Mardi 21 mai 2 21 /05 /Mai 07:00
bletendoir.jpg

Voilà c'est fini, l'ambiance a fini par s'envoler

Pour beaucoup de riens qui ont fini par emporter le tout.

Le costume de dyonisos a été remisé au placard.

 

 

Dieu aurait pu nous laisser encore un peu s'amuser...

Mais non, Il n'aime pas que ses brebis s'échappent du troupeau

et trouve mille maléfices pour les rappeler à l'ordre.


Dieu est un sale petit égoïste...


dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Dimanche 19 mai 7 19 /05 /Mai 09:29

blcubism.jpg Je suis un Elephant Man.

Nous avons tous nos particularités physiques. Moi c'est des trop grandes jambes pour les voitures familiales française et un petit zizi. Mon lot tiré à la loterie de la vie est issu d'une lignée de montagnards matinée de sang slave et au moins allemand. J'y dois aussi une ossature osseuse assez massive. Quoique que pour le petit chose, je n'ai pas de chance, mon frère y ayant nettement échappé...

Mes grandes jambes m'ont valu des moments de découragement pendant mes années de collège. Incapable de toucher ses pieds du bout des mains. « Pas assez souple ! » me lançait-on. Sans dourte vrai en partie mais je m'aperçois maintenant que mes bras étaient finalement beaucoup plus courts que mes jambes. Je partais avec un handicap insurmontable.

Pour mon petit zizi que dire ? Bon un petit dessin faut mieux qu'un long discours. La catastrophe de mon zizi au repos c'est cela, pas plus grand que celui d'un garçonnet.  dyonisospetitebite.jpg

Le bon petit soldat détient heureusement des records d'extension pour paraître presque honnête au garde à vous, pour se réveler finalement un soulagement pour ces dames, face au pire qu'elles avaient imaginés. Il m'a cependant permis aussi d'aller souvent fureter derrière sans devenir l'Attila des culs des femmes que j'ai rencontrés.

Bon ceci étant dit, nous pensons qu'il est venu le temps, non des cathédrales, mais de la cage en métal, pour avoir enfin une cage qui résiste à la pression que Maîtresse met sur son soumis. Et pour le renouvellement dss jeux aussi.

Bizarrement j'ai/nous avons tenu très longtemps avec les cages en plastiques. 400 jours en 4 ans. Il y a eu l'inconfortable CB2000, puis une CB6000 et enfin le confort de la CB6000S et beaucoup de pièces détachées pour maintenir en l'état l'objet. Leur fabriquant devrait me remettre un prix comme chez Toyota. Finalement j'aime ma cage de plastique. C'est comme un vieux pull que l'on adore porter, j'y suis attaché et N. aussi.

Mais il est temps de passer à autre chose et de changer pour une vraie cage d'homme pour un zizi de garçonnet. lol.

Dans nos vies modernes et matérialistes, il y a finalement peu de choses intimes et partagées que l'on prend le temps et le plaisir d'acheter. Certe en vanille il y a la lingerie  - allez en offrir une à votre femme/compagne en cage dans une boutique, je vous promets que vous n'oublierez pas le moment - et les bijoux, surtout pour Madame en fait. Mais dans le monde merveilleux du BDSM, il y a tant d'occasions de choisir avec excitation à deux. Le fouet qui servira à Madame sur Monsieur. Forcément un objet très intime. Le double gode entre Monsieur et Madame ou maintenant la cage... où Madame enfermera, avec un amour exigeant, Monsieur.

Je trouve aussi que l'on devient plus exigeant avec l'expérience. Au début, les premiers objets arrivent dans la relation SM ou D/S qui commence tout-juste à s'épicer, sur une initiative d'un seul. Souvent lui. Avec des ratés, forcément vu le manque d'expérience, et des objets mal finis ou incommodes, sans interêt finalement ou à l'interêt non partagé. Je crois que beaucoup ont, comme nous, un cimetière des sex-toys abandonnés, reste des mal-venus d'un moment. J'ai lu une fois une telle liste chez un un couple américain que je connais bien pour les suivre. Hilarant ces ambitions qui finissent en queues de boudin. Il faudra que je fasse aussi un jour ma propre liste.

Parfois il y a une surprise et une adoption au bout du tunnel. Comme beaucoup, j'ai acheté la première cage de chasteté, une CB2000 alors, sans en parler à ma Dame. Je me souviens de sa froideur à la réception du dit-objet. «  Mais tu es fou ! », «  Tu ne vas pas quand même pas porter cela au boulot ? Non je ne le veux pas, trop risqué. A la maison oui, mais pas dehors ». Je ne crois pas que N. ait été plus différente dans sa première réaction que beaucoup d'autres femmes avant elles. C'était un été il y a bientôt 6 ans. Que de chemin parcouru depuis... Et je dois plus craindre maintenant qu'elle m'envoie au travail mon collier de dressage cadenassé autour du cou, comme à la fin de l'année dernière que de porter une cage finalement assez discrète tous les jours.

J'ai économisé cet hiver à la sueur des mes plaisirs ou dépendances, deux fois le prix d'une bonne cage. C'était le deal avec ma Maîtresse, qui n'hésite plus à utiliser des élements de faiblesse bien réels dans nos jeux.

Et depuis nous regardons ce qu'il existe sur le marché... 

Ensemble évidemment même s'il s'agit de D/S car c'est beaucoup plus difficile pour une femme d'acheter une cage pour son mari, que de par exemple de lui offrir un pull, qui lui va parfaitement. Là point d'allure extérieure qui montre si l'achat tombe bien ou non, ou s'il doit être ramené en magasin pour un autre. L'ajustement d'une cage est quelque chose de plus caché et de moins accessible depuis l'extérieur. Un zizi encagé dans une cage ou l'autre ressemble toujours à un zizi encagé. Mais la cage permettra-t-elle de le garder longuement encagé ?

A y réfléchir, je me suis convaincu, depuis que nous avons envisagé de changer de cage, qu'il y a 4 mesures clés pour une cage :
- le diamètre intérieur de l'anneau de couille
- l'espace entre cet anneau et la cage à zizi (le spacer)
- la longueur totale entre l'anneau et le bout de la cage
- et le diamètre interne de la partie cage
D'ailleurs à regarder depuis sur les sites des fabriquants de cage : eux-aussi, comme par hasard site les mêmes mesures. Je dois être dans le vrai.

Et ces mesures je les connais bien par l'expérience que j'ai en cage. D'autant que les CBxxxx permettent de tester beaucoup de réglages. C'est leur avantage et je trouve une très bonne façon de débuter.

Mais là nous buttons sur un problème. A regarder les dimensions classiques du marché, je me convaincs que je suis finalement un Elephant Man de la trompe : petite bite mais très grosses couilles portées très serrées. Et cela nous pose un problème.

L'anneau de couille qui me va parfaitement fait 5 cm de diamètre et il doit s'ouvrir sinon les couilles ne passent pas. Plus petit et les couilles sont broyés à moyen terme, mettant fin au port. Cela limite déjà pas mal les candidats remplaçants en armure.

Mais surtout c'est le spacer qui me pose problème. C'est à dire la pièce entre l'anneau à la base des couilles et la cage elle-même. Je travaille actuellement à 15 mm, le plus grand spacers des CBxxxx. J'ai essayé souvent de le réduire mais difficile car aie aie aie aux couilles le matin. Et là tout ce que nous trouvons fait au max 12.5mm, ce que je crains être trop serré. Les Folies de Morgane le précise d'ailleurs :

l'espace standard est de 0,95 cm. Il convient à la majorité des hommes. Vous pouvez néanmoins choisir un espace plus étroit : 0,65 cm si vous avez de petits testicules, ou au contraire plus large : 1,25 cm si vos testicules sont larges.

Au moins cela me répond à mes interrogations. J'avais honte de la porter si large en particulier par rapport à tous les autres encagés qui battaient des records d'étroitesse de l'anneau et du spacer. Et bien tout simplement, c'est au final qu'avec ma géométrie du sexe, je ne peux pas faire autrement.

Par contre pour la partie cage aucun problème. Je peux encore la réduire d'un bon centimètre par rapport à la CB6000S vu comment je n'atteins pas le bout en érection contrainte dedans. Là je peux prendre une taille plus petite.

Donc nous sommes pour l'instant dans une demi-impasse. Sans doute, est-il possible, d'adapter ses mesures chez des fabriquants faisant plus dans le sur-mesure que dans le prêt-à-encager. Mais en tout cas, c'est en dehors des réglages proposés. Donc cher. L'autre piste c'est de regarder de plus près la forme anatomique (lol... si j'ose) des cages. En fait ce qui pose problème n'est la distance au dessus du sexe entre le haut de l'anneau de couilles et le haut de l'anneau de cage, mais celle plus difficile à appréhender entre le bas de l'anneau de cage et globalement l'anneau derrière les couilles.

A ce rythme - et vu que j'ai été pas mal occupé par Madame ces derniers temps - , je crois que la commande d'une nouvelle cage prend pas mal de retard... Je n'ai pas envie de mettre quelques centaines d'euros dans une cage non portable.

Et Maîtresse, qui est fort motivée pour la perspective de cette nouvelle cage en métal, m'exhorte quasiment tous les jours de résoudre la quadrature du cercle, et de lui proposer une short list de modèles acceptables, dans laquelle Elle choisira celle que portera, pour le futur, son mari soumis.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Samedi 18 mai 6 18 /05 /Mai 05:43

J'ai été envoyé au lit un peu avant 10h. Cela me fera du bien tellement la cage a fatigué mes nuits ces derniers temps. Maîtresse arrive quelques instants après, avant que j'ai eu le temps de passer ma tenue de nuit...

- Alors voyons l'état de ma propriété entre tes jambes.... humm.. griffure là... peau tannée ici et là... et les couilles qui te font si mal... humm si grosses, j'aime beaucoup... et bien va falloir vider tout cela et retour en cage ! Sans que tu ais du plaisir évidemment, faut pas rêver.

Je suis décagé depuis un plus de 36h, suite au nettoyage du matin où je n'ai volontairement pas remis ma cage. Trop mal ! L'impression que mes couilles ont été passées dans un étau pendant la nuit... Tout mouvement est douloureux avec ou sans cage.

De retour de ma Maîtresse, j'avoue ne pas avoir remis la cage. Elle me répond que c'est pas grave, que même comme je me suis bien conduit, elle me me fera un gâterie le soir au coucher. Je vis toute la journée dans cette perspective attendant avec impatience le soir. Dans la soirée, je vais lire au lit un nouveau SF pour être sûr de ne pas rater son coucher. Je suis à demi nu, impatient.

Maîtresse finit par se coucher à mes côtés. J'ai la bite tendue en attente... 

- Mais tu rêves, il n'est pas question que tu es quoi que ce soit... mais toi tu vas m'offrir quelque chose.

La demande est claire. Je n'ai pas d'autre choix que de me mettre au travail pour ma Maîtresse, immédiatement. Elle est très doigts actuellement. C'est directif et très long, jusqu'à en avoir une quasi crampe à la main. Ma Maîtresse prend son plaisir seul pendant que moi je tourne en rond dans ma tête frustré, le sexe encore en érection. Une fois mon devoir terminé et ma main broyée, Maîtresse N. décide qu'il est temps pour moi de dormir, pendant qu'elle lit un peu. Je passe couche et grenouillère, et me tourne sur le côté en chien de fusil en position d'endormissement, avec l'amertume cuisante de la frustration dans l'entrejambe.

Cette nuit là est étonnante. Sans cage au zizi mais réveillé aux mêmes heures que si je la portais.

Retour à la nuit suivante. Maîtresse N. s'interroge...

- Comment vais-je faire ?

Elle commence quelques mouvements mécaniques de va-et-vient sur mon machin. Je réagis au quart de tour dans une forte érection. J'en ai si envie... Mais non elle s'arrête bientôt et m'interroge.

- Dis-moi mon soumis, comme une Maîtresse peut faire sortir la liqueur de son soumis sans qu'il prenne du plaisir ?

Je lui réponds "par un milking, Maîtresse". Le Maîtresse m'est venu très spontanément. 

- Ah oui ? Faisons un milking donc.

Maîtresse N. me presse fortement la peau en dessous des couilles. Je m'en étonne.

- Oui, mon soumis ?

- Le milking, Maîtresse, ce n'est pas comme cela. C'est par le cul, en massant la prostate par l'intérieur, Maîtresse.

- Ah oui, j'oubliais. Tu me sors 2 préservatifs : un pour toi pour que je vois comment tu baves et un pour moi que je te prenne le cul et tu me donnes ton gros cul !

J'obéis mais j'ai le temps de voir un sourire exquisé de ma Maîtresse qui me montre à quel point, elle me balade. Elle sait très bien où elle veux en venir. Je m'équipe le sexe et me mets en position - humiliante - tête collée au lit et cul tendu vers le haut. Immédiatement son doigt autoritaire me transperce l'anus et masse fortement le bas de mon rectum.

- J'y suis ?

- Je ne sais pas, je n'ai pas l'expérience Maîtresse.

Je sens cependant une tension dans mon cul pas agréable. Je lui en parle.

- Fais voir...

Elle regarde le préservatif sur mon zizi dégonflé : vide. Maîtresse insiste un temps très désagréable pour moi avant de constater de nouveau que rien ne sort.

- Trop long tout cela ! On change de méthode. Tu te branles de la main, là sous mes yeux !

