Petits contes D/S

Jeudi 18 février 2016 4 18 /02 /Fév /2016 18:00

11 février

Nous sommes arrivés hier soir à l’hôtel de Val Thorens, Hervé et moi, sous la double garantie d’un zizi encagé pour lui et d’un collier serré autour de mon cou. Je pense qu’aucun de nous n’était complètement à l’aise pendant le trajet entre Lyon et Val Thorens. Nous avons sans doute notre pudeur, et nous n’en avons pas discuté.

A l’hôtel, la réceptionniste a semblé bizarre quand nous avons réclamé notre chambre, voire même un peu complice. Je n’ai compris que quand je suis arrivé dans la chambre isolée sous le toit : un seul grand lit ! J’aurais dû penser à le demander à ma collègue, qui a sans doute imaginé que j’y partirais avec Madame… Nous avons voulu changer de chambre, mais l’hôtel est complet.

Et en plus, nous nous sommes rapidement aperçus que nos femmes se sont amusées à « revoir » nos sacs en nous supprimant les pyjamas que nous avions pris. Elles s’entendent pour nous compliquer la tâche… et comment pouvaient-elles savoir pour le grand lit ? Même moi je l’ignorais… 

Nous sommes donc descendus au bar de l’hôtel nous noyer dans un peu de vapeur d’alcool en appréhendant le moment où nous devrons nous coucher dans le même lit. Mais cela a bien fini par devoir arriver. Nous sommes finalement très pudiques comme hommes, même entre bons amis. Je crois que je n’ai jamais été aussi gêné de ma vie. Nous avons préféré rester habillés et nous coucher sur le dessus du lit, dos à dos, le plus éloigné possible.

Mais les cages ont leur vie propre que l’encagé ne peut pas ignorer. Je suis habitué à me faire réveiller par la cage, mais pour lui c’est une complète nouveauté, un peu paniquante. Ses réveils en sursaut m’ont réveillé en cascade, plusieurs fois pendant la nuit. Je lui ai conseillé d’aller pisser pour attendrir la bête. Il se maudissait de s’être laissé enfermé « stupidement ». Et il est si rouge quand il ne peut pas faire autre chose que de requérir mon aide d’habitué de la cage face aux réactions étonnantes de son sexe encagé. Je me sens si responsable de son état et j’essaye de l’aider sans heurter sa pudeur bafouée en ce début de cage. Je lui ai donc avoué pour mon collier autour du cou et que pour moi aussi pouvoir partir au ski me coûtait cher…

A ma totale surprise, l’intervention de nos femmes ne s’est pas limitée à modifier le contenu de nos valises : elles nous ont embauché une baby-sitter qui est rentrée à l’improviste au petit matin dans notre chambre.

- Allez debout les garçons. C’est l’heure de se lever !

Elle nous a surpris dans notre sommeil et j’ai cru que c’était une erreur de chambre. Une femme assez jolie, peut-être 27 ou 28 ans, en uniforme de serveuse poussant un chariot avec le petit déjeuner. Elle avait un sourire espiègle aux lèvres.

- Bon je ne vais pas y aller par 4 chemins. Je m’appelle Julie mais vos femmes ont insisté pour que vous m’appeliez Mademoiselle. Je suis chargée par elles de vous surveiller de près, pendant votre séjour au ski. Je n’ai jamais été contre un extra, mais j’avoue que c’est la première fois que l’on me demande ce genre de services…

Je suis sur le cul ! Comment ont-elles pu la trouver en si peu de temps ?

- J’ai reçu des consignes précises et la première est de vérifier que vos zizis restent bien enfermés. J’avoue que je n’ai jamais entendu parler de femmes qui imposent cela à leur mari. Et que cela m’intrigue beaucoup… Alors les garçons, on se dépêche de tout me montrer car je prends mon service à 7h…

Nous la regardons hébétés n’osant pas comprendre ce qu’elle veut…

- Vous ne m’avez pas entendu ? On se dépêche de montrer à Julie vos zizis dans les cages !

