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Lundi 13 mai 1 13 /05 /Mai 06:00

Etendre la lessive est une des pires corvées de soumis que je n'ai jamais eu, handicapé par les mains si étroitement attachées. Déjà sortir le linge de la machine puis de façon acrobatique arriver à ramener la banette jusqu'à la terrasse. Réussir à monter l'étendoir. Tout cela avec une main unique ! 

C'est dans ces situations comme celle-ci que l'on voit que la vie n'est pas faite pour les handicapés et soumis handicapé je le suis. Je crois que là aussi c'est une douce vengeance pour ne pas étendre volontier la lessive à la maison dans la vie de tous les jours.

Maîtresse me ramène le panier à pince à linge et me regarde un temps, le sourire aux lèvres, essayer de ridiculement étendre cette lessive. Elle finit par me laisser oeuvrer sans au préalable m'avoir mis en garde :

- Tu auras 3 coups de fouets pour chaque chose que tu auras laissé tomber par terre !

blmai2013lessive.jpg Je découvre vite mes difficultés de soumis handicapé. Comme remettre en forme le linge avec une main unique ? Comment le tendre sur la barre de l'étendoir ? Comment retourner une manche à l'envers ? Tout m'est compliqué. Tout m'est long. Je trouve cependant un truc en positonnant la pièce à étendre en bout de barre, puis en le bloquant par une pince à linge, avant de ma main unique de le tirer doucement sur la barre pour le faire sécher bien tendu. Mon échelle de difficultés peu à peu se remplit. Le plus dur à mon goût sont les slips et le culotte qui sortent en tout sens de la machine. Long à remettre en ordre pour ceux des gamins, très long pour ceux des adultes. A 5 reprises, des sous-vêtements ou des chaussettes m'échappent des mains ou de l'étendoir et tombent par terre. 5 x 3 = 15 coups de fouets ?

Cela est long, très long même, trois quarts d'heure me dira Maîtresse après. Mais il ne me reste plus que trois de mes chemises à mettre sur un cintre, mais là je ne crois pas que cela humainement possible avec mon handicap actuel. Je décide d'aller en parler à Maîtresse. Elle comprend et m'enlève baîllon et attache des mains. Je peux finir d'étendre ma lessive et Maîtresse m'autorise même un perrier et une cigarette avant de reprendre. J'en profite pour regarder les photos de ma punition sur le téléphone et, comme à mon habitude, je suis étonné et fier par les dégats subis.

Je rentre enfin pour la suite des événements. Maîtresse est sur le canapé.

- bon c'est bien soumis, vas mettre ta cage.

Je suis surpris de cette mise en cage que je n'ai pas vu arriver. J'essaye de négocier.

- Mais tu m'avais dit que tu voulais baiser après. Que cela soit SM et vanille...

- Oui, je t'aurais bien offert mon petit trou avant de te mettre en cage. Mais à quoi bon, tu n'est pas assez dur pour cela. D'ailleurs là tu bandouilles plus que tu bandes...

J'essaye de lui prouver le contraire, de faire durcir la bête de ma main, immédiatement. En vain !

- Tu vois bien que j'ai raison. Cela devient même inquiétant, il va falloir que tu demandes au médecin de te prescrire du viagra. Va mettre ta cage et reviens vite offrir un cunni à ta Maîtresse... et serrée la cage...

Clic-clac me voilà enfermé pour je ne sais combien de temps et mis en place à genoux entre les cuisses de Madame pour un hommage bien mérité qui éclate vite en un superbe feu d'artifice... pour ma Maîtresse.

blmai2013cunni.jpg

Le soir venu, j'ai du mal à m'endormir. J'ai reçu l'ordre de redormir en couche et grenouillère. J'ai trop chaud avec mais là aussi, aucune négociation possible. Ce que Maîtresse veut... Je n'arrive pas à trouver la bonne position. Sur le dos les fesses me font encore mal. Sur le côté l'épaisseur de la couche dans l'entrecuisse m'empêche de trouver une position confortable. Et je crains l'épreuve du bâton dans la cage, à subir au coeur de la nuit...

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Dimanche 12 mai 7 12 /05 /Mai 06:00

Me voilà libéré des pinces sur la peau des couilles, mais point d'autre libération. Je reste suspendu à ma barre, toujours bailloné pour empêcher toute parole.

- Toi, tu attends là pendant que je me repose et vais surfer sur internet.

Je crains qu'elle me plante là, immobilisé au soleil, pour un moment. Mais non, elle surfe sur la terrasse, depuis mon smartphone, petit crime de sa part car elle sait que je n'aime pas cela. 

Et là commence une longue attente pour moi.

Au début elle me positionne de face me faisant tourner autour de mes liens. Je suis meurtri de partout et encore hébété de la violence des attaques. Le venin blmai2013saucisson.jpg des orties progresse dans tout le corps. J'aperçois ma silouhette trouble dans le reflet d'une vitre. Que vois-je ? Un saucisson bien trop dodu qui est mis à sécher sur sa perche... Un homme de 42 ans qui vient de se prendre une raclée par Madame... pour son plaisir, pour son excitation... et pour les miens. Que la vie est étonnante. C'est le genre de situation qui me faisait fantasmer il y a quelques années. Et nous en sommes là, ensemble, en complicité. Que de chemin parcouru depuis la première fois que Maîtresse m'a retrouvé tout nu à la maison, mon collier de soumis autour du cou, en train de faire la vaisselle. Elle avait alors éclaté de rire. Elle était si précautionneuse, me donnant de l'alcool à boire pour supporter ses petits coups de paddle. Mais elle avait tellement aimé avoir son homme en son pouvoir ce jour là. Voilà où tout cela nous a mené quelques années plus tard ! Oh combien je l'aime en Maîtresse, ma femme, avec un autre aspect de sa personnalité qui s'exprime, beaucoup plus exigeant, beaucoup plus décidé, beaucoup plus précis. Je me laisse doucement bercer dans ces pensées...

Bien souvent Maîtresse varie, et bien le fol le soumis qui s'y fie... Maîtresse en a marre de voir ma tête et m'intime l'ordre de me remettre face contre le mur. Au coin, en quelque sorte. Pour ceux qui ne connaissent pas, la mise au coin a quelque chose de prenant. Car au coin, il n'y a rien à faire à part attendre et attendre encore le bon vouloir de la personne qui vous y a mis. Face au mur, aucune distraction possible. Jamais enfant je m'y suis retrouvé, quelque fois depuis je suis marié. Cela a un côté très humiliant...

Le moment est forcément propice à la réflexion. Je suis tellement fier de la façon dont ma Maîtresse de femme vient de me traiter ! Que je ressens comme un accomplissement de la complicité que nous avons établi dans ces jeux aigre-doux d'adultes. Encore une fois, N. vient de me montrer toute l'étendue de son talent inné et désormais je craindrai la canne. Mon corps crie de partout mais je ne sais pas encore les dégats qui l'occasionnent. Un soumis est aussi un grand aveugle.

Je demande alors en quoi mon comportement de la veille a pu influencer le cours de cet après-midi. En ces choses D/S ou S/M, l'insconscient n'est jamais très loin et chacun flirte avec les limites. Il y a tant de non-dits et sans doute tant aussi de non-connus. L'ambiance ou l'enclin du moment compte tellement. Je ne cherche plus à comprendre me laissant emporter par les émotions fortes de la soumission. Mais oui, j'en suis convaincu, je dois une grosse partie de la déferlante à ma désobéissance passée !

Je m'aperçois que j'ai une folle envie de jouir qui monte. Et que je ne peux pas ! Mains attachées ! Si frustrant ! Je sens l'accumulation au creux de mes reins, mais qui s'exprime si étonnament en ces situations. Point de fier phallus, mais une limace toute molle qui n'arrête pas de baver et baver de ce liquide séminal qui tombe en long filament épais vers le sol. La joie de ma Maîtresse et l'humiliation constante qu'elle m'impose de me faire constater comment je bave. Je suis maintenant follement excité mais toujours sans érection. La soumission est une castration chez moi.

J'ai aussi mal aux poignets avec la corde qui s'est resserrée autour et laisse des empreintes de chainettes dans la peau. J'essaye de soulager un peu la tension en m'agrippant au support de la barre de métal. Maîtresse s'en aperçoit.

- c'est long, hein, d'être coincé sans avoir rien à faire, mais ce n'est pas fini. Reste sage, mon dyonisos !

Je retourne à mes pensées et la boule de plaisir qui presse le bas ventre, fait naitre une envie de petit pipi. Je suis à la verticale d'un fraisier des bois. Je ne peux pas décemment faire cela. Mais le corps lui s'en fou ! Au final, la vanne s'ouvre et un mélange de plaisir inabouti et d'urine vient tâcheter le bois de la terrasse à mes pieds. Maîtresse s'en aperçoit à ma grande honte.

- Mais tu n'as pas demandé l'autorisation de pipi, là ! Tu vas voir...

J'essaye de m'expliquer à travers mon baillon, inaudible. Que déjà la retorsion arrive à tout volée sur mes fesses à la canne, bientôt complétée par une nouvelle brassée d'orties. J'ai si honte...

Quelques minutes encore et Maîtresse finit par détacher son saucisson, me laisse mon baillon et réajuste les liens de mes mains.

- Bon, je vais t'occuper. Il y a une lessive dans la machine à laver. Tu iras la chercher. Tu sortiras l'étendoir sur la terrasse et tu mettras le tout à sécher.

Autrement dit, les mains complétement attachées, baillonné et toujours tout nu ! Je frémis face à l'ampleur de la tâche, mais j'obéis.

dyonisos

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Samedi 11 mai 6 11 /05 /Mai 06:00

Vous allez dire que je suis pas un petit cachottier, car je ne vous parle que de moi. Et pourtant pour cette journée ensoleillée, Maîtresse a une idée très arrêtée de la façon dont elle veut être habillée. Et c'est seins au vent et la corde grattant la chatouille qu'elle s'apprête à s'occuper de son soumis !

blmai2013n3.jpg blmai2013n2.jpg

 

Je sais qui va être question d'orties fraiches car Maîtresse m'a envoyé le matin en cueillir un bouquet. Mais je m'attends par à en connaitre si rapidement la morsure. Maîtresse me détache la ceinture du short de cuir. Je la regarde faire un sourire espiègle aux lèvres fasciné par les fiers petons à quelques centimètres et sans prendre garde quand elle enfonce le bouquet d'orties à l'intérieur du short en contact direct avec le service trois pièce. Aie, aie, aie !!! Premier contact cuisant avec les orties de cette année...

Le short chute finalement à mes pieds. Je suis nu et complétement exposé. Et les coups commencent à pleuvoir...

Je n'essayerais pas de faire un récit détaillé des tourments et sévices subis, car c'est impossible. Je suis attaqué de toute part par ma Maîtresse en une forme olympique. Une sorte d'immense tournis de sensations décervelantes. Jamais je n'ai eu aussi conscience d'être une marionnette en ses mains dont Maîtresse tire les ficelles. Maîtresse zappe sans cesse, me surprenant entre la canne sur les fesses, le dos, les cuisses, la torture des seins à la pince, puis des couilles, le broyage de celles-ci d'ailleurs, à la main, au gant de jardinage avec les pastilles d'agrippage, les claques sur les couilles, le passage du corps aux orties plusieurs fois, les morsures, les griffures et de temps en temps des branlettes sans espoir destinée à me rendre tout dur avant de m'abandonner désespéré de ne pas pouvoir jouir. C'est une Maîtresse tempête cet aprés-midi et je ne sais plus où donner du cri.

Elle veut que j'abdicte et au début je résiste par fierté du soumis, ce qui entraîne des sévices de plus en plus sévères de ses mains.

Je me souviendrai en particulier de ce moment de complicité totale, où Maîtresse me tient par les couilles d'une main pendant que de l'autre elle me balafre en rafale le cul avec la canne. Moment de soumission absolu où je perds tout contrôle, toute dignité et ne suis plus qu'un objet que Maîtresse balade au grè de ses envies. 

Elle a gagné, je n'en peux plus. Je suis finalement maté.

- Oui, mon soumis ?

- p..i.t..i..é...

Le baîllon m'empêche d'articuler et cela l'amuse beaucoup

- fessée ? Pas de problème !

Et une série de claques tombent sur mes fesses. Vengeance de la femme fessée... Je les ai bien mérités celles-là ! Maîtresse daigne finalement prendre en considération ma demande de grâce et cesse ses agressions.

Jamais Maîtresse a sévi avec un tel entrain sur son soumis. 

Jamais elle ne m'a emmené aussi profond.

Merci Maîtresse.

Merci Mon Amour.

dyonisos

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Avec l'unique bout de vidéo de l'après-midi : 

Par dyonisos - Publié dans : Nous
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Chronique des jeux BDSM d'un couple : Elle Dominante et lui soumis. Maîtresse N. et dyonisos.

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