Sa Maîtresse l’a rejoint. Elle lui ordonne de monter à 4 pattes sur le lit. Elle s’installe sur un tabouret derrière mon arrière-train et consciencieusement lui éclate tous les boutons de la peau. David déteste cela mais doit s’y plier. Elle vient d’enlever la queue factice qui la gêne et lui prend les couilles en main pour les presser. Il grimace. Elle jubile. Elle finit par se lasser : c’est l’heure !
David est maintenant attaché sur le ventre aux quatre coins du lit. Elle lui a mis des oreillers pour faire saillir ses fesses.
Les 40 coups de paddle ne sont qu’une formalité vite infligée. Ils sont administrés en une série continue sans lui laisser le temps de respirer. Elle lui dit que cela sert à réveiller la peau et qu’elle sera plus sensible à la suite. Néanmoins, à la fin son cul se tortille en tous sens ce qui ne cesse jamais de l’amuser et de la ravir.
La Maîtresse vient de changer d’instrument. Il aperçoit un instant la cravache de cuir qu’elle a choisie pour ses 40 ans. Sans attendre la badine fend l’air en un sifflement menaçant avant de s’abattre avec force sur son postérieur. La puissance de la cinglée le surprend et David ne peut réprimer un cri rauque. Il ne s’attendait pas à un tel déchainement de violence. Le feulement n’arrête pas la Maîtresse qui sans attendre lui assène une nouvelle volée de cuir, prolongeant sa plainte. L’énergie de la frappe se dissipe dans tous ses membres qui s’agitent désordonnés. 2 traits rouges intenses barrent maintenant ses fesses. Elle a fait une pause sans doute pour contempler le résultat. David cherche à reprendre son souffle, il ne tiendra pas à ce rythme.
Elle le prévient qu’elle reprend, ce qui le met dans un état de crainte. Heureusement les coups suivants sont moins forts. Elle a commencé à lui quadriller méthodiquement le cul. Chaque coup tombant à quelques centimètres du coup précédent, lentement et inexorablement. David n’arrive pas à s’empêcher de rythmer par ses cris, le marquage. Mais cela ne la dérange pas, car elle aime entendre crier son esclave sous son joug. Parfois la zone d’impact croise les 2 sillons initiaux et là David ne peut s’empêcher de geindre de plus belle, comme un chienne blessée.
Ses fesses sont devenues brulantes et déjà la douleur se réveille aux endroits où est passé le battoir. La série est devenue douloureuse, il vient de passer les 30ème trait et ne voit pas comment il pourra tenir jusqu’à la fin. Chaque jet de la badine devient inacceptable, surtout que la Maîtresse s’est mis en tête de viser le sillon dans l’entrefesse. Il hurle à chaque impact. Il demande pitié, mais elle l’ignore restant consacrée sur son œuvre. Il a atteint le 39ème coup plus mort que vif, pressé d’en finir. Mais elle s’est arrêtée depuis un long moment.
Le sifflement du 40ème coup hurle à ses oreilles avant de se s’éclater en une douleur infinie à l’impact, se prolonger dans tous les nerfs et ressortir de sa bouche en un long cri inhumain. David est sonné.
Il attend car sa Maîtresse a toujours l’habitude d’être de mauvaise foi sur les comptes. Mais elle a reposé son arme.
Ne bouge pas, je reviens de suite…
Comme s’il pouvait bouger ainsi immobilisé sur le lit. Elle s’éclipse de la chambre et reviens quelque temps plus tard, pour poser un paquet cadeau noir brillant.
Joyeux anniversaire, mon soumis !
Il regarde le paquet intrigué et heureux qu’elle ait pensé à lui.
Tu ne l’ouvres pas ?
Comment pourrait-il l’ouvrir avec les mains attachées ?
Bon alors je me dévoue. Je vais l’ouvrir pour toi.
Elle défait précautionneusement le paquet en prenant soin de replier l’emballage, dévoilant une boite noire énigmatique. Le couvercle est enlevé et relevant la tête aussi haute que ses liens le permettent, il voit qu’un papier de soie protège son contenu. La Maîtresse déplie le papier, mais il n’arrive pas à voir ce qu’il y a au fond. Elle le sait, alors elle prend un plaisir sadique à le faire patienter. Puis peu à peu, il la voit sortir une espèce de corde tressée en ce qui semble du cuir. Noire et rouge. Il n’arrive pas à déterminer ce que cela peut être, alors que l’objet s’élève peu à peu. A la fin, la corde devient plus épaisse sans doute pour tenir en main. Et là David comprend : un fouet !
Elle a posé en évidence le serpent de cuir devant lui, comme pour lui laisser le temps de l’apprivoiser, quand elle lui demande innocemment :
Tu n’essayes pas ton cadeau ? …… Ah j’oubliais, tu ne peux pas. .. je vais me dévouer.
Elle se saisit du fouet qui disparait de la vue de David. Il sent bientôt le souffle de l’instrument entre ses jambes, mais sans rien ressentir. Elle s’entraîne.
Prêt ? Soumis.
Il fait oui de la tête, surtout pour ne pas la décevoir. Et le coup qui suit est l’expérience la plus terrible qu’il n’ait jamais connu. C’est au-delà de la douleur. Il crie, il hurle, il demande bientôt pitié. Il ne veut pas subir cela.
Cesse immédiatement tes jérémiades ! Tu es décidemment bien douillet. Il n’est pas poli de ne pas utiliser les cadeaux que l’on reçoit. Je veux pouvoir travailler sans que tu m’interrompes tout le temps.
Sur ce, la Maîtresse ouvre le tiroir de la commode et revient avec le bâillon. A sa vue, David comprend ce qu’elle a en tête et se met à trembler de tout son corps sans pouvoir empêcher d’être rapidement réduit au silence. Elle reprend le fouet mais le repose immédiatement pour immobiliser la taille de David étroitement contre le lit par une nouvelle corde.
Maintenant que cela va être plus calme, reprenons là où nous étions arrêtés …
A partir de ce moment, David n’existe plus. Il devient une cible réactive pour tester le nouveau jouet de sa Maîtresse. Elle frappe, vient voir l’effet, essaye de nouveau. Rigole parfois. Est plus sérieuse à d’autres moments. Elle prend manifestement grand plaisir à tester le fouet. Elle semble être devenue la seule personne humaine de la pièce. David est au-delà de la simple souffrance. Chaque coup lui transperce l’intégralité du corps. Il ne comprend pas. Il est devenu un animal apeuré qu’une chasseresse poursuit dans tous les réduits. Il est déboussolé. Alors il n’a pas d’autre refuge que de se mettre à pleurer à grosses larmes pendant que sa Maîtresse s’excite sur son cul.
Le calvaire atteint sa fin. Elle a reposé le fouet. Il ne sent plus son cul tellement il est saturé de douleur. Elle semble plus douce maintenant mais a nettement une lueur d’excitation dans ses yeux, qu’il faut qu’elle assouvisse au plus vite. Elle lui libère les mains et enlève le bâillon, pour qu’il s’occupe en bon toutou lécheur de sa chatte en détresse. David est tellement soulagé que cela soit enfin finit, trouve des forces en lui pour lui donner ce qu’elle exige. Et puis les mains douces de sa Maîtresse sur sa tête pendant qu’il s’active sont tellement apaisantes. Il déconnecte la douleur du bas pour se concentrer sur le plaisir montant de sa Maîtresse.
A la fin, elle se relève et quitte le lit, non sans avoir gratifié son petit toutou lécheur d’une caresse sur la tête. Elle jette un coup d’œil au postérieur de la pauvre chose ficelée sur le lit pendant quelques secondes avant de se diriger vers la salle de bain. David se demande si elle a eu un moment de pitié ou contemplait son œuvre. Bientôt il entend la douche. Au bout de quelques minutes, sa Maîtresse sort et s’habille dans la chambre. Elle apparait devant ses yeux. Il ne peut s’empêcher de l’admirer, malgré ce qu’elle vient de lui faire. Elle le détache.
Allez viens ici, j’ai un rendez-vous à l’extérieur.
Elle l’emmène sur le palier où bientôt David est attaché par son collier à une chaine prise dans le radiateur. Elle referme le cadenas avant de s’éloigner. Il entend bientôt la voiture démarrer.
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