Nous ne réagissons toujours pas.

- Bon ça, elles l’avaient prévus que vous ferez un peu de manière. Mais elles m’ont dit comment briser la « glace »… Qui est Pierre ?

Je réponds timidement que c’est moi.

- Alors Pierrot tu vas montrer l’exemple à ton copain. Que m’a dit ta femme Claire hier soir de te dire ? Ah oui, si tu ne m’obéis pas, tu en prendras pour 6 mois de plus de zizi enfermé. Elle n’avait pas l’air de plaisanter, alors si j’étais toi, je me dépêcherais d’obéir !

Elles ont vraiment tout prévu. Je n’ai pas d’autre choix, que de m’humilier et de me conformer. Je me lève en automate et me positionne devant cette Mademoiselle qui ne semble pas le moins impressionnée par la situation, contrairement à moi. Je déboutonne la mort dans l’âme et la honte aux joues mon pantalon.

- Non pas comme cela. Elles ont dit que les vérifications devaient se faire complètement à poil. Alors tu te désapes totalement. Je dois aussi vérifier la présence de ton collier de chien…

Je baisse la tête mais obéis, définitivement humilié. Julie s’est installée au bord du lit et m’invite à me présenter. C’est l’horreur dans ma tête. Il n’y a rien de sexuel dans cela, que l’extrême sentiment de l’humiliation. La découverte de mon sexe encagé l’enthousiaste et finit de me morfondre...

- Putain c’est fou et vraiment génial ! Cela à l’air si inoffensif en prison. Elles ont raison : impossible de bander dans ce machin ! Et tu la portes 24h sur 24 depuis le 1er janvier sans avoir la possibilité de te branler ? Trop cool ! C’est ça : littéralement « tenu par les couilles », le mec. Excuse-moi mais il faut que je la prenne en photo avec mon téléphone car les copines ne me croiront pas…

Mon humiliation est immortalisée immédiatement. Je la vois maintenant dans un état second, sortir une paire de gants blancs en latex de la poche de son uniforme, qui bientôt viennent m’ausculter. Rien n’y échappe et je sais que c’est la volonté de nos femmes que Julie applique. La tenue de ma cage est sérieusement contrôlée, du cadenas jusqu’à l’accrochage derrière les couilles qui est douloureusement éprouvé. Idem pour mon collier. Je n’ai jamais été aussi petit dans les barreaux. Mais le pire est quand son doigt vient contrôler la propreté de mon petit trou. Je sursaute vivement quand je sens qu’elle veut me toucher par là, dans un quasi viol de mon intimité. Mais je n’y échappe pas. Le doigt ganté me fouille en profondeur avant d’être ressorti et exhibé - un peu souillé à ma grande honte - sous mes yeux…

- Humm pas très propre tout cela. C’est souvent ce que je reproche aux garçons. D’habitude je ne peux pas y faire grand-chose, mais là, c’est différent et très cool. Je peux sévir, avec la complète autorisation de vos Dames. Tant que je vous chaperonnerai, cela sera contrôle matin et soir. Et donc mon petit Pierrot, tu viens de récupérer une punition de ma part. J’avoue que l’idée de fesser un grand garçon, m’enthousiaste terriblement !

Mais j’y échappe pour l’instant. C’est au tour d’Hervé d’être inspecté. Il est très troublé, rouge comme une pivoine, son corps nu à côté du mien, mais il m’étonne à ne pas se révolter. Il se laisse docilement manipuler entre les doigts de la contrôleuse exhibant même une belle érection involontaire contenue entre les barreaux.

- Et bien toi, tu es un petit pervers ! Quoi que ton Emilie m’a prévenu… en plus mieux monté que le copain… dommage que tu sois aussi éjaculateur précoce !

