Samedi 21 juin 6 21 /06 /Juin 15:10

Cette semaine, je devais me déplacer en avion pour la journée.

Si la CB2000, à la source originelle, a été imaginée comme un accessoire de fidélité permettant au mari de voyager en toute sécurité en particulier en avion (si ! c'est la raison initiale de la cage, rappelez-vous que nous sommes outre-atlantique - c'est pour cela qu'elle est 100% plastique), la LO2 que je porte est en métal. Pas question de passer les contrôles de sécurité avec. 

Donc par le choix pour ma Reine : il fallait me décager pour la journée. Je crois que ce n'a pas été de gaité de Maîtresse, N. préfère en ce moment me tenir bien serré sous clé.

Donc le matin dès que j'ai été libre (pour me doucher), je me suis retrouvé avec une belle érection qui prouve que tout n'est pas mort et surtout une belle envie de partir, qui m'a tenté et torturée. 

Ce qui m'amène à la réflexion suivante :

Moi je suis libre de masturber quand je ne suis pas sur la coupe de Madame. C'est une chose acceptée chez nous qui m'arrive même de faire devant elle (là j'avoue un peu en provocation). La cage m'en empêche, donc c'est pour moi au sens littéral une cage de chasteté. ll se pose donc la question de ce que je fais ou pas, quand je ne suis pas en cage mais toujours sous la coupe de Madame. Je pourrais m'en tenir à un engagement moral de ne pas me toucher, mais je me connais : je préfère de loin de ne pas le pouvoir. Cela me simplifie la chasteté que N. aime habituellement de longue durée.

Maintenant si nous étions différents et que du fait de notre vie ensemble, il m'était interdit de me masturber dans le couple (ce qui est quelque part avouez-le déjà un acte dominant) et que je respectais cette règle, à quoi me servirait une cage de chasteté ? A mal dormir toutes mes nuits ? A une sorte d'ascétisme de la bite ?

Cela me ramène à ma situation de liberté temporaire de cette semaine. Se masturber ou pas se masturber a été ma question personnelle toute la journée. Honnêtement j'aurais pu le faire. J'en avais si envie. Il n'y aucune mesure de contrôle qui aurait permis à N. de me "chopper" après coup, sauf à ce que j'avoue volontairement, et de plus je ne pense pas que N. l'aurait pris mal. Elle m'aurait sermoner pour le principe et c'est tout. Mais je ne l'ai pas fait. Ce n'est pas une question de trahison de la confiance de ma moitié, ni donc une question de punition crainte. Je ne l'ai pas fait au titre du maintien de l'ambiance actuelle, de cet équilibre D/S si difficile à trouver et qu'une éjaculation non maîtrisée peut complètement ruiner pour 2 secondes de plaisirs.

Et je me suis dépêché de me remettre sous clé de le retour à la maison en forçant une bête qui rechignait pour éviter de continuer à me creuser la tête sur ce dilemme.

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dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Samedi 21 juin 6 21 /06 /Juin 09:44

CHAPITRE 35 - Falde igen

Le verrou glissa et la porte s’ouvrit dans un grincement. Le cachot était descellé. Dans la pénombre, Claire vit immédiatement le corps nu de son chihuahua collé au plus près du poteau central. Ce corps essayait de tourner les yeux vers l’entrée mais les contraintes rendaient cela impossible à escient.

- Claire ? Claire c’est toi ?

Mais Claire, toute à la surprise de voir ainsi son compagnon mis à disposition, ne répondit pas tout de suite. Oh qu’il était craquant ainsi en esclave de l’antiquité ! Le métal des bracelets et collier luisait dans le trait de lumière que projetait sur son dos, sur ses fesses, l’encadrement de la porte. Les balafres du fouet de la veille ressortaient carmins sur la chair. Il lui manquait des muscles plus développés de-ci et de-là et des chairs plus fermes lui auraient affiné la silhouette. Mais déjà le résultat était bluffant ! Elke avait l’art de mettre les soumis (et les soumises !) en scène.

- Oui c’est moi. Silence !

