Samedi 28 juin 6 28 /06 /Juin 16:28

CHAPITRE 36 - Fest for sanserne

La cour du Domaine avait été complètement transformée par Joseph qui y avait travaillé toute l’après-midi suivant les directives de Maîtresse Elke. Il faisait beau et chaud : la Dame danoise avait donc décidé qu’ils dineraient en extérieur sous un grand dais de velours pour protéger du soleil de fin d’après-midi. Des pans de soie colorés pendaient au sol et flottaient au vent léger.  Le dais protégeait une table en fer à cheval revêtue d’une nappe blanche immaculée qui enserrait une cage aux lourds barreaux d’acier noir. La fine porcelaine et le cristal de Saxe étaient de sortie ainsi que les bougeoirs en argent : indéniablement, cela allait être une très grande fête !

L’installation était accompagnée d’un énigmatique lit de vieux fer forgé avec coussins et dessus blancs, et en retrait d’un tapis persan de soie rouge où une seule gamelle dorée avait été posée : la place réservée à un seul soumis du Domaine ?

Les convives, Maîtresse ou soumis, arrivaient peu à peu, les uns s’installaient à table et les autres rejoignaient leur confortable tapis. Les Maîtresses étaient vêtues de rouge flamboyant, aux tissus précieux et dentelles. En fait de soumis, il n’y en avait qu’une, Nikka, coiffée et maquillée, nue à part un collier de tissus autour du cou, qui rejoignit docilement sa place sur le tapis. Joseph et Thomas devaient faire le service en tenue de majordome et l’invité de marque de la soirée de marquage était encore à « méditer » dans son cachot souterrain. Les Maîtresses prirent place alors que l’on commençait déjà à servir les bulles. Ne restaient que deux haut fauteuils côte à côte réservés à Elke et à Claire. Ces deux dernières apparurent bientôt, l’une dans sa robe de soie blanche remise convenablement et l’autre dans une robe de Reine de la soirée araignée noire. Elke conduisait Claire de sa main, comme un père conduit sa fille à l’église. Elles s’assirent dans les fauteuils et le banquet se lança. Thomas apparut étrangement avec un tambour qui  fit entendre ses roulements d’expectative.  Toutes regardèrent vers l’escalier extérieur fermé d’une grille qui donnait accès au sous-sol. La grille s’ouvrit et le chihuahua apparut le corps ensanglanté, la tête enserrée intégralement dans un masque de fer et les couilles toujours baguées, poussé vers les invités par une laisse rigide maniée par Joseph. 

Elke se pencha à l’oreille de Claire. 

- Mon bjørneunge me l’avait dit. Mais, dis-donc, tu n’y es pas allé de main morte, Claire !

- C’est que vois-tu, je devinais quelques « réticences » chez mon chihuahua que je me devais de traiter…

- Courant chez l’homme soumis face au mur de sa mise en esclavage définitive. Parfois il faut que l’on s’occupe de cela au dernier moment à coups de fouet vicieux. Mais je vois qu’en Maîtresse avisée, tu as su le détecter et le traiter avant… Très bon tout cela… Alors place à la fête… Que rien ne vienne ternir ce moment mémorable !

Les derniers mots avaient été dits tout haut.

Le chihuahua fut enfermé dans la cage centrale qui l’obligeait à rester assis sur le sol, serré entre les barreaux. Chaque Maîtresse avait vue directe sur la chair abimée par la badine de toute part et sa ridicule nouille complètement recroquevillée (d’émotion ou de peur ?). Les commentaires allaient bon train sur l’une et l’autre.

- Ah Claire, il faut que je te dise... Comme d’habitude,  j’ai demandé à Joseph de le bâillonner sous le masque. Cela évite les jérémiades des soumis au dernier moment pour éviter leur sort. D’autant que souvent le courage leur manque face à la leur destin. Je m’en souviens d’un qui a pissé de peur… Et cela ne t’empêchera de l’entendre beugler de détresse quand tu lui poseras le fer…Rassure-toi !

