Fiction

Lundi 31 janvier 1 31 /01 /Jan 23:59

Sa Maîtresse l’a rejoint. Elle lui ordonne de monter à 4 pattes sur le lit. Elle s’installe sur un tabouret derrière mon arrière-train et consciencieusement lui éclate tous les boutons de la peau. David déteste cela mais doit s’y plier. Elle vient d’enlever la queue factice qui la gêne et lui prend les couilles en main pour les presser. Il grimace. Elle jubile. Elle finit par se lasser : c’est l’heure !

David est maintenant attaché sur le ventre aux quatre coins du lit. Elle lui a mis des oreillers pour faire saillir ses fesses.

Les 40 coups de paddle ne sont qu’une formalité vite infligée. Ils sont administrés en une série continue sans lui laisser le temps de respirer. Elle lui dit que cela sert à réveiller la peau et qu’elle sera plus sensible à la suite. Néanmoins, à la fin son cul se tortille en tous sens ce qui ne cesse jamais de l’amuser et de la ravir.

La Maîtresse vient de changer d’instrument. Il aperçoit un instant la cravache de cuir qu’elle a choisie pour ses 40 ans.  Sans attendre la badine fend l’air en un sifflement menaçant avant de s’abattre avec force sur son postérieur. La puissance de la cinglée le surprend et David ne peut réprimer un cri rauque. Il ne s’attendait pas à un tel déchainement de violence.  Le feulement n’arrête pas la Maîtresse qui sans attendre lui assène une nouvelle volée de cuir, prolongeant sa plainte. L’énergie de la frappe se dissipe dans tous ses membres qui s’agitent désordonnés. 2 traits rouges intenses barrent maintenant ses fesses.  Elle a fait une pause sans doute pour contempler le résultat. David cherche à reprendre son souffle, il ne tiendra pas à ce rythme.

Elle le prévient qu’elle reprend, ce qui le met dans un état de crainte. Heureusement les coups suivants sont moins forts. Elle a commencé à lui quadriller méthodiquement le cul. Chaque coup tombant à quelques centimètres du coup précédent, lentement et inexorablement. David n’arrive pas à s’empêcher de rythmer par ses cris, le marquage. Mais cela ne la dérange pas, car elle aime entendre crier son esclave sous son joug. Parfois la zone d’impact croise les 2 sillons initiaux et là David ne peut s’empêcher de geindre de plus belle, comme un chienne blessée.

Ses fesses sont devenues brulantes et déjà la douleur se réveille aux endroits où est passé le battoir. La série est devenue douloureuse, il vient de passer les 30ème trait et ne voit pas comment il pourra tenir jusqu’à la fin. Chaque jet de la badine devient inacceptable, surtout que la Maîtresse s’est mis en tête de viser le sillon dans l’entrefesse. Il hurle à chaque impact. Il demande pitié, mais elle l’ignore restant consacrée sur son œuvre. Il a atteint le 39ème coup plus mort que vif, pressé d’en finir. Mais elle s’est arrêtée depuis un long moment.

Le sifflement du 40ème coup hurle à ses oreilles avant de se s’éclater en une douleur infinie à l’impact, se prolonger dans tous les nerfs et ressortir de sa bouche en un long cri inhumain. David est sonné.

Il attend car sa Maîtresse a toujours l’habitude d’être de mauvaise foi sur les comptes. Mais elle a reposé son arme.

Ne bouge pas, je reviens de suite…

Comme s’il pouvait bouger ainsi immobilisé sur le lit. Elle s’éclipse de la chambre et reviens quelque temps plus tard, pour poser un paquet cadeau noir brillant.

Joyeux anniversaire, mon soumis !

Il regarde le paquet intrigué et heureux qu’elle ait pensé à lui.

Tu ne l’ouvres pas ?

Comment pourrait-il l’ouvrir avec les mains attachées ?

Bon alors je me dévoue. Je vais l’ouvrir pour toi.

Elle défait précautionneusement le paquet en prenant soin de replier l’emballage, dévoilant une boite noire énigmatique. Le couvercle est enlevé et relevant la tête aussi haute que ses liens le permettent, il voit qu’un papier de soie protège son contenu. La Maîtresse déplie le papier, mais il n’arrive pas à voir ce qu’il y a au fond. Elle le sait, alors elle prend un plaisir sadique à le faire patienter. Puis peu à peu, il la voit sortir une espèce de corde tressée en ce qui semble du cuir. Noire et rouge. Il n’arrive pas à déterminer ce que cela peut être, alors que l’objet s’élève peu à peu. A la fin, la corde devient plus épaisse sans doute pour tenir en main. Et là David comprend : un fouet !

