Jeudi 16 mai 4 16 /05 /Mai 06:03

Question existentielle pour l'encagé. S'il n'y avait pas ces foutues érections nocturnes, le port de la cage serait moins contraignant.

Certe aussi sans la solitude de l'encagé la nuit, la cage ne serait plus totalement la cage.

J'avais fait, il y a quelques temps un sondage aux résultats nets : les nuits de l'encagé sont très perturbées pour la majorité des porteurs.

blsonnuit

En fait l'encagé bande régulièrement dans sa cage la nuit, à l'insu de son plein gré, car il reste un mâle humain même avec zizi sous cage...

Scientifiquement cela s'appelle la Tumescence Pénile Nocturne (ou TPN) et tous les hommes la connaissent depuis leur naissance jusqu'à leur mort. 

On sait mieux quand cela se passe et moins pourquoi cela se passe comme cela.

 

QUAND

Les érections nocturnes sont synchronisées avec les phases de sommeil paradoxal, celle du sommeil le moins profond qui arrive cycliquement plusieurs fois pendant la nuit. Un petit graphique vaut mieux que de longues explications (trouvé dans une étude de 1986 - la préhistoire quoi - sur le phénomène).

bletectogramme.jpg

En bas les barres horizontales représentent (sur une mauvaise imprimante des années 80), les différentes phases du sommeil, avec au plus haut la phase de sommeil paradoxal (déterminé par encephalogramme). La courbe du dessus, c'est tout simplement la circonférence du pénis mesurée en continu pendant cette même nuit. On voit clairement que le sujet bande le plus pendant les phases de sommeil paradoxal. A droite c'est le réveil du sujet, avec donc une érection du matin, qui est en fait une érection nocturne comme les autres.

Mais ce n'est pas tout, l'homme est en fait assez longtemps en érection pendant sa nuit, sans que cependant il bande à fond. En fait, il y a pas mal de données disponibles sur les érections nocturnes, surtout pour les hommes matures, car la mesure en continu de ces érections permet d'établir un diagnostic médical si, chez le patient, les difficultés d'érection sont physiques ou psychosomatiques. En clair si le sujet bande la nuit, c'est que la machine fonctionne bien et qu'il faut chercher ailleurs.

Donc de ces données, il en ressort que le mâle humain rentre en érection un peu plus de 3 fois pendant une nuit normale de 7 heures. Mais ce n'est qu'une moyenne, en fait cela va de 2 fois à 4 fois, voire même pas du tout dans certaines conditions (fatigues, alcool,...).

L'homme passe en moyenne un tiers de sa nuit en érection (plus de 2 heures quand même ! vous pouvez rêver Mesdames), la plupart du temps il bandouille (là le rêve s'effondre un peu) et il n'est vraiment dur que 1/5 du temps soit une vingtaine de minutes.

Nous y voilà, voilà donc les infâmes réveils nocturnes de l'encagé. Par contre il faut noter que finalement un encagé n'est réveillé en moyenne que 2 fois par nuit alors qu'il est en érection un plus de 3 fois.

Conclusion : l'encagé y gagne une érection, disons gratuite, que l'on voit très bien sur la courbe si-dessus, pas suffisamment forte pour donner mal dans la cage et le réveiller. Pour moi c'est celle du début de nuit.

 

A QUOI CELA SERT ? (à part aie aie aie aux couilles pour les encagés)

Maintenant personne en fait ne sait pourquoi Dame Nature ou Dieu a fait que l'homme doive bander aussi souvent la nuit. Les études médicales indiquent seulement qu'il n'y a pas de lien entre les rêves et l'état du zizi des Messieurs.

C'est forcément hormonal, mais le mécanisme n'est pas encore compris. Et contrairement aux problèmes érectiles qui ont débouché sur le viagra et le cialis, il n'y a pas là d'enjeu financier ou sociétal d'en savoir plus.

dyonisos


POUR ALLER PLUS LOIN

BLencagescience

Pourquoi un encagé a mal aux couilles le matin ?

Un peu d'humour sur les nuits en cage...

Par dyonisos - Publié dans : Air du temps SM
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Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 05:33

- J'ai en envie du jouir, mais c'est chiant tu es en cage.

- Mais c'est toi qui m'y a mis...

- Parce que je croyais que tu le voulais.

- Non, pas vraiment. J'ai été surpris de m'y retrouver lundi dernier.

- Ah bon ? Pas grave. Tu y es, tu y restes. Occupe-toi de moi que je ne lève pas de mauvaise humeur comme hier parce que t'AS RIEN FAIT pour ta Maîtresse !

Je suis dans la grenouillère jaune obligatoire pour la nuit. Je commence à me déplacer pour me mettre en ses cuisses.

