Avec 70 jours de port, il peut être maintenant un premier bilan sur la nouvelle cage Steelworxx Looker 02.
Comparé aux anciennes cages plastiques type CB6000s, le nouvel anneau à testicule est de façon générale plus confortable à porter. D'abord au niveau de son épaisseur plus faible qui a moins tendance à écarter les choses surtout le matin quand elles ne sont pas encore détendues. La forme sans aspirité est aussi un grand plus par rapport à la section "carrée" de l'ancien anneau : plus de blessure de la peau du bas des couilles le long de l'arête de l'anneau. Je pense que c'est là aussi où intervient la forme dite anatomique de l'anneau en laissant plus d'espace aux machines pour pendouiller même quand elles sont rétractées.Une vraie bonne idée que cet anneau fuyant.
L'anneau me pose néanmoins un problème qui n'est pas lié au choix de la cage mais de sa nature d'un seul tenant. Il m'est assez difficile (le soir) voire très difficile (le matin) d'y faire passer mes grosses couilles malgré sa taille max de 50mm. La contrepartie c'est qu'une fois les machines passées, il n'y a pas à craindre qu'elles glissent et s'échappent à l'improviste. Aucune perte de cage n'a eu lieu pendant cette période de port. Il y a cependant une solution au casse tête (ou casse couille) qui marche à chaque fois pour les passer. J'en cale une contre l'anneau et je tente de passer l'autre et au bout de longs moments de tâtonnement (lol), elle finit pas être avaler par l'anneau de façon quasi miraculeuse, sans que j'ai encore compris quelle devait être se position pour que cela marche. Donc des fois il m'a fallu prêt de 15 minutes avant de pouvoir arrimer le tout. Et il ne faut pour l'instant pas espèrer une seconde que ma Dame pourrait prendre mon relais pour cette opération dirais-je "délicate". Après il n'y a plus qu'à glisser le zizi flasque sous l'anneau, à bien mettre en place le tout avant de verrouiller la cage à barreaux.
Celle-ci nécessite un peu d'habitude pour la mettre. Bien sûr éviter de pincer la peau comme toujours mais le truc réside dans l'accostage des deux parties de la serrure, aux côtes d'ajustement si parfaites que la cage tient toute seule même sans cadenas. Le truc donc est d'accoster par le bas le crochet de la cage entre les deux crochets de l'anneau avant de délicatement basculer la cage vers le haut en tenant l'anneau. Une sorte de petit clic métallique se fait entendre et tout est alors bien aligné. Pour désaccoupler la cage à l'anneau, c'est l'opération inverse qu'il faut effectuer en forçant la cage à pivoter légèrement vers le bas comme j'ai vite compris.
Il est temps maintenant de passer l'ingénieux petit verrou dans l'ensemble qui est une petite merveille de technologie, créé à l'origine pas un fabriquant pour verrouiller les serrures béantes des vieux meubles. Un autre allemand en aura trouvé un détournement génial. On enfile le cylindre de laiton et la clé fait tourner à son extrémité une petite ailette qui empêche son retrait (à gauche sur la photo ci-dessus). La conception du verrou dans son ensemble ne fait pas porter sur l'axe de la serrure de laiton les efforts de la cage repris par l'ajustement entre les 3 crochets, d'où la manœuvre d'accostage expliquée ci-dessus.
Le fait de ne pas avoir un cadenas que brimbale est un vrai confort du port, tout en gardant une notion de clé à oiseau que je préfère à celle d'une clé spéciale à vis. Le verrou est aussi et ainsi particulièrement discret sous les vêtement. L'inconvénient que cela peur avoir est que l'on entend plus les battements du cadenas, ce que certains préfèrent entendre pour le côté rappelle humiliant. Mais pour ma Maîtresse aucun problème...
J'ai cependant du abandonner (temporairement ?) le port de la petite Reine de mes 40 ans pour laquelle je n'ai pas encore trouvé de position correcte sur cette cage finalement très intégrée.
Nous avons choisi après mûres réflexions une cage de 60mm de longueur hors-tout, tout en gardant le diamètre interne de la CB6000s qui m'allait bien. La question de la taille du zizi est toujours une question de fond pour la gente masculine et ce depuis l'adolescence. Disons que tout cela doit être nuancé. D'abord j'ai appris cette année à mes dépends avec le plug d'urêtre que ce que nous voyons n'est que la partie immergée de l'iceberg et si mon zizi dressé de 13 cm peut être considéré comme petit, il y en a une partie enfouie aussi longue (25cm avant d'arrivée aux "vannes"). Et puis la flatitude, souvent peu montrée, change pas mal les points de vue que l'on peu avoir sur la taille des zizis. En tout cas, avec le BDSM et la cage, les zizis ont quand même l'habitude de rétrécir dans les esprits avec l'avancement du jeu. De toute façon j’ai un tel ratio de barbatruc entre l’état flaccide et l’état érigé qu’il fallait bien faire un choix. Donc au repos absolu, je flotte dans ma cage. Comme nous verrons plus tard cela va un peu à l'encontre du plug d'urêtre mais cela permet surtout une grande nouveauté qui change le sens du port : le lavage de l'asticot directement en cage. De toute façon la photo suivante, montre oh combien il serait difficile de trouver une cage qui me sierait parfaitement au repos...
Oui car la grande nouveauté qui est arrivée avec le port de cette nouvelle cage est que je n'ai plus besoin d'en sortir pour l'hygiène. Après quelques tests, j'arrive à savonner le gland en passant le petit doigt à travers les barreaux. Conséquence qu'a tout de suite utilisé ma merveilleuse Maîtresse N. : plus de sortie et donc plus d'accès à la clé qui a été enlevé de ma vue. Je suis resté enfermé dans ma cage jusqu'à 3 semaines d'affilée et n'en sort que pour des raisons familiales ou de rasage.
Cela change complètement le ressenti de son port. Coincé le dyonisos se sent et complètement sous l'emprise de Madame. Et personnellement j'adore le sens de cette évolution. Et c'est plus reposant pour l'esprit : aucune question à se poser. Tu restes sage dans ta cage et tu dépends complètement de ce que j'ai décidé. Les barreaux sont solides et aucune possibilité de s'échapper d'autant que la cage est bien arrimée sur le sexe...
La dernière chose à évoquer est le port avec le plug transperçant l'urêtre. Je n'ai que l'expérience de quelques jours, mais ce que je peux dire est que cette expérience est très exigeante. La boule qui vous pénètre très loin, au delà de l'anneau de base. Ces nuits cauchemardeuses où le plug vous baisent la bite sans concession. Cette sensation d'être baisé et bien baisé en permanence. Je classerais cet accessoire (heureusement démontable) comme très exigeant, demandant une attention permanente pour de ne pas se brûler la muqueuse au niveau du méat alors que le zizi vit sa vie propre. C'est pour cela que steelworxx conseille de la prendre aussi courte que l'état le plus flaccide qui était chez moi impossible. En tout cas, une version punitive de la cage que je me dois de craindre dorénavant et que l'on verra ce qu'en fait N. dans le futur...
dyonisos
Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.
Page officielle du Ruban Bleu |
Dungeon furniture MAJ Juillet 2010
Cabinet de dessins
Index
Liste de nos pratiques - Index thématique
Carnet de punitions et discipline
Centre de ressources BDSM
Calendrier de l'Avent
Projets SM
Projet #0 : le Tribunal de la Reine (logiciels de punition,...) | |
Projet #1 : la Trayeuse de Soumis | |
Projet #2 : la Box | |
Projet #3 : la Cage de Dressage du Toutou | |
|
Projet #4 : le Grainetier |
Coups de coeur HI-TECH
DL2000 - Système de dressage de soumis
Fond Of Writing - logiciel de dressage
Histoires SM persos
Les 40 ans de David
Le domaine 11000ème visite
Petits contes D/S
et l'Humour SM perso
1 visiteur(s) en ligne