Elle a posé en évidence le serpent de cuir devant lui, comme pour lui laisser le temps de l’apprivoiser, quand elle lui demande innocemment :

Tu n’essayes pas ton cadeau ? …… Ah j’oubliais, tu ne peux pas. .. je vais me dévouer.

Elle se saisit du fouet qui disparait de la vue de David. Il sent bientôt le souffle de l’instrument entre ses jambes, mais sans rien ressentir. Elle s’entraîne.

Prêt ? Soumis.

Il fait oui de la tête, surtout pour ne pas la décevoir. Et le coup qui suit est l’expérience la plus terrible qu’il n’ait jamais connu. C’est au-delà de la douleur. Il crie, il hurle, il demande bientôt pitié. Il ne veut pas subir cela.

Cesse immédiatement tes jérémiades ! Tu es décidemment bien douillet. Il n’est pas poli de ne pas utiliser les cadeaux que l’on reçoit. Je veux pouvoir travailler sans que tu m’interrompes tout le temps.

Sur ce, la Maîtresse ouvre le tiroir de la commode et revient avec le bâillon. A sa vue, David comprend ce qu’elle a en tête et se met à trembler de tout son corps  sans pouvoir empêcher d’être rapidement réduit au silence. Elle reprend le fouet mais le repose immédiatement pour immobiliser la taille de David étroitement contre le lit par une nouvelle corde.

Maintenant que cela va être plus calme, reprenons là où nous étions arrêtés …

A partir de ce moment, David n’existe plus. Il devient une cible réactive pour tester le nouveau jouet de sa Maîtresse. Elle frappe, vient voir l’effet, essaye de nouveau. Rigole parfois. Est plus sérieuse à d’autres moments. Elle prend manifestement grand plaisir à tester le fouet. Elle semble être devenue la seule personne humaine de la pièce. David est au-delà de la simple souffrance. Chaque coup lui transperce l’intégralité du corps. Il ne comprend pas. Il est devenu un animal apeuré qu’une chasseresse poursuit dans tous les réduits. Il est déboussolé. Alors il  n’a pas d’autre refuge que de se mettre à pleurer à grosses larmes pendant que sa Maîtresse s’excite sur son cul.

Le calvaire atteint sa fin. Elle a reposé le fouet. Il ne sent plus son cul tellement il est saturé de douleur. Elle semble plus douce maintenant mais a nettement une lueur d’excitation dans ses yeux, qu’il faut qu’elle assouvisse au plus vite. Elle lui libère les mains et enlève le bâillon, pour qu’il s’occupe en bon toutou lécheur de sa chatte en détresse. David est tellement soulagé que cela soit enfin finit, trouve des forces en lui pour lui donner ce qu’elle exige. Et puis les mains douces de sa Maîtresse sur sa tête pendant qu’il s’active sont tellement apaisantes. Il déconnecte la douleur du bas pour se concentrer sur le plaisir montant de sa Maîtresse.

A la fin, elle se relève et quitte le lit, non sans avoir gratifié son petit toutou lécheur d’une caresse sur la tête. Elle jette un coup d’œil au postérieur de la pauvre chose ficelée sur le lit pendant quelques secondes avant de se diriger vers la salle de bain. David se demande si elle a eu un moment de pitié ou contemplait son œuvre. Bientôt il entend la douche. Au bout de quelques minutes, sa Maîtresse sort et s’habille dans la chambre. Elle apparait devant ses yeux. Il ne peut s’empêcher de l’admirer, malgré ce qu’elle vient de lui faire.  Elle le détache.

Allez viens ici, j’ai un rendez-vous à l’extérieur.

Elle l’emmène sur le palier où bientôt David est attaché par son collier à une chaine prise dans le radiateur. Elle referme le cadenas avant de s’éloigner. Il entend bientôt la voiture démarrer.


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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Dimanche 30 janvier 7 30 /01 /Jan 11:45

 

Aussitôt il rentre par la porte. Enfin un peu de chaleur. Sa Maîtresse l’arrête à la laisse, arrivé au milieu de la cuisine.