- Non c'est pas ta langue que je veux. Je veux tes doigts ! Dépêche-toi...

J'ai souvent remarqué que N. quand elle est Maîtresse N. devient très directive. Ceux sont effectivement mes doigts mais ce n'est pas moi qui les commande. Fais-ci, fais-ça. Non un doigt de plus. Plus en bas. Plus haut. Plus fort. Moins fort... Ma main devient un sex-toy à son usage exclusif. Je sens, je vois et j'entends son plaisir monter. Bien-sûr tout cela ne me laisse pas de marbre et je ressens la forte pression à l'intérieur de la cage mais impossible d'aller me masser les couilles pour la soulager quelque peu sous la double épaisseur de la couche et de la grenouillère. Très frustrant tout cela...

Premier orgasme. Premier palier.

- Oui ! mais cela ne suffit pas. Viens ici toi !

Elle me dézippe la fermeture éclair dans le dos de la grenouilllère, que j'enlève.

- Allez sors moi le gros gode et prends ta Maîtresse en levrette.

Je cherche à tâton le porte gode dans le tiroir. Celui qu'elle s'est achetée l'été dernier. C'est la première fois que je le mets, moi. J'enfile autour des cuisses les lanières et je scratche dans le dos la ceinture. La partie élastique porte-gode plaque la cage et son contenu emprisonné contre le bas ventre, dans une position pas agréable pour un homme encagé, mais qui permet au gode, que je monte dessus, de s'appuyer sur la structure rigide de l'étui pénien. J'ai choisi un beau gode, noir, long et épais.

Quand je reviens sur le lit, Maîtresse attend son plaisir. Je me positionne derrière. Elle m'interdit de faire quoi que soit. C'est elle qui fait. Je suis de nouveau à fond dans ma cage. Elle se frotte d'abord le bouton sur le bout de sa queue de remplacement, avant de l'avaler lentement au fond de sa chatte. La vision de sa belle descente de reins, me ravit et m'excite. Le zizi encagé bave déjà d'envie dans sa prison, en pure perte. Je veux être de la fête moi aussi !

- Non, tu fais rien. Ou plutôt si tu caresses mon dos et tu t'occupes de mon petit trou !

J'introduis un doigt humide dans son anus. A travers la paroi je sens la grosseur du gode, sur lequel elle coulisse maintenant regulièrement et qui au plus profond fait pression sur la coque de plastique de la cage. Le phallus emprisonné bave de plus eu plus d'envie.

- Ah que c'est bon une grosse queue bien dure !

Je prends cette remarque comparative pour moi et préfère me taire. J'accompagne maitenant les mouvements en ondulant du bassin. Maîtresse me laisse faire mais vient appuyer ses fesses sur mes cuisses pour le gode rentre encore plus profondémment. Son plaisir monte inconstablement. Le pénis lui a aussi reconnu le moment. Je ne sais pas si c'est les hormones qui flottent dans la chambre, mais un boule de tension commence à naitre au plus profond de mon ventre. Je prend en charge tous les balancements enfilant en cadence mon gros "pénis". Mon esprit ne comprend rien de ce qui se passe. Tous les indices montrent qu'il est train de travailler le sexe d'une femme si excitante, SA femme, mais il ne reçoit pas les sensations tactiles et de chaude humidité qui devrait aller avec. Déstabilisant tout cela. L'esprit ordonne par réflexe au corps d'augmenter la cadence pour partir au fond de cette chatte. Il veut retrouver les chaudes sensations. Mais rien en retour, juste l'impression d'être coincé au fond d'une boite. Maîtresse est proche de l'accomplissement... Je sens une gêne tout un coup au niveau de la cage, quelque chose que je connais déjà sans m'en souvenir. J'essaye de repositionner la cage plaquée entre le bas ventre et le gode. Cela va un peu mieux, mais je viens de faire une faute en ralentissant le rythme, que me reproche tout de suite Maîtresse.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? J'étais si proche du méga orgasme !

Je prend le reproche en pleine face. J'essaye de relancer la machine, mais il est trop tard pour Maîtresse qui nous repousse, moi et le gode. Une fois libéré, je vérifie la cage et constate qu'effectivement elle vient de s'ouvrir sous la pression. Le problème de ses cages en plastique mais que la super glue finit par réparer.

Plus tard, la cage réparée je retrouve Maîtresse N. dans la cuisine.

- C'était si bon mon Amour ce matin. Rien à voir avec ta queue habituelle...

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Lundi 13 mai 1 13 /05 /Mai 06:00

Etendre la lessive est une des pires corvées de soumis que je n'ai jamais eu, handicapé par les mains si étroitement attachées. Déjà sortir le linge de la machine puis de façon acrobatique arriver à ramener la banette jusqu'à la terrasse. Réussir à monter l'étendoir. Tout cela avec une main unique ! 

