Mardi 30 juillet 2 30 /07 /Juil 06:07

CHAPITRE 29 - Pisket på knæ

Le retour du chihuahua sur la terrasse fut triomphal. Pierre était définitivement  le type de mâle qui était beaucoup plus beau dépoilé qu’avec ses poils. Les Maîtresses, un brin excitées par l’apéritif déjà engagé, le mirent au milieu d’elles pour mieux le zieuter, lui demandant de soulever un bras par ci, une jambe par là pour au final mater le glabre du sillon entre ses fesses. Pas de doute, c’était un homme complètement nouveau qui apparaissait là, beaucoup plus sexy qu’avant et qui appelait l’abus des femmes. Claire en était terriblement enthousiasmée.

- Ouah, t’es trop beau ainsi. Tu resteras dorénavant sans poil, mon amour, vu comment cela m’excite le minou.

Elle appuya son propos d’une claque sur les fesses qui fit sursauter le chihuahua et lui inspira une idée immédiate, apte à prolonger l’excitation au fond de son entrejambe et qui devrait aussi beaucoup plaire aux copines. Elle se saisit de son oreille et le tira vers une chaise.

- Allez zou sur mes genoux le chihuahua !

- Non ! S’il te plait Cl…Maîtresse… pas devant elles !

- Et si, parce que je le veux et que cela m’amuse.

- Mais je n’ai rien fait de mal Maîtresse !

- Oui depuis que tu as pris le fouet hier, je reconnais que tu n’as rien fait de mal… heureusement… 

- Alors pourquoi ?

- Parce que comme je te l’ai dit cela m’amuse, que j’en ai terriblement envie et enfin surtout parce que je sais que cela va te gêner terriblement de subir une fessée de la main de ton épouse devant témoins. Cela choque ta petite dignité. Et ça je ne vais pas m’en priver !

Il voulut répondre mais déjà Claire s’était assise sur la chaise et d’une main ferme et très décidée le força à s’allonger sur ses genoux. L’assistance fit un cercle autour de la chaise fessoir pour apprécier le spectacle, les Maîtresses au premier rang, les soumis et soumises en arrière.

Pierre ne s’habituait pas à cette forme de discipline domestique que Claire avait introduite il y a quelques mois. Ce n’était pas la douleur physique qui l’insupportait, une fessée faisait de toute façon moins mal que le fouet ou la badine, mais plus l’humiliation de se retrouver fessé sur les genoux de sa femme comme un vulgaire gamin pris en faute. Et dire que gamin, il n’avait jamais pris de fessée de la part de ses parents ! Là il savait à l’avance qu’il allait perdre toute dignité et que dès que la main adorée commencerait à battre dru ses fesses, ces jambes et son bassin se contorsionneraient en une danse ridicule dont les Dames présentes ne manqueraient pas de se moquer. 

Il avait toujours du mal avec la partie humiliation de la D/S, même si jusqu’à présent Claire en était restée à la sphère familiale quasi exclusivement. C’est pourtant sur ce point qu’à bien y réfléchir, Maîtresse Claire avait porté son apprentissage de soumis domestique ces derniers temps. Il avait du mal à accepter cette forme particulière de déchéance. Il éprouvait de la fierté à se donner aux mains expertes de sa Maîtresse, de parader à ses côtés, de résister à son fouet. Il croyait qu’il restait digne dans ces activités et un Mâle, certes soumis, mais encore admirable et respectable. Et c’est cette image positive, que Claire, peut-être guidée par l’intrigante danoise, avait commencé d'attaquer par la racine. 