Le repas commençait de bon train. La première entrée fut amenée en cortège par Joseph, Thomas et… un inattendu Zépharin portant une sorte de très court tutu de dentelle rose qui ne masquait rien de sa mignonne paire de fesses juvéniles. A brut de point, ce Zépharin là était très « chou » ainsi. Claire tourna un regard surpris vers son hôtesse danoise qui riait sous cape.

- Qu’est-ce qu’il fait là celui-là ?

- Et que veux-tu. Son patron, Gaspard, nous fournit les mets de ce soir. Il fait aussi mon traiteur perso à ses heures perdues, tu sais. Il est doué et essaye de me faire plaisir pour avoir accès à  mon cul. De toute façon avec la préparation, Joseph n’avait pas le temps de cuisiner. Alors je me suis dit que, quitte à utiliser Gaspard, je pouvais prendre aussi son merveilleux petit puceau de Zépharin pour le service. Non que j’en aie besoin, mais l’idée m’amusait beaucoup…

- Et tu as fait comment pour le convaincre de ?

- Oh il n’y a rien qu’une femme qui a mis un zizi dans une petite cage, ne sache obtenir. Et puis Gaspard, qui connait toute ma fantaisie, m’a donné un petit coup de patte pour le convaincre…

Justement Zépharin arriva pour servir Claire. De près, elle voyait qu’il était maquillé. Il était déjà rouge de honte,  mais elle décida de lui rendre les choses encore moins facile.

- Alors Zépharou chéri… Et oui Mesdames, je connais déjà ce petit garçon  intimement. Son jus a bon goût et il est très doué pour donner du plaisir aux Dames. Je peux même vous annoncer qu’il n’est plus puceau. Sa petite chatte de derrière a déjà connu le loup ! Mais bon faut pas tout gâcher trop vite. C’est pour cela qu’il est bon qu’il ait son petit zizi dans une petite cage, le temps qu’il grandisse un peu. Dis-moi Zépharou chéri, tu veux bien aller montrer à ces Dames, comment tu es bien sage dans ta petite cage…

Zépharin était devenu cramoisi. Mais il n’échappa pas à devoir lever sa jupette rose et montrer son petit sexe encagé à chacune des Maîtresses présentes qui ne génèrent pas pour le tripoter, se moquer de lui, lui palper les pendantes voire même – oh horreur ! - tester l’élasticité de son petit trou. Et puis Claire se faisant, trouvait une nouvelle façon d’humilier son chihuahua, qui, s’il ne pouvait rien dire, écoutait et regardait avec jalousie. Oh vite que le repas finisse, pour qu’elle le marque enfin ! Son chattoune n’en pouvait déjà plus : elle allait déborder.

Les deux entrées se succédèrent toutes plus délicieux les unes que les autres. Les femmes appréciaient ce moment spécial et se laissaient aller aux confidences et au bon vin. Après les entrées, Claire heureuse de l’instant et détendue d’un bon Chablis, décida qu’il était temps de donner un avant-goût à son plaisir ou elle ne tiendrait pas. Justement Zépharin venait desservir. Elle l’attrapa au  passage et lui glissa quelques mots à l’oreille qui lui firent d’abord écarquiller les yeux, puis rougir terriblement mais une tapette sur les fesses le décida à obéir et à se glisser sous la nappe de la table, au grand intérêt des autres femmes. Bientôt Claire soupirait d’aise sans pudeur sous l’action d’une jeune langue suceuse aux yeux de tous et en particulier de son chihuahua qui derrière son masque de fer, n’en manquait pas une miette, inquiet et jaloux. 

