilomètres avant de trouver un restaurant ouvert. Et là l'orage s'est déclenché. Et merde avant nous pensé. Dommage pour l'apéro sur la terrasse que nous avions commandé. L'humeur s'en est ressenti... mais sur le chemin du retour nous avons eu la surprise de découvrir que l'orage n'était miraculeusement pas passé par là. La terasse était complètement sèche ! Le moral est repartit de plus belle. Apéro en amoureux à 7m de hauteur autour d'un bon vin blanc et hop nous pouvons passer aux choses sérieuses. 

La température et l'isolement nous ouvraient toutes les possibilités en extérieur mais là il y a eu comme un hic. Monsieur avait envie d'une relation D/S poussée et Madame préferait un coit à l'air libre. Nous n'étions pas vraiment sur la même longueur d'onde alors que le vent avait enfin décider d'évacuer les nuages. Nous avons tergiversé sur faire les deux obtenant par là même 2 semi-déceptions.

Je me suis retrouvé attaché à une des branches qui traversait le plancher de la terrasse. Les mains bien remontée dans le dos pour laisser la place au fouet. J'ai beaucoup aimé sentir le vent sur mon coprs nu et ai eu du mal à supporter les cinglés du fouets qui me frappait partout avec sans doute l'amertume de N. qui préferait une autre activité. J'ai souffert (un peu) avant qu'elle laisse tomber le fouet. Et hop place à la deuxième partie du spectacle qui, faute de trouver une position confortable, s'est terminèe en doigts à chatte pas vraiment efficace faut-il reconnaitre.

La nuit dans la cabane (non chauffée et non éclairée) a commencé avec N. lovée contre la chaleur de mon corps. J'étais reveillé à 5h et j'ai essayé de relancer la machine. Tout ce que j'ai obtenu c'est un sec refus qui m'a agacé. Si bien qu'au réveil au matin, si le temps avait viré au soleil fixe, nos relations avaient tournés à l'orage ! Début d'engueulade. Et tentative piteuse de reconciliation sur l'oreiller. Qui n'a pas eu d'autre effet que de remettre une pièce dans la machine et c'était reparti pour la dispute...

Tout cela aurait pu en rester là. Mais ma moitiè est allé un moment faire un tour aux toilettes sèches, c'est une porte à part à laquelle on accède par la terrasse. Pour une raison qui m'échappe, elle y est allé toute nue. A sa sortir, ce corps m'a fait terriblement envie et pour elle aussi manifestement. Nous avons essayé de trouver une situation confortable pour permettre l'accouplement extérieur, mais nous étions soit trop haut soir trop bas. Alors en désespoir de cause, tout cela a finit par une levrette enflammée sur le lit.

Le soir de retour à la maison, la journée a connu une apothéose avec une sodomie sensuelle sans doute la plus longue que nous ayons connue. Sacré 15 août.

La morale de cette histoire est que le couple vit et que les engueulades se règlent soit sur l'oreiller soit en D/S. 2 moyens de s'en sortir : donc le couple dure.

dyonisos