Pierre pouvait même dater exactement le début des opérations à une retentissante claque qu’il avait reçu il y a quelques mois à table en famille alors qu’il contredisait encore une fois Claire. Il en était resté sur l’instant coi mais oh combien il avait fantasmé d’être dans cette situation. Les enfants eux s’en étaient beaucoup amusés et avaient donné immédiatement raison à leur mère. « Papa, il faut toujours obéir à Maman ». Bousculé dans son amour propre et finalement ne trouvant cela pas si follement excitant qu’il l’avait imaginé, il pensait que Claire allait en rester là, à cet acte isolé. Mais le soir, Maîtresse Claire revint longuement sur l’incident en le sermonnant gentiment en s’excusant presque de lui avoir donné une claque. Elle lui annonça qu’il avait mérité une bonne fessée. C’était sans doute pour rire mais il l’encouragea pour voir. Il se retrouva cul nu couché sur ses genoux au-dessus du lit. Il bandait et elle le sentait. Elle commença à le fesser.  Il se voyait dans la glace de la chambre. Il était ridicule à battre les jambes en l’air pour rien. Loin de ce qu’il avait imaginé. La honte lui monta finalement aux joues. Son zizi se recroquevilla. Il ne s’aimait pas dans cette position. Rien d’érotique pour lui dans cette fessée infantilisante commentée à dessein par Claire. « Alors le petit garçon n’a pas été sage, et il prend une bonne fessée sur son cucul tout nu ! » Mortifiant jusqu’à la mise au coin finale face au mur, les mains sur la tête et le cul rougi, avant de finalement de devoir éteindre de sa bouche l’incendie qui était né entre les cuisses de sa femme.

Ce ne fut pas un acte isolé, loin de là. Maîtresse Claire semblait avoir trouvé une veule excitation à le fesser. A partir de cette première, il se retrouva souvent prendre une bonne fessée de gamin sur les genoux de sa Maîtresse de femme ou passer du temps au coin contre un mur dans la chambre mais aussi dans le salon pendant les soirées TV. Il n’aimait pas mais la laissait faire pour ne pas casser l’ambiance du moment. Heureusement, Claire lui épargnait que les enfants en soient de nouveaux témoins. 

D’autres changements s’opérèrent cependant, qu’il n’avait pas vu venir. Un matin il retrouva son tiroir à slips vidé dans la commode. Il s’en enquit auprès d’une Claire rayonnante, qui lui annonça que jusqu’à nouvel ordre slips et caleçons lui étaient enlevés et remplacés par des petites culottes en coton rose, achetés par lot de six. Elle avait lu, soit disant, l’idée sur un blog SM. Maîtresse Claire dut insister un temps pour qu’il accepte d’en passer une, menaçant de tout arrêter. Pierre n’aima pas ce changement en sa défaveur, et encore moins quand sa femme décida que chaque matin une fois prêt dans son costume cravate, il devait se détrousser devant-elle, se branler le machin jusqu’à éjaculation, avant de remonter immédiatement culotte et pantalon sur les dégâts, pour le laisser mariner dans son jus toute la journée. Une autre idée trouvée sur le web. La première fois il se nettoya dans les toilettes de son boulot, mais le soir venu, elle le découvrit et fit la tête. Alors le jour suivant et les jours d’après, il s’autocensura pour ne rien tenter et laisser son sexe sale, même s’il n’aimait pas de le sentir poisseux.

Au fil des semaines, il percevait que sa Claire devenait par petites touches de plus en plus exigeante à la maison. Fais ceci. Ne fais pas cela. Elle lui laissait une liste des tâches à faire pendant son absence. Et elle le punissait en le fessant en chambre quand les choses qu’il avait faites ne lui convenaient pas. La plupart des hommes en auraient été énervés, mais pas lui. Cela lui semblait rassurant et naturel de se laisser aller à l’obéissance à la maison. Pierre apprit même à aimer ses moments d’intimité dans la chambre où il prenait nu, la queue bandante au  moins au début, sa fessée. 

Un soir, Maîtresse Claire lui annonça, après l’avoir fessé, qu’elle désirait qu’il porte sa cage de chasteté en permanence. Bien sûr comme tout couple s’adonnant aux jeux SM, la cage de chasteté faisait partie de leurs jouets favoris. Il avait déjà l’expérience de la porter plusieurs jours de suite en public ou au travail. Avant de finir dans une mémorable partie de jambes en l’air à sa libération. Mais c’était consensuel entre eux. Là ce que Claire lui demandait ne l’était pas. Il n’avait tout simplement pas envie de se retrouver enfermé dans cet objet de cette manière-là. Il refusa tout net de s’y plier et leur soirée finit en bouderie.

Les jours suivants ne furent guère mieux. Claire lui tirait ostensiblement la gueule comme toute femme sait le faire. Pierre se sentait déboussolé maintenant que Claire ne lui indiquait plus la direction à suivre.  Il continuait à faire le maximum de tâches à la maison, sans obtenir aucune réaction de sa femme. Plus aucune fessée dans la chambre. Cela le prenait aux tripes. Et même ses branlettes en matant des sites SM sur le web, le soir venu, lui paraissait sans saveur. 

Un soir au couché il ne tint plus.

- Mais Claire qu’est-ce qu’il faut que je fasse ?

Claire le regarda d’un air courroucé.

- Tu n’as pas encore compris ?

- Si tu veux que je porte une cage, ok je la porterai. Mais cesse de me faire la tête !

- Cela serait trop simple, mon chéri. Ce n’est pas quand tu le veux, mais quand ta Maîtresse le veux. La D/S cela marche ainsi… et pas autrement. Je veux que tu m’obéisses sans rechigner. Et là tu en es loin…

- Laisse-moi au moins encore une chance !

Elle le regarda désabusée comme on regarde un adolescent à problème sans le croire, même si au fond de son cœur on le voudrait tant.

- Non cela ne servirait plus à rien. Tu as tout gâché. Allez dormons maintenant…

Pierre ne trouva pas son sommeil cette nuit-là. Il voulait tant prouver à Claire qu’elle se trompait sur leur compte. Au petit matin, il prit la décision de s’enfermer tout seul, le plus serré possible, avec les pointes qu’il n’avait jamais essayé. Il laissa la clé sur la table de chevet avec un mot « Pour toi mon amour, je suis désolé » et après avoir rangé la maison et préparé le petit déjeuner de toute la famille, il partit très tôt à son travail.

Tout le matin, aucune réaction de Claire. Il sentait comme un jeune amoureux ayant déclaré sa flamme et qui attendait le verdict de la fille désirée, fébrile et anxieux. Puis à midi, un SMS arriva : «Au pied le chihuahua à 13h devant la pharmacie de la ZAC de Plumas ». Elle l’avait appelé de son nom de soumis !

Plein d’espoir, Pierre arriva avec dix minutes d’avance devant le dit magasin. Claire arriva vingt minutes plus tard. Il voulut l’embrasser, la fêter, mais elle le repoussa. Il voulut parler mais elle lui intima l’ordre de rester silencieux. Ils rentrèrent dans la pharmacie pour en ressortir avec un intriguant semainier à pilule puis gagnèrent en silence l’hôtel Formule 1 de la zone, le parking à moitié plein de couples illégitimes. Elle lui fit prendre eux-aussi une chambre à l’automate de réception.

Sitôt dans la pièce, elle lui intima l’ordre se foutre à poil pendant qu’elle restait habillée. Il obéit avec empressement et se présentant tremblant la queue en cage. Elle lança la clé sur la moquette.

- Enlève ta cage !

Surpris, il s’empressa d’obéir et de libérer son sexe. Surtout ne pas la contrarier !

- Branle-toi !

Il la regarda dans l’incompréhension.

- J’ai dit branle-toi !

Il commença des mouvements de sa main, sans conviction. 

- Plus vite, petite merde ! On ne va pas y passer la journée !

Elle regarda s’échiner un moment sur son engin pour obtenir une éjaculation qu’il finit par avoir à bout de souffle et la main douloureuse. Le sperme avait coulé sur sa main et même sur la moquette.

- Lèche tes cochonneries !

Il lui avait toujours refusé cela, mais ne le pouvait pas aujourd’hui. Il n’avait pas envie d’échouer à ce qui ressemblait à un test de soumission. Avec une totale répugnance, il lécha sa main. Beurk ! Mais il réussit à se dépasser et à nettoyer ses doigts. Maîtresse Claire lui montra alors d’un doigt la tâche blanchâtre sur la moquette. Il approcha sa main pour récupérer ce qu’il avait laissé tomber.

- Non ! Avec ta langue comme un bon chien soumis !

Elle ne voulait quand même pas cela ? Maîtresse Claire le regardait sévèrement attendant la suite. En tremblant il s’agenouilla devant la tâche et lapa au bord du vomissement son œuvre. Une fois "fini", il se trouva con, ne sachant plus que faire et l’infâme goût du sperme en bouche.

- Bon c’est bien mon toutou. Je ne croyais pas que tu arriverais à dépasser ton inhibition. Quand tu obéis sans question, tu vois que c’est beaucoup mieux. Alors je vais te laisser la dernière chance que tu m’as demandée… Voilà donc mes conditions :

1. Plus de cage jusqu’à nouvelle ordre. C’est moi qui décide si tu dois être en cage ou non.

2. Dans l’attente, tu as l’obligation dès à présent de te masturber toutes les 2 heures où que tu sois. La récolte se fera dans la boite à pilule. Cela me sera plus facile de contrôler chaque soir ta production de la journée. Si je ne suis pas là, tu m’enverras un SMS à chaque fois avec le récit de ta branlette et sur quoi tu as fantasmé pour partir.

3. Et ne crois pas que tu t’en tireras à si bon compte !

Et sur ce, elle quitta la chambre et le laissa en plan. 

Il y a une grande différence entre éjaculer et devoir le faire sur ordre. Au fur et à mesure qu’avançait son après-midi, ses érections et ses éjaculations devenaient longues et douloureuses. A dix-neuf heures, juste avant de quitter le boulot, ce fut même un orgasme brûlant quasi sec. Pierre comprit aussi rapidement qu’éjaculer dans une case précise de la boite à pilules, demandait une concentration et une précision qui lui volait en quelque sorte la jouissance de son orgasme. Rentré à la maison, il crut de ne plus pouvoir arriver à donner encore, mais les Maîtresses sont pleines de ressources et cela finit par deux éjaculations douloureuses obtenues par la force d’une brosse à dent électrique directement sur la fragile peau du gland. Le traitement continua sur ce rythme le lendemain et le surlendemain. Vingt-trois éjaculations au total, recueillies dans trois seringues de médicament pour enfant et envoyées au congélateur pour plus tard et un sexe transformé en un gros hématome. Le quatrième jour, le chihuahua accueillit avec soulagement la volonté de sa Maîtresse de la voir de nouveau en cage. Il n’y opposa aucune résistance cette fois…

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Dimanche 28 juillet 7 28 /07 /Juil 09:24

Voici Zeus ou Poséïdon, statue grecque antique, trouvée en mer au large du cap Artemision. Un corps d'athlète, la tablette de chocolat, les fesses puissances et musclées. Bref le Mâle incarné !

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Sauf qu'il y a toujours quelque chose qui cloche. Ce dieu est vraiment très mal monté !! Tout au plus un zigounet de petit garçon... Bizarre, vous avez dit bizarre. Surtout dans nos sociétés du XXIème siècle qui a élevé au rang de dieux vivants, les hommes éléphants. Pour les grecs et les romains, small is beautiful ! 

J'ai cru un moment que c'était une réminiscence du goût des jeunes garçons qu'avaient les grecs. Oui vous savez le grec ancien était culturellement et sociologiquement pédéraste. Le jeune devenait un adulte dans la société par un rythme de passage culturo-sexuelle, que notre morale réprouve. Une sorte de transmission de virilité in-vivo.

blpederastie.jpgPrenait par exemple le rite du rapt crétois. Un adulte de 25 ans enlevait publiquement le fils pubère d'un voisin. C'était une grande fête, le futur kidnappé recevait des cadeaux et sa famille jouissait d'un grand honneur. Au contraire, si le garçon n'était pas l'objet de désir d'un autre, la famille se sentait insultée. Autre temps et autre moeurs... disait l'autre. Cela me rappelle la tribu africaine où tous les hommes de village passent sur la mariée pendant 3 jours avant que le marié le puisse finalement.

Bref kidnappeur et kidnappé partaient pour quelques mois dans la brousse, pour chasser et parler, et autres choses entre mecs. Leur Brokeback Mountain à eux. Une sorte de passage initiatique vers l'âge adulte pour le jeune, d'où la nécessité de l'arracher symboliquement de son cercle familial par l'enlèvement. L'adulte enseignait au jeune comment devenir adulte effectivement. Le jeune remerciait l'attention de l'adulte en s'offrant sexuellement. C'est sûr, plusieurs mois dans la brousse, c'est long... J'imagine la scène. Tu la sens ma grosse lance d'homme viril, petit ? Quoi que tout n'est pas aussi simple, encore une déformation de l'esprit contemporain. Certains ont doutés que même de la réalité de cette exploitation sexuelle entre l'éraste (l'adulte) et l'éromène (l'ado). Dèja même dans l'antiquité où les auteurs se moquaient facilement de telles relations. Mais les faits sont là, et vu le nombre de représentations trouvés sur les vases grecs ou d'allusion dans les textes grecs, il n'y aucun doute à avoir. Leur relation était consommée physiquement. Parfois en sodomisant le jeune (on trouve de nombreuses périphrases qui décrivent cela en grec ancien), mais souvent dans un coit intercrural (entre les cuisses).

Finalement le couple finissait par revenir à la ville. Encore des cadeaux puis le jeune racontait en public ce qu'il avait vécu dans la montagne à la grande fierté de ses parents (tu es enfin un homme, mon fils !).

Bon ce rapt crétois est assez ancien et bien sûr dans la suite les cités de Grèce ont perverti ce rite initiatique. Sparte et Thébes en utilisant la pédérastie pour créer des guerriers sans peur et sans reproche à la lance effilée. Athènes dans une sorte décadence incitant ses plus nobles et beaux éléments à se prostituer pour des faveurs pendant leur adolescence dans les gymnases, ce que Platon appelait la "saillie des mâles", loin de l'idéal platonique justement.

Mais la Grèce antique avait quand même une morale. Pédérastes oui. Homosexuels non. Si les relations amoureuses et charnelles entre adulte et jeune adolescent étaient encouragées, les relations entre 2 hommes adultes étaient très mal vues. Le citoyen grec se devait prendre femme et avoir de nombreux enfants pour la cité. La société grecque ancienne est fortement misogyne voire même un peu D/S. Dans la relation hétérosexuelle, l'homme (actif) est supérieur à la femme (passive). Dans la relation pédéraste, l'adulte actif qui jouit sexuellement du jeune, est aussi supérieure. Mais 2 mâles qui jouissent ensemble, cela pose un problème moral, car ils sont trop égaux. Donc dès que barbe apparaissait, tout devait cesser...

Donc là notre dieu nu a une barbe, donc est un adulte dans la symbolique grecque, et donc ne devrait pas avoir de zizi de garçonnet... ???... La vérité doit être ailleurs...

Non l'érotisme des sociétés grecquo-romaines est bien différent de ce que nous connaissons dans nos jours. La volupté ne vient pas des relations sexuelles, de ses organes internes, mais des baisers et des caresses échangés. La pénétration, c'est trop dégueulasse pour les hommes libres, c'est réservé aux esclaves. Le combre du plaisir c'est les baisers sur la peau qui fait la beauté, surtout autour de la bouche, et non l'éjaculation au fin fond d'un corps près des glaires visqueuses et des humeurs internes. Dans ces sociétés, et cela ferait plaisir à Yanode, le sperme c'est pas beau donc pas bien !

Si l'homme accepte finalement de coucher avec Madame, c'est moins par plaisir que par devoir citoyen pour faire des enfants pour la nation. C'est plus proche de la corvée conjuguale. Et qu'il n'y prenne pas trop de plaisir, car la femme est en droit d'aller s'en plaindre à son beau-père, comme quelque chose d'amoral. Un homme qui enfile les conquête est admiré dans notre société moderne. Il est méprisé dans ces sociétés antiques. L'accouplement est dévalorisant, seule compte la beauté des corps. "Il couche" devient une insulte. Pour les besoins irrépressibles du corps, il existe le lupanard que chaque homme se doit de fréquenter mais pas trop souvent, ou alors cela devient dévalorisant. Là il trouve des esclaves hommes ou femmes pour littéralement se vider et éviter de recourir à sa femme pour cela, car cela serait indécent.

Donc on a une société qui met au sommet la beauté des corps que l'on admire et caresse et au plus bas la sexualité que l'on dirait classique. Dire d'un homme "ce type a une grosse bite", c'est l'insulter. La société grecquo romaine aime l'harmonie du corps et rien n'est plus disgracieux pour eux qu'un gros pénis. Le canon de la beauté est dans la petitesse du sexe.

Ceci pour expliquer cela.

dyonisos


centreresmini

Allez au centre de ressources BDSM

Par dyonisos - Publié dans : Centre de ressources BDSM
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Vendredi 26 juillet 5 26 /07 /Juil 09:45

Putain ils sont là. Ces salops d'anglais nous ont pistés et nous débusquent dans un château au frais en Espagne. Merde occupez-vous plutôt du Royal Baby George et foutez-nous la paix !

Juste le temps d'un dernier corps contre corps tendre et délicieusement excité sous l'eau de la douche pendant que les têtes blondes dorment. Nous avons finis pas les avoirs celles-là. Je te savonne par ci. Je te caresse par là. Je t'excite partout. J'explore les possibilités caverneuses. Je joue de ton attente à vouloir plus, à sentir plus et être envahi plus. Jusqu'à la jouissance méritée offerte par l'un à l'autre et vice versa. Jusqu'à la détente complète des corps mouillés. Ah le doigt de ma dame, m'embrochant par derrière et jouant de la dureté de l'ongle sur la fragilité des muqueuses. Terrifiant et terriblement érotique à la fois ! Jusqu'à m'en faire baver dans tous les sens possibles... Deux êtres amoureux, deux jouissances, deux contentements et une union totale le temps d'une douche extrêment coquine. Vive la vie et à bas les Anglais !

N'empêche que tout cela n'a pas empêché les Anglais de prendre camp devant notre château en Espagne.

Mais nous Messieurs nous sommes français ! Je ne vais quand même pas refaire l'erreur de la bataille de Fontenoy "Messieurs les Anglais, Tirez les premiers !". Non le tirage c'est chasse gardée ! Nulle envie de voir un batard english venir me casser les couilles. Alors c'est décidé on rentre en résistance ! Super résistant c'est nous !

Allez une bouche soyeuse le soir venu autour de ma fierté avide. ça vous ne l'aurez pas. Madame s'est cependant mise à la mode espagnole avec les dents. Tu bandes, je pique ! La fin des vacances serait-elle moins dans la clarté vanille ?

Et puis le corps n'a-t-il pas des ressources insoupçonnées pour résister à l'envahisseur ? J'aurais bien aimé un enfilage de trouffignon à la hussarde (à nos chevaux, à nos femmes et à ceux qui les montent !). Elle m'en doit un. Mais si le chateau est climatisé, Sieurs nos enfants dorment dans la même pièce.

Je tente alors une idée folle. Je joue des tétons de ma Dame forcément dressés d'impuissance. Je titillote, je tournicote, je tirote, je repoussote. Je les fais rouler entre mes doigts, je les pince avec plus ou moins de douceur. Je m'en amuse en les prenant d'un même amour qu'un petit bouton innacessible. Ma Dame me dirige par le bout du gland luisant. Bon signe. Et le miracle se produit ! Je savais bien que mon passage éclair au Catholand de Lourdes allait me rapporter quelque chose... d'ailleurs ils viennent de reconnaître un nouveau miracle après 25 ans et officiellement.

Moi mon miracle est plus rapide. A mon étonnement, je crois entendre une de ses respirations troublées. Non cela ne peut pas être cela ? Mais oui c'est cela. Madame jouit des seuls tétons. Son plaisir monte, jusqu'à un orgasme des tétons et eux seuls qui finit par tout emporter et tout laisser chancelant. Etonnant corps humain... ou miracle. Je vous laisse le choix...

Bon ça aussi les Anglais ne l'auront pas. Ma Dame dans sa sagesse a décidé de ne pas me laisser béquille dressée et que je méritais moi aussi de prendre du plaisir de mes tétons. De cette façon définitivement à la frontière floue des deux mondes clair et obscur, la voilà qui m'enlève mon T-Shirt pour attraper entre ses dents mon téton droit pendant qu'elle plante durement ses ongles dans son frère. Aie ! Je pensais que la branlette espagnole avait plus avoir avec la cravate du notaire. Mais la version de ma Dame, c'est avec les dents ! Allez courage petit dyonisos, la douleur est érotique et ne perd pas de temps à folâtrer dans ton chemin. Une éjaculation rapide en honneur de ta Maîtresse. Comme si l'intégrité de mes tétons en dépendait, je secoue el toro à une vitesse folle déjà atteint par les banderilles. Maîtresse veut me porter l'estocade au plus vite. Elle sert encore plus. A ce petit jeu, du je te tiens pas les tétons, fatalement je perds et elle gagne. Voilà le fuego qui me dévaste finalement. Elle veut tout jusqu'à la dernière goutte et ne me libère de son étreinte piquante qu'une fois la bête morte.

Merci ma Dame.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Vacances de N. & dyonisos
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Jeudi 18 juillet 4 18 /07 /Juil 12:32

L'aube est levée. Le jour renait à travers la fenêtre ouverte. Un peu de fraicheur qui cédera vite au torride de la journée de ce qui est enfin un été. 

Je me réveille. Son corps nu dort encore à mes côtés, légèrement collé pour ne perdre le contact avec l'Aimé. Tout est silence. 

Je glisse ma main doucement entre ses jambes à la recherche du trésor enfoui. Je suis surpris par la moiteur qui y préexiste, un rêve sans doute. J'enfonce mon doigt dans le conduit. Elle bouge à côté de moi. Un second doigt rejoint le premier parti en éclaireur et les deux testent les limites de leur monde. Elle soupire à côté de moi. Les cuisses s'ouvrent maintenant en invitation. Le pouce part à la recherche de la clé de plaisir et la trouve un peu plus haut. Commence alors une lente danse à trois doigts qu'elle apprécie manifestement. Langoureux massage que je fais durer un moment pour son plaisir. Elle accueille avec joie les premières vagues de plaisir qui s'élèvent peu à peu. Ses cuisses tendent à se refermer sur ma main à chaque caresse plus poussée. Un signe. Elle me semble mûre. Je dégage pour mieux basculer et revenir de la bouche et de la langue collées contre sa moiteur. Elle acquièsce dans un murmure. Me voici devenu lécheur, suceur, titilleur. Son bassin commence à onduler, je m'accroche de 2 doigts dans la matrice pour ne pas me retrouver éjecté. Sa main a saisi mon sexe par le gland poli et me dicte de ses pressions en cadence le bon rythme qu'il faut que je suive. Première montée et premier franchissement de col tout en tension. Je change de braquet et enfile le phallus fièrement dressé dans la gaine. Ses jambes se relèvent sur mes épaules pour augmenter la profondeur de l'envanhissement. Elle apprécie. Je pistonne langoureusement pendant que mes mains s'attardent sur ses tétons dressés. Et je pistonne au grand plaisir de ma Dame, roulant des reins, jouant parfois du pénis échappé qui farfouille délicieusement pour retrouver le chaud conduit. Elle geint maintenant appréciant la caresse au fond d'elle même. J'attaque de biais, je m'arcqueboute au fond, je titille l'entrée, j'accélère subitement, je joue une mélodie d'amour pour un pénis et une chatte. Son plaisir monte mais n'arrive pas à éclater en un feu d'artifice, à son désespoir visible. Les peaux contre peaux chauffent trop. Les corps sont fatigués par cette chaleur qui dure depuis des jours. Donnons nous de l'espace ! Nous allons finir comme deux ados encore timides. Je me retire mais reste sur ses jambes, dominant les magnifiques vallons de son corps. Ma main droite s'empare de son sexe complétement offert et quémandeur, le pouce sur le bouton, et quelques doigts dans le conduit humide. Mais cela ne semble plus la bonne idée pour obtenir l'achèvement. Je pars à la recherche d'un doigt fureteur de la porte étroite. Elle est complétement fermée. Le temps de le ramener pour le lubrifier de salive, et bon soldat il repart à l'attaque. Oh miracle, la porte, l'instant d'avant si étroitement défendue, est maintenant toute offerte et laisse le doigt la pénétrer plus avant. Elle apprécie. Le pouce se positionne sur le bouton. Ma main restante empoigne la hampe du phallus en expectative et nous voilà partis vers la délivrance mutuelle. L'air de la petite chambre est devenu saturé de ces odeurs de sexe mélées, les miennes et les siennes. Une fois, deux fois, trois fois son corps s'arcque de plaisir emportant mes doigts. Je sens aussi ma délivrance proche. Une dernier trifouillage au fond de son cul, un dernière pression amoureuse sur son clitoris, un dernier va et vient sur la hampe, et nous voilà tous les deux partis dans une explosion synchrone. Son corps décolle du lit dans un ultime soubresaut qui lui arrache un sourd gémissement de contentement tandis qu'une boule de feu monte et me dévaste, salué par un roque beuglement de Mâle jouissant.

Joyeux anniversaire, mon Amour.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Vacances de N. & dyonisos
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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