- Oui, Maîtresse.

Je commence les mouvements de la main gauche qui ont vite fait de redonner toute la durété au pénis. Maîtresse N. m'observe oeuvrer attentivement. Je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir à venir. La mécanique jouissive s'enclenche délicieusement.

- Stop, on arrête tout !

Elle vient d'enlever d'autorité ma main sur le phallus. Je suis bandé à fond dans le préservatif.

- Tu ne crois pas que je vais laisser perdre une si belle érection. Allez rend hommage à ta Maîtresse !

Nous y voilà, là où elle voulait arriver. Sacré Maîtresse ! N. s'est mise en lévrette pour que je l'embroche. Ce que je fais volontier à gros coups de pistonnage. Elle adore mes si grosses couilles qui viennent taper en cadence. Je suis en érection totale avide de enfin partir. Mais Maîtresse ne prend pas de gros risques, j'ai toujours été un éjaculateur tardif. Premier orgasme que j'entends et que je sens dans le conduit. Maîtresse en veut encore.

- Tu as intérêt à partir au fond où alors je te punis.

Je redouble d'efforts en me concentrant cette fois totalement sur mon plaisir. Je bande si fort et c'est si dur de partir. Trop de fatigue sans doute. A force de m'échigner, je sens enfin cette étincelle de plaisir naitre au coeur de mes reins et se développer de plus en plus.

- Stop ! Tu t'enlèves ! Interdiction de jouir ! Immédiatement !

J'obéis à regret en marmonnant un « Oui Maîtresse ». 

Cette vidange, je l'ai finalement à la manière de ma Maîtresse à la main - « La tienne pauvre idiot ! Tu ne crois pas que je vais me salir » - et aux pinces qu'elle me fixe sur les tétons et qu'elle tord et détord au grè de ses envies tourmenteuses. Vidange très abondante qui me donne un réel plaisir quand elle fuse enfin dans le préservatif.

- Ouah, quelle quantité, mon chéri ! Cela fera un excellent glaçon pour ton whisky. Je sais que tu le préfères sec, mais là tu feras une exception. Tu files me mettre cela au congélateur : nous commençons la récolte 2013 ! Puis tu te laves le sexe et tu remets ta cage. Et après au dodo dans ta jolie grenouillère.

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Vendredi 17 mai 5 17 /05 /Mai 06:00

blrome2.jpg Encore un autre petit matin. Réveil dans la cage et la grenouillère. Les nuits vont mieux, moins de réveils, sans doute aussi plus d'anesthésie alcoolifère aussi. C'est la fête à la maison, nous avons nos amis très intimes qui sont venus pour quelques jours à la maison.

Il est donc 7h avec une seule érection qui m'a réveillé au petit matin. oh joie. Maîtresse dort à côté et est réveillée à son tour qu'en j'enlève mon poids du lit.

- Bonjour mon chéri. Tu te lèves déjà ?

- Bonjour Maîtresse, oui je suis en érection dans la cage et ce n'est pas agréable...

- Attends reste, j'ai besoin de sentir ton contact.

Elle me fait enlever couche et grenouillère et je me recouche à ses côtés complétement nu à part la cage. Sa tête se love contre mon épaule. Instinctivement je me masse les couilles pour soulager un peu la pression. Sa main me chasse d'autorité de la zone et me donne une claque de représailles dans l'entrejambe. Aie !

- Tss, interdit ! Tout cela est à moi !

Maîtresse me masse le paquet un temps avant de le saisir en tenaille dans sa main. Un reproche à venir ? 

- Je voudrais que tu sois plus soumis et obéissant et que tu m'obéisses immédiatement sans poser de questions.

Je crois avoir mal entendu !

- Mais je croyais que tu ne voulais pas que nos jeux empiètent sur la vie quotidienne, que c'était même une ligne rouge ?

- Hummf, souvent femme varie...

Elle a serré mes couilles en tenailles sur ces derniers mots. Oui, vu dans cette perspective, j'ai tout intérêt à comprendre très vite. Et je ne sais pas d'où vient le reproche.

- C'est pour les courgettes que j'ai rechigné un temps à ressortir pour aller en acheter hier matin ?

Réponse très sèche.

- Non, c'est hier soir !

- Hier soir ? Je ne me souviens pas d'un problème hier soir....

- C'est bien ce que je te reproche !

Hier soir, je me souviens avoir pris l'apéro entre hommes, mais pas au point d'avoir mal fini. Qu'est-ce que j'ai bien pu faire ou ne pas faire ? Je me suis endormi au final sur la canapé mais cela ne semble pas être cela... Vite réfléchir. Bon hier soir, une fois les enfants couchés, les femmes ont montrés leurs seins sur la table, je ne sais plus suite à quelle remarque de la part de notre ami. J'ai remarqué les tétons de ma Maîtresse fiérement dressés. La situation lui a plu manifestement et cela m'a valu une érection immédiate dans la cage. Puis Maîtresse et l'ami ont discutés ensemble pendant un moment pendant que sa femme était parti coucher les enfants et que moi j'étais aller fumer dehors. Je le connais habituellement assez taquin et il sait pour mon statut d'encagé actuel. Ce que j'ai appris après, c'est qu'il a profité de mon absence pour parler de mon encagement avec ma Maîtresse de femme à mots d'abord voilés avant qu'à la fin N. découvre qu'il savait tout (parce que nous en avions parlé, la veille, N. ne le savait pas encore). A mon retour, Maîtresse me fait venir à côté d'elle. " Et tu vas voir comment je possède le sexe de mon mari...".  Et sur ce, elle déboucle ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Bientôt elle cherche à me baisser le slip. Je prend peur, bredouille et me recule, avant de le regretter finalement parce qu'être montré en cage par ma femme devant un tierce personne aurait le symbole de soumission parfait, même si lui l'a déjà vu une fois, mon zizi en cage, mais nous étions alors bien avancé dans l'apéro.

- C'est parce que j'ai refusé de me faire déculotter hier ?

- Mais non tu comprends rien et en plus tu oublies tout !

- Alors dis-moi ce que j'ai mal fait ?

- Non, je ne veux plus en parler. Cela va me mettre de mauvaise humeur. Occupe toi de moi à la place !

Les femmes sphinxs sont des mystères pour les hommes, et je n'ai d'autre choix que de m'occuper intimement de ma Maîtresse comme exigé. Pendant que j'oeuvre, mon esprit à du temps pour chercher ce que j'ai fait ou pas fait hier. Je me souviens d'un autre moment d'échange entre Maîtresse et l'ami en question. Il  a dit qu'ils avaient fait l'amour le matin dans la chambre d'ami et que c'était très bon (avec sa femme, pas la mienne !). N. lui a répondu au tac au tac qu'elle aussi s'est pris une grosse queue au petit matin et que c'était super excitant. Ce qui lui a cloué le bec sur le moment. Plus tard, il me retrouve autour d'un digestif sur la terrasse. " Je ne comprends pas. Elle a dit que tu lui a donné un bon coup de bite. Comment avez-vous fait ? Elle t'a enlévé la cage ? ". " Non ! "Il me regarde d'un air incompréhensif. " Mais, si c'est pas possible autrement ! ". Et je lui explique ce qu'on peut faire avec un porte gode et un gode, malgré la cage. Il ne connaissait pas et reste un moment pensif. " Mais alors tu n'as pris ton pied ? ". "Oui c'est la règle du jeu... je reste frustré ". Mais je ne vois pas pourquoi Maîtresse serait mécontente de cette discussion. Non je ne vois rien de répréhensible lors de la soirée de la veille.

Une fois mes devoirs terminés, Maîtresse N. m'envoie lui préparer son petit-déjeuner qui doit être prêt pour 8 heures avec un série d'instructions très précises, "puisque que tu ne t'es jamais interréssé à ce que je prends le matin ! ". 

Plus tard, dans la cuisine, je réssaye d'en savoir plus...

- Non j'ai pas le temps là. Tu vas me mettre en retard... Déjà que je n'ai pas pu obtenir un rendez-vous plus tardif...

Maîtresse va chez le coiffeur ce matin. Je la croise finalement à la salle de bain pour faire un pipi assis sur les toilettes. Elle me fait alors remarquer que l'absence de rideau devant la baignoire dégrade l'état de la salle de bain. Je suis contre ce rideau depuis le début et nous nous sommes déjà accrochés dessus plusieurs fois. D'ailleurs nous en avons encore parlé hier soir avec nos amis et j'ai encore dit niet ! Je comprend soudain.

- Alors c'est cela ? Tu n'as pas aimé hier que je dise encore une fois que je ne veux pas de ce rideau ?

- Oui et tu me fais passer à chaque fois pour une idiote, aux idées trop bêtes pour être écoutées en matière d'aménagement de la maison...

Et pan sur le cul... j'ai été eu. Soumets-toi et obéis ! Elle a gagné et j'ai perdu. Et N. aura son rideau dont je ne voulais pas... Tous les chemins mènent à Rome.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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