Mercredi 15 mai 3 15 /05 /Mai 05:33

- J'ai en envie du jouir, mais c'est chiant tu es en cage.

- Mais c'est toi qui m'y a mis...

- Parce que je croyais que tu le voulais.

- Non, pas vraiment. J'ai été surpris de m'y retrouver lundi dernier.

- Ah bon ? Pas grave. Tu y es, tu y restes. Occupe-toi de moi que je ne lève pas de mauvaise humeur comme hier parce que t'AS RIEN FAIT pour ta Maîtresse !

Je suis dans la grenouillère jaune obligatoire pour la nuit. Je commence à me déplacer pour me mettre en ses cuisses.

- Non c'est pas ta langue que je veux. Je veux tes doigts ! Dépêche-toi...

J'ai souvent remarqué que N. quand elle est Maîtresse N. devient très directive. Ceux sont effectivement mes doigts mais ce n'est pas moi qui les commande. Fais-ci, fais-ça. Non un doigt de plus. Plus en bas. Plus haut. Plus fort. Moins fort... Ma main devient un sex-toy à son usage exclusif. Je sens, je vois et j'entends son plaisir monter. Bien-sûr tout cela ne me laisse pas de marbre et je ressens la forte pression à l'intérieur de la cage mais impossible d'aller me masser les couilles pour la soulager quelque peu sous la double épaisseur de la couche et de la grenouillère. Très frustrant tout cela...

Premier orgasme. Premier palier.

- Oui ! mais cela ne suffit pas. Viens ici toi !

Elle me dézippe la fermeture éclair dans le dos de la grenouilllère, que j'enlève.

- Allez sors moi le gros gode et prends ta Maîtresse en levrette.

Je cherche à tâton le porte gode dans le tiroir. Celui qu'elle s'est achetée l'été dernier. C'est la première fois que je le mets, moi. J'enfile autour des cuisses les lanières et je scratche dans le dos la ceinture. La partie élastique porte-gode plaque la cage et son contenu emprisonné contre le bas ventre, dans une position pas agréable pour un homme encagé, mais qui permet au gode, que je monte dessus, de s'appuyer sur la structure rigide de l'étui pénien. J'ai choisi un beau gode, noir, long et épais.

Quand je reviens sur le lit, Maîtresse attend son plaisir. Je me positionne derrière. Elle m'interdit de faire quoi que soit. C'est elle qui fait. Je suis de nouveau à fond dans ma cage. Elle se frotte d'abord le bouton sur le bout de sa queue de remplacement, avant de l'avaler lentement au fond de sa chatte. La vision de sa belle descente de reins, me ravit et m'excite. Le zizi encagé bave déjà d'envie dans sa prison, en pure perte. Je veux être de la fête moi aussi !

- Non, tu fais rien. Ou plutôt si tu caresses mon dos et tu t'occupes de mon petit trou !

J'introduis un doigt humide dans son anus. A travers la paroi je sens la grosseur du gode, sur lequel elle coulisse maintenant regulièrement et qui au plus profond fait pression sur la coque de plastique de la cage. Le phallus emprisonné bave de plus eu plus d'envie.

- Ah que c'est bon une grosse queue bien dure !

Je prends cette remarque comparative pour moi et préfère me taire. J'accompagne maitenant les mouvements en ondulant du bassin. Maîtresse me laisse faire mais vient appuyer ses fesses sur mes cuisses pour le gode rentre encore plus profondémment. Son plaisir monte inconstablement. Le pénis lui a aussi reconnu le moment. Je ne sais pas si c'est les hormones qui flottent dans la chambre, mais un boule de tension commence à naitre au plus profond de mon ventre. Je prend en charge tous les balancements enfilant en cadence mon gros "pénis". Mon esprit ne comprend rien de ce qui se passe. Tous les indices montrent qu'il est train de travailler le sexe d'une femme si excitante, SA femme, mais il ne reçoit pas les sensations tactiles et de chaude humidité qui devrait aller avec. Déstabilisant tout cela. L'esprit ordonne par réflexe au corps d'augmenter la cadence pour partir au fond de cette chatte. Il veut retrouver les chaudes sensations. Mais rien en retour, juste l'impression d'être coincé au fond d'une boite. Maîtresse est proche de l'accomplissement... Je sens une gêne tout un coup au niveau de la cage, quelque chose que je connais déjà sans m'en souvenir. J'essaye de repositionner la cage plaquée entre le bas ventre et le gode. Cela va un peu mieux, mais je viens de faire une faute en ralentissant le rythme, que me reproche tout de suite Maîtresse.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? J'étais si proche du méga orgasme !

Je prend le reproche en pleine face. J'essaye de relancer la machine, mais il est trop tard pour Maîtresse qui nous repousse, moi et le gode. Une fois libéré, je vérifie la cage et constate qu'effectivement elle vient de s'ouvrir sous la pression. Le problème de ses cages en plastique mais que la super glue finit par réparer.

Plus tard, la cage réparée je retrouve Maîtresse N. dans la cuisine.

- C'était si bon mon Amour ce matin. Rien à voir avec ta queue habituelle...

dyonisos

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Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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