Stop ! Fais le beau !

David se dresse sur ses genoux. Elle prend sur la table le collier de dressage pour chien de chasse. Mais elle le trouve trop bas pour fixer l’appareil. Elle le met debout et fixe le boitier sur ses couilles. Il la regarde faire en s’interrogeant sur le comment elle va l’utiliser. Leur expérience avec cet accessoire est très limitée mais aujourd’hui elle a manifestement l’envie de le découvrir avec son toutou, qu’il y consente ou non.

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Une fois qu’elle a terminé, elle lui ordonne de se remettre immédiatement à 4 pattes et trouvant sans doute qu’il va trop lentement, elle appuie avec un soupir sur le bouton de la télécommande. David ne l’a pas vu venir mais il l’a senti. Il ne comprend pas ce qu’il a mal fait, mais se dépêche de se mettre à 4 pattes, le dos le plus bas possible, tête baissée, en position soumise.

Elle lui annonce le jeu. Elle l’enferme dans l’arrière cuisine pendant qu’elle va dissimuler 10 pinces à linge sur le sol dans la maison. Il doit les trouver en les cherchant à 4 pattes. Les règles sont simples. Il ramène chaque pince à linge une par une en le prenant avec la bouche. L’usage des mains est interdit. Elle utilise sa télécommande : un coup, il accoure au pied de sa Maîtresse, jusqu’à qu’elle l’autorise à reprendre sa recherche.

Au début, la coordination entre le toutou et sa dresseuse est maladroite. Il a déjà ramené 3 pinces à linge sans qu’elle ait utilisé la zapette de zizi. Mais lors de la recherche suivante, il sent un premier pincement dans ses couilles. Il revient aussi vite qu’il peut au pied de sa Maîtresse avant qu’elle le libère. La cinquième pince est accompagnée d’un autre coup. Peu à peu, le toutou et la Maîtresse s’amusent de la situation et David est de plus souvent interrompu dans ses recherches. Elle adore le voir accourir à ses pieds, d’autant qu’il lui laisse un baiser sur les chaussures à chaque passage.

Il a trouvé la 10ème pince et la ramène vers elle. Il la trouve adossée contre la console de la cuisine. Il voit sur son visage que l’excitation est montée. Elle remonte doucement sa jupe dévoilant l’absence de culotte. Il comprend ce qu’elle attend de son chien et enfouit rapidement son visage entre ses cuisses. Elle apprécie visiblement. L’antre est mouillé évidemment. Il frotte son visage et elle aime particulièrement le contact des poils de la barbe, pendant que sa langue lèche tout ce qui passe à sa portée. Elle soupire d’aise... Mais au bout de quelques minutes, le rejette sans en finir.

Non pas encore tout de suite et puis j’ai un besoin immédiat. Allez hop dans la salle en  haut, j’ai besoin des services de mon toutou.

Et c’est pour un genre de service qu’elle a l’habitude de l’utiliser. Il monte les escaliers à 4 pattes la Maîtresse sur ses talons et trouve la box à sa place. Sans un mot, il y glisse sa tête qu’elle bloque immédiatement. Manifestement elle est pressée.

male-toilet-slave L’attente est courte et le couperet tombe vite. Il reçoit une douche de liquide chaud qu'il n'arrive que très partiellement à saisir au vol. Sa Maîtresse qui a fini contemple un instant avec amusement son contenu. Dans un geste de tendresse, essuie même un coin de joue avant de ressaisir.

Ce n’est pas un bon toutou soumis cela car il n’a pas tout avalé. Et Maîtresse n’est pas contente que son nectar doré ne soit complétement dégusté. Alors toutou va se dépêcher de réparer tout cela. Après il ira dans la chambre tout préparer pour son cadeau d’anniversaire.

Et sur ce, elle referme le couvercle au-dessus de la boîte le laissant dans mon univers sensoriel d’humiliation totale. Il se morfond un peu dans cette atmosphère avant d’obéir. Réparé ses dégâts n’est pas chose facile, mais à force de léchages à 4 pattes, il finit par réussir à nettoyer l’intégralité de la boite, avant de se laver. Il prépare ensuite la chambre pour son supplice.