Claire renonça à chercher l’éclairage.de peur de faire disparaitre cette sublime vision. Elle s’approcha pour venir caresser de ses doigts les épaules en cercles légers, puis détailla lentement le sillon de la colonne vertébrale jusqu’aux fesses. Le corps frissonnait sous les doigts. Elle atteint la couronne plissée cachée en fond de ravine. Le doigt en détaillait le contour avant, d’envie, s’y enfoncer légèrement pour le plaisir d’obtenir cette palpitation de faiblesse qu’elle adorait sentir chez son homme soumis. Le doigt se fit plus inquisiteur et obtint dans la profondeur, un gémissement de plaisir du mâle soumis à son action. Claire fit durer un peu ce massage si particulier, avant de quitter le conduit chaud et de remonter par les côtés à la recherche des tétons du devant. Elle se colla contre le derrière du corps pour donner plus de latitude à ses mains. Claire pétrit les auréoles en symétrie jusqu’à faire lever les petits monticules qu’elle saisit entre ses doigts pour les écraser un temps en douceur, saluée par la respiration troublée de son chihuahua. Elle les quitta à regret pour suivre les courbes du ventre et descendre vers l’aine, où elle évita d’abord tout contact avec la bête libérée qu’elle sentait si dressée à proximité. Elle tomba finalement sur le lourd baguage en métal des testicules, qu’elle découvrit un temps, dans l’obscurité, de ses doigts. Claire ne connaissait pas ce genre d’accessoire de contrainte, mais n’en fut pas étonnée qu’Elke possède cela dans son Domaine. C’était définitivement une Maîtresse aux goûts si éclairés. Elle alla débusquer les petites choses dans leur enveloppe en-dessous, qu’elle adorait habituellement faire rouler entre ses doigts et menacer le corps qui les abritaient de les écraser à la moindre contrariété. Ce qu’elle faisait parfois. Mais aujourd’hui elle était un peu frustrée : la menotte de métal pesait lourd dessus et tendait la peau autour des billes cachées. Pas une once de jeu ! Les lourdes chaînes la gênaient aussi. Elle ne pouvait au final que palper les petites boules et jouer de leur plasticité en les pressant un peu, et finalement cela ne la dérangeait pas autant qu’elle l’aurait cru. Claire garda finalement une main chaude faisant nid autour des petites choses tendues et partit de l’autre à la découverte de l’état de son soumis. Elle ne fut pas surprise de le voir dressé dans sa petitesse et déjà baveux d’envie. Elle le décalotta, tout en se demandant si elle irait finalement au bout de son envie de le faire circoncire, non pour raison religieuse mais comme marque supplémentaire de sa domination. Et cela ouvrirait la voie à la percée d’un Prince Arthur qu’elle envisageait de lui faire faire un jour ou l’autre pour mieux verrouiller la cage. Le petit pénis (du moins à l’aune de celui de Lucas qu’elle connaissait bien maintenant) était dur et vulnérable. Les mâles soumis humains sont décidemment des animaux étonnants. Alors que son chihuahua était étroitement attaché – et bagué ! – il bandait comme un jeune taurillon ! Cela avait finalement quelque chose de touchant. Claire fit coulisser plusieurs fois sur un rythme lent la peau sur le gland. Le zizi du chihuahua se gonfla encore un peu. Cela lui donnait envie d’entendre les râles ridicules de son soumis. Elle accéléra quelque peu, les couilles toujours tenues au chaud au creux sa paume. Le chihuahua gémit. Que les mâles sont faibles finalement dès que l’on s’occupe de leur machin… Mais Claire aimait entendre son chihuahua couiner. Alors elle continua à l’astiquer. Allait-elle lui permettre de partir ? C’était tentant mais cela ne serait pas sage pour le dressage… mais Claire n’avait jamais été une petite fille sage, alors elle se décida de le laisser s’exprimer… mais de la manière qu’elle décida. Quelques vifs coulissements emmenèrent son homme au bord de l’abime. Depuis combien de temps n’avait-il pas joui ? Dix jours peut-être ? Ma fille ce n’est pas sage de le faire déjà éjaculer. M’en fous ! J’ai envie de le sentir tressaillir entre mes doigts. Le chihuahua geignait maintenant comme une femelle. Il était mûr à point. Au dernier moment, elle lui broya intensément les couilles alors que la sauce jaillissait dans l’urètre, lui arrachant un long hurlement et ruinant de ce fait tout plaisir !

