Jeudi 17 juillet 4 17 /07 /Juil 06:09

Le SM n'étant qu'une facette de notre sexualité, et même si le thème de ce blog est la chronique de nos jeux SM, parfois quelques moments vanilles viennent se raconter ici.. C'était le cas ici en mars au bord des pistes...

Et qui sais-je, peut être suis-je en train de faire la même chose dans mon antre de vacances au soleil...    


Sport d'hiver

Je me décroche et saute d’un coup la barre pour me retrouver à godiller d’un doigt dans le vallon exquis de la Gorge. Le sol est frais comme plein d’émotions et d’envies. Je suis la pente d’un toucher léger. Les twin-peaks dominent plus bas avec leurs si caractéristiques cairns. Le pic Aphrodite à gauche et le pic Nikêphoros à droite, sans doute mon favori, mon phare personnel. Il fait beau, il fait chaud. Je ne suis pas pressé. Je visite d’ailleurs un temps le sommet des deux pics interrogeant la nature dressée des deux cairns. Ils sont durs et tendres à la fois et font étrangement réagir la montagne quand on les serre trop. Je ne cesse de m’étonner de ces merveilles

blgdteton.jpg naturelles. Mais l’heure avance. Je les quitte à regret. Non que je sois pressé. Les marmots ont eu l’obligeance d’aller ce matin à l’Enfin Seuls pour Fourrer me laissant libre de prendre mon pied sur mon hors-piste préféré. Mais c’est que je sais que le risque d’avalanche vient de monter rapidement d’un cran. Il ne faudrait pas qu’elle se déclenche avant que je… Bref je schuss tout droit sur les douces pentes du Bedon, évitant à l’occasion la crevasse de l’Omphalo, pour m’arrêter un instant au sommet du mont de Venus. Drôle de nom d’ailleurs pour ce qui ressemble plus à une motte qu’à une montagne. A cette basse altitude, le paysage change. J’entre dans l’étage subalpin, passe la limite des arbres et me retrouve bientôt dans une forêt odorante. Aurais –je dû commander un bucheron avant les vacances ? Non ! Cela aurait l’air à quoi un hors-piste sur une piste civilisée… Pendant que je pause sur le mont de Venus, il me semble que le temps change au sommet de ma montagne où le souffle du vent vient de se lever. Je l’entends distinctement. Je suis au bord de la combe en contrebas. Je me relance et zig zag entre les bords incurvés en faisant gaffe à ne pas basculer dans le ruisseau qui coule au fond de la ravine. La terre tremble. Je découvre que la région est soumise à une série de séisme. La terre se soulève pour m’engloutir mais je m’échappe et me stabilise sur une arrête arrondie. Le vent des crêtes redouble alors. Je crois entendre dans son souffle un sourd appel à m’avancer. Précautionneusement je descends vers le cours d’eau en fond de canyon en faisant attention de ne pas glisser sur les parois. Je découvre en fond un torrent dévalant en virevoltant la pente pour se jeter dans un gouffre que je pressens sans fond. Je suis surpris et étonné par la force des eaux que je rencontre. Comme si la montagne était en train de se dégeler complètement. C’est vrai qu’il fait subitement beaucoup plus chaud et que cela me donne soif. Je me penche pour boire à la source cette eau, du bout de mes lèvres. Délicieux, mais je dois m’accrocher pour ne pas être éjecté alors que la terre tremble encore plus. Je m’amuse à laper de ma langue cette eau de dégel de montagne, fraiche et enivrante. C’est si fascinant ! Le torrent bloqué un temps s’échappe le long des poils de ma barbe, me noyant par moment avant de jeter dans le gouffre sans fond. Je souffle dedans mon air chaud sans arriver à en ressentir la profondeur alors que la terre tremble encore et encore et que la tempête semble faire rage dans les hauteurs. Ma position est précaire. Je tente de coincer mon nez entre les bords du haut de la ravine. Vaine tentative ! La montagne ondule totalement maintenant au cœur de la tempête, m’aveuglant, m’asphyxiant, me noyant, faisant de moi ce qu’elle veut. Le vent geint en haut dans de longs hurlements qui reviennent étouffés dans le bas. Je ne contrôle plus rien et croit ma dernière heure venue. Belle vie que j’ai vécue. Je ne regrette rien. Et c’est alors que l’incroyable se passe : la montagne me parle distinctement au milieu de l’hegoa !

- Met-moi un doigt dans le cul !

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Terrifié par la voix de la montagne, j’obéis immédiatement comme si c’était ma seule façon de sortir vivant de cette aventure… Je débusque à tâtons l’entrée de l’anfractuosité sur la falaise verticale en dessous et me glisse comme je peux dans le goulot étroit. Je n’y suis pas seul. Quelque chose s’y tapit au fond. Le temps d’un frisson alors que la montagne est secouée dans tous les sens. Une force impérieuse me maintient bien enfoncé en fond de ravine à vivre au premier plan les soubresauts sismiques de la montagne. Les parois se resserrent autour de mon doigt cherchant à le briser. J’entends le déchaînement étouffé d’un ouragan sur les hauteurs. Une dernière convulsion de la terre et tout à coup tout disparait. Plus de tempête, plus de secousses, plus rien ! Est-ce l’œil du cyclone ? Il semble que non. Je suis libre de respirer et de me retirer de la ravine et de la grotte.

Je suis dans un état pitoyable. Un ours sortant de 4 mois d’hibernation ne puerait pas plus. La montagne m’a marqué de son odeur, de son goût. Elle m’a aussi dévasté. Je tire la langue. J’ai la mâchoire et le doigt endoloris. Je regagne peu à peu mon propre souffle. Il est temps de remonter et de sortir de ce gouffre odorant, et de revenir vers l’air pur des sommets. Mais ce n’est pas chose facile, les bords du torrent sont luisants et glissants et n’offrent pas de prise. Va falloir recourir à l’escalade et remonter avec l’aide de mon piton. J’ai dit piton et non python. Quoi que à ce moment…  J’essaye d’abord de le coincer dans l’aven où s’engouffre le ruisseau. Plusieurs tentatives. La montagne est apaisée et dans le ciel roucoulent les oiseaux. Elle apprécie les efforts que je mets à remonter du fond. Mais moi je trouve la prise peu sûre, glissante et un peu trop large pour que mon piton trouve bonne prise. Alors je change de paroi et me prépare à escalader la face nord du Postérieur, faisant fi de la chose qui s’y cache. Là les esprits de la montagne, quand ils ont compris, me lancent des éclairs noirs et courroucés que j’ignore. Que voulez-vous, il faut bien que je remonte… Là mon piton tient parfaitement étroitement coincé dans l’anfractuosité de cette face.  Il s’accroche tellement bien qu’il faut même que j’y fraye un chemin pour assurer ma prise. La montagne elle ne semble pas être de mon avis et je sens une tension dans l’air alors que j’enfonce encore plus mon piton. Voilà la prise est ferme, je progresse enfin ! Je remonte et monte à la fois. J’enchaîne pitonnage et dépitonnage en cadence. Sur les hauteurs, il se passe une chose bizarre : la montagne semble geindre de plaisir/douleur trouble sous mon pitonnage consciencieux.  Je m’excuse auprès d’elle, en disant honnêtement qu’il me fallait bien remonter pour revenir au sommet. Elle me répond étrangement qu’elle comprend bien mais qu’elle voudrait que je me dépêche d’atteindre le sommet. Je lui dis que je prends mon temps  et que rien n’est plus beau qu’une montée réussie. Je me sens si bien en grimpant, heureux, l’esprit libéré et quelque chose comme de l’excitation à vaincre de nouveau la face nord du Postérieur. A ce moment la montagne a compris qu’elle sera vaincue de toute façon face à la détermination du grimpeur et accepte d’être ainsi grimpée. Je peux donc me consacrer aux sensations pures de mon escalade. Quelle soif de liberté ! Je me sens si bien que j’accélère mon rythme, oubliant même maintenant de dépitonner. Je progresse rapidement alors que la montagne ne cesse de geindre sous ma percée. Je suis presque arrivé, prêt à embrasser le sommet en vainqueur, quand finalement l’avalanche se déclenche, surgit à grande vitesse dans l’anfractuosité qui ne peut la contenir et rejaillit au dehors en une cascade blanche qui tombe le long de la face nord du Postérieur.

Il n’y a pas à dire, j’adore l’escalade de ma montagne favorite… Vraiment.

dyonisos

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Lundi 14 juillet 1 14 /07 /Juil 06:08

C'est un vieille idée au départ que nous avons que la cga e de chasteté soit justement... de chasteté intégrale.

Pendant 69 jours...

Bien sûr cela marche chez nous et cela ne peut pas marcher ailleurs... Comme dans toute relation, nous sommes deux à vivre la privation et donc deux à trouver des moyens à faire avec. Pour moi de toute façon pas trop de question fondamentale à avoir, la cage assurait l'impossibilité de toute tentation. Mais N. ? Elle avait décidé cela et devait donc faire avec. Si vous avez besoin de sentir une queue toutes les semaines, fuyez. Par contre si vous aimez les doigts et les caresses, certaines choses deviennent possibles.

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69 jours c'est à la fois court et long dans la vie d'un homme... Et pour ce coup là, les activités des GO du camp étaient réduites à leur plus simple expression. Un long voyage intérieur avec quelques actes de dominance choppés de ci et de là. Une parenthèse pour les vacances de la Toussaint enfermé pendant 3 jours et demi en grenouillère et couche totale. Une commande de nouvelle cage... Pas grand chose en fait, sauf des instantanés de ressenti qui remontent le moral et poussent à aller plus loin...

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Une période de texte sur le blog sans beaucoup de photos témoignages, à l'image de ce que je vivais alors avec plaisir et amour, je vous rassure.

Puis tout s'est terminé au bout du 69ème jour. J'étais devenu chien craintif... alors que la délivrance tant attendue approchait...

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Moment bizarre où j'étais fort tendu malgré une éjaculation prostatique qui est partie tout de suite. J'avais la rondelle trop serrée pour l'action de ma Dame. J'étais tendu. Le programme de la grande cérémonie de fin était ambitieux. Trop peut être...

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C'était déjà l'heure du générique de fin...

dyonisos

 

 

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Samedi 12 juillet 6 12 /07 /Juil 06:22

Avec 70 jours de port, il peut être maintenant un premier bilan sur la nouvelle cage Steelworxx Looker 02.

Comparé aux anciennes cages plastiques type CB6000s, le nouvel anneau à testicule est de façon générale plus confortable à porter. D'abord au niveau de son épaisseur plus faible qui a moins tendance à écarter les choses surtout le matin quand elles ne sont pas encore détendues. La forme sans aspirité est aussi un grand plus par rapport à la section "carrée" de l'ancien anneau : plus de blessure de la peau du bas des couilles le long de l'arête de l'anneau. Je pense que c'est là aussi où intervient la forme dite anatomique de l'anneau en laissant plus d'espace aux machines pour pendouiller même quand elles sont rétractées.Une vraie bonne idée que cet anneau fuyant.

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L'anneau me pose néanmoins un problème qui n'est pas lié au choix de la cage mais de sa nature d'un seul tenant. Il m'est assez difficile (le soir) voire très difficile (le matin) d'y faire passer mes grosses couilles malgré sa taille max de 50mm. La contrepartie c'est qu'une fois les machines passées, il n'y a pas à craindre qu'elles glissent et s'échappent à l'improviste. Aucune perte de cage n'a eu lieu pendant cette période de port. Il y a cependant une solution au casse tête (ou casse couille) qui marche à chaque fois pour les passer. J'en cale une contre l'anneau et je tente de passer l'autre et au bout de longs moments de tâtonnement (lol), elle finit pas être avaler par l'anneau de façon quasi miraculeuse, sans que j'ai encore compris quelle devait être se position pour que cela marche. Donc des fois il m'a fallu prêt de 15 minutes avant de pouvoir arrimer le tout. Et il ne faut pour l'instant pas espèrer une seconde que ma Dame pourrait prendre mon relais pour cette opération dirais-je "délicate". Après il n'y a plus qu'à glisser le zizi flasque sous l'anneau, à bien mettre en place le tout avant de verrouiller la cage à barreaux.

Celle-ci nécessite un peu d'habitude pour la mettre. Bien sûr éviter de pincer la peau comme toujours mais le truc réside dans l'accostage des deux parties de la serrure, aux côtes d'ajustement si parfaites que la cage tient toute seule même sans cadenas. Le truc donc est d'accoster par le bas le crochet de la cage entre les deux crochets de l'anneau avant de délicatement basculer la cage vers le haut en tenant l'anneau. Une sorte de petit clic métallique se fait entendre et tout est alors bien aligné. Pour désaccoupler la cage à l'anneau, c'est l'opération inverse qu'il faut effectuer en forçant la cage à pivoter légèrement vers le bas comme j'ai vite compris.

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Il est temps maintenant de passer l'ingénieux petit verrou dans l'ensemble qui est une petite merveille de technologie, créé à l'origine pas un fabriquant pour verrouiller les serrures béantes des vieux meubles. Un autre allemand en aura trouvé un détournement génial. On enfile le cylindre de laiton et la clé fait tourner à son extrémité une petite ailette qui empêche son retrait (à gauche sur la photo ci-dessus). La conception du verrou dans son ensemble ne fait pas porter sur l'axe de la serrure de laiton les efforts de la cage repris par l'ajustement entre les 3 crochets, d'où la manœuvre d'accostage expliquée ci-dessus.

Le fait de ne pas avoir un cadenas que brimbale est un vrai confort du port, tout en gardant une notion de clé à oiseau que je préfère à celle d'une clé spéciale à vis. Le verrou est aussi et ainsi particulièrement discret sous les vêtement. L'inconvénient que cela peur avoir est que l'on entend plus les battements du cadenas, ce que certains préfèrent entendre pour le côté rappelle humiliant. Mais pour ma Maîtresse aucun problème...

J'ai cependant du abandonner (temporairement ?) le port de la petite Reine de mes 40 ans pour laquelle je n'ai pas encore trouvé de position correcte sur cette cage finalement très intégrée.

Nous avons choisi après mûres réflexions une cage de 60mm de longueur hors-tout, tout en gardant le diamètre interne de la CB6000s qui m'allait bien. La question de la taille du zizi est toujours une question de fond pour la gente masculine et ce depuis l'adolescence. Disons que tout cela doit être nuancé. D'abord j'ai appris cette année à mes dépends avec le plug d'urêtre que ce que nous voyons n'est que la partie immergée de l'iceberg et si mon zizi dressé de 13 cm peut être considéré comme petit, il y en a une partie enfouie aussi longue (25cm avant d'arrivée aux "vannes"). Et puis la flatitude, souvent peu montrée, change pas mal les points de vue que l'on peu avoir sur la taille des zizis. En tout cas, avec le BDSM et la cage, les zizis ont quand même l'habitude de rétrécir dans les esprits avec l'avancement du jeu. De toute façon j’ai un tel ratio de barbatruc entre l’état flaccide et l’état érigé qu’il fallait bien faire un choix. Donc au repos absolu, je flotte dans ma cage. Comme nous verrons plus tard cela va un peu à l'encontre du plug d'urêtre mais cela permet surtout une grande nouveauté qui change le sens du port :  le lavage de l'asticot directement en cage. De toute façon la photo suivante, montre oh combien il serait difficile de trouver une cage qui me sierait parfaitement au repos... 

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Oui car la grande nouveauté qui est arrivée avec le port de cette nouvelle cage est que je n'ai plus besoin d'en sortir pour l'hygiène. Après quelques tests, j'arrive à savonner le gland en passant le petit doigt à travers les barreaux. Conséquence qu'a tout de suite utilisé ma merveilleuse Maîtresse N. : plus de sortie et donc plus d'accès à la clé qui a été enlevé de ma vue. Je suis resté enfermé dans ma cage jusqu'à 3 semaines d'affilée et n'en sort que pour des raisons familiales ou de rasage. 

Cela change complètement le ressenti de son port. Coincé le dyonisos se sent et complètement sous l'emprise de Madame. Et personnellement j'adore le sens de cette évolution. Et c'est plus reposant pour l'esprit : aucune question à se poser. Tu restes sage dans ta cage et tu dépends complètement de ce que j'ai décidé. Les barreaux sont solides et aucune possibilité de s'échapper d'autant que la cage est bien arrimée sur le sexe...

La dernière chose à évoquer est le port avec le plug transperçant l'urêtre. Je n'ai que l'expérience de quelques jours, mais ce que je peux dire est que cette expérience est très exigeante. La boule qui vous pénètre très loin, au delà de l'anneau de base. Ces nuits cauchemardeuses où le plug vous baisent la bite sans concession. Cette sensation d'être baisé et bien baisé en permanence. Je classerais cet accessoire (heureusement démontable) comme très exigeant, demandant une attention permanente pour de ne pas se brûler la muqueuse au niveau du méat alors que le zizi vit sa vie propre. C'est pour cela que steelworxx conseille de la prendre aussi courte que l'état le plus flaccide qui était chez moi impossible. En tout cas, une version punitive de la cage que je me dois de craindre dorénavant et que l'on verra ce qu'en fait N. dans le futur...

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Jeudi 10 juillet 4 10 /07 /Juil 06:02

Il y a d'abord eu popette en fin d'été dernier.

La servante gentille et attentionnée que tout gentilhomme se doit d'avoir dans sa maisonnée, qu'il faut de temps en temps savoir punir "pour son bien".

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En réponse de la bergère au berger, il y aura marguerite en fin de saison, qui se devra de reprendre au fouet levé les tâches de la vraie femme de ménage de la maisonnée blessée, sous les directives cinglantes de la Maîtresse de maison 

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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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