 


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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Samedi 29 janvier 6 29 /01 /Jan 17:17

Ne cherche pas tes clés. Je te les ai prises ce matin.
Tu laisses les courses dans ta voiture que tu fermes à clé.
Tu vas à la porte de la cuisine. Arrivé là, tu te mets complétement nu.

Mets tous tes vêtements dans la cantine que tu trouveras avec les clés de ta voiture.
Ferme le cadenas de la caisse
Et tu 3attends mon retour à 4 pattes
PS : s’il pleut tu as le droit de te réfugier dans la cabane des enfants.
Ta très Vénérée Maîtresse

La lettre le prend un peu dépourvu  et éveille son pauvre zizi dans sa cage. Il remet les courses dans la voiture et se dirige vers la porte de derrière. Elle se situe au fond d’une courte discrète qui rend les choses qui s’y déroulent aussi très discrètes. Parfois aux beaux jours, sa Maîtresse aime l’y attacher au grand air pour le fouetter. Mais là c’est encore l’hiver et le ciel est sombre et menaçant. A côté de la porte de la cuisine, il trouve une caisse métallique rouge comme annoncé avec un gros cadenas encore ouvert  accroché à l’anse du couvercle.

David respire un bon coup. Il commence à sentir une veule excitation au niveau de son entrejambe. Il trouve à chaque fois si troublant le moment où il cesse d’être le mari et devient sa chose. Il hésite un moment à basculer dans l’autre monde, celui de la soumission. Puis il finit à se décider craignant d’être pris en faute. Il commence à enlever ses vêtements. Il ne fait manifestement pas chaud mais cela reste tenable. Le sol est mouillé de la pluie de la nuit. Ce n’est pas agréable. Il finit par tomber une de ces culottes mauves ou roses que lui fait porter sa Maîtresse. Il  frisonne maintenant un peu mais range machinalement ses vêtements et autres effets personnels dans la caisse avant de la verrouiller.  David finit de basculer dans le monde dans la soumission quand il s’installe à 4 pattes devant la porte.

Il est nu et seul, donc vulnérable. Il se met aux aguets. Quelques cris d’oiseaux. Un chasseur au loin. La cour l’abrite heureusement du vent. Il guette les quelques voitures qui passent devant la maison de l’autre côté. Il espère à chaque fois que c’est la bonne et qu’elle va ralentir. En vain. Il attend depuis un quart d’heure peut être quand une voiture finit pas ralentir. Elle ? Oui car il reconnait le bruit des roues sur le gravier de la maison. Il a tellement envie de lui faire la fête. Sa Maîtresse doit être rentrée dans la maison maintenant depuis quelques minutes. Mais la porte ne s’ouvre toujours pas. Il croit sentir un regard jeté depuis une fenêtre mais il n’en est pas sûr. Il entend le coffre de sa voiture claquer. Elle vient sans doute de récupérer les courses avec le double de la clé.

La porte s’ouvre enfin et sa très Vénérée Maîtresse apparait en majesté. Elle est magnifique, si classe et si sexuellement attrayante. Il voudrait lui faire la fête. Mais un ordre arrive aussitôt :

Area12-1-1small.jpgAssis le toutou !

Il se met immédiatement au garrot comme elle lui a appris. Elle sort et passe derrière lui. Bientôt il sent le cuir du collier de dressage se refermer autour de son cou. Elle lui demande de tendre son cul pour l’équiper de sa queue de toutou soumis. Sa Maîtresse finit sa préparation en lui fixant une laisse.

Voilà une bonne chose de faite mon toutou soumis. Lèche mes bottes!

Il s’exécute. Elle a raccourcit la distance de la laisse et il sent la tension sur le collier. Pendant ce temps, elle continue :

Aujourd’hui tu es un toutou, MON  toutou
Les règles sont simples même pour un toutou stupide comme toi
Sauf ordre contraire,
- tu marches à 4 pattes
- tu ne parles pas. Tu te contenteras de bouger la tête pour répondre à mes questions
- tu feras tes besoins en laisse dans la cour quand je l’aurais décidé
- quand tu n’auras plus rien à faire tu iras m’attendre couché sous la table de la salle à manger que je m’occupe de toi

Ah j’oubliais joyeux anniversaire mon petit soumis !
Pour tes 40 ans, tu auras droit à 40 coups de paddle pour t’échauffer, suivis de 40 coups de cravaches

Allez ouste dans la Maison

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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