Claire eut bientôt un violent orgasme sans honte devant tout le monde. Zépharin essaya de ressortir de dessous la nappe, mais Elke lui renfonça la tête dessous : « non, non, mon gaminou,  puisque tu es doué, tu donnes la pareille à toutes les femmes autour de la table, en commençant par moi ». Hallucinants moments où les femmes se firent sucer (plusieurs fois pour certaines), pendant qu’elles mangeaient, buvaient, discutaient et jouissaient sans pudeur. 

La boisson portait d’ailleurs sur les vessies, surtout les plus âgés. Elke se leva de sa chaise, s’en servit comme marche pied pour atteindre la table puis le dessus plat de la cage. Le plus naturellement du monde, elle écarta ses jupons sans culotte pour se soulager. L’urine coulait sur le corps du chihuahua en dessous et se colorait du sang séché.

- Mesdames, je vous invite à procéder comme moi : il sera ainsi tout propre quand nous nous occuperons enfin de lui ! 

Ce fut donc plusieurs ondées qui tombèrent sur le chihuahua alors qu’il n’y avait pas un seul nuage à l’horizon. On alla même chercher Nikka pour qu’elle participe à la mousson. Claire aussi y alla de sa petite aumône, non sans claironner tout haut : « oh tu sais que tu pues mon chéri ! ». Ce qui fit éclater de rire toute l’assemblée. Pas de doute : c’était un repas fort plaisant…

Lucas arriva comme prévu juste avant le désert. Il regarda les yeux luisants une Claire qui préféra détourner le regard, avant de tranquillement se diriger, sûr de son droit, vers une Nikka à genoux sur son tapis qui refusait de lever ses yeux. Elke commentait intérieurement comment les femmes avaient peur de lui finalement, un peu comme elle de temps en temps, la hantise du Mâle. Nikka avait était prise d’autorité au collier et était ramenée d’une main ferme vers le lit de fer forgé, prête à être immédiatement consommée sur place… L’humeur féminine de l’assemblée se tendait nettement sous l’irruption du désir masculin en son sein. C’est le moment où la Maîtresse danoise choisit d’intervenir.

- Attendez, attendez Maître Lucas. Nous savons que vous êtes pressé de jouir des droits acquis sur votre soumise de la nuit… mon Joseph vous a d’ailleurs préparé une chambre à cet effet dans la remise… mais nous tenons toutes à l’étiquette femdom de la soirée. Prenez donc un fauteuil et relaxez-vous un peu avant les efforts à venir… Je vous ai prévu une coupe de bienvenue.

Lucas s’arrêta dans son mouvement, hésita entre son désir tumescent immédiat et l’invitation à attendre de sa « Kéké » si bonne à baiser. Finalement il se radoucit, non sans avoir mis Nikka dans la position humiliante de la fille prête à être empalée, agenouillée au bord du lit, les seins collés contre le matelas, le cul offert et toute intimité empêchée. « Toi tu attends là. Je n’en ai pas encore commencé avec toi ! Mais tu ne perds rien pour attendre…».  Lucas prit donc le siège qu’on lui proposa et Elke appela Zépharin pour lui servir la coupe.

- humm mignon, le petit garçon en fifille… mais attend je te reconnais toi ! Tu ne serais pas le serveur du café de Gaspard… attends tu t’appelles…Zépharin, oui ce prénom que j’ai toujours trouvé ridicule, c’est cela !

Zépharin était toujours aussi rouge. La Danois l’incita à répondre « au Monsieur »…

- Oui… Monsieur… c’est moi… Zépharin… le café…

Les mots lui étaient difficiles. Manifestement il ne s’attendait pas à se retrouver devant un client du café… Il se tenait inerte devant Lucas dans l’attente interminable d’être renvoyé se cacher en cuisine.

- Zépharin a commencé un stage de doux dressage au Domaine depuis 2 jours. C’est un élève doué à potentiel qui progresse rapidement. Mon gaminou, peut-être faudrait-il montrer à Monsieur Lucas comment ton petit clitoris est bien sage sous cage ?