Hervé ne sait plus où se mettre, les yeux au bord des larmes, mais son sexe en cage ne désenfle pas, bien au contraire ! Il a droit lui aussi à une inspection arrière en profondeur mais il s’en sort mieux que moi, sans aucune trace à se faire reprocher.

- Bon il est quelle heure ? 6h40… ok il ne faut pas que je perde du temps… Pierrot, sur mes genoux ! Pour prendre ta fessée. D’ailleurs c’est cool cette idée de punir les hommes quand ils ne sont pas sages ou propres.

Je sais que je ne vais pas me dérober. Pourtant je ne connais cette femme que depuis une demi-heure, elle m’a déjà mis un doigt dans le cul et là elle veut me fesser ! Et tout cela parce que Claire a décidé seule dans son coin qu’elle donnerait ce droit à une femme qu’elle n’a jamais rencontré et parce qu’elle est justement une femme. Elle l’a connu comment d’ailleurs ? Non je suis faible et je ne vais pas me dérober. Je suis même intellectuellement excité de devoir subir cela, me faire fesser le cul par une femme inconnue, le rouge de la honte aux joues.

De toute façon aucune dérobade ne serait possible, car je suis tiré par l’oreille jusqu’à être couché sur ses genoux. Et là sa main me fesse lourdement. Elle ne retient nullement ses coups. Qu’est-ce que cela peut faire mal ! Je serre d’abord les dents en vaine fierté masculine, mais bientôt je danse des jambes sans pudeur, cherchant à échapper au battoir. Cela ne me vaut qu’une étreinte resserrée sur le haut de mon corps et un redoublement des frappes sur mes fesses. A ce rythme, je me retrouve au bord des larmes. « Mademoiselle » ne s’arrête qu’une fois qu’elle juge mon cul suffisamment rouge …

Mais ce n’est pas fini pour moi, car elle m’envoie au « coin » avec une jubilation qu’elle ne cherche plus à cacher, comme si je venais de payer là cash pour tous les hommes qui l’ont emmerdée dans sa vie.

- Bon je vous explique le topo. Vos Dames ne veulent pas vous laisser batifoler librement ! Et m’ont demandé de vous consigner dans la chambre… Alors plus de vêtement. Je vous laisse votre combinaison de ski et une paire de chaussette. Le reste, je le prends avec moi. J’ai négocié le ski la journée pour vous. Mais attention, retour au bercail à 18h max. Je viendrais reprendre vos combis juste avec le début de mon service du soir. Et pensez à vous acheter des sandwichs avant votre retour parce qu’après, il faudra aller les chercher à poil ! Je reviendrai m’amuser avec vous à la fin de mon service. Ne vous inquiétez pas…

Son départ crée un vide dans la pièce, me laissant en face à face avec Hervé aussi nu et sur le choc que moi. Cela pourrait être un grand moment de solitude, mais face à l’adversité, il n’y a pas grand-chose à faire. Et qu’importe si je ne peux rater son sexe qui rechigne à se dégonfler et pleure sa frustration par le bout. Sur le moment, je suis au-delà de ça et m’installe à la table pour prendre mon petit déjeuner...

dyonisos


-> Les autres petits contes D/S

Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 17 février 2016 3 17 /02 /Fév /2016 18:00

9 février

C’est la journée des grandes manœuvres. Le jour J ! L’heure H ! De la blitzkried... Je suis fébrile en me levant et mal-à-l’aise de préparer une trahison pour Hervé. 

Je lance les escarmouches en envoyant un premier SMS le plus neutre possible, mais suffisamment tentateur.