Claire avait la main pleine du jus de son homme. Elle lui enfonça d’autorité les doigts dans la bouche, jusqu’à ce qu’ils furent tout propre. Il est important que les soumis nettoient systématiquement leurs cochonneries. Elle en était convaincue.

Les couilles vides, son chihuahua devrait être plus réceptif maintenant à ses mots. Et effectivement elle avait besoin de parler et de partager avec son compagnon de vie. Claire ne savait pas par où commencer… Elle choisit cependant de ne pas l’affronter directement les yeux dans les yeux et resta dans son dos, une main en prise de précaution sur les petites choses fragiles de son chien. 

- Tu as aimé ?

- Oh oui ! C’était surprenant. Je ne m’y attendais pas.. Mais peux-tu me libérer, s’il te plait, j’ai mal aux couilles et les bras ankylosés. Je n’ai pas chaud aussi…

- Non !

Le refus avait été marqué d’un sec broyage de réprobation de la main. Le chihuahua cria et continua de crier le temps qu’il ait compris l’énormité de la bêtise qu’il venait de dire. C’était un peu aussi la faute de Claire qui avait pris le risque de le faire gicler… elle le voulait à nu de sentiments sans excitation déformant l'esprit… Finalement Pierre demanda piteusement à sa Maîtresse, au milieu de ses cris de douleur, d’excuser sa réaction. Il dut répéter sa demande une seconde fois avant que Claire accepte finalement de lui relâcher les choses.

- Tu sais, Pierre, que ce week-end chez notre amie Elke est une étape clé dans l’avenir de notre couple… Il n’est plus possible maintenant de revenir en arrière.

- Oui, Maîtresse Claire.

C’était un Chihuahua contrit qui répondit autant plus vite qu’il venait de sentir la main de sa Maîtresse de légèrement se crisper à nouveau autour de ses choses vulnérables.

- J’ai hâte de te marquer de mon fer sous tes cris. Tu en as envie toi aussi ? dis-moi tout, petit chihuahua…

- Oui, Maîtresse Claire.

Claire pressa les couilles en réponse juste ce qu’il fallait pour montrer que la réponse manquait de conviction. Elle voulait un homme pas un robot. Elle laissa le silence pesant, s’installer jusqu’à son homme se sente obligé d’y mettre fin et de s’exprimer…

- Je… Enfin…

- Tu parles, ou il faut que je t’écrase les couilles de nouveau pour te faire cracher tes mots !

- Je… je ne sais pas trop… ce… la me fait peur… cette violence

- Tu as peur d’avoir mal quand le fer te brûlera ?

- Non… Si... Non c’est que…

- C’est que quoi ?

- C’est qu’au… final… je n’ai pas trop envie de…

- Pas envie de quoi, chihuahua ?

Le corps de l’homme frissonnait un peu maintenant.

- Pas trop envie de… devenir ton homme soumis. Cela ne me va pas finalement. Cela… fait mal, c’est… dégradant. Le fouet, le rasage de la tête, la sodomie et tout ce qui se passe ici.

- Et ?

- Je sais que c’est moi qui ai voulu que l’on joue au BDSM, mais finalement… je… crois que je ne le veux plus…

- Tu voudrais donc que l’on s’en tienne là et que l’on arrête tout ?

- Oui… s’il te plait. Partons d’ici. Les gens ici sont bizarres… Ils font peur.

- Pourtant, c’est bien toi qui trouve que je te domine pas assez. Que je ne vais pas assez loin. Que je ne suis pas assez sadique.

- Oui, et tu fais tout très bien depuis que l’on est arrivé ici. Mais je m’aperçois qu’il vaut mieux que cela reste ainsi. La réalisation de ce vieux fantasme n’est finalement pas si excitante que cela… Cela ne me correspond pas. On aura essayé et il faut se dire que cela ne peut pas marcher comme cela pour nous.

- Tu veux donc qu’on en reste là et qu’on arrête tout ?