Le garçon releva la tête surpris et envoya un regard de supplication à sa nouvelle Maîtresse danoise dont il apprenait à expérience forcée à quel point elle pouvait être vicieuse. Celle-ci avait le regard exigeant et il sut qu’il devait obéir. Il souleva sa jupette et montra les yeux au bord des larmes, son « clitoris » maintenant enfermé. Lucas le força à se rapprocher, bougeant la cage en tout sens pour mieux « débusquer l’escargot dans sa coquille ».

- Et bien c’est tout rikiki là-dedans. Tu es sûre que ta maman et ton papa ne se sont pas trompés à ta naissance ? Tu n’as définitivement rien d’un garçon ! Attends je vais te montrer comment les hommes sont faits…

Lucas ouvrit son pantalon pour extirper son beau et gros phallus dressé. Celles qui ne connaissaient pas encore la force de la bête ne purent s’empêcher d’émette un bruyant… oh admiratif. Le masque du chihuahua était lui aussi tourné vers l’apparition qui avait un goût très amer de cocuferie pour lui et pouvait constater de visu à quel point le comparaison lui était définitivement défavorable.

- Tu vois : ça, c’est une bite d’homme. Ce que tu as c’est… autre chose. J’ai même connu des filles qui avaient des clitoris plus grand que ce que tu sembles vouloir continuer à appeler zizi… La vie est ainsi faîte qu’il y a des seigneurs au sceptre puissant qui dominent le monde et les autres aux petites nouilles qui doivent laisser la place. Regarde bien le petit Monsieur dans la cage là-bas. Avec un petit zizi… tout comme toi. Il est à sa vraie place enfermé là-bas et doit se retirer pendant que je saute sa demoiselle… Ainsi va la loi fondamentale de la nature.

Zépharin fixait le sexe fièrement dressé et pleurait maintenant doucement. Il ne serait jamais un homme... Son père était aussi peu « équipé » que lui et il pensait que c’était la normalité. Mais non ! Son ziggounet venait de subitement rétrécir dans son esprit comme un coup de lame fatal à sa représentation masculine déjà chancelante. Elke se leva et lui posa la main sur l’épaule.

- Ne sois pas triste, mon Zépharou. C’est la loi du hasard... Tout le monde ne peut pas bien être servi. Tu n’avais jamais vu des grosses bites ?

Il répondit entre deux pleurs.

- Non… Madame… jamais… c’est si grand !

- Bah tu t’habitueras comme la plupart des petits garçons dans ton cas. Tu sais, ce n’est pas si rare que cela, les bites minuscules. Certains même se marient et arrivent à avoir des enfants…

- Vous… vous croyez Madame ?

- Oui si je te le dis ! Regarde le petit Monsieur dans la cage, il est le papa de deux beaux enfants. Mais comme il a un petit zizi, il doit tout le temps obéir à sa femme et il est fouetté s’il fait des bêtises… 

- Fouetté ! Mais je ne le veux pas, moi ! Cela doit fait trop mal…

- C’est un peu le but, mon gaminou, que cela ne te soit pas agréable. Tu verras quand je t’initierai… mais pour l’instant, Zépharin…

- Oui, Madame ?

- Tu es encore un jeune chiot en manque de dressage, alors je ne vais peut-être pas te punir…

- Me punir ? Pourquoi Madame ? Qu’est-ce que j’ai fait ?

- Justement rien, c’est ce que je te reproche… Il faut que tu apprennes dans ton cas qu’il est impoli de laisser un si belle bite de mâle en attente… Allez occupe-toi en un peu !

Elke joignit sa demande d’une pression qui le fit s’agenouiller entre les jambes de Lucas. Le gamin tourna la tête de refus.

- Mais non, je ne veux pas : je ne suis pas un P….

Il n’eut pas le temps de finir : un aller-retour de gifles le fit taire et pleurer  maintenant complètement.