Pierrot, Ma. 9 9h01, a écrit:

Salut,

J’ai une collègue qui ne peut plus aller au ski. Elle avait réservé pour les 3 jours de cette fin de semaine dans un hôtel à Val Thorens. Cela te dirait que nous allions skier entre hommes ? Il est tombé plein de neige fraîche… T’as vu les webcams ?

http://1.bp.blogspot.com/_qkJbywrn64w/RaM6ncFCaWI/AAAAAAAAAAk/JaYGALT3LKk/s200/200522512551642683.jpg

Je reçois sa réponse enthousiaste quelques minutes après. L’hameçon est accroché même s’il doit « vérifier avec Emilie si c’est possible » au niveau organisation de la famille. Je relance une demi-heure plus tard d’un : «Alors ? Il faut que je confirme que nous récupérons la réservation au plus tôt… ou on la perd…»

Finalement à 11h30, sa réponse arrive (mais je le sais à l’avance vu que j’ai reçu un SMS d’Emilie en parallèle…). « ca y’est. J’ai eu Emilie à son boulot, elle a dit pas de problème !!! Nous allons skier ! T’y crois mon pote ! »

Ma réponse immédiate ( « Alors je confirme à ma collègue… Ok cela va être génial - On décolle demain matin. Je te récupère au train à Lyon ? - N’oublie tes KPOT » ) ne coûte rien, si ce n’est d’attiser le feu de son envie… en attendant que le château de carte s’écroule, car je sais à l’avance qu’il va s’écrouler…

Et il s’écroule à 13H47 exactement. Je ne suis pas fier de trahir un pote ainsi, mais à la guerre comme à la guerre… 

« Merde !!!! Et re-merde !!! Grosse KATA ! Emilie veut plus me laisser partir seul au ski. A regardé à midi le site de l’hôtel. Trop de jeunes filles à son goût. Toujours cette même histoire d’anglaise avec qui je suis sorti il y a 15 ans, quand nous nous étions séparé un temps. Elle va me le ressortir jusqu’à la mort. Donc maintenant niet !!! Fai chier grave !!!!!!!!! » 

C’est là qu’il faut faire attention, ne pas perdre la prise ferrée de haute lutte.

« Mince. C’est dommage que tu ne puisses pas me suivre… »

Et rien d’autres car je sais que des puissantes forces sont en manœuvres dans l’ombre. D’ailleurs j’en ai un premier résultat une heure plus tard.

« Emilie a eu Claire. Pas jalouse ta Claire car il parait que tu as donné une garantie. C’est quoi ? »

Faire simple.

« Je partirais au ski le sexe encagé dans ma cage de chasteté ».

« Tu rigoles là ? »

« Non 100% sérieux. Il n’y avait que cela à faire si je voulais pouvoir partir sans Claire. Et puis cela ne m’importe pas plus que cela. C’est un peu notre style de vie maintenant. Et comme je n’y vais pas pour lever des donzelles… mais pour le plaisir de skier… c’est un compromis que je trouve très honnête… apte à rassurer Claire »

Voilà c’est à moitié dit. Car la vraie garantie que j’ai dû donner c’est le port du collier. Je reste alors silencieux mais à l’aguet de mon téléphone. Alea jacta est, en espérant que cela suffise. Une demie heure de réflexion et les défenses d’Hervé commence à se fissurer.

« Cela fait mal de porter une cage ? »

« Les érections hachent un peu les nuits, et cela tire un peu le matin. Mais le reste du temps tu l’oublies… »

Nouveau temps de réflexion d’un futur encagé, j’en suis quasi sûr maintenant.

« Bon j’ai eu Emilie. Elle est ravie que je lui donne la même garantie que tu as donné à Claire et veut bien me laisser partir skier, avec une cage de chasteté. C’est un peu hard comme concession mais tant pis. Je n’allais pas te laisser profiter de la poudreuse tout seul, mon ami ! Tu pourras me conseiller à distance quand je passerai au sex shop ce soir ? »

Et c’est ainsi que l’homme décide volontairement de perdre sa virilité. Et je gagne par là une partie du droit de pouvoir retrouver un jour la mienne. Emilie m’appelle d’ailleurs pour me féliciter de la basse manœuvre