C'est dans ces situations comme celle-ci que l'on voit que la vie n'est pas faite pour les handicapés et soumis handicapé je le suis. Je crois que là aussi c'est une douce vengeance pour ne pas étendre volontier la lessive à la maison dans la vie de tous les jours.

Maîtresse me ramène le panier à pince à linge et me regarde un temps, le sourire aux lèvres, essayer de ridiculement étendre cette lessive. Elle finit par me laisser oeuvrer sans au préalable m'avoir mis en garde :

- Tu auras 3 coups de fouets pour chaque chose que tu auras laissé tomber par terre !

blmai2013lessive.jpg Je découvre vite mes difficultés de soumis handicapé. Comme remettre en forme le linge avec une main unique ? Comment le tendre sur la barre de l'étendoir ? Comment retourner une manche à l'envers ? Tout m'est compliqué. Tout m'est long. Je trouve cependant un truc en positonnant la pièce à étendre en bout de barre, puis en le bloquant par une pince à linge, avant de ma main unique de le tirer doucement sur la barre pour le faire sécher bien tendu. Mon échelle de difficultés peu à peu se remplit. Le plus dur à mon goût sont les slips et le culotte qui sortent en tout sens de la machine. Long à remettre en ordre pour ceux des gamins, très long pour ceux des adultes. A 5 reprises, des sous-vêtements ou des chaussettes m'échappent des mains ou de l'étendoir et tombent par terre. 5 x 3 = 15 coups de fouets ?

Cela est long, très long même, trois quarts d'heure me dira Maîtresse après. Mais il ne me reste plus que trois de mes chemises à mettre sur un cintre, mais là je ne crois pas que cela humainement possible avec mon handicap actuel. Je décide d'aller en parler à Maîtresse. Elle comprend et m'enlève baîllon et attache des mains. Je peux finir d'étendre ma lessive et Maîtresse m'autorise même un perrier et une cigarette avant de reprendre. J'en profite pour regarder les photos de ma punition sur le téléphone et, comme à mon habitude, je suis étonné et fier par les dégats subis.

Je rentre enfin pour la suite des événements. Maîtresse est sur le canapé.

- bon c'est bien soumis, vas mettre ta cage.

Je suis surpris de cette mise en cage que je n'ai pas vu arriver. J'essaye de négocier.

- Mais tu m'avais dit que tu voulais baiser après. Que cela soit SM et vanille...

- Oui, je t'aurais bien offert mon petit trou avant de te mettre en cage. Mais à quoi bon, tu n'est pas assez dur pour cela. D'ailleurs là tu bandouilles plus que tu bandes...

J'essaye de lui prouver le contraire, de faire durcir la bête de ma main, immédiatement. En vain !

- Tu vois bien que j'ai raison. Cela devient même inquiétant, il va falloir que tu demandes au médecin de te prescrire du viagra. Va mettre ta cage et reviens vite offrir un cunni à ta Maîtresse... et serrée la cage...

Clic-clac me voilà enfermé pour je ne sais combien de temps et mis en place à genoux entre les cuisses de Madame pour un hommage bien mérité qui éclate vite en un superbe feu d'artifice... pour ma Maîtresse.

blmai2013cunni.jpg

Le soir venu, j'ai du mal à m'endormir. J'ai reçu l'ordre de redormir en couche et grenouillère. J'ai trop chaud avec mais là aussi, aucune négociation possible. Ce que Maîtresse veut... Je n'arrive pas à trouver la bonne position. Sur le dos les fesses me font encore mal. Sur le côté l'épaisseur de la couche dans l'entrecuisse m'empêche de trouver une position confortable. Et je crains l'épreuve du bâton dans la cage, à subir au coeur de la nuit...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Dimanche 12 mai 7 12 /05 /Mai 06:00

Me voilà libéré des pinces sur la peau des couilles, mais point d'autre libération. Je reste suspendu à ma barre, toujours bailloné pour empêcher toute parole.

- Toi, tu attends là pendant que je me repose et vais surfer sur internet.

Je crains qu'elle me plante là, immobilisé au soleil, pour un moment. Mais non, elle surfe sur la terrasse, depuis mon smartphone, petit crime de sa part car elle sait que je n'aime pas cela. 

Et là commence une longue attente pour moi.

Au début elle me positionne de face me faisant tourner autour de mes liens. Je suis meurtri de partout et encore hébété de la violence des attaques. Le venin blmai2013saucisson.jpg des orties progresse dans tout le corps. J'aperçois ma silouhette trouble dans le reflet d'une vitre. Que vois-je ? Un saucisson bien trop dodu qui est mis à sécher sur sa perche... Un homme de 42 ans qui vient de se prendre une raclée par Madame... pour son plaisir, pour son excitation... et pour les miens. Que la vie est étonnante. C'est le genre de situation qui me faisait fantasmer il y a quelques années. Et nous en sommes là, ensemble, en complicité. Que de chemin parcouru depuis la première fois que Maîtresse m'a retrouvé tout nu à la maison, mon collier de soumis autour du cou, en train de faire la vaisselle. Elle avait alors éclaté de rire. Elle était si précautionneuse, me donnant de l'alcool à boire pour supporter ses petits coups de paddle. Mais elle avait tellement aimé avoir son homme en son pouvoir ce jour là. Voilà où tout cela nous a mené quelques années plus tard ! Oh combien je l'aime en Maîtresse, ma femme, avec un autre aspect de sa personnalité qui s'exprime, beaucoup plus exigeant, beaucoup plus décidé, beaucoup plus précis. Je me laisse doucement bercer dans ces pensées...

Bien souvent Maîtresse varie, et bien le fol le soumis qui s'y fie... Maîtresse en a marre de voir ma tête et m'intime l'ordre de me remettre face contre le mur. Au coin, en quelque sorte. Pour ceux qui ne connaissent pas, la mise au coin a quelque chose de prenant. Car au coin, il n'y a rien à faire à part attendre et attendre encore le bon vouloir de la personne qui vous y a mis. Face au mur, aucune distraction possible. Jamais enfant je m'y suis retrouvé, quelque fois depuis je suis marié. Cela a un côté très humiliant...

Le moment est forcément propice à la réflexion. Je suis tellement fier de la façon dont ma Maîtresse de femme vient de me traiter ! Que je ressens comme un accomplissement de la complicité que nous avons établi dans ces jeux aigre-doux d'adultes. Encore une fois, N. vient de me montrer toute l'étendue de son talent inné et désormais je craindrai la canne. Mon corps crie de partout mais je ne sais pas encore les dégats qui l'occasionnent. Un soumis est aussi un grand aveugle.

Je demande alors en quoi mon comportement de la veille a pu influencer le cours de cet après-midi. En ces choses D/S ou S/M, l'insconscient n'est jamais très loin et chacun flirte avec les limites. Il y a tant de non-dits et sans doute tant aussi de non-connus. L'ambiance ou l'enclin du moment compte tellement. Je ne cherche plus à comprendre me laissant emporter par les émotions fortes de la soumission. Mais oui, j'en suis convaincu, je dois une grosse partie de la déferlante à ma désobéissance passée !

Je m'aperçois que j'ai une folle envie de jouir qui monte. Et que je ne peux pas ! Mains attachées ! Si frustrant ! Je sens l'accumulation au creux de mes reins, mais qui s'exprime si étonnament en ces situations. Point de fier phallus, mais une limace toute molle qui n'arrête pas de baver et baver de ce liquide séminal qui tombe en long filament épais vers le sol. La joie de ma Maîtresse et l'humiliation constante qu'elle m'impose de me faire constater comment je bave. Je suis maintenant follement excité mais toujours sans érection. La soumission est une castration chez moi.

J'ai aussi mal aux poignets avec la corde qui s'est resserrée autour et laisse des empreintes de chainettes dans la peau. J'essaye de soulager un peu la tension en m'agrippant au support de la barre de métal. Maîtresse s'en aperçoit.

- c'est long, hein, d'être coincé sans avoir rien à faire, mais ce n'est pas fini. Reste sage, mon dyonisos !

Je retourne à mes pensées et la boule de plaisir qui presse le bas ventre, fait naitre une envie de petit pipi. Je suis à la verticale d'un fraisier des bois. Je ne peux pas décemment faire cela. Mais le corps lui s'en fou ! Au final, la vanne s'ouvre et un mélange de plaisir inabouti et d'urine vient tâcheter le bois de la terrasse à mes pieds. Maîtresse s'en aperçoit à ma grande honte.

- Mais tu n'as pas demandé l'autorisation de pipi, là ! Tu vas voir...

J'essaye de m'expliquer à travers mon baillon, inaudible. Que déjà la retorsion arrive à tout volée sur mes fesses à la canne, bientôt complétée par une nouvelle brassée d'orties. J'ai si honte...

Quelques minutes encore et Maîtresse finit par détacher son saucisson, me laisse mon baillon et réajuste les liens de mes mains.

- Bon, je vais t'occuper. Il y a une lessive dans la machine à laver. Tu iras la chercher. Tu sortiras l'étendoir sur la terrasse et tu mettras le tout à sécher.

Autrement dit, les mains complétement attachées, baillonné et toujours tout nu ! Je frémis face à l'ampleur de la tâche, mais j'obéis.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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