Samedi 29 mars 6 29 /03 /Mars 12:33

CHAPITRE 34 - Samtykket voldtægt

Dans le boudoir, Claire était d’humeur pensive. Elle ne cessait de s’admirer dans le miroir au dos de la porte du placard dans la belle robe que lui prêtait Elke. Drôle de robe d’ailleurs, une tenue hybride entre une traditionnelle robe blanche de mariée et un vêtement fétichiste. Des baleines dissimulées soutenaient le bas de sa poitrine et faisait sexuellement jaillir ses seins nus sous une dentelle ajourée. Cette vue lui plaisait énormément. Ses tétons s’en érigeaient de plaisir. Cette robe était manifestement conçue pour être portée à cru. Et si elle descendait loin sur les mollets, presque sage, Claire s’aperçut qu’un ingénieux système de laçages permettait de dégager à volonté l’accès au-devant ou au-derrière. Elle n’avait pas mis de culotte non plus. Elle décida finalement de s’asseoir sur le sofa pour passer les haut-talons qui allaient avec, puis revint voir le résultat dans la glace. Elle était si sexuellement attirante qu’elle ne doutait pas une seule seconde faire chavirer les dernières traces de réticences de son chihuahua !

Elle avait encore du temps avant l’heure du dîner. Sans doute aurait-elle du encore attendre avant de s’habiller. Mais elle était si excitée par l’arrivée – enfin ! – de ce grand moment, qu’elle avait mis tant d’ardeur à rendre possible. Certaines femmes préféraient posséder des cascades de bijoux, de chaussures ou de tenues. Pour Claire, le luxe ultime, le symbole de la réussite de son couple, serait de posséder un mari bien soumis à la maison. Et elle en était en bonne voie.

Oui elle avait encore pas mal de temps à attendre. Peut-être devrait-elle en profiter pour aller se promener et respirer la sérénité du jardin avant la tempête émotionnelle ? Son esprit glissa sur la discussion avec Sophie. Ses propos avaient quelque chose de dérangeant, d’illogique. Comment peut-on aimer et détester à la fois ? Elle avait été surprise. Avant cette conversation, elle avait considéré Sophie comme une femme équilibrée, sans doute beaucoup plus qu’elle et son étrange fascination de l’amour féminin, qui menait tranquillement son couple D/S sans excès, ni folie. Et voilà qu’elle se dépeignait si différente, une fois les voiles retirés. Elle lui conseillait de fuir au plus vite, tout en lui expliquant le type de plaisirs qu’elle retirait de sa relation contrainte avec Elke. Claire croyait que Sophie ne lui avait pas parlé sur ordre, mais librement. Elle avait été fascinée par le récit des tourments subis. Trop sans doute, puisqu'elle avait mouillé du bas à les écouter et à s’imaginer à la place de Sophie. Pourtant à froid la place n’était pas enviable. Il y a quelques heures, elle était résolue à quitter le Domaine dès la fin du marquage, mais maintenant elle doutait, n’était pas aussi sûre et sa faiblesse à ne pas savoir décider une fois pour toute, l’agaçait. Il était temps d’aller se changer les idées dehors. Elle reviendrait se coiffer au dernier moment.

Claire referma le placard, quitta le boudoir, traversa la chambre pour en sortir se promener dans sa belle tenue blanche. Mais elle n’en eu pas le temp : arrivée dans l’antichambre la porte s’ouvrit d’elle-même comme par enchantement et Lucas apparut.

- Tiens mais c’est mon petit cul étroit de hier !

Claire prit immédiatement peur. Les yeux de l’homme brillaient d’un désir sadique de possession. Elle essaya de se faufiler pour s’enfuir au plus vite mais Lucas la retint en lui attrapant le poignet.

- Tout doux ma belle ! Où comptes-tu aller comme cela ? Tu sais que j’aime bien ton corps de bonne salope à baiser, ma chérie.

- Mais… mais laissez-moi m’en aller ! Tout de suite ! Je suis attendue…

Elle avait mis autant de détermination qu’elle pouvait dans sa réaction. Mais cela n’avait aucun effet sur Lucas qui continuait à la maintenir fermement.

- Tss.. Tss… Je ne crois pas que cela possible ma chérie. Je bande là à mort à te regarder dans ta chouette tenue ! Et il faut que tu me détendes… Et en plus je viens de t’amener le fer pour ton chihuahua. Je crois que cela mérite récompense…

- Mais non, ce n’est pas possible. Je suis marié à un homme que j’aime… Hier, c’était… c’était une erreur.

- Ouais, un mari que tu écrases consciencieusement sous ta botte. Elke m’a raconté ce matin au téléphone comment tu l’as traité hier soir, après t’être envoyée en l’air… Tu es vraiment une salope dans l’âme, ma petite Claire chérie. Lui étriller le cul parce que tu l’as trompé ! Mais moi je suis ta piqûre de rappel. Si tu as épousé une mauviette dont le trip est de se faire latter le cul par sa femme, moi je suis un Homme, un vrai, avec une vraie bite et toi une femelle qui n’existe que pour satisfaire les vrais Mâles, comme moi. Alors tu vas être gentille, et tu vas te laisser faire sans créer de problème, dans ta belle robe qui m’excite. C’est la loi de la nature et c’est dommage qu’un vrai Mâle doive te la rappeler.

- Non, ça plus jamais !

- Bon tu l’auras voulu femelle…

Lucas lui lâcha la main pour mieux lui balancer une torgnole au visage, qui la fit vaciller et s’effondrer sur le tapis au sol. Claire en eut le souffle coupé autant par la violence de l’attaque que l’humiliation induite par le geste. Lucas la regardait se tordre sur le sol, l’air à demi goguenard et manifestement satisfait de lui-même. Il déboucla sa ceinture pour faire tomber son pantalon, descendit son caleçon et se présenta bannière dressée devant Claire.

- Bon, ma chérie, t’es pas encore assez dressée toi ! Mais on va pouvoir y remédier un peu  pour te remettre les idées en place dans ta tête. Les femelles n’ont été créées par Dieu que pour le repos et le plaisir des Mâles. As-tu déjà vu dans la nature une femelle commander ? Non, évidemment pas… car la Nature n’en a pas besoin. Inutile à l’évolution comme possibilité. La Femelle, elle bosse pour le Mâle et reste disponible pour lui permettre de se vider les couilles quand il désire. On ne lui demande pas autre chose. C’est de la merde ces théories de la femme égale de l’homme dont vous nous prenez la tête depuis des années. N’importe quoi ! Je me souviens qu’une fois la mère a osé le clamer à table au père qui a vu rouge avec raison. Eh bien la mère, elle s’est retrouvée immédiatement le cul à l’air sur les genoux du père, pour se prendre, devant moi et mes frères, une fessée bien méritée. Cela lui a bien remis les idées en place après avoir déraillé. Je ne comprends pas pourquoi cela ne se passe pas comme cela dans toutes les familles. On n’aurait pas à gérer vos conneries féministes... Maintenant tu vas être gentille fifille et tu vas sucer le nonos sans faire d’histoire ou je t’en remets une paire bien sentie vu que tu as l’air d’aimer cela. Après je vais être sympa avec toi et prendre le temps de bien te faire couiner un peu. Cela ne doit pas être la fête chez toi, vu la petite limace de ton mari qu’Elke m’a dit. Tu fais d’ailleurs bien de lui mettre le zizi en cage, faudrait pas que ce genre d’homme sous-membré ait de la descendance… Allez au travail, ma poule, suce le nonos de ton vrai Mâle !

Claire était horrifiée d’entendre tant de clichés d’un ancien temps. Elle pensait à ses parents aimant qui lui avait inculqué une autre vision de la femme et de l’équilibre des relations. Non ! Elle ne le sucerait pas et n’offrirait pas son plaisir à ce gros porc égoïste ! Elle serra les dents refusant ostensiblement de se prêter à quoi que ce soit avec cet homme.

- Bon tu l’auras voulu, garce ! 

Et en réponse, il lui asséna une nouvelle série de gifles au visage, intolérables et douloureuses. A  la fin son maquillage était en lambeau et sa chevelure en bataille. Claire pleurait n’osant plus bouger.

- Bon je vois que vous êtes toutes les mêmes. Des rétives qu’il faut mater. Et bien on va procéder comme pour ta copine danoise quand elle ne veut pas, pour t’apprendre qu’il vaut mieux obéir vite à ton Mâle. Elle aussi, elle n’a pas voulu au début. Où est ce qu’elle l’a rangé ?

Lucas s’éloigna un instant et revint avec un écartoir de bouche en métal ainsi qu’une cordelette qui servit à lui attacher les poignets dans le dos. L’écartoir se composait d’un tube de métal qui s’installait entre les dents laissant grand ouvert l’accès à la bouche.

- Les femelles faut toujours leur attacher les pattes, sinon elles griffent en se croyant tout permis les garces… Allez, ouvre la bouche, ma chérie… Je ne voudrais pas t’abîmer encore plus le visage…

Mais Claire impressionnée par la tournure des événements était inerte. Elle avait peur maintenant de cet homme violent. Elle fut surprise quand Lucas lui serra fortement un téton sous la dentelle. Elle cria par réflexe sous la douleur, ouvrant suffisamment la bouche pour que l’homme lui enfile par traîtrise l’écartoir qu’il verrouilla immédiatement derrière sa tête.

- Aucun risque que tu mordes maintenant. La belle est matée, mais je ne comprendrai jamais pourquoi il faut toujours en passer par là avec vous les femmes dites « modernes »… Vous devez être stupides, car vous ne gagnerez jamais rien à ce jeu-là !  Bon voyons si ta bouche est aussi bonne que hier, ma chérie.

Immédiatement, Lucas s’enfonça sans délicatesse dans la bouche à sa merci, envahissant furieusement la place en percutant le palais pour finir par cogner contre le fond de la gorge rendue sans défense. La bête turgescente prit toute la place disponible. Claire eut un violent haut de cœur, tenta de se dégager de l’étreinte imposée mais une main ferme sur sa tête la maintint empalée sur le mandrin de son violeur. Les narines collées contre les poils suintant l’odeur de Mâle excité. Claire tombait dans l’obscurité. Elle étouffait de la virilité imposée au bord de la nausée. Elle cherchait désespérément de l’air et n’arrivait qu’à en aspirer difficilement quelques filets par le nez au travers de la forêt de poils putrides, trop peu pour calmer les convulsions qui roulaient dans son estomac. Au bord du vomissement, Claire geignait autour de son bâillon de chair. Déjà l’odeur acide des sucs remontait dans sa gorge. Elle ne tiendrait pas ! L’homme lui offrit alors un bref répit en débouchant son phallus un instant avant de sa main ferme sur la tête la forcer à le ré-emboucher au plus profond, la ramenant à sa détresse primale. Elle n’allait pas survivre à cet envahissement ! Calme-toi, calme-toi ma fille ! Mais je ne vais pas y arriver ! Si, accepte l’intrus ma fille, donne lui son plaisir, tu iras mieux tu verras. Mais je ne veux pas lui offrir son plaisir à cet infâme porc ! Tu n’as pas le choix ma fille, tu l’as tellement excité qu’il te faut éteindre son incendie pour qu’il te laisse en paix. Accepte la loi ancestrale du mâle. Que dois-je faire ? Flatte le, utilise ta langue idiote, ou tu mourras ici ! Elle bougea, à contrecœur, la langue coincée sous le mandrin distendu. L’homme la sentit et apprécia. Il desserra  un peu son étreinte, pour mieux profiter de la caresse, lui permettant de reculer un peu sur le bâton de chair et de laisser enfin quelques filets d’air frais passer. Cela calmait un peu les spasmes. Alertée, elle ne cessait pas de lécher l’envahisseur partout où sa langue pouvait l’atteindre de mieux qu’elle pouvait pour ne pas se retrouver de nouveau complètement empalée à étouffer. L’homme appréciait. La main ferme était devenue main baladeuse au milieu des cheveux. 

Lucas la laissait faire, tant qu’elle le maintenait excité. Pour rien un monde, Claire n’avait envie de lui déplaire ne serait-ce qu’un instant. Elle craignait de se retrouver à étouffer de nouveau sous son bâillon de chair. Alors elle le suçait avec concentration en l'absence de toute dévotion, scrutant ses moindres réactions, de mieux qu’elle pouvait malgré l’écartoir. Oh qu’elle se sentait faible. Il l’avait matée en quelques minutes, pas plus. Elle se détestait. Etait-elle une fille si facile que cela ? Une Marie suce moi là ? Claire sentit l’irruption du pré-jus d’homme dans sa bouche. Très âcre et si humiliant. L’homme avait dû le sentir lui aussi car il se retira complètement emportant des filets de bave et pré-sperme mélangés qui restèrent comme en suspension entre sa bouche et son sexe. Elle voyait dans son intégralité, la bête énorme au gland poli luisant d’avidité. Elle espéra un instant échapper à la suite, mais non, l’homme repositionna sa main sur sa tête et s’en servait pour faire coulisser la bouche le long de son sexe, lentement. Claire comprit alors le sadisme de cette infâme caresse qu’il lui forçait à prodiguer. Etait-ce d’ailleurs une caresse ? Plutôt une branlette égocentrique du Mâle. Elle était rabaissée à une gaine humide dont le seul but était d’apaiser les ardeurs du Mâle qui se foutait complètement de ce qu’elle pouvait penser ou ressentir. C’était si humiliant. Et Claire comprenait pourquoi Elke avait voulu y échapper hier. Et encore il n’y avait pas de témoin. Elle s’imagina un instant avec inquiétude que Pierre assistait à sa déchéance. Mais ce qui l’humiliait le plus est que son corps, dans un grand écart avec sa conscience, commençait à aimer ce traitement et à en couler de désir humide. Salop de traite !

L’homme commença à soupirer. Son sexe durcit quelque peu encore en bouche. Il ne faisait plus coulisser la tête autour sa bite. A la place, il baisait le trou de la bouche offert de petits coups de reins. Une succession de pénétration profondes et de sorties partielles. Parfois il se maintenait bien au fond le temps d’entendre la femme commencer à s’étouffer. Il ressortait alors avant de se réintroduire. A ce rythme, la bouche prenait le goût amer du fumet de l’homme. Claire n’était plus une oie blanche. Elle savait quelle fin inéluctable aurait cet étrange et si humiliant coït. Elle était prise comme vide couille, comme il aurait pris une pute au bordel. Rien de plus qu’un réceptacle humide apte à lui faire lâcher sa sauce. Elle saisissait le côté si dégradant et misogyne de la chose, qu’Elke avait subi avant elle. Son esprit se déconnecta du corps traite, qui lui y prenait maintenant manifestement de plus en plus de plaisir noir. Cela ne serait pas une jouissance partagée loin de là. Non cela ne devrait pas l’être ! Elle savait que le sperme allait jaillir fatalement au fond de sa gorge à un moment ou un autre. Et qu’elle n’aurait pas d’autre choix que tout avaler en bonne petite fifille gentille avec le Monsieur. Cet acte infâme, elle ne l’avait jamais voulu. Son premier amant avait essayé de lui imposer, il s’était pris une retentissante claque en réponse. Elle ne devait que s’en prendre à elle-même. Cela aurait pu être un geste d’amour qu’elle aurait offert à son Pierre – il l’aurait tant apprécié comme tous les hommes – du moins au début quand elle le suçait régulièrement.  Qu’elle avait été bête de ne pas lui offrir finalement. Là point d’offrande, l’homme allait le lui prendre sans y faire attention, comme un dommage collatéral et elle ne pourrait rien pour s’y opposer.

Le sexe se raidit une dernière fois dans la bouche. C’était le dernier moment avant la fin, où elle enlevait le sexe de son Pierre avant de le diriger vers un mouchoir préparé à l’avance. Mais là elle n’était plus aux commandes. L’homme de sa main la maintenait profondément enfoncée sur sa bite. Elle sentit en temps réel, presque au ralenti, les convulsions dans l’urètre avant que le liquide tiède et gluant se déverse en giclées épaisses en fond de sa glotte, pendant que son entrejambe était animée de spasmes puissants et dévastateurs, qui l’emportèrent sans qu'elle puisse lutter, à la limite de la conscience, vers des contrées inconnues, aux multiples cascades de plaisir, si surprenantes. Si elle les avaient connues avant ! 

Lucas reprenait son souffle tout en poussant de sa main les dernières gouttes de sperme pour finir de complètement se vider dans la bouche où il venait de prendre son plaisir. Claire hébétée et si humiliée revenait doucement au temps réel. Le téléphone dans la poche de chemise de l'homme sonna à ce moment-là.

- Allo… oui Philippe… non tu ne me déranges pas… je fais une pause méritée… qu’est-ce que je faisais ? … Je me faisais sucer la pine… non je ne plaisante pas… une bonne grognasse mature… aux yeux de velours… 35 ans environ… 

La bite qui venait d’être sucée à la hussarde, ramollissait lentement en bouche. Claire crut que le moment de la retirer était venu, mais Lucas ne l’entendait pas ainsi. D’une pression sur la tête, il la remit en bouche à moitié rentrée. 

- oui je suis chez la Danoise… elle a toujours des copines étonnantes… bon mais pourquoi tu m’appelles ? … non pas dispo ce soir pour un bowling… non ce soir, je me tape une pure lesbienne, ma première… j’ai hâte… aller je te laisse… je ne voudrais pas laisser la Dame se refroidir… tchao…

Il remit le téléphone dans la poche.

- Désolé ma pouliche pour ce contretemps. J’ai beaucoup aimé ta bouche de velours, ma chérie. Tu es vraiment faite pour être le fourreau naturel de mon épée. Dommage que tu habites si loin. Je te sifflerais et tu viendrais m’offrir ta bouche. Bon après cet apéritif, il est temps de passer aux choses sérieuses. Mais avec tout ce que tu as pris tu dois avoir soif, ma chérie ?

Il la força à la regarder dans les yeux, en lui soulevant le menton. Le sexe ramolli suivi le mouvement. Son regard était dans le vide.

- Oui ? Alors j’ai quelque chose pour toi. De la première qualité.

Il se mit à lui pisser tout simplement en bouche à petits jets. Claire buvait sa lie jusqu’au bout avec cet homme. Il lui maintenait la tête par le menton pour qu’elle ne perde aucune goutte de liquide doré, concentré et odorant. L’esprit de Claire détestait l’usage que l’homme faisait d’elle mais son corps, lui, adorait traîtreusement l’avilissement qui lui imposait. A sa grande honte, Claire mouillait et mouillait encore..

- Allez ouste sur le lit, ma chérie, que je te fasse couiner. Et ne me fais pas le coup de la viande froide !

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Elke avait rejoint la chambre, à la recherche de Claire pour l’aider à s’habiller. La chambre était lourde de l’odeur d’homme en rut. Une femme geignait. Surprise, elle avança silencieusement pour jeter un coup d’œil. Sur le lit, le cul d’un homme qu’elle connaissait si bien était en train de sodomiser le cul de sa Claire, le corps complètement effondré sur celui de la femme, ses mains lui bloquant les poignets. Claire grognait de plaisir et de douleur intimement mêlés, alors que les fesses de Lucas descendaient et montaient. « Non, ils ne remettent quand même pas cela ! ». Elle attendit de les entendre hurler leurs orgasmes mutuels, un brin jalouse, avant de décider d’intervenir.

- Claire, Claire. Où es-tu ? Tout va bien ?

Lucas se désengageait tout juste alors qu’Elke intervenait, le mandrin encore bien gonflé. Claire s’ébroua du lit, les muscles endoloris, le corps dévasté par la trouble jouissance qu’elle avait eu. Elle portait encore son écartoir que Lucas n’avait pas pris le temps de lui enlever, le bas de sa robe complètement ouvert.

- Ah, vous êtes là…

Elke ne fit aucun commentaire sur la situation des deux amants. Elle se sentait étrangement gênée de les surprendre ainsi, ou plutôt de ne plus être cette fois à la manœuvre. Elle regarda avec envie le sexe de Lucas. Elle aussi se le serait bien pris, là tout de suite.

- Je… je vais vous laisser, le temps…

- Non Kéké, j’en ai presque fini avec ta copine. Tu sais elle est aussi bonne que toi !

Lucas l’avait appelé par le surnom stupide qu’il lui donnait habituellement au lit et Elke n’aima pas du tout se faire mettre au même rang que Claire. Elle en éprouvait même de la jalousie. L’amante ou le trou du jour avait le regard à l’ouest, presque une zombie. Lucas lui chuchota quelques mots à l’oreille. Aussitôt, Claire s’agenouilla obéissante au pied de son Maître du jour. L’écartoir fut enlevé pour permettre à la femme matée de procéder au nettoyage de sa langue et de sa bouche du sexe souillé, avec une adoration soumise. Pendant ce temps Lucas fixait enfin Elke d’un regard de défi, qui semblait dire, « Tu vois encore une. Ta copine n’était pas difficile à mater, comme toi ! ». Une fois la bite propre, l’homme les laissa pour aller prendre une douche rapide dans la salle de bain attenante.

Claire restait agenouillée sur le sol, l’esprit parti ailleurs. Elke s’assit sur le tabouret de la coiffeuse. Elles entendirent bientôt l’eau s’arrêter, devinèrent l’homme qui se rhabillait avant que Lucas revienne dans la chambre finissant d’ajuster sa ceinture.

- Bon, Elke, je vous laisse les filles. J’ai un truc à faire mais je reviendrai pour le dessert et mon cadeau. 

Et sur ce, il sortit.

Elke arriva à enfin capter le regard de Claire qui souriait étrangement.

- Allez Claire relève-toi, c’est bientôt l’heure de ton chihuahua et il faut maintenant te concentrer dessus. Je suis désolé pour ce que Lucas t’a fait. Je.. je n’avais pas prévu qu’il serait autant excité par ta personne. Vraiment désolé.

- Ne le soit pas. Au début, il m’a violemment forcé la bouche, puis je… suis devenu si faible. C’est le premier… le premier qui est parti dedans… si j’avais su… il m’a basculé sur le lit… J’ai … aimé… quand il m’a prise devant avec son énorme.... Et le cul… meilleur que hier…. Dis, Elke, tu crois que je suis normale ?

- Parce que aimes les grosses bites ? Hi, hi. Je sais que les femmes prétendent que la taille n’a pas n’importance. Cela rassure leur homme. Mais elles comprennent qu’elles se sont trompées, dès qu’elle se prenne un vrai sexe de Mâle. Oui cela fait une grande différence dans la possession… et donc dans le plaisir ressenti.

- Faut que j’aille voir mon Pierre. Il est a été mis où ?

- A réfléchir dans le cachot obscur sous la maison.

- J’y vais…

Claire fut doucement retenue par le bras.

- Attends, tu es complètement défaite. Ton maquillage est en ruine et la robe est toute fripée. Et une douche te ferait le plus grand bien. Il faut refaire…

- Non !

Elke fut surprise par la fermeté déconcertante de la réponse.

- Non la robe et l’odeur dedans, je les garde ! J’aime bien l’idée… mais si tu veux tu m’aider à faire mon maquillage, cela ne me sera pas inutile. Mais pas tout de suite. Pour l’instant, je vais voir Pierre.

- Je ne crois pas que cela soit une bonne idée de…

Mais elle n’eut pas le temps de finir sa phrase. Déjà Claire était partie, finissant de la déconcerter. Non, elle n’aimait pas la tournure que prenaient, en cette fin d’après-midi, ses affaires.

 bllit 

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Par dyonisos - Publié dans : Fiction
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