La fin de la journée est bizarre. Je gère à distance l’achat de la cage d’Hervé (une CB6000S pour être sûr qu’Emilie trouve anneau à sa taille), pendant que je choisis collier à mon cou dans le Jardiland de la ZAC. Bien sûr dans ce cas, vous avez toujours une vendeuse dans vos pattes, fort serviable et trop empressée. J’invente une histoire embarrassée et bafouée du gros chien de mes parents que l’on garde et dont le collier vient de caser. La vendeuse ne semble pas y croire une seconde et me regarde d’un œil soupçonneux. Mais finalement j’aime cette humiliation que m’impose Maîtresse Claire et je coule et mouille pendant que je me fais laminer par l’incompréhension de la vendeuse…

Que ne ferait-on pas pour les beaux yeux de nos Dames ?

dyonisos


-> Les autres petits contes D/S

Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 16 février 2016 2 16 /02 /Fév /2016 18:00

3 février

Je dors très mal depuis ma mise en demeure de dimanche par ma seconde KH Emilie. J’ai bien compris ce que Claire a voulu me dire, mais je ne vois pas comment l’appliquer… Au boulot, je n’arrive plus à me concentrer sur mon travail. Je traîne à la place à la machine à café, où on l’apprend toujours des choses …

Et c’est à la machine à café que j’ai entrevu pour la première fois la solution à mon problème, sous la forme d’une collègue dont le mari a le poignet blessé et cherche à trouver un remplaçant pour sa réservation d’hôtel au ski, pour la fin de semaine prochaine. Cela m’a donné l’idée, connaissant la passion ancienne pour le ski d’Hervé « sacrifiée » depuis qu’il vit avec Emilie. Bref j’ai récupéré la réservation avec une idée derrière la tête…

Le soir à la maison, une fois les sols terminés d’être lavés, j’en ai parlé avec Claire dans notre « nouveau » salon de discussion, à savoir moi la tête en ses jambes. Les cunnilingus se sont bien allongés depuis le début de l’année, avec 2 phases : une phase de préliminaire pour détendre les chairs, et une phase de plaisir jusqu’à l’orgasme. Je reste au contact de son humidité souvent plus de 3/4 heures, maintenant. Pendant les « préliminaires », j’ai le droit de parler mais surtout de répondre à Madame à condition de garder mes doigts dans le « pot ». Pendant la phase active, c’est uniquement « tais-toi et suce » d’une manière très dirigée.

Donc pendant les préliminaires…

- Tu crois donc que cela va marcher et qu’Hervé va mordre à l’hameçon ?

- Oui, il regrette tellement qu’Emilie ne soit pas ski. La neige lui manque. Il me l’a encore redit cette fin d’année…

- Au point de se laisser enferme le zizi ?

- C’est le point délicat, mais je crois que oui… De toute façon, il faut que cela marche car je ne vois pas d’autre solution pour le moment. Une incitation trop frontale est vouée à l’échec assuré !

- Tu as sans doute raison, c’est tentable. Mais il te faut la complicité d’Emilie. Tu l’as prévenue ?

- Non, il fallait que je m’assure avant de ton accord…

- C’est bien de demander la permission avant, mon chéri. T’inquiète pas, je lui enverrai un sms demain matin… du moins après que nous nous soyons mis d’accord, toi et moi

- Com… comment cela ?

- Finalement même si je peux être solidaire dans notre couple, le non encagement de ton copain, c’est finalement ton problème avec Emilie. Je comprends bien que tu as peut-être une chance de renverser le jeu de quille… mais moi qu’est-ce que cela me rapporte ? Qui s’occupera de la maison quand tu seras à la neige ? C’est pourtant dorénavant ton boulot…

Vu de cette manière, je ne vois pas ce que je peux répondre… Je tire un peu la gueule. Putain, en soumission rien n’est facile !