- Tu veux bien te taire, maintenant ! Et je t’interdis d’utiliser ce mot là… homosexuel à la rigueur, même si je n’aime pas que l’on catégorise ainsi… En fait ce qui est important, n’est pas ce que tu as envie ou non de faire, mais ce qu’on te demande de faire. Là je viens de te demander de t’occuper de notre ami Lucas alors tu ne te poses pas de question et tu obéis…

- Non, je ne…

- Tu m’agaces. Et tu vas vite apprendre que je n’aime pas être agacée…

Elle le souleva du sol, le tira jusqu’à une chaise et l’installa sur ses genoux, sa jambe lui bloquant le battement des pieds. Et Zépharin sous des cris de porcelet en train d’être égorgé reçu ce que l’on appelle une vive et cuisante fessée de désapprobation. Elle le relâcha finalement en chaudes larmes pour le remettre entre les jambes de Lucas.

- Tu sais que tu as mignon cul tout rouge maintenant… Allez au boulot !

Zépharin déboussolé obéit un peu. Il prit timidement le phallus entre ces doigts.

- Tss, tss. Mais t’es un petit puceau ignorant toi ! Pas comme cela, avec ta bouche !

Elke sentit qu’il avait besoin de direction. Elle le saisit par  les couilles sous la cage qu’elle brisa fermement, pendant que de l’autre main, elle lui forçait les lèvres contre le gland luisant. A ce traitement, il ne résista guère et avala finalement le bâton de chair.

Le beau morceau lui distendait sa petite bouche. C’était follement mignon. Une belle image ! Elke dirigeait maintenant de sa main dans la chevelure. Le mandrin coulissait dans la jeune bouche guidée et manifestement Lucas appréciait la caresse. Le Zépharin beaucoup moins. Il hoquetait et gémissait à chaque va et vient. L’excitation de la situation était telle que Lucas ne mit pas plus de deux-trois minutes à se laisser aller dans cette jeune bouche soyeuse. Elke s’assura en parfaite Maîtresse dresseuse de jouvenceau que Zépharin goutta à fond l’humiliation nouvelle de servir de vide-couilles pour un mâle. Il essaya de se désengager pour recracher mais la Danoise le maintint bouche bien enfoncée autour du sexe baveux. Il y a des humiliations qui devaient se boire jusqu’à la lie. Evidemment se taper un jeune puceau inspirait le vicieux Lucas. Déjà sa fierté renaissait dans la bouche humide avec une folle envie à la clé…

- bjørneunge, apporte-moi du beurre. Immédiatement !

Joseph se pressa d’obéir et de rester discrètement en retrait avec Thomas pour profiter du spectacle. Un petit trou fut copieusement beurré et un Zépharin en détresse qui venait de comprendre avec horreur, fût soulevé par les mains de Lucas l’ayant attrapé par le haut des cuisses à la verticale de la torpille dressée. Et pan la torpille fut lancée, sans pitié, et de force perfora les frêles défenses du dorénavant petit enculé de Zépharin. Dire que l’engin rentra facilement aurait été un mensonge. Cela se fit en violence avec les cris de la victime, qui dut pourtant subir les puissants assauts de son Mâle Alpha jusqu’au long dénouement dans l’extase de Lucas. Le pantin fût alors rejeté. Il retomba durement sur le sol, le sperme coulant dans la raie… Il venait d’être marqué à vie par le Mâle Alpha.

L’assemblée en avait le souffle coupé et les excitations personnelles en conséquence. Même Elke mis quelques temps à reprendre ses esprits et sa dominance.

- Ouah ! Quel moment !

Puis plus sérieuse…

- Vraiment doué, le gamin ! Une vraie petite pucelle avaleuse de bite ! Bjørneunge au pied !

- Oui, Maîtresse.

- Tu me le ferres et me le bagues. Et tu me le mets au frais au cachot de méditation du sous-sol. Je me le consommerai demain… Il devrait être à point…Je n’ai plus envie d’attendre face à tant de talent… D’autant qu’il est censé être parti pour une partie de pêche entre hommes avec Gaspard tout le week-end. Nous avons donc le temps…

- Oui, Maîtresse

Zépharin fut immédiatement pris en charge par Joseph et amené plutôt mort que vif dans le sous-sol de la bâtisse.

- Et, bjørneunge…Tu n’oublies pas de nourrir le gamin… Pas comme la dernière fois… Tu m’as comprise ?

- Oui, Maîtresse ! Promis...

Ce fut le temps de l’arrivée du dessert : une pièce montée avec un soumis en laisse au sommet… Et encore l’occasion de boire et voir Nikka se faire sodomiser à sec sur le lit sous les yeux rieurs de l’assemblée. Encore un moment d’excitation partagée et d’admiration quasi amoureuse de Claire pour cet amant capable de gicler trois fois en moins d’une heure. Quel bel homme !

Le repas terminé, la nuit tombait. L’heure entre chiens et loups, où il est temps de s’occuper des chihuahuas… Il fût sorti de sa cage et Joseph – encore lui – s’occupa de le préparer avec la mise en place de lourdes attaches de métal aux poignets, au cou et aux chevilles, le tout relié par des chaînes lui empêchant tout autre position que celle de rester en chien soumis à quatre pattes. Il garda sa coque de fer autour de la tête et Joseph vint accrocher une lourde traîne de chaînes à la bague autour de ses couilles. Le chihuahua était paré !

Thomas apporta alors des torches aux flammes jouant au vent du soir. Un cortège se forma. Deux Maîtresse de part et d’autre du chihuahua le tenaient de chaque côté en laisse, Claire et Elke derrière et tous autres les soumis et soumises exclus de cette cérémonie initiatrice entre femmes dominantes.

- Lucas, tu nous suis ?

- Cette fois non, Kéké. Ce n’est de toute façon pas trop mon trip le cochon grillé… Je vais plutôt aller sérieusement m’occuper à faire couiner cette petite perle de Nikka, qui toute lesbienne qu’elle est, ne saurait rester longtemps froide devant une belle queue d’homme. Ce n’est qu’une question de temps et de perforation… Bonne soirée. Et amusez-vous bien les filles !

Sophie et Noémie avançaient déjà, torches en main, emmenant le chihuahua vers son destin. Claire dans sa robe blanche leur emboîta le pas mais fut retenu par Elke qui lui colla d’autorité un long et profond baiser de sa bouche. Claire en fut d’abord prise par surprise mais rapidement leurs langues s’emmêlèrent et affolèrent les sens. Toutes les réticences qu’elle pouvait avoir s’étaient envolées. Elle sentait avec plaisir  la main danoise qui remontait ses jupe et jupons, pour se saisir de son intimité mouillée. Les doigts la farfouillaient délicieusement et frottaient son clitoris, déclenchant de nouvelles ondées. Claire s’abandonna sans réfléchir aux caresses et à son excitation intime qui montait. Oh que c’était si bon ! Son plaisir s'élevait en vagues successives et à l’aspirait vers le nirvana. Soudain, la caresseuse danoise arrêta toute sollicitation… Claire leva des yeux frustrés, déçus et pleins d’attente vers Elke.

- Mais non ! Première leçon, une femme qui a joui est une mauvaise Maîtresse… Il te faudra attendre la délivrance de ta chatte en feu… Maintenant cela va être ton heure de gloire, celle où tu vas définitivement mater ton mari ridicule… Il ne faudrait pas gâcher ce moment stupidement. Tu le marques à vif et si tu as été bonne Maîtresse, tu partageras ma couche avec moi ce soir. Tu sais que tu me fais beaucoup mouiller depuis que tu es là ? Le veux-tu ?

Claire ne prit pas le temps de réfléchir ne serait-ce qu’une seconde et répondit immédiatement…

- Oh oui, je serai tienne cette nuit...

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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