- Oui. Cela ne fonctionne pas. C’est mieux d’arrêter et de partir d’ici immédiatement.

Claire se taisait et semblait réfléchir. Elle se décolla du corps. Moment de silence.

- Cependant…

- Cependant ?

- Oui cependant il y a un problème : tu ne me demandes pas ce que j’en pense moi.

- Mais toi tu n’as jamais aimé trop cela. Tu le fais parce que je te l’ai demandé, … non ?

- Ah les hommes et leurs fantasmes… Effectivement je l’ai fait parce que cela je croyais que cela te faisait plaisir…

- Tu vois bien !

- … mais je le fais maintenant parce que j’en ai envie, que je suis terriblement excitée à l’idée de te dresser à ma botte, à te marquer au fer. Tu as ouvert une porte chez moi et la perspective me plait.

- Mais, ce n’est pas toi ma Chérie, là.

- Et si. C’est tout moi là. Je prends une jouissance absolue à tourmenter un homme pour mon seul bon plaisir et ça il n’est pas question que je l’abandonne après qu’effectivement, tu me l’ais fait découvrir.

- Tu ne peux pas vouloir cela !

- Et si, je LE veux. Tu n’as pas encore compris ? Là par exemple j’ai terriblement mouillée à te découvrir nu et vulnérable, attaché au fond d’un sombre cachot. J’ai adoré hier te fouetter jusqu’au sang, t’humilier en te rasant la tête alors que tu venais de te faire violer ton petit trou vierge.

- Non, tu ne peux être comme cela !

- Si je le suis ! Et c’est la découverte des pratiques que tu m’as imposées qui m’en a fait prendre conscience. Alors oui si nous devons continuer ensemble tu seras mon petit mari soumis, très souvent battu et qui obéira au doigt et à l’œil à la moindre de mes demandes.

- Non je ne souhaite pas cela. Ce n’est pas convenable. Ce n’est pas moral. Tu as pensé aux enfants ?

- Oh je ne vais pas te faire te promener nu à la maison avec chaînes et collier. Ne rêve pas. Mais pour Arthur, savoir qu’il doit respecter les Dames en toute occasion sera un plus dans la vie et je ne fais aucun soucis pour Justine, vu déjà son caractère déjà trempée. Finalement elle me ressemble plus, qu’elle te ressemble.

- Mais je ne veux pas cela pour nous !

- Moi si. Je t’aime, mais j’en ai marre de me sacrifier. Bobonne à la maison, j’en ai marre. C’est fini ! Bobonne cela sera toi dorénavant. Et comme je te l’ai dit en arrivant tu t’adaptes ou tu dégages !

- Tu n’oseras jamais !

- Si ! Cela ne me pose aucun problème. Et de toute façon, tu as déjà les cornes qui t’ont poussé sur le front. Un vrai mâle lui avec une vraie queue de mâle, dure et exigeante, qui fait tant de bien par où elle passe ! Pas ton zigounet de petit garçon tout juste bon à cracher quelques spermatozoïdes pour enfanter.

- Tu n’as pas fait cela ?

- Et si tu l’as même entendu en live hier. 

- Non, tu…

La voix était troublée. Claire comprit et éclata de rire…

- Non mais qu’est-ce que tu peux être crédule ! Tu pensais que je faisais semblant ? Non ? Tu es complétement ridicule. Si tu m’entendais crier ma jouissance, c’est qu’il me pistonnait de son barreau le petit trou et – je vais te dire – j’adore cela, comme j’adore lui sucer sa grosse queue et recevoir son sperme en bouche avant de l’avaler ! J'ai aussi embrassé Elke sur la bouche. C'était super...

- Stop ! N'en dis pas plus ! On arrête-tout, on part d’ici, on oublie tout et on essaye de voir comment sauver notre couple…

- Non, je ne me tairais pas. Sauver notre couple c’est aussi ce que je veux et je t’ai dit comment faire. Si ce n’est pas possible, si tu ne veux pas, alors tant pis pour toi, je trouverai chaussure à mon pied ailleurs, vu que je sais maintenant que je suis une bonne salope à baiser !

- Putain mais tais-toi ! Tu ne peux pas dire cela ! Tu te comportes comme une pute !

- Mais ce qu’en j’en suis une, Pierre. Je viens de la chambre d’Elke où il y a pas plus d’un quart d’heure, j’étais baisé par tous les trous. Pendant que je te parle, j’ai encore le goût de son sperme dans la bouche et son jus qui coule de mon cul et je vais te dire : j’adore cela. Entretemps il m’a baisé le devant sans capote. Peut-être après tout que tu auras un batard !

- Tu es une traînée !

- Peut-être mais j’assume. Et de toute façon, si tu restes à la maison, il faudra bien t’y faire car j’ai bien l’intention de ne plus être sage et de me rattraper sur des kilomètres de queue que tu m’auras fait manquer.

- Non, je me barre d'ici ! Tu me dégoûtes. Détache-moi ! Immédiatement !

Pierre tirait sur ses chaines en tous sens, mais impossible pour lui de s’échapper. Il était pris et bien pris.

- Détache-moi !

- Non.

- Tu n’as pas le droit !

- Si et tu vas vite le comprendre…

Claire lui attrapa les couilles qu’elle écrasa de toute sa force. L’homme se ruait en tous sens, hurlant des injures, essayant de se libérer de l’emprise. Mais elle tenait bon, la chatte autant inondée que le zizi de l’homme était recroquevillé. La lutte dura longtemps avant que Pierre finisse par abandonner. Il avait les larmes aux yeux maintenant…

- Bon voilà ce qu’il va se passer. Tu veux te barrer ? C’est ton choix d’homme libre après-tout, que je respecterai… Mais tu n’auras qu’une occasion de la faire, une seule : à la fin de ce week-end et ce sera définitif. Adios et bon vent ! En attendant, que cela ne te plaise ou non, rien ne change dans le programme de cette fin de week-end. Crois-moi que le Domaine a les moyens de te contraindre jusqu’au bout. Je te marquerai de mon fer et si tu pars finalement, tu me devras bien cela pour les années que j’aurai perdu avec ton insignifiance. Et je rigole déjà si, un jour, tu retrouves une femme qui veuille bien de ta petite personne, du moment où tu le devras lui expliquer cette étrange brûlure sur tes fesses ou ailleurs. Et puis comme cela je continuerai à t’accompagner au lit, une sorte de trio honteux pour toi. Maintenant si tu décides de rester, cela sera à l’eau et au pain sec pour toi, pendant un bon moment, jusqu’à ce que tu sois convenablement dressé et un gentil et obéissant toutou à sa Maîtresse ! 

Toute la tirade avait été appuyée d’un nouveau serrage de couilles en règle. Elle les lâcha finalement. Pierre était en pleurs     de douleur.

- Et maintenant, et puisque je t’ai encore à disposition au moins jusqu’à la fin du week-end, sache que ta rébellion ridicule m’as mis la chatouille en feu, et qu’il va falloir que je passe mes nerfs sur quelque chose. En fait toi, pour que tu comprennes oh combien je suis sérieuse et oh combien je n’aime pas de jérémiades de petit mâle bafoué. Attends-moi ici mon toutou : je ne serais pas longue…

Effectivement, juste le temps de passer dans le donjon souterrain d’à côté et Claire revenait déjà avec une longue badine et des courroies de cuir. Le chihuahua, inerte, se laissa sans réaction lier au poteau de bois, depuis les mollets jusqu’au cou.

- S’il te plait, ne fais pas cela !

- Et si, je vais de nouveau te battre pour ton insolence, pour ta résistance et de façon générale, pour le temps que tu me fais perdre…

Aussitôt Claire lança la badine à l’assaut du corps sans défense entraînant une première plainte de détresse suivie bientôt de nombreuses autres, infligée par une Maîtresse déçue et en colère, mais qui sentait qu'il fallait en passer par là...

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Jeudi 19 juin 4 19 /06 /Juin 05:35

Le lendemain de la fête des papas du Royaume, le bon peuple est mandé par la Reine avant de partir effectuer son labeur quotidien au domaine du Travhaille, pour un suivi populaire rapproché qui a l'air de se mettre en place chaque semaine.

Le peuple trouve la Reine en train de faire l'évaluation de l'obéissance de son peuple, et si le peuple a fait quelques progrés, il reste aussi un nombre important de choses qui lui sont reprochées. D'autant que le peuple apprend à ses dépends, que le jugement Royal est global et non limité à la stricte application des 10 règles instituées. Ainsi, par exemple, même si sa Majesté trouve que son Château est bien tenu, elle reproche au peuple son caractère "infect" des derniers jours. Et qu'il soit lié à la somme des manques qu'endurent le peuple, n'est pas une excuse valable dans le Royaume dyonisien (bien que le peuple soupçonne que cela puisse expliquer la bonté inhabituelle de la Reine lors de la fête des papas).

Une fois le peuple noté, la Reine est pressée de voir le résultat que cela donne dans le Barême Officiel du Royaume Dyonisien qu'elle a fait établir par son administration. Le peuple qualifierait ce barême de très exigeant.

Il a deux facettes.

D'un côté il détermine une somme de "points de punition" applicables sur le champ qui s'accumulent à la base pour toute obéissance du peuple inférieure à la note de 8/10 et d'autant plus que le peuple en est loin. A cela se rajoute une "majoration" pour régression des notes d'obéissance et particulièrement si cela concerne des points où la Reine avait exigé des progrès prioritaires.

La Reine a hâte de voir le résultat obtenu. Pour son peuple, c'est, cette fois-ci, 42 points, c'est à dire au Royal choix, 42 coups de fouets, 84 coups de cannes ou 168 coups de paddle. Le peuple se doutait que le barème obtenu serait très incitatif à rentrer rapidement dans le rang et que tout écart allait se payer durement. C'est le cas.

La Reine choisit le fouet pour cette première.

Le Barême Officiel du Royaume Dyonisien génère aussi des points de récompense pour les notes supérieures à 9/10, avec des points de bonus pour les progrès constatés. Cela donne 8 points de récompense cette fois-ci que le peuple est libre de thésauriser et dépenser de la façon qu'il veut (par exemple le verre de whisky est actuellement à 15 points mais le tarif peut changer à tout moment, a prévenu la Reine)

Oui la Reine est très satisfaite du travail de son administration

- Allez en place, les points de punition sont exécutables immédiatement !

La Reine vient de parler et le peuple part rejoindre, la tête basse et l'appréhension au ventre, son poste.

Que dire sur ce moment ? Le peuple se retrouve nu et vulnérable dans la position d'un petit garçon qui se fait punir. Térriblement humiliant sous les commentaires Royaux de remontrance. Le peuple découvre aussi que s'il a été une époque où la Reine avait réticence à punir physiquement son peuple, cette époque est révolue et bien révolue. La Reine applique ce qu'elle a décidé, faisant fi du peuple battu. Une fois menottée et baîlloné, elle donne de son fouet sans pause, à coups réguliers, faisant danser le peuple sous la douleur. Aucun adoucissement à attendre de sa part. Au moins pour les premieres 24 premières cinglées de fouet, livrées sèchement et méthodiquement. Le peuple souffre. Le peuple crie. Le peuple a le souffle coupé. Puis finalement elle s'arrête à la moitié de la punition (c'est bien connu 24 est la moitié de 42 ! La Reine adore abuser de son peuple), pour sermonner son peuple qui se demande si finalement il ne vaudrait pas mieux s'attacher dès à présent à complaire à toutes les demandes Royales. Le peuple attend la suite craintif. Mais le fouet lui est épargné et il est terminé à coup de paddles bien sentis... 48 ! La Ryale remontrance est finie et le peuple est envoyé au Domaine du Travhaille le mal au cul toute la journée.

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Le peuple doit comprendre qu'il est temps de changer son comportement !

dyonisos    

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Mardi 17 juin 2 17 /06 /Juin 05:45

C'était la fête des pères au Royaume ce week-end comme dans beaucoup d'autres contrées. Quelque chose de définitivement Monsieur et Madame tout le monde, normallement sans d'autres risques que de recevoir un cure pipe en coton tige et un moulin en pot de yahourt. Je charrie là, car les pages ont passé l'âge et je ne vais pas m'en plaindre. D'ailleurs en ce dimanche ensoleillé, ils ne sont pas beaucoup rester à la maison...

Je savais néanmoins qu'il y avait un complot dans l'air, avec le page ne cessant de me distiller dans le creux de l'oreille qu'avec mon cadeau, cela serait aussi un peu le sien et qu'il pourrait récupérer ce que j'abandonnerais. Tout cela était bien mystérieux, mais comme il ne sait pas trop tenir sa langue j'ai commencé à soupçonner qu'une tablette était commandée et qu'il espérait récupérer mon ordinateur actuel (et ses merveilleuses photos et videos de maman en train de s"amuser avec papa). Là il pouvait toujours rêver... Effectivement vendredi soir, le voisin m'a remis un paquet de la poste arrivé dans la journée que je n'ai pas eu le temps d'examiner, puisque N. qui rentrait avec les pages au même moment me l'a d'autorité enlevé des mains.

Samedi, c'était l'heure de la tonte et donc du plug (règle 10), deux choses qui m'enthousiasmaient guère et j'ai mis longtemps avant de me décider à sortir la tondeuse et m'enfiler le rosebud dans le cul, qui était cette fois là tout sauf agréable. Passons...

Dimanche matin, je me suis levé tôt avec la cage. J'ai repassé entre 7 et 8 heures devant la télévision avant de m'atteler à la préparation de mon repas de fête des Pères (mon statut de Marguerite domestique oblige). Vers 11h, le cadeau me fut offert en famille et là j'ai cru que j'avais rêvé : un pèse personne XXXXL (200 kg !) avec le petit mot "si" gentil pour accompagner le présent :

- Tu sais : il y avait des modèles qui n'allaient que jusqu'à 150 kg, mais j'ai trouvé ce modèle beaucoup mieux...

J'avoue que j'étais plus que dubitatif devant ce cadeau, me demandant s'il s'agissait du lard ou du cochon. Je ne voyais pas le besoin de nous pourvoir en un pèse bétail à la maison qui me laisse tant de marge pour grossir. Finalement je me suis demandé si je ne préferais pas les pots de yahourt décorés d'antan... Et en plus je ne suis pas arrivé à savoir si l'humiliation était voulu ou fortuite. Passons là aussi... De toute façon comme c'est bizarre je ne l'ai pas encore essayé. Na !

Le repas de fête de leur Père a été zappé par les pages. L'un trop occupé à construire une cabane avec les copains et l'autre à la préparation de la fête de son club. Même Madame s'est absentée de la maison un long moment alors que je faisais chauffer le BBQ et préparais les brochettes maison.

Quand elle est revenue, N. a été plus que directe :

- On est seul : enfants partis. J'ai envie de ta queue : allez ouste à l'étage ! Je te décage, je t'utilise puis je te rencage.

Ce que femme excitée veut... Je me suis retrouvé rapidement nu sous la douche, décagé avec une belle érection. Direction la chambre avec un petit capuchon (de traite ?).

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Madame s'est mise en levrette, prête à jouir de "sa" queue. Un vrai bonheur quand même le porteur de la dite queue de s'enfoncer dans le conduit humide et accueillant au bout de 5 semaines de période nada. N. apprécie follement et bruyamment le rythme des coups de butoir. J'essaye de me détendre (l'esprit pas la bite) car je suis toujours sous la menace de la règle qui m'oblige à quémander en petit garçon mes autorisation d'éjaculations. La boule monte doucement au creux du ventre alors que N. a plusieurs kilomètres d'avance et est déjà dans les folles contrée du plaisir. Une vraie jouisseuse précoce ce jour là !  Jusqu'à son long et intense orgasme qui éclate là sous mes yeux. Je ne bouge plus... attendant sa décision...

- Ouah c'était trop bon ! Je devrais faire cela plus souvent...

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Puis se rappellant de la queue qu'elle venait de s'embrocher et qui se tenait encore profondément enfichée dans la matrice si mouillée.

- Tu n'es pas parti, toi ?

- Non.

- Alors tu t'enlèves et tu remets ta cage.

Là j'ai chouiné pour essayer de l'attendrir, négocier du rab, voire même obtenir le droit à me laisser aller. Trop envie. Et bizarrement cela a marché. Après des nons de façade ("trop de risques que tu partes"), j'obtiens le Saint-Graal ; sa bouche doucereuse descend sur mon gland et le long de ma hampe dans un passioné baiser que les femmes donnent à leurs hommes. Délicieux de douceur humide ! Je mets la tête en arrière appelant ma nature de mâle à enfin s'exprimer, là dans cette chaude bouche et tout de suite.

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jusqu'en vilaine petite fille qui se réjouit de son mauvais coup, N. redevenue d'un cop Maîtresse cruelle m'en prive et me laisse la queue en plan et en feu. Aussitôt sans y penser, je porte ma main pour me finir mais Maîtresse m'en empêche et me met en garde.

- tss, tss, tss. INTERDIT !

Déçu et frustré le dyonisos.

- Mais comme c'est la fête des papas, je te permets de te balader sans cage un moment avant de t'y remettre ce soir. Allez passe une culotte.

J'ai du bataîller un moment pour que N. abandonne l'idée de me voir porter "mes" petites culottes bateaux roses, mauves, en coton sans tenue où ma bite que ne voulait pas se détendre, aurait fait mat de chapîteau (nous devions sortir), pour finalement "récupérer" un string qui me pénétrait loin dans les fesses, mais plaquait toute fierté mal placé.

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Cela plaisait évidemment énormément à ma Reine de m'habiller ainsi.

Il était temps de manger en "amoureux" sous un arbre. Le temps d'apprendre qu'il n'était pas du tout acquis que je sorte de ma cage pour nos vacances (!). Le temps aussi d'aider la Reine à mettre au point son tarif de punitions/récompenses (le paradoxe du pendu qui fabrique sa corde).

Le reste de la journée a été plus calme, avec la soirée devant le match. J'ai même eu le droit à un verre d'un divin whisky japonais pour ma fête avant que la bouteille soit mise sous clé.

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Puis vint l'heure du coucher. D'abord l'ordre de remettre ma cage et me grenouillère, que j'ai fait semblant de ne pas avoir entendu pendant que N. terminait une commande. Moi je jouais au solitaire sur mon téléphone. Puis la Maîtresse s'est réveillée, m'a fait sortir le kit à sondes d'urêtre. Et me voilà à sa grande joie transpercé...

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- J'ai vraiment l'impression de te violer ! J'adore cela !

C'est à mi chemin entre le plaisir et la douleur. Je sens la tige me pénétrer accompagnée des doigts de N. qui surveille sa progression.

- Tu as vu cela rentre tout seul...

Je lève la tête pour ne plus voir que l'extrémité de la tige (25 cm !) qui dépasse de mon gland. C'est terrifiant d'imaginer que cela puisse aller si profond. Je ne préfère ne pas voir.

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Au plus profond justement, la tige est un peu douloureuse. N. est enjouée et manifestement très excitée. Elle change de diamètre. Il m'est plus difficile. Elle s'amuse à suivre la boule sous la peau jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans les entrailles. N. commente à voix haute. Je sers les dents.

Puis N. décide de me branler autour de la tige, tout en continuant à la faire circuler dans les profondeurs. La tension de la libération monte en moi. Je suis complètement offert entre ses mains. Elle accélère le mouvement tout en enfonçant la boule. Je me sens prêt à déferler dans quelques instants. Un dernier mouvement de sa main et puis... plus rien ! Non qu'elle est enlevée sa main. Mais mon orgasme vient d'être volé et a disparu au dernier moment.

- Je ne suis pas parti là ?

- Et si : il y en a partout !

Partout ? Sans aucune sensation d'orgasme ? Je commence à me demander si la boule n'a pas tout freiné et m'a privé de de tout plaisir de la délivrance... En terme technique : un magnifique orgasme ruiné qui me laisse incrédule et frustré.

Pas le temps de ressasser, déjà la Reine me demande l'extinction au plus vite de l'incendie qui a pris naissance entre ses jambes...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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