- Allez ne fais pas cette tête. Je veux bien, te laisser allez t’amuser à la neige avec ton copain, mais je veux le même niveau de contrainte que tu envisages à froid pour lui… il faut que cela te coûte à toi aussi… et que je sois sûre que tu n’iras pas batifoler dans mon dos…

- Mais je ne peux pas faire plus : je suis déjà encagé serré depuis plus d’un mois !

- Qu’est-ce que tu peux avoir l’esprit obtus… Non je veux quelque chose qui ait une grande valeur symbolique et me rassure que tu resteras bien sage… une sorte de marque de propriété, peut être…

Qu’est-ce qu’elle me veut là ? Je réfléchis à grande vitesse…

- Je ne vais quand même pas attacher une plaque avec ton nom à la cage…

- Oui très bien ! C’est ça l’idée, une plaque à toutou pour mon petit chéri… que tout le monde sache qu’il appartient à sa « Madame »… j’aime beaucoup…

Et l’arrivée de forte humidité dans sa chatte qui coule sur mes doigts, me le confirme. Face à une femme aussi intuitive, il y a des jours où je ferais mieux de fermer ma bouche avant de parler à mon encontre… d’ailleurs l’humidité et l’idée font leur chemin…

- Oui c … une plaque à toutou… attachée à un beau collier de chien autour de ton cou… quand tu seras loin de mes yeux.

J’apprends à craindre de plus en plus son inventivité en mode Maîtresse… Cela coule maintenant tellement en vagin, que je n’ai aucune illusion que l’idée évoquée va être approuvée si je ne réagis pas tout le temps... si je n’essaye pas de détourner immédiatement le désir de Claire…

- Cela serait effectivement très symbolique… mais ne vais-je pas heurter les gens avec mon collier de chien autour du cou ?

- Tu crois ? Tu sais que je ne souhaite pas choquer les personnes extérieures avec notre sexualité atypique. Mais je ne pense pas que cela sera si voyant que cela. C’est après tout l’hiver avec les cols roulés et les gros pulls capables de tout masquer à l’extérieur… C’est même la saison idéale pour porter un collier en public… si l’on y réfléchit bien.

Cela ne tourne pas vraiment en ma faveur…

- Et Hervé, il le verra. Qu’est-ce que je pourrai dire ?

- Tu as de l’humour mon chéri… tu t’inquiètes de la réaction de ton copain… dont tu auras piégé le fier zizi dans une cage étroite ? Eh bien, vous parlerez de vos malheurs causés par vos femmes, au coin du feu…

Qu’est-ce que je peux dire…

- Oui cela sera ma condition… un beau collier autour de ton cou… avec une plaque « propriété de Claire B.… » avant ton départ… Tu iras dans une animalerie demain acheter ton premier collier. Je le veux en cuir. Un vrai collier de chien en mal de dressage. Prends la laisse avec, cela pourra être utile. Et après la plaque… pas de biais, je la veux la plus explicite possible… ou sinon tu restes à la maison laver les sols… 

Claire fait peur à l’esprit en Maîtresse excitée, mais ce traitre de zizi se délecte de la déchéance annoncée. J’ai la vision de mon corps nu promené nu à quatre pattes en laisse par Claire, qui me vaut une violente érection entre les barreaux. Foutu traitre ! Je dois être fou à m’exciter de ces déchéances… 

- Ah oui, comme je ne veux aucune tricherie loin de mes yeux, je te cadenasserai le collier… comme cela aucune tentation de l’enlever… cela sera plus sûr…

C’est une cascade qui coule maintenant en chatte et qui finit de m’accabler…

- Allez, je suis brûlante maintenant : fais-moi jouir, mon petit mari soumis d’Amour !

dyonisos


-> Les autres petits contes D/S

Par dyonisos - Publié dans : Petits contes D/S
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires

Présentation

blhumor.jpg

 

 

Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

    Nous & le pacte BDSM


Retour à la page d'accueil

Trafic

 1  visiteur(